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00:00Il y a eu des drapeaux mais on ne les a pas touchés.
00:04Si vous lisez ce livre, vous commencez bien avant le début du régime libéral.
00:14Vous commencez à comprendre ce qui s'est passé.
00:17Pourquoi ne pas voir ce qui s'est passé le 24 mars?
00:30Nous sommes dans des moments difficiles au Sénégal.
00:38Pour que le pouvoir change de main, il a fallu que le Sénégal aille vers l'au-delà.
00:48Nous avons officiellement plus de 60 morts.
00:55Nous avons aussi des blessés.
00:58Comme beaucoup de Sénégalais, nous nous sommes questionnés.
01:04Pourquoi est-ce qu'on ne l'a pas fait en 2012?
01:09C'était de manière démocratique.
01:12Le Sénégal est une référence du point de vue démocratique.
01:16En 2012, le Sénégal a été détruit.
01:21Le Mali a été détruit et les militaires ont été arrêtés.
01:26Le Sénégal est dans un contexte particulier dans les meilleures conditions démocratiques.
01:35Le Sénégal a été détruit en 2012.
01:3812 ans après, pour le remplacer, il a fallu autant de sacrifices.
01:44Pour que le Sénégal aille vers l'au-delà,
01:51depuis le début de l'année 2021 à l'arrivée de l'année 2024,
01:55il a fallu qu'il y ait un changement dans le pouvoir.
02:01C'est pour ça qu'il est important qu'on arrive au pouvoir.
02:10C'est pour ça que j'ai remonté plus loin.
02:13C'est la véritable motivation de Macky Salle.
02:17C'est pour ça qu'on l'a remplacé démocratiquement.
02:23C'est ce que j'ai retourné en arrière.
02:26Comme je l'ai expliqué dans mon premier livre,
02:32je l'ai mis dans l'agenda politique libéraux.
02:37C'est pour ça qu'il est important qu'il y ait un changement dans le pouvoir.
02:50C'est ce qu'il faut faire car dès l'élection de 2024,
02:54le véritable candidat de Macky Salle était Karim Ouad.
02:59C'est ce qu'il faut faire.
03:02C'est ce qu'il faut faire.
03:05C'est ce qu'il faut faire car on choisit Amadou Ba comme candidat.
03:14C'est pour ça que j'ai fait cette émission.
03:18On choisit Amadou Ba comme candidat.
03:21Mais en réalité, tout le monde est un candidat.
03:25Comme on l'a dit, l'inter-coalition est un piège.
03:33C'est pour ça que j'ai voulu comprendre le jeu de Macky Salle.
03:41Depuis 2016, je vois qu'il y a des adversaires au Sénégal.
03:52Macky Salle est au pouvoir, Abdoulaye Ouad et le PDS sont dans l'opposition.
03:58Il y a des conniventions.
04:00Le Sénégal est quelque part dans le même pays.
04:02Heureusement, il est parti.
04:05Il n'y a pas eu d'échec.
04:09Pour qu'il y aille, il fallait qu'il remplace quelqu'un.
04:16Malheureusement, avec la circonstance de la décision du Conseil constitutionnel
04:21et le plan B au passé, il n'a pas sorti.
04:27Mais il y a aussi le président Macky Salle, Khalifa Salle et le PDS.
04:32Comme je l'ai expliqué,
04:35quand Abdoulaye Ouad est arrivé au pouvoir après 26 ans d'opposition,
04:42il devait se débarrasser des socialistes.
04:44Car en tant que libéraux, ses adversaires naturels sont les socialistes.
04:48Pour se débarrasser des socialistes, il fallait qu'il soit au pouvoir
04:53et qu'il incarne l'opposition.
04:56C'est pour ça qu'il a décidé de définir ce que j'appelle le triangle libéral.
05:02D'une part, Macky Salle est au pouvoir.
05:05Mais en face de lui,
05:09il y a des libéraux qui constituent les deux autres angles du triangle.
05:15Je ne sais pas si vous comprenez.
