Retrouvez le replay du débat de l'Équipe du Soir du 14/03/2025.
Catégorie
🥇
SportTranscription
00:00Beaucoup, Benoît, vous direz à Olivier qu'on a encore besoin de lui, on va parler rugby puisque demain, évidemment, la France contre l'Ecosse.
00:06Si la France gagne le tournoi, ça sera une première, un doublé chez les U20, un doublé chez l'As, c'est inédit, ça ne s'est jamais fait.
00:12Dans quelques minutes, retour du côté de Jean Bouin pour y avoir un peu les pensées, l'expertise d'Olivier Magne.
00:19Le tournoi touche à sa fin côté A, voici le programme de demain.
00:23Demandez le programme, donc ça commence par Italie-Irlande.
00:25Irlande est troisième, Galles-Angleterre, l'Angleterre est deuxième et puis la France, qui est première, reçoit l'Ecosse.
00:32Au classement, une victoire avec bonus, c'est-à-dire quatre essais, consacrerait automatiquement, mécaniquement, les bleus de Fabien Galtier.
00:40Tout autre résultat permettrait aux Anglais, voire peut-être même aux Irlandais, de gagner le tournoi.
00:45Après la victoire samedi dernier en Irlande, 42 à 27, ces bleus-là sont-ils à l'abri d'un accident ?
00:51On voit que le rugby, c'est une science molle.
00:54Deux chroniqueurs ne sont pas d'accord, il y a un oui et un non.
00:56On y va en régie, s'il vous plaît.
00:59Ces bleus-là sont-ils à l'abri d'un accident ?
01:02J'ai Hervé, vous m'avez dit oui, mon cher Hervé.
01:05Et Greg, vous m'avez dit non.
01:07J'en profite, vous voyez nos vestons qui sont en pourpris d'une petite jonquille.
01:13C'est faire un don contre le cancer.
01:16Une jonquille contre le cancer, c'est l'opération lancée par l'Institut Curie.
01:20Envoyez sur votre SMS Espoir, par SMS, au 92002.
01:27Voilà la présence des jonquilles.
01:29Deux chroniqueurs ne sont pas d'accord.
01:31Oui Hervé, on est à l'abri d'un accident.
01:34Pourquoi ? Expliquez-nous.
01:35Déjà parce que la différence de niveau entre les deux équipes est énorme.
01:39En plus, c'est vraiment une équipe qui peut réussir à l'équipe de France,
01:41parce que c'est une équipe qui ouvre beaucoup le jeu.
01:43À une époque, on les surnommait un peu les Baby Black.
01:45Ils vont donner du jeu.
01:47Et de ce côté-là, en face, c'est vraiment largement supérieur.
01:49On a vu que même les provinces écossaises étaient en difficulté.
01:52On les a vues pendant ce tournoi.
01:53Ils n'ont pas été très bons non plus.
01:54Alors vous allez me dire, ils ont échoué de peu en Angleterre.
01:56Mais nous, si on n'avait pas eu un peu de beurre sur les doigts,
01:58les Anglais, on devait les exploser complètement.
02:00Donc on a été largement supérieur.
02:02Puis il manque même Jacques Dempsey.
02:04Donc ils n'auront pas le punch qu'on peut espérer de cette équipe d'Écosse.
02:07Alors l'Écosse, aussi faible art que ça, mon chagrin ?
02:11Je ne vois pas du tout ce différentiel-là.
02:13Ils nous ont battus deux fois sur quatre.
02:14C'est une équipe qui n'est pas au premier tour de la Coupe du Monde
02:20alors qu'eux sont peut-être cinquième ou sixième.
02:22Ils ont vraiment trouvé une équipe.
02:24Ils sont surtout très brillants derrière, sur tous les postes,
02:27à partir du neuf jusqu'au quinze.
02:29Vandermeer, King Horn.
02:31Et ils ont un petit peu réglé, enfin ils arrivent un petit peu
02:33à masquer leurs problèmes traditionnels de puissance,
02:36qui effectivement, là c'est difficile.
02:38Mais ils sont capables de touiller la soupe.
02:40Ils ont vraiment une équipe.
02:41Ça n'est pas l'Italie, ça n'est pas le Pays de Galles.
02:42Il ne faut pas confondre.
02:43Ok.
