• il y a 7 ans
De retour de New York, Philippe Labro énumère les bonnes et les mauvaises surprises auxquelles il a été confronté. Des douaniers aux mains rouges de Colomb.

Quelques jours à New York équivalent à plusieurs mois tant la ville est dense, énergisante et toujours surprenante. Philippe Labro vient d'en faire l'heureuse expérience et revient avec une foule de notes et d'impressions. Les douaniers de l'aéroport John-F.-Kennedy ont la réputation de ne pas être commodes ; le journaliste-écrivain s'élève contre cette idée reçue. Trump ne finira pas son mandat ; sur ce sujet aussi, Labro est plus mesuré, car les New-Yorkais eux-mêmes, pourtant guère suspects de tendresse à l'égard du président américain, s'en accommodent. Ce qui ne change pas de l'autre côté de l'Atlantique, c'est le politiquement correct. Ne dites plus « Indiens » ou « Latinos », il existe désormais d'autres façons de nommer ces minorités.

Comble de cette « dérive » les mains d'une sculpture de Christophe Colomb ont été repeintes en rouge pour insister sur le fait que l'explorateur à du sang sur les mains... Une « plaisanterie » qui a même eu les honneurs de la une du New York Post, et donc rencontré un certain écho...

Mais la Grosse Pomme reste très marquée par les événements du 11 septembre 2001 et la chute des deux tours du World Trade Center. Seize ans plus tard, séjourner à New York en ce jour anniversaire n'est pas neutre. Philippe Labro tente de nous faire partager l'ambiance si étrange qui suinte alors dans la ville.

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