05:17En 2012, pendant que Macky Salle et Abdoulaye Ouad
05:23étaient en campagne pour que les Sénégalais votent,
05:27il a voté pour qu'on donne la place de la nation
05:31pour qu'il n'y ait pas d'élection.
05:33C'est le même scénario qu'on a répété en 2019
05:36où Macky Salle et Idilou Seck sont des candidats
05:39et Abdoulaye Ouad a dit qu'ils se battent pour l'élection.
05:43Il a dit qu'ils se battent pour tous les électeurs.
05:47Il a dit qu'ils se battent pour l'élection et qu'il veut divertir les Sénégalais.
05:51C'est ce qu'on a vu depuis un certain temps.
05:54C'est ce qu'il a dit à un moment donné.
05:57Il a dit qu'il allait rejoindre Macky Fong.
06:00Il a dit qu'il allait rejoindre Macky Fong mais en parallèle avec Ousmane Sonko.
06:04Parce qu'Ousmane Sonko n'a pas reçu de pouvoir
06:07et Macky Salle ne l'a pas reçu en étant seul.
06:10Il fallait que l'on regroupe tous les forces.
06:14Comme Macky Salle l'a dit, on a 85% dans l'électorat.
06:19Parce qu'il a reçu l'adhésion avec Idilou Seck
06:23et il veut isoler Ousmane Sonko avec ses 15%.
06:29Pour en revenir à Khalifa Salle, j'ai expliqué
06:33qu'à un moment donné, Ousmane Sonko a été isolé
06:37entre 2014 et 2017.
06:40Parce qu'il était un obstacle pour les libéraux.
06:43Ils devaient présenter le pouvoir
06:46et personne n'avait l'intention de prendre l'envergure pour détruire le projet.
06:52Quand Khalifa Salle en 2014 a dit qu'il n'allait pas se ranger en Guinée
06:57les libéraux se sont rendus compte qu'il fallait l'éliminer.
07:01Lors de l'élection de Khalifa Salle en 2019
07:04Ousmane Sonko a reçu le pouvoir et les libéraux se sont rendus compte qu'il fallait l'éliminer.
07:09Malheureusement, comme Macky Salle est une sorcière
07:15la radiation de Ousmane Sonko l'a emprisonné.
07:20C'est ce qu'a fait Macky Salle.
07:22Elle a pensé à Ousmane Sonko comme un ballon
07:26qu'il ne pouvait pas ouvrir si il ne prenait pas l'envergure.
07:30Elle a pensé qu'il ne pouvait pas l'ouvrir si il ne prenait pas l'envergure.
07:34Malheureusement pour lui, Ousmane Sonko n'a pas pris l'envergure.
07:38Il n'a pas pris la décision de l'oublier.
07:41C'était trop tard, les jeunes étaient conscients de ce qui se passait.
07:45Et de ce qui s'est passé.
07:49On voit ici l'émergence d'Ousmane Sonko en tant qu'opposant.
07:53Par exemple, il y a eu beaucoup de ballistes d'Ousmane Sonko.
07:57C'était un peu difficile pour eux, comme pour Burkina Faso mais aussi pour le Sénégal.
08:04C'est Ousmane Sonko qui a été percé dans l'opposition.
08:08Mais depuis 2016 à 2019,
08:13il a été pris en charge par beaucoup de gens.
08:17En tout cas, il a été considéré comme un YB politique.
08:20Mais après, il a été éliminé.
08:25Mais quel a été son mérite personnel?
08:28Qu'a-t-il fait pour que le président Maksal n'ait pas eu d'autre choix
08:35après les élections présentes en juin?
08:40Son mérite, c'est de refuser d'être complice.
08:49Parce que le Sénégal a des fonctionnaires de haut niveau
08:53qui ont une dimension qui est très grande.
08:58Ils ne veulent pas déranger le pouvoir en place.
09:03Ce qu'ils préfèrent, c'est qu'ils profitent de l'état qu'ils ont.
09:09Parce qu'après l'élection d'Ousmane Sonko,
09:13ils n'auront plus de privilèges en tant qu'inspecteur des impôts et domaines.
09:22Donc, ils ont choisi cette élection
09:26malgré les privilèges qu'ils ont.
