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00:00Merci de nous accueillir sur Europe 1 et sur CNews, et on commence par un premier tour
00:08de l'information ce soir dans l'affaire Betaram, une information judiciaire ouverte
00:13pour viol et agression sexuelle pour un seul des deux gardiens à vue.
00:16Le suspect est un ancien surveillant de l'établissement, né en 1965, il était encore sous fonction
00:22l'année dernière avant d'être écarté.
00:24Après l'ouverture de l'enquête judiciaire, son placement en détention a été requis.
00:28Le collectif des victimes de ces violences est félicité d'être enfin entendu par
00:33la justice.
00:34Bruno Retailleau en déplacement à Romans-sur-Isère, aux côtés de Marie-Hélène Thauraval, il
00:40estime que le ministre de l'Intérieur est aussi celui des victimes, il a salué le courage
00:45de la mère de Romans-sur-Isère après la terrible affaire de Crépole, où le jeune
00:48Thomas s'est fait tuer en 2023, Bruno Retailleau a souhaité rencontrer la famille des victimes.
00:55La famille Bibas, par la voix de la sœur de l'époux de Chiri Bibas, accuse Benjamin Netanyahou
01:01d'avoir abandonné les otages, il n'y a pas de pardon pour les avoir abandonnés le 7 octobre
01:06ni pour les avoir abandonnés en captivité, a-t-elle déclaré.
01:10Après l'identification de deux décors remis à Israël hier comme étant Ariel et Kfir,
01:16le soeur de Chiri Bibas est lui toujours inconnu, la famille attend bien évidemment la vérité.
01:22Enfin, 505ème jour de détention pour les otages retenus par l'organisation terroriste
01:28du Hamas dans la bande de Gaza, nous pensons bien sûr à Oad, l'otage franco-israélien
01:33toujours aux mains du Hamas, nous n'avons aucune nouvelle de lui, nous pensons évidemment
01:37à sa famille, nous demandons sa libération immédiate et celle de tous les otages sans
01:43condition.
01:44Mon équipe de ce vendredi soir, j'accueille beaucoup de plaisir Véronique Jacquet, bonsoir
01:49Véronique, soyez la bienvenue.
01:51Virginie Bensoussens, brûlée, avocate, soyez la bienvenue chère Virginie.
01:56Michel Auboin, ancien préfet, soyez la bienvenue, François Puponi, ancien député, soyez
02:02la bienvenue, c'est toujours un plaisir de vous avoir à nos côtés, François Puponi
02:05et bien sûr Jacquet, avec beaucoup de plaisir Christian Convert, secrétaire général de
02:09la coordination rurale.
02:11Bonsoir, je suis ravi de vous accueillir, la plus grande ferme du monde, du monde, ouvre
02:16demain, on va dire ça, et on va prendre la direction, avant de vous interroger, la
02:21direction de la porte de Versailles, retrouver l'une de nos équipes, Noémie Hardy, quelle
02:29est l'ambiance, à quoi faut-il s'attendre demain au moment où Emmanuel Macron va inaugurer
02:37cette grande ferme ? On se souvient des images de l'an passé, racontez-nous, quel est le
02:43climat ?
02:44Effectivement Thierry, là les agriculteurs sont dans les derniers préparatifs avant
02:50l'ouverture du salon qui aura lieu demain, alors pour ce qui est de l'ambiance, elle
02:53est beaucoup moins électrique que l'année dernière, on le sent, il y a d'ailleurs plutôt
02:57une bonne ambiance, les agriculteurs devraient accueillir Emmanuel Macron dans le calme demain,
03:03mais ils nous ont quand même dit qu'ils n'hésiteront pas à engager la conversation avec le chef
03:07d'Etat pour parler de leurs revendications, s'il y a bien une revendication à retenir
03:12ce serait l'allègement des normes, c'est vraiment elle qui est revenue à chaque fois
03:16dans nos discussions, et puis sinon pour ce qui est de la sécurité du salon, on a pu
03:20parler avec le propriétaire du salon qui nous disait que depuis 5 ans il a dû augmenter
03:25à chaque fois les effectifs de sécurité avec une menace à tentailles qui est encore
03:31très importante, et puis surtout pendant les journées qu'ils vont accueillir des personnalités
03:35politiques comme par exemple demain en fin de matinée Emmanuel Macron et puis dimanche
03:39avec François Bayrou.
03:40Merci beaucoup Noemi Hardy et Axel Raybaud depuis le salon de l'agriculture qui ouvre
03:45donc ses portes demain.
