«[px_nbsp:nbsp]C’est pas moi M’sieur[px_nbsp:nbsp]». C’est un peu l’impression ce que Manuel Valls a répondu à Léa Salamé quand elle l’a interrogé sur l’utilisation du 49-3. Manuel Valls s’est dédouané grossièrement. «[px_nbsp:nbsp]On m’a imposé le 49-3, ce qu’on appelle les frondeurs. (…) J’ai obtenu l’accord de la très grande majorité des députés socialistes, j’ai obtenu l’accord des syndicats réformistes, mais je n’ai pas trouvé le soutien d’une cinquantaine de députés socialistes. Mais il fallait à ce moment-là l’imposer[px_nbsp:nbsp]» a-t-il expliqué.
Puis le candidat de la primaire de la gauche a insisté en mêlant François Hollande à cette utilisation. «[px_nbsp:nbsp]Je rappelle enfin que cette arme de la Constitution a fait l’objet d’un accord avec le président de la République, d’une décision en Conseil des ministres et a recueilli encore une fois l’accord de la majorité[px_nbsp:nbsp]» s’est-il encore justifié.
Puis le candidat de la primaire de la gauche a insisté en mêlant François Hollande à cette utilisation. «[px_nbsp:nbsp]Je rappelle enfin que cette arme de la Constitution a fait l’objet d’un accord avec le président de la République, d’une décision en Conseil des ministres et a recueilli encore une fois l’accord de la majorité[px_nbsp:nbsp]» s’est-il encore justifié.
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