02:44Le Président a réquisitionné.
02:46Après on ira du côté de Jean Bois pour avoir l'opinion d'Olivier Magne.
02:50Président, vous êtes Peuneau ou vous êtes Schneider ?
02:53Vous êtes corporate avec votre médecin qui vous a fait voir ?
02:58Ou sinon vous êtes multilibération à vous tuer ?
03:01Non mais moi je suis Président de tout le monde déjà.
03:03De tous les Français.
03:04Président de tous les Français.
03:06Je suis assez Peuneau sur ce dossier-là.
03:09C'est bon, il reste.
03:10Parce que très franchement, l'accident il est déjà arrivé en fait.
03:14L'accident il est arrivé en Angleterre.
03:15Et normalement, dans le rapport de force, il n'y a pas une équipe qui soit vraiment approchée des Bleus dans ce tournoi.
03:22Et je ne vois pas comment l'Ecosse y parviendrait.
03:24Donc voilà, je n'ai pas la moindre réserve sur ce sujet-là.
03:30Ils ont tous trop besoin d'assurer de la continuité après le match de l'Irlande.
03:36Olivier Magne étant en direct sur la chaîne d'équipe déjà depuis 21 heures avec ce fameux match contre l'Ecosse.
03:44Olivier, bonsoir et rebonsoir.
03:46Vous prenez l'émission comme ça en cours, mais vous êtes chaud depuis une heure et demie de direct.
03:53Olivier, je reviens sur vos propos.
03:57Notre petite discussion qu'on avait une semaine juste avant l'Irlande.
04:00Vous avez qualifié ce match de match bascule ou de match carrefour.
04:04Que ce soit en cas de défaite ou en cas de victoire.
04:08Est-ce qu'il y a des choses qui ont été réglées définitivement contre l'Irlande mon cher Olivier ?
04:13Oui, complètement.
04:17Il y a des choses qui ont été réglées.
04:20Cette équipe de France après sa désillusion contre l'Angleterre a évidemment répondu présent contre l'Italie.
04:26Mais on ne pouvait pas trop se faire un avis par rapport à la qualité et au niveau des Italiens.
04:31Mais pour autant, derrière, ils ont basculé sur le match de l'Irlande avec une performance majuscule.
04:36J'ai envie de dire que même lorsqu'Antoine Dupont est sorti, c'est une équipe de France
04:41qui collectivement a encore mieux joué.
04:43Je ne la vois pas demain se faire surprendre par l'Ecosse.
04:47Tout simplement parce qu'elle a déjà été avertie contre l'Angleterre.
04:50Je ne la vois pas reproduire une contre-performance de cette nature.
04:54C'est une équipe de France qui, je pense, a vraiment tout pour elle demain.
04:59Elle nous offrira un grand spectacle.
05:01Même si l'Ecosse, évidemment, va nous poser quelques problèmes.
05:05Mais je ne crois pas l'équipe d'Ecosse capable de gagner à Paris demain.
05:12Greg Schneider et Fabien Galthier partagent la même avis, la même réserve.
05:17Je vais vous demander un commentaire, mon cher Olivier.
05:20Un, il tient évidemment les Écossais en respect.
05:22C'est normal, c'est l'Olympe du sport.
05:24Il évoque une caractéristique bien française.
05:27On me dit Camille en direct, Camille en direct, Camille Macalli en direct.
05:30On y va, pardonnez-moi.
05:32Avec Jean Cotarmanac.
05:35Jean, vous étiez là déjà l'année dernière.
05:37On sait la frustration qu'il y a de perdre un tournoi.
05:40Mais j'imagine qu'il y a aussi beaucoup de joie de remporter, malgré les difficultés.
05:45Vous avez enfin ce titre.
05:47Oui, carrément.
05:48C'est vrai qu'l'année dernière, c'était un peu compliqué.
05:50On avait perdu à la maison à Béziers.
05:52Et ça, ça fait vraiment mal au cœur.
05:54Donc là, c'est cool de pouvoir offrir ça à nos supporters.
05:57Ils étaient vraiment venus nombreux.
05:59Et c'est vraiment cool de pouvoir décrocher le titre.
06:02On savait que ce n'était pas l'objectif principal.
06:04Notre premier objectif, c'était de gagner le match.
