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00:00Mais vous savez, Emmanuel Macron, il cherche à utiliser, à tirer sur la corde de l'Ukraine tant qu'il peut pour essayer, lui, de faire avancer, je le disais, un autre agenda.
00:09Donc je dis, il joue sur la peur, c'est évident.
00:12Vous savez, s'il y avait une menace, en fait, l'Assemblée nationale n'aurait pas cette semaine légiféré sur le fredon asiatique et sur les démarchages, sur les appels téléphoniques intempestifs.
00:20S'il y avait une menace de Poutine aux portes de Paris, on ne serait pas en train de faire ça, croyez-moi.
00:24Donc ça veut dire qu'Emmanuel Macron, en réalité, n'est pas sérieux.
00:29Il joue un rôle qui est celui du fédéralisme à tout craint, c'est-à-dire de délester la France d'un certain nombre de ses prérogatives pour les transférer à l'Union européenne.
00:39C'est vrai que le Rassemblement national, on est le seul parti souverainiste qui, disons, nous ne sommes alignés sur personne, nous ne sommes soumis à personne.
00:48Nous sommes un État qui parle et qui résonne partout dans le monde et nous n'avons pas vocation à être soumis à quiconque, ni à l'Union européenne et à Bruxelles, ni aux États-Unis, ni à quiconque.
00:58Est-ce qu'il y a une manière, également, Sébastien Chenu, de parler d'économie de guerre et d'amorcer peut-être un énième plan de rigueur pour les Français ?
01:05On aimerait surtout qu'Emmanuel Macron arrête de parler d'économie parce que les résultats ne sont pas brillants.
01:12Celui qu'on avait fait passer pour un Mozart de l'économie a plombé notre pays, mais c'est comme l'Union européenne, à chaque fois qu'elle touche à quelque chose, c'est une catastrophe.
01:20L'immigration, l'agriculture, on voit bien qu'à chaque fois que l'Union européenne essaye de s'arroger des prérogatives, elle les abîme.
01:26Donc, ce qu'on aimerait, c'est qu'Emmanuel Macron défende les intérêts des Français, structure notre défense.
01:33Je rappelle qu'avant que le budget de la défense augmente, il l'avait considérablement baissé, c'était le fruit du travail d'Emmanuel Macron.
01:39Général Pierre de Villiers peut d'ailleurs en témoigner, Emmanuel Macron n'avait pas une vision évidemment souverainiste du pays et donc de notre défense.
01:47Et nous pensons qu'aujourd'hui, c'est ça la priorité, faire en sorte que la France puisse être défendue, que son siège ne soit pas partagé à l'ONU, que sa dissuasion nucléaire reste bien entre nos mains.
01:57Bref, que la France soit libre, indépendante.

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