09:30Mais il est descendu dans l'arène politique
09:34et il n'a pas voulu s'insurger contre le système.
09:38Il a voulu s'insurger contre le système
09:44mais il a voulu s'insurger contre le système.
09:48Mais en 2012, Ousmane Sonko a regardé la politique
09:54et a pensé qu'il n'avait pas de chance pour gagner.
09:57Il a vu Idriss Seck et il l'a convaincu.
09:59Je peux le citer dans son livre.
10:03Après, il n'a pas vu le président Macky Salle
10:06mais il n'a pas voulu le recevoir.
10:08Je ne vais pas donner de crédit à ce qui m'a été dit.
10:17Ce que je peux vous dire, c'est que
10:22en 2014, Ousmane Sonko et les autres
10:25ont créé un passif pour qu'ils puissent
10:33tirer des privilèges au Sénégal.
10:37C'est ce qu'ils ont habitué jusqu'à présent.
10:40Je veux expliquer pourquoi
10:43les leaders n'ont pas voulu s'insurger contre le système
10:49mais ils ont aussi voulu tenir le discours.
10:55Les acteurs politiques du Sénégal n'ont pas voulu le tenir.
10:58Les opposants ont dit que c'était un discours
11:04et que c'était un acte.
11:06Ils n'ont pas voulu rompre avec le Français.
11:11Ils ont voulu revoir leurs relations avec la France.
11:15Donc, à tout moment, j'ai voulu donner des exemples
11:19des acteurs politiques qui ont fait des élections
11:22et qui ont dit que les Sénégalais
11:24devraient avoir des matelas et des armoires.
11:27Donc, c'est un discours mais ça rentre complètement
11:31avec les aspirations des jeunes.
11:34Donc, si on voit quelqu'un
11:38qui n'est pas complice du système
11:41et qui n'est pas content de tenir un discours
11:44il n'y a pas d'autre discours que celui des acteurs politiques
11:48habitués à tenir aux Sénégalais.
11:50C'est ce que je veux dire.
11:52Je pense que le Sénégal n'a pas laissé de traces.
11:56Si on regarde les débats qu'il y a eu ici
12:01on voit que les sujets n'ont rien à voir.
12:05Donc, si on regarde les domaines
12:09où l'économie sénégalaise est en train de s'intégrer
12:13en matière de pétrole, de gaz, d'impôts, de taxes
12:17je pense qu'il y a déjà des différences
12:22entre les acteurs politiques.
12:25Donc, si quelqu'un a accepté
12:30d'entrer dans la politique
12:33il n'y a pas d'échec en ce qui concerne l'éducation
12:37mais il y a des différences qui l'ont propulsé au-delà de la scène.
12:42Je pense que non seulement les jeunes entendent Ousmane Sonkou
12:47et qu'ils entendent son discours
12:49mais aussi qu'ils voient l'état qu'il est dans
12:52et qu'ils se sont rendus compte qu'il y a des choses à attendre
12:57et peut-être que c'est ce qui a suscité l'engouement populaire.
13:04Merci beaucoup Mme Piram.
13:06Pourquoi as-tu choisi de mettre la lumière sur le parcours d'Ousmane Sonkou?
13:10C'est une célébration ou une histoire de jungle pour la génération future?
13:16Non, ce n'est pas sur Ousmane Sonkou.
13:18Je pense que la page où Ousmane Sonkou s'est émergé
13:21c'est après les 100 pages.
13:25C'est pour ça que j'ai voté la couverture de ce livre
13:29avec la caricature d'Ousmane Sonkou et Basile Diomagne
13:33On peut penser qu'on parle de passif
13:35qu'on parle de passif pour atteindre le pouvoir
13:39alors qu'en réalité, c'est le processus qui explique.
13:42Ce processus peut être décrypté
13:46pour analyser ce qui s'est passé au Sénégal
13:50pendant ces 20 dernières années.
13:52L'aboutissement est celui de Ousmane Sonkou et Basile Diomagne
13:57qui ont reçu le pouvoir pour donner aux jeunes conscients
14:01parce qu'ils ont apprécié les jeunes
14:08mais il y a eu beaucoup de changements.
