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Le président syrien par intérim, Ahmad al-Chareh, a promis ce dimanche de poursuivre les responsables de «l'effusion de sang de civils». Au moins 973 personnes ont été tuées dans l'ouest du pays, selon une ONG. Les violences ont été déclenchées par une attaque sanglante le 6 mars de partisans du président déchu, Bachar al-Assad, contre des forces de sécurité à Jablé, près de la ville de Lattaquié, berceau de la minorité alaouite.

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Transcription
00:00Un bain de sang, on y voit des corps de civils par dizaines dans les rues.
00:06Une ONG fait état d'au moins 830 civils à la huit tués, auxquels s'ajouteraient des chrétiens.
00:14C'est sur la côte ouest de la Syrie, bastion de la communauté à la huit, que les violences ont commencé.
00:20Après une attaque jeudi de partisans de l'ancien pouvoir de Bachar el-Assad contre les forces de sécurité.
00:26Le président syrien par intérim a promis hier de poursuivre tous ceux impliqués dans les fusions de sang des civils.
00:34En conséquence, nous avons annoncé la formation d'une commission pour enquêter sur les événements qui se sont produits sur la côte,
00:41traduire les personnes impliquées en justice et révéler les faits au peuple syrien,
00:46afin que chacun sache qui est responsable de ces actes de sédition et de ces complots.
00:50Un pays divisé, des manifestations se multiplient.
00:54À l'attaqué, le couvre-feu a été levé, mais la peur persiste chez les habitants.
01:00Ce qui se passe est très douloureux et très difficile pour l'ensemble du peuple syrien.
01:06Que Dieu ait pitié de tous ces martyrs.
01:10Les combats se poursuivent, les autorités ont envoyé des renforts militaires sur la côte ouest,
01:16où les forces de sécurité ont lancé d'importantes opérations pour traquer les partisans de l'ex-président.

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