03:47Question Convair, comment les choses vont se passer demain, quel va être l'accueil
03:52réservé au président de la République ? Parce que c'est aussi calme que le décrit
03:58ou l'annonce Noemi Hardy.
03:59Ecoutez, ce n'est pas moi, ce n'est pas notre syndicat qui va faire l'ambiance,
04:03il peut y contribuer, qu'est-ce qu'on sent, qu'est-ce qu'on ressent ?
04:06Vous sentez, c'est ça, vous avez bien compris le sens de ma question.
04:08Dans la campagne électorale où vraiment j'ai sillonné la France aussi, l'ensemble
04:12de nos départements, au niveau de l'équipe nationale, les choses ne se sont pas améliorées
04:18depuis une année, rien n'a évolué.
04:20Les deux derniers faits marquants.
04:24Parce qu'il y a eu la loi d'orientation, incroyable, je vous en dirai deux mois après.
04:28Oui, mais c'était voté hier, c'est le hasard.
04:31Les deux faits marquants, pour nous ce n'est pas la loi d'orientation, c'est l'annonce
04:36du Mercosur et c'est l'Ukraine.
04:39Donc si l'Ukraine rentre dans l'Europe, ça aura beaucoup plus d'incidence que la
04:45loi d'orientation.
04:46La loi d'orientation, il y a un seul point où on peut dire la porte de satisfaction
04:51dans le discours, c'est dire l'agriculture au rang de la nation, en supérieur de la
04:57nation.
04:58C'est quelque chose d'important pour nous, puisque nous on avait toujours dit l'exception
05:00agricole, l'exception agriculturelle, sortir l'agriculture de l'OMC.
05:05Donc c'est un signe, mais quand on voit ce qui se passe derrière, qu'est-ce qu'il
05:09nous a dit l'année dernière le Président de la République ?
05:11Il faut se rappeler de ça, dans la situation où l'agriculture était, qu'est-ce qu'il
05:15nous a dit ? Pour tout ce qui est normes, il nous a dit plus de surtransposition de
05:25normes au niveau de l'Europe, ce n'est pas ça qui se passe, on continue, on continue
05:30comme avant, on a encore, dernièrement dans la loi, on continue de retirer des produits
05:35qu'on laisse autoriser ailleurs.
05:37Donc ce point-là, ça ne joue pas, l'alimentation au rang supérieur de la nation, ça ne joue
05:45pas non plus, ça ne joue pas non plus, on continue d'apporter à tour de bras.
05:49Pour les mesures économiques, on en a déjà parlé l'année dernière, le gouvernement,
05:54enfin, voit l'état du pays, ils sont complètement à la ruine là, donc on n'est pas sur des
05:59revendications, on va dire, en termes financiers.
06:02Je pense qu'il y a deux mesures qu'on réclame depuis l'année dernière et qu'on martèle
06:06à chaque fois, on les a martelées avec Attal, avec le Premier ministre, avec Barnier après,
06:12avec le Premier ministre maintenant, M. Bayrou, c'est de dire on veut les mêmes normes pour
06:17tous en Europe, cette fois ça suffit, vous arrêtez de nous mener en bateau, de dire
06:23vous êtes européens, vous n'y êtes pas, point.
06:25Tout ce qui a décidé, c'est les mêmes règles et après, les réglementations, maintenant
06:30vous arrêtez, vous mettez la pédale douce sur les contrôles sur les agriculteurs et
06:34vous contrôlez les produits qui rentrent, puisqu'on nous met des normes à nous, on
06:38veut des produits de qualité et nous, on est content de faire comme ça, mais dans
06:41le même temps, on laisse importer une marchandise, des produits qui ne correspondent en rien,
06:45on n'aurait pas le droit de faire ça, donc si on n'a pas le droit de faire ça, c'est
06:48quand même qu'il y a des conséquences, il y a des conséquences pour les consommateurs
06:51et l'alimentation.
06:52Christian, demain, concrètement, comment ça va se passer ? C'est ça l'objet de
06:56ma question.
06:57Est-ce que l'accueil, est-ce qu'il va y avoir un dialogue ? Est-ce que ça va être
07:00un petit peu résigné quand même ?
07:02Oui, oui, oui, on va rencontrer le président, on est les responsables, on va le rencontrer
07:08de bonheur demain matin, je ne suis pas sûr qu'après, s'ils veulent faire le salon,
07:14je ne suis pas sûr que ça va se passer mieux que d'habitude, l'année dernière notamment,
07:18les agriculteurs voulaient tous savoir s'il allait venir, est-ce qu'ils l'attendent ?