06:06Et les circonstances ont fait qu'on a pu gagner.
06:08Donc c'est vraiment génial.
06:09C'est vraiment un bonus énorme pour nous.
06:11C'est une équipe qui a plein d'identités.
06:13Il y a des Bretons, il y a des Basques.
06:15Et aussi, qui a beaucoup de caractère.
06:18Comment vous l'avez vécu, cette deuxième saison chez les U20 ?
06:22Oui, c'est vrai qu'on a plein de joueurs qui viennent un peu de partout.
06:25Et il y a des gros caractères.
06:28Forcément, on pense aux Basques.
06:30Et ce qui fait l'identité du groupe, je pense qu'on est tous soudés maintenant.
06:34Malgré nos différences, on s'est tous rapprochés.
06:37Et ce qui fait qu'on arrive à produire ça sur le terrain, malgré les difficultés.
06:42C'était un match vraiment compliqué.
06:44On ne s'attendait peut-être pas à autant de difficultés.
06:46On a réussi à surmonter ça.
06:48Donc oui, c'est vraiment cool d'avoir une force de caractère comme ça.
06:51Une force de groupe qui nous permet de gagner les tournois.
06:55Merci beaucoup, Georges.
06:56Je vous laisse aller profiter.
06:57Je pense que la soirée sera belle.
07:01Merci beaucoup, ma chère Camille.
07:03Olivier, est-ce que vous êtes toujours là ?
07:07Il est là, ou pas ?
07:08Oui, je suis toujours là.
07:11Je vous propose d'écouter Fabien Galtier, qui tient en respect les Écossais,
07:15et qui évoque une caractéristique bien française, l'irrégularité latine.
07:20Est-ce que c'est un gros cliché ?
07:21Je vous propose de l'écouter et j'aimerais avoir votre réflexion derrière.
07:24Il faut être vigilant parce qu'on est des Latins.
07:26On sait que face à nous, ce sont des nations britanniques, anglo-saxonnes,
07:29qui se préparent très différemment,
07:31qui sont en capacité à enchaîner les performances après des contre-performances,
07:36toujours avec un niveau d'intensité qui est égal.
07:38Nous, c'est spécifique à nous, c'est particulier.
07:42Il faut qu'on soit vigilant.
07:43Je ne lâcherai pas les joueurs là-dessus.
07:46Olivier, on est dans le cliché.
07:47On est Latins, donc irréguliers.
07:49Ils sont anglo-saxons, donc toujours concentrés.
07:52Il y a une part de vérité.
07:54Oui, il y a forcément une part de vérité.
07:58Qu'on soit Latins, évidemment, ça l'est.
08:01Mais pour autant, cette équipe de France, avec le professionnalisme des joueurs,
08:06la petite erreur de parcours contre l'Angleterre,
08:12je pense que c'est un rappel à l'ordre suffisamment important
08:15pour leur permettre de faire une grosse performance demain.
08:17D'autant plus qu'il y a quand même un titre en jeu.
08:19Il faut aller chercher le gain du tournoi.
08:22Et ça, les joueurs le savent très bien.
08:24Parce que la vitrine de l'équipe de France sur ces dernières années
08:28n'est pas suffisamment garnie.
08:29Ils ont besoin d'aller chercher cette victoire demain.
08:32Un grand chèvre, simplement, sous l'air galtier.
08:34Frédéric Verdier, vous êtes plutôt Peuneau ou vous êtes plutôt Greg Schneider ?
08:37Vous pensez qu'un accident est possible ou pas ?
08:40Attention à ce que tu dis, s'il te plaît.
08:41Je suis extrêmement Schneider, d'autant que l'influence Peuneau est très nocive
08:44et néfaste ici ce soir.
08:47Très très, très Schneider.
08:49Parce que, d'abord, les Écossais, ils sont très joueurs.
08:52C'est vraiment une nation.
08:54D'ailleurs, on les appelait, et on les appelle encore,
08:56les All Blacks de l'hémisphère Nord.
08:57Parce qu'ils ont ce côté, comme ça, rouleau compresseur en troisième ligne,
09:01hyper performant, polyvalent.
09:03Et ils sont très capables.
