Selon une étude de l'université de Westminster, les sèche-mains Dyson Airblade installés dans les toilettes publiques seraient des nids à bactéries.
Les sèche-mains basiques propagent davantage de germes, les pires seraient les sèche-mains à air propulsé qui propageraient jusqu'à 1300 fois plus de bactéries que lorsque l'on s'essuie les mains avec un essuie-tout ou une serviette.
Pour mener la rechercher, des volontaires devaient plonger les mains dans une eau contenant un virus inoffensif.
Les cobayes étaient ensuite invités à s'essuyer les mains avec trois méthodes: serviette en papier; sèche-mains "basique" et un sèche-mains Dyson, beaucoup plus puissant.
Ils se sont ensuite intéressés à la dissémination du virus.
Le virus s'est disséminé 60 fois plus avec un sèche-main traditionnel et 1300 fois plus avec un sèche main à air propulsé.
70% des bactéries rejetées par les sèche-mains à air propulsé le seraient au niveau de la tête d'un enfant, et ce à 3 mètres de distance (contre 75 cm pour un sèche-mains classique et 25 cm pour une serviette).
L'une des marques phares du secteur a déjà demandé à ses scientifiques de répondre à cette étude. Ils affirment que leurs appareils éliminent 99,9 % des bactéries grâce à leurs filtres.
Cette étude s'inscrit dans le cadre d'un conflit entre Dyson et l'industrie du sèche-mains papier. En 2014, une étude similaire, avait déjà pointé du doigt cette façon de se sécher, ce qui n'a pas empêcher le groupe Dyson de grignoter des part de marché.
Dans la vidéo ci-dessous, la marque avait dénoncé à l'époque une méthodologie incomplète. Elle affirmait ainsi réduire jusqu'à 40% la quantité de bactéries présentes sur les mains et éliminer 99,9% des bactéries de l'air utilisé pour sécher les mains grâce à des filtres placés dans ses appareils rappelle NIce Matin.
Les sèche-mains basiques propagent davantage de germes, les pires seraient les sèche-mains à air propulsé qui propageraient jusqu'à 1300 fois plus de bactéries que lorsque l'on s'essuie les mains avec un essuie-tout ou une serviette.
Pour mener la rechercher, des volontaires devaient plonger les mains dans une eau contenant un virus inoffensif.
Les cobayes étaient ensuite invités à s'essuyer les mains avec trois méthodes: serviette en papier; sèche-mains "basique" et un sèche-mains Dyson, beaucoup plus puissant.
Ils se sont ensuite intéressés à la dissémination du virus.
Le virus s'est disséminé 60 fois plus avec un sèche-main traditionnel et 1300 fois plus avec un sèche main à air propulsé.
70% des bactéries rejetées par les sèche-mains à air propulsé le seraient au niveau de la tête d'un enfant, et ce à 3 mètres de distance (contre 75 cm pour un sèche-mains classique et 25 cm pour une serviette).
L'une des marques phares du secteur a déjà demandé à ses scientifiques de répondre à cette étude. Ils affirment que leurs appareils éliminent 99,9 % des bactéries grâce à leurs filtres.
Cette étude s'inscrit dans le cadre d'un conflit entre Dyson et l'industrie du sèche-mains papier. En 2014, une étude similaire, avait déjà pointé du doigt cette façon de se sécher, ce qui n'a pas empêcher le groupe Dyson de grignoter des part de marché.
Dans la vidéo ci-dessous, la marque avait dénoncé à l'époque une méthodologie incomplète. Elle affirmait ainsi réduire jusqu'à 40% la quantité de bactéries présentes sur les mains et éliminer 99,9% des bactéries de l'air utilisé pour sécher les mains grâce à des filtres placés dans ses appareils rappelle NIce Matin.
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