Vaincu, Gollnisch n'a pas dit son dernier mot

  • il y a 14 ans
Avec un peu plus de 32% des voix, Bruno Gollnisch n'est pas parvenu à prendre la succession de Jean-Marie Le Pen. Alors que dans la nuit du samedi au dimanche, à Tours, le bruit courait que l'universitaire pensait quitter le FN, et qu'il avait refusé le poste de n°2 proposé par Marine Le Pen, Gollnisch a tenu, dans son discours du vaincu, à marteler l'unité du parti frontiste. Mais il n'a pas dit que ça... En insistant sur le nombre de ses partisans élus au comité central, le parlement du FN, le député européen a fait passer le message : Marine Le Pen devra compter avec lui dans sa manière de diriger le parti paternel, voire dans son programme pour la présidentielle de 2012.

Recommandée