L'Heure du crime, par Christine Andrien, Magali Mineur et Patrick Féry
Dans quel tourment s’enracine le meurtre ? A moins qu’il ne soit l’issue d’un calcul froid et implacable, parfaitement réfléchi ? Certains disent aussi qu’il peut être commis dans un moment hors de toute conscience.
Dans « L’heure du crime », trois artistes déclinent des histoires d’amour vache, de crime passionnel, de cris, de pleurs et de tendresse enfouie. Et
aussi de comment tout bascule. Ils passent ces récits au crible de l’oralité vivante dans des prestations en solo, duo et trio. Ils se mettent tour à tour
dans la peau de meurtriers, de victimes ou d’enquêteurs, et vous emmènent dans les couloirs de labyrinthes dont l’issue est toujours fatale.
Allez-vous trouver la sortie de ces récits tantôt sombres, tantôt décalés, ou vous y perdre ?
« Je le saisis par la gorge. Il se débat, me mord la main. Je sors mon canif, je fais sauter la lame et je plonge la lame dans son orbite. Je tourne, je tourne, je tourne et je fais sauter cet œil de son orbite. »
*******
« Charles se mit à fréquenter une fille de l’atelier A : Françoise Galland. Mère l’a su tout de suite. Elle n’a rien dit. Elle mettait ça sur le compte des instincts ancillaires des mâles de la famille bien née. Elle parlait d’un écart… »
*******
« Je m’assieds dans mon fauteuil, je prends mon ouvrage : de la broderie. J’aime beaucoup la broderie, ça me calme les nerfs. Je regarde la pendule. Il va arriver, il est cinq heures moins cinq, et tous les jours il rentre à cinq heures ! »
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Dans « L’heure du crime », trois artistes déclinent des histoires d’amour vache, de crime passionnel, de cris, de pleurs et de tendresse enfouie. Et
aussi de comment tout bascule. Ils passent ces récits au crible de l’oralité vivante dans des prestations en solo, duo et trio. Ils se mettent tour à tour
dans la peau de meurtriers, de victimes ou d’enquêteurs, et vous emmènent dans les couloirs de labyrinthes dont l’issue est toujours fatale.
Allez-vous trouver la sortie de ces récits tantôt sombres, tantôt décalés, ou vous y perdre ?
« Je le saisis par la gorge. Il se débat, me mord la main. Je sors mon canif, je fais sauter la lame et je plonge la lame dans son orbite. Je tourne, je tourne, je tourne et je fais sauter cet œil de son orbite. »
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« Charles se mit à fréquenter une fille de l’atelier A : Françoise Galland. Mère l’a su tout de suite. Elle n’a rien dit. Elle mettait ça sur le compte des instincts ancillaires des mâles de la famille bien née. Elle parlait d’un écart… »
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« Je m’assieds dans mon fauteuil, je prends mon ouvrage : de la broderie. J’aime beaucoup la broderie, ça me calme les nerfs. Je regarde la pendule. Il va arriver, il est cinq heures moins cinq, et tous les jours il rentre à cinq heures ! »
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Art et design