14:11Au Sénégal, les jeunes pour les mobiliser
14:15il faut forcément qu'il y ait du divertissement
14:17mais il n'y a rien.
14:19Il y a eu un événement au Sénégal
14:26où des milliers de jeunes sont allés à l'aéroport pour l'accueillir.
14:30C'est un événement au Sénégal.
14:32Ces jeunes sont là pour mobiliser les jeunes
14:35pour qu'ils puissent aller à l'aéroport.
14:39Les jeunes qui n'étaient pas intéressés que par le divertissement
14:46pensent que le Sénégal doit leur donner un avenir.
14:50Ils doivent voir comment les politiciens vont réagir.
14:53Les jeunes sont considérés comme un handicap
15:01mais nous le considérons comme une bombe alors qu'il n'y a pas besoin d'une bombe.
15:05Si ces jeunes comprennent qu'ils ne sont pas tous les mêmes
15:10mais qu'ils doivent changer leurs vies
15:15et qu'ils doivent rencontrer un jeune leader
15:20et qu'ils devraient aller à l'aéroport pour l'accueillir.
15:26Mais sinon, il y a un processus électoral
15:32qui a été réélu en 2012 et en 2019.
15:37En 2024, il y a eu des élections qui ont été remplacées par l'élection du Sénégal.
15:45Si nous nous rendons compte de cette élection,
15:49nous ne pourrons pas dire qu'il y a eu une révolution.
15:51Mais si le processus s'améliore,
15:54comme je l'ai dit, des dizaines de jeunes ont perdu leur emploi
16:00et des centaines d'autres ont perdu leur liberté.
16:04Les deux se sont réunis pour qu'il n'y ait plus d'élections démocratiques
16:09et qu'il n'y ait pas de révolution comme le Sénégal.
16:12La jeunesse prend le pouvoir.
16:16Si je l'écoute, je me rends compte qu'il y a des jeunes qui ont perdu leur emploi
16:22mais aussi des jeunes qui ont perdu leur liberté.
16:26Si tu as investi dans la jeunesse,
16:28si tu as investi dans ce qu'elle a fait avec Ousmane Sonko,
16:33tu l'auras reçu.
16:35Oui, c'est ce que j'ai fait.
16:37Déjà que les jeunes se sont réunis
16:42et que les deux leaders se sont réunis,
16:47ça veut dire qu'ils ont choisi de porter ces deux jeunes à la tête de l'Etat.
16:54Même si Ousmane Sonko a 50 ans, en matière de politique, il est encore jeune.
17:00Donc, il faut qu'ils aient une prise de conscience.
17:07Donc, il faut que les jeunes se réunissent pour porter Ousmane Sonko à la tête de l'Etat.
17:17Comme nous l'avons vu récemment,
17:19Ousmane Sonko n'a pas eu l'habitude d'écouter beaucoup de discours.
17:25L'Etat l'a aussi pris à la tête de l'Etat.
17:29Comme au Sénégal également.
17:32Donc, il faut victimiser l'Etat pour lui créer une certaine sympathie.
17:38Tout simplement.
17:40Donc, pour Ousmane Sonko, il faut comprendre l'aboutissement à la révolution
17:45qu'il a porté à la tête de l'Etat.
17:48En 2012, l'accession aux pouvoirs de Macky Salle a fait que les jeunes se sont réunis.
17:53Est-ce qu'on peut l'éliminer aussi?
17:55Oui, on peut l'éliminer.
17:58On sait que Macky Salle et Abdoulaye Ward se sont réunis à la tête de l'Etat.
18:02On sait que beaucoup de jeunes se sont réunis à la tête de l'Etat.
18:07Mais la spécificité de ce qui s'est passé a duré dans l'Etat.
18:14De 2021 à 2024, on est en face à face.
18:19Je pense que les jeunes se sont réunis à la tête de l'Etat en mars 2021.
18:27C'est parce que les jeunes se sont réunis à la tête de l'Etat
18:30qu'ils ont fait une injustice à Ousmane Sonko et à Macky Salle.