09:04Ils nous ont plantés, pas il y a 20 ans, ils l'ont fait aussi,
09:06mais avec Olivier Magne qui avait d'ailleurs, pour le côté latin,
09:09gagné cette super demi-finale contre les Blacks en 1999.
09:12Derrière, impréparation, un peu d'euphorie, ou au contraire,
09:16ils perdent la finale sans vraiment...
09:18On est vraiment dans les clichés avec vous.
09:20Quoi ?
09:21On est vraiment dans les clichés.
09:22Non, non, non.
09:23On parle de l'équipe d'Écosse de cette année
09:25contre l'équipe de France de cette année.
09:26Oui, et parce qu'il y a deux ans...
09:28Il y a deux ans, l'Écosse nous a tapés à domicile.
09:31Il y a deux ans, ils nous battent.
09:33Et on se précipite, on fait les cons, et on se fait planter.
09:35Donc, ils sont capables de le faire.
09:37Et nous, on est capables, malheureusement, de faire des grands matchs,
09:39mais on est aussi capables de déconner à plein bouillon.
09:41On l'a fait contre l'Angleterre.
09:43On peut, malheureusement, tout à fait le refaire.
09:44Oui, je regrette, mais contre l'Angleterre, on n'a pas déconné à plein bouillon.
09:47Certainement pas.
09:48On a commis des maladresses monstrueuses.
09:49Il y a eu beaucoup d'erreurs.
09:50Le match en lui-même.
09:51Si on juge le match de l'équipe de France contre l'Angleterre,
09:53ils ne font pas un mauvais match, les Français.
09:55Dans l'intensité, au début, ils sont dans le combat.
09:57Heureusement.
09:58Et ils sont efficaces de manière tragique.
09:59Après, ils relâchent un paquet de ballons.
10:01Mais je veux dire, dans l'esprit du jeu,
10:03ils étaient là, quand même, les Français.
10:04Bien sûr.
10:12Si je puis me permettre, je vais vous dire un truc.
10:14Les matchs de destination, je les regarde tous.
10:16Pas spécialement les Français.
10:18Nous, on ne les regarde pas.
10:19Non, mais l'Italie-Écosse, je l'ai vu.
10:21L'Écosse-Galle, je l'ai vu.
10:24C'est déjà un joli camp de base, mais on peut monter un peu plus en gamme.
10:27Oui, si vous voyez les matchs, c'est bien.
10:29Le match qu'ils font contre les Gallois ressemblait un peu au nôtre.
10:32C'est-à-dire qu'ils ont une faculté à mettre du rythme.
10:35Ils ont une faculté à trouver des courses.
10:38C'est une équipe qui peut brouiller les cartes.
10:41C'est une équipe où il y a vraiment de la vitesse.
10:43On est quand même bien capables de répondre à tout ça.
10:46On est capables, mais je ne peux pas le garantir quand même.
10:49J'entends bien, mais je pense qu'en plus,
10:52je pense que Galtier, même s'il fait un rappel à l'ordre,
10:55il se sert des matchs pour faire progresser ses joueurs.
10:58Ça, c'est une évidence.
10:59Donc, on peut s'imaginer quand même que, en effet, l'Angleterre,
11:04c'était l'accroc qu'il ne fallait pas faire.
11:06Mais en tout cas, on peut s'imaginer que demain,
11:08et surtout que les Français auront l'avantage
11:10de connaître quand même les résultats des autres
11:12puisque c'est le dernier match.
11:13Donc, ça peut être aussi une forme de motivation supplémentaire.
11:16Et tu es quand même à un moment donné
11:17où tu dois réussir quelque chose de fort
11:19que l'on attend, nous, Français, quand même,
11:21depuis pas mal de temps.
11:22Et eux aussi, j'imagine.
11:24Bien sûr qu'eux aussi, puisqu'il y a quand même l'élimination
11:27pendant la récente Coupe du Monde.
11:29L'année dernière, ça n'a pas été jusqu'au bout,
11:31jusqu'à ce qu'on voulait.
11:32Est-ce que là, cette année, tu as vraiment quelque chose
11:34à offrir à tout le monde ?
11:35Donc, je pense sérieusement que le petit rappel alors
11:38de Galtier est intéressant.
11:40Mais moi, je pense que les Français sont aussi plus matures.
11:43On tourne autour d'un truc.
