Le Parti de gauche de Montpellier a proposé aux citoyen-e-s de se prononcer sur le droit de révoquer les élus.
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«Le droit de révoquer est une des mesures phares d'une VIe République démocratique, citoyenne et participative», «Cela se pratique déjà dans plusieurs pays, dans le même état d'esprit que l'«impeachment» en vigueur aux États-Unis» . «Il s'agit de contrôler les mandats représentatifs», . «Pour le moment, il est trop souvent donné un blanc-seing aux élus qui ne défendent pas les intérêts pour lesquels ils ont été élus.»
L'idée est donc la suivante : à partir de la mi-mandat et si un pourcentage des inscrits le demande (entre 5 et 10 % par exemple), les citoyens auraient le droit de provoquer un référendum révocatoire à l'encontre de toute personne disposant d'un mandat électif, du président de la République au conseiller municipal.
Lors du référendum révocatoire, si une majorité de personnes est favorable à la révocation et que ce nombre de personnes représente plus d'électeurs que ceux qui ont voté pour l'élu concerné, alors l'élu est révoqué. Si l'élu est révoqué, on procède à une nouvelle élection.
«Avec ce droit de révoquer, les élus sauront qu'ils sont sous le regard vigilant des citoyens», . «Les citoyens ne souhaitent pas déléguer le pouvoir aveuglément à des élus qui abusent de leur position.Cela va cadrer l'action des élus. «François Hollande avait dit que son ennemi c'était la finance et il se trouve que ce n'est pas du tout le cas. Ce matin, nous avons vu beaucoup de socialistes déçus de l'écart entre la promesse et l'action».
Ainsi, si ce droit de révocation était en place, les élus devraient appliquer le programme sur lequel ils ont été élus, un programme qui du coup devrait être plus honnête et plus sérieux pour pouvoir être appliqué dans la vraie vie. En somme, tout un programme qui pourrait peut-être réconcilier les citoyens avec la politique, diminuer l'abstention et endiguer le vote refuge à l'extrême droite. Il s'agit littéralement d'une «mise en accusation» ou «procédure de mise en accusation», proche d'une motion de censure, qui permet au pouvoir législatif de destituer un haut fonctionnaire d'un gouvernement.
«Le droit de révoquer est une des mesures phares d'une VIe République démocratique, citoyenne et participative», «Cela se pratique déjà dans plusieurs pays, dans le même état d'esprit que l'«impeachment» en vigueur aux États-Unis» . «Il s'agit de contrôler les mandats représentatifs», . «Pour le moment, il est trop souvent donné un blanc-seing aux élus qui ne défendent pas les intérêts pour lesquels ils ont été élus.»
L'idée est donc la suivante : à partir de la mi-mandat et si un pourcentage des inscrits le demande (entre 5 et 10 % par exemple), les citoyens auraient le droit de provoquer un référendum révocatoire à l'encontre de toute personne disposant d'un mandat électif, du président de la République au conseiller municipal.
Lors du référendum révocatoire, si une majorité de personnes est favorable à la révocation et que ce nombre de personnes représente plus d'électeurs que ceux qui ont voté pour l'élu concerné, alors l'élu est révoqué. Si l'élu est révoqué, on procède à une nouvelle élection.
«Avec ce droit de révoquer, les élus sauront qu'ils sont sous le regard vigilant des citoyens», . «Les citoyens ne souhaitent pas déléguer le pouvoir aveuglément à des élus qui abusent de leur position.Cela va cadrer l'action des élus. «François Hollande avait dit que son ennemi c'était la finance et il se trouve que ce n'est pas du tout le cas. Ce matin, nous avons vu beaucoup de socialistes déçus de l'écart entre la promesse et l'action».
Ainsi, si ce droit de révocation était en place, les élus devraient appliquer le programme sur lequel ils ont été élus, un programme qui du coup devrait être plus honnête et plus sérieux pour pouvoir être appliqué dans la vraie vie. En somme, tout un programme qui pourrait peut-être réconcilier les citoyens avec la politique, diminuer l'abstention et endiguer le vote refuge à l'extrême droite. Il s'agit littéralement d'une «mise en accusation» ou «procédure de mise en accusation», proche d'une motion de censure, qui permet au pouvoir législatif de destituer un haut fonctionnaire d'un gouvernement.
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Éducation