Depuis des semaines, Jean-Luc Mélenchon agite le chiffon rouge estimant que la réforme du code sera un «[px_nbsp:nbsp]drame[px_nbsp:nbsp]» ou d’un «[px_nbsp:nbsp]coup d’État social[px_nbsp:nbsp]». Ce lundi, Edouard Philippe lui a répondu lors de sa conférence de presse.
« Je peux comprendre le romantisme échevelé. Je peux comprendre la fascination vénézuélienne[px_nbsp:nbsp]» a ironisé le Premier ministre ajoutant : «[px_nbsp:nbsp]mais je voudrais quand même dire clairement aux Français que ce que nous préparons est une transformation, discutée et pensée ».
« Il n’y a rien d’antidémocratique dans cette réforme que nous préparons et je trouve vraiment curieux d’utiliser des termes aussi violents et aussi éloignés du débat public et du débat démocratique pour la désigner » a encore dit Edouard Philippe.
« Je peux comprendre le romantisme échevelé. Je peux comprendre la fascination vénézuélienne[px_nbsp:nbsp]» a ironisé le Premier ministre ajoutant : «[px_nbsp:nbsp]mais je voudrais quand même dire clairement aux Français que ce que nous préparons est une transformation, discutée et pensée ».
« Il n’y a rien d’antidémocratique dans cette réforme que nous préparons et je trouve vraiment curieux d’utiliser des termes aussi violents et aussi éloignés du débat public et du débat démocratique pour la désigner » a encore dit Edouard Philippe.
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