Tenante du titre, l’Espagne est en course pour conserver la Ligue des nations à l'heure d’affronter les Pays-bas en quarts de finale. Unai Simon, le gardien de la Roja, se verrait bien remporter une deuxième fois ce trophée, qu’il ne portait pas forcément en haute estime lors de sa création.
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00:00Lorsque cette compétition a été instaurée, il n'y avait pas grand-chose à voir.
00:07Lorsqu'elle a été gagnée par le Portugal, elle a eu des matchs qu'elle a dû dépasser pour la gagner,
00:12des grandes élections. Lorsqu'elle a été gagnée par la France, elle a gagné la finale.
00:15La compétitivité dans cette compétition est aussi maximale.
00:19Je ne sais pas si c'est au niveau d'une Eurocopa, car au final il y a plus de processus,
00:23de plus de réunions, on peut éliminer plus de joueurs.
00:26Mais au final, tu ne peux pas arrêter de jouer contre des équipes très grandes.
00:30On l'a déjà vu dans le groupe de classification qu'on avait.
00:34Et maintenant, les Pays-Bas sont un grand rival.
00:38Ils n'ont pas le même grand reconnaissement qu'une Eurocopa ou un Mondial,
00:42mais seulement grâce aux matchs qu'il y a,
00:45cet événement donne un grand valeur à la compétition.
00:49Nous voulons la gagner, nous voulons démontrer à l'Europe et à tout le monde
00:54que nous sommes capables de compétitionner et de gagner.
00:57C'est ce qu'il s'agit, c'est d'essayer d'être les meilleurs du monde.
00:59Et pour cela, il faut gagner les élections qui viennent.