18:38Donc, ceci a donné suffisamment de force aux jeunes pour se réunir à la tête de l'Etat.
18:42Je pense que les jeunes se sont réunis à la tête de l'Etat pour empêcher Macky Salle.
18:49Dans le parcours politique, on peut remarquer que Abdou Diouf et Abdoulaye Ward
18:57qui étaient aux pouvoirs de l'opposition et qui se sont réunis à la tête de l'Etat
19:04n'étaient pas l'exception.
19:06À un certain moment, ils se sont réunis à la tête de l'Opposition.
19:10Maître Abdoulaye Ward et Macky Salle se sont réunis à la tête de l'Opposition.
19:18Qu'est-ce qui fait que l'exception d'Ousmane Sonko
19:21n'a jamais cherché à s'approcher aux pouvoirs de 2014
19:27mais au contraire, il a réussi à l'accrocher.
19:33Qu'est-ce qui a fait la différence entre les années 1980-2000
19:36et récemment avec Macky Salle et Ousmane Sonko?
19:40Ce qui a fait la différence c'est la prise de conscience des jeunes.
19:46C'est ce que je viens d'expliquer.
19:49Les jeunes étaient souvent intéressés par des affaires folles et agréables.
19:58Ce qui s'est passé à l'époque n'est pas le cas aujourd'hui.
20:05Il y a une sorte de barrage entre la population et l'Etat.
20:13Lorsqu'on s'est rencontrés, on s'est dit que l'Etat payait tout.
20:19Parce qu'il s'est rendu compte que l'Etat n'avait rien à faire avec nous.
20:25Il s'est rendu compte que ce qu'il pouvait faire, c'était de nous rembourser.
20:33Mais on ne s'est pas rendu compte qu'il n'y avait pas de lien entre nous.
20:40Je ne sais pas si tu comprends ou pas.
20:42On s'est rendu compte qu'il n'y avait pas de lien entre nous et l'Etat.
20:48Si je pensais que l'Etat payait, j'allais le faire indirectement.
20:55On s'est rendu compte que les acteurs politiques
21:01n'étaient pas d'accord avec l'Etat.
21:05On s'est rendu compte qu'ils n'étaient pas d'accord avec l'Etat.
21:12Ils ne savaient pas s'ils allaient dans le même parti ou autre.
21:16Ils ne savaient pas qu'ils étaient dans la même idéologie.
21:22C'est une autre différence.
21:26Je ne suis pas d'accord avec l'idée de l'idéologie.
21:31Je ne suis pas d'accord avec l'idée du socialisme ou du libéralisme.
21:38Mais l'idée de l'idéologie, c'est d'avoir l'intérêt pour l'avenir.
21:43Le patriotisme.
21:45Même si l'idée de l'idéologie n'est pas d'accord avec le socialisme et le libéralisme
21:54Je vous explique que le paradoxe du Sénégal
22:00c'est que l'idée de l'idéologie est la même.
22:05Si on la copie et qu'on l'abandonne, on ne l'abandonnera pas.
22:10C'est ce qu'ils pensent.
22:14C'est ce qu'ils pensent quand ils parlent de socialisme ou de communisme.
22:19Si on la copie et qu'on l'abandonne, on ne l'abandonnera pas.
22:23Si on prend l'exemple socialiste et les communistes
22:29comme le Sénégal, Babouia Gouldara, LDLON, PIT et AGPADS
22:35qui sont les partis communistes.
22:41Pendant toute leur existence, ils ont combattu le parti socialiste au Sénégal.
22:48Quand ils sont allés en France, le parti socialiste et les communistes
22:53se sont rassemblés à la gauche pour combattre.
23:00De la même manière, en 2000, le parti communiste
23:08s'est rassemblé à Paris, en France
23:11pour se battre contre le candidat socialiste.
23:15Donc, les libéraux, les socialistes, mais aussi le Sénégal
23:22et surtout le phénomène de la transhumance
23:24sont devenus des slogans dans l'acte de politique.
23:30La politique du ventre et de l'opportunité.
23:38Je suis un socialiste, je ne suis pas un libéral mais j'y vais.

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