11:44Olivier Magne, sous l'ère Galtier,
11:47les matchs contre l'Ecosse, en général,
11:49ce n'est pas des parties de plaisir.
11:51Pour un résumé, c'est trois défaites en huit matchs.
11:53Olivier, qu'y a-t-il dans ce jeu écossais
11:57qui nous enquiquine un peu ?
11:59Des courses, en fait.
12:01Il trouve des courses.
12:03Ce qui nous enquiquine, c'est qu'il nous ressemble.
12:06C'est une équipe écossaise qui est capable
12:08de prendre énormément d'initiatives,
12:10de lancer le jeu de très loin,
12:12d'avoir des contre-attaques assez fulgurantes.
12:14Et dans le tournoi, finalement,
12:16quand on est dans une forme de continuité
12:18avec les équipes anglo-saxonnes
12:20qui jouent en rugby, des fois un petit peu minimalistes,
12:23qui ne prennent pas trop d'initiatives de loin,
12:26c'est une équipe écossaise.
12:27Quand on joue contre elle, elle nous surprend un petit peu.
12:30Pour autant, je crois qu'elle n'a pas nécessairement
12:33tous les arguments demain pour nous faire douter.
12:37Je crois que l'équipe de France est suffisamment armée,
12:40suffisamment prévenue aussi,
12:42pour faire un grand match demain
12:44et nous offrir un titre.
12:47Olivier, ce soir vous avez commenté France-Écosse.
12:50Le score est fleuve avec des essais à l'appel 45 à 40.
12:53Est-ce qu'on va dire un peu un raccourci,
12:55une bande-annonce de ce qu'on pourrait voir ce soir,
12:57en termes de rugby ou alors pas du tout ?
12:59On fait un pas de côté ?
13:01On suit si on est tracé par les U20 ou pas ?
13:06Oui, ce sera une copie pas identique,
13:10mais qui se rapprochera fortement de ce qu'on a vu ce soir,
13:13pour la simple et bonne raison que les projets sont transversaux
13:17et partent des jeunes et vont jusqu'à la grande équipe.
13:20L'équipe de France joue ce rugby d'initiative,
13:23avec évidemment un petit peu plus de précision
13:25et moins de déchets qu'ils ne le font avec les moins de 20.
13:28L'équipe d'Écosse, c'est exactement pareil.
13:30Il y a une formation qui part de la base
13:32pour permettre à la grande équipe d'Écosse
13:34de retrouver les mêmes principes de jeu.
13:36Et ces principes de jeu sont évidemment
13:38sur le jeu de mouvement, l'initiative.
13:40Et ça risque demain de nous donner un spectacle de grande qualité
13:43qui sera du même acabit que ce qu'on a vu ce soir.
13:46La dernière victoire de la France sur l'Écosse
13:48avec le bonus offensif.
13:50C'était quand, Grégory Schneider ?
13:52La dernière victoire avec le bonus offensif ?
13:54Oui, contre l'Écosse.
13:56Non, il faut remonter à 4 matchs, vous êtes nuls.
13:58Nous sommes le 26 février 2023.
14:0032 à 21.
14:024 essais marqués,
14:04donc synonyme de point de bonus offensif pour le bleu.
14:07On était en 2023.
14:08Le quatrième et dernier essai
14:10a été inscrit par Gaël Ficou à la 80e minute.
14:14Donc on pourrait éventuellement en trembler.
14:16Mais Olivier, vous avez raison de le préciser
14:18puisque l'Irlande joue avant,
14:20l'Angleterre joue avant
14:22et on saura quel type de match
14:24et quel type de score,
14:26si on doit avoir le bonus ou pas pour y accéder.
14:29Le mot de presque fin ou la transition,
14:31on va donner la parole à Finn Russel,
14:33francophone, francophile,
14:35qui a joué au Racing pendant très longtemps.
14:37Lui, il n'aimerait pas que l'Angleterre s'impose.
14:40Regardez le malicieux Finn Russel.
14:42Pour moi, la France,
14:44mais je ne veux pas dire ça
14:46avant le match de demain, tu sais.
14:48Nous, on est ici pour le boulot,
14:51mais après, on ne sait pas qui va gagner.
14:55Moi, j'espère que c'est l'Angleterre,
14:57mais je préfère si c'est la France.