Valéry Barny était l’invité de Morandini Live ce vendredi 21 mars sur CNEWS. Il s’est exprimé au sujet de la rupture du jeûne pendant le match de football Angers-Monaco, ce samedi : «On peut aujourd'hui arrêter un match, c'est comme lorsqu'il y a de grosses chaleurs».
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00:00Tous ces sujets sont, de manière à instrumentaliser, toujours et encore.
00:03— Juste si vous pouvez répondre à la question... — Et pourquoi vous pouvez pas ?
00:05— Non, je vous demande. — Et pourquoi vous pouvez pas ?
00:07— On arrête un match pour la rupture de jeu. — Mais pourquoi on n'arrête pas un match ?
00:10— Bah oui, c'est ça, la question. — Alors moi, je vais vous l'expliquer.
00:12Tout simplement, c'est comme lorsqu'il y a des grosses chaleurs et des hautes chaleurs,
00:15on peut bloquer un match pendant une minute ou deux pour boire.
00:18Mais c'est juste pour vous dire qu'il n'y a pas de sujet.
00:20— Donc la question, c'est oui. Mais oui, il y a un sujet, la preuve.
00:22— Il n'y a pas de débat. C'est un sujet. Non, je vous dis que c'est juste des faits pour là, là.
00:27— Donc on arrête un match. On arrête... Est-ce que vous êtes d'accord ou pas ?
00:30— Une minute ou deux, on peut laisser les gens casser leur jeu.
00:33— 78% des Français le sauront. — C'est ce que je dis.
00:35— Non mais moi, ce que je trouve intéressant dans le sujet qu'on vient d'écouter,
00:37c'est que vous avez ceux qui disent « Non, il a vraiment été piqué ».
00:40Mais ce qui est sûr, c'est qu'on a amené sur le banc, à ce moment-là, de touche, des fruits, etc.,
00:45donc il y avait évidemment une anticipation des clubs qui doivent poser question.
00:49Ça me paraît évident.
00:50— Mais donc, Valéry, juste pour être clair, parce que j'aime bien,
00:52parce qu'avec vous, c'est un peu compliqué d'avoir des réponses claires.
00:54— Pourquoi ? — Parce que vous voulez y aller sans y aller.
00:56— Si, si. Non, si, si. Je suis très clair.
00:58— C'est deux pas en avant et deux pas en arrière.
01:00Est-ce qu'on arrête un match pour la rupture du jeu ?
01:02— Je vais me répéter, M. Morandini. — Non mais c'est oui, c'est non.
01:04— Non, parce qu'on peut pas dire oui ou non.
01:06— Bien sûr qu'on dit oui ou non. Moi, je vous réponds non.
01:08— Il faut qu'on s'explique. — Moi, je vous réponds non.
01:10— Parce qu'on peut, aujourd'hui, arrêter un match pour casser le jeu...
01:12— Donc c'est oui. Donc c'est oui.
01:14— Parce que... Je vous explique. Eh ben, vous pouvez m'expliquer.
01:16Parce qu'à un moment donné, on doit respecter aussi...
01:18— Donc c'est oui. D'accord. — Oui.
01:20— C'est oui. On arrête...
01:2278 % des Français pensent que c'est anormal de faire ça.
01:24— Il y en a quand même... — Regardez.
01:26Il y en a 21 %. — 22.