07:21Bon, je ne sais pas ce que ça veut dire, moi, hein.
07:24Oh, vous savez rien.
07:26Non, mais comment je le sais ? Ce n'est pas nous, ce n'est pas ma présidente, ce
07:30n'est pas moi qu'on va claquer dans les doigts, dire restez calmes, nous on appelle
07:33à la responsabilité, parce qu'on sait très bien que ça peut déborder, il ne faut pas
07:36croire que ça nous fait plaisir l'année dernière, ça a grillé beaucoup de ceux
07:40qui viennent une journée à Paris, qui passent la moitié de la journée dehors et qui ne
07:43peuvent pas visiter, bon, c'est un coup pour les gens.
07:46Écoutez, Anis Genvar, qui s'est exprimé ce matin à votre ministre, calme les choses.
07:52Mais oui, mais on est d'accord, je suis d'accord, elle était là ce matin, tu vois.
07:57Oui, écoutez-la.
07:58Avec Oupette.
07:59Avec Oupette, oui.
08:00On écoute.
08:01Il est clair qu'il faut veiller à ce que l'agriculture française ne soit pas la victime
08:07de concurrence déloyale, ne fasse pas les frais de mesures de rétorsion, d'alourdissement
08:15des tarifs douaniers, donc on a une très grande vigilance aux évolutions mondiales
08:21qui se profilent avec effectivement des rapprochements qui inquiètent, mais les choses se traitent
08:28au plus haut niveau par le président de la République, par le Premier ministre, par
08:32les membres du gouvernement, nous sommes très attentifs à protéger nos filières françaises.
08:37Alors Christian Convert, convaincu ou pas convaincu ?
08:40Il y a de quoi être dépité quand on les écoute, ils sont d'accord avec nous surtout,
08:45et puis ça se passe tout l'inverse, les gens ne peuvent plus les croire.
08:47Non, ce n'est pas un discours qui est fait pour calmer, je suis désolé, il faudrait
08:53mieux dire on ne peut pas, mais on leur dit pourquoi vous ne pouvez pas, les mêmes normes
08:56pour tous, pourquoi vous ne pouvez pas ? On voudrait quand même cette explication à
09:00la fin.
09:01Ce n'est pas économique, qu'est-ce que c'est qui les empêche de dire ça enfin ?
09:04Et puis les contrôles sur les importations, pourquoi ça ne se fait pas ? Non, on dirait
09:09que c'est un plan de liquidation.
09:11Les bons discours, les mêmes, elle était à côté de la vache, l'année dernière
09:16c'était sur la botte de foin, elle est très sympathique par ailleurs, j'adore cette
09:23ministre.
09:24François Puponi.
09:25Moi je pense qu'il y a un plan de liquidation de l'agriculture française, c'est voulu,
09:30structuré, organisé et on y arrive, parce qu'effectivement, je partage votre avis,
09:35s'il n'y avait pas cette volonté, on pouvait réagir, comme il n'y a pas de réaction
09:38et que le résultat, on le voit arriver, c'est qu'à un moment, il y a une volonté
09:41de dire, on ne veut plus d'agriculteurs, c'est pas qu'on ne peut pas rien faire,
09:45on ne veut plus d'agriculteurs, on sacrifie notre agriculture au profit d'accords internationaux
09:50pour sauver notre industrie, ou ce qu'il en reste, mais en tout cas, pour connaître
09:53un peu la situation, il suffit de se promener dans les régions françaises pour s'apercevoir
09:58que c'est en train de mourir.
10:02Il n'y a pas de courage pour défendre une dimension civilisationnelle qui a trait à
10:10l'agriculture et en fait, c'est pour ça qu'il n'y a pas de gens courageux, parce
10:13que dès qu'on aborde cette question de l'agriculture, c'est ce qui touche à ce
10:17qui fait fondamentalement notre identité, notre art de vivre et que l'on veut conserver
10:22là où d'autres pays ont moins d'état d'âme, mais sans doute parce qu'ils n'ont
10:25pas non plus la même histoire. Et puis attention, dans l'agriculture, il y a évidemment des
10:28tas de métiers différents. Un céréalier, c'est évidemment pas la même chose qu'un
10:33producteur de fruits et légumes, ou qu'un éleveur. Donc on sait que la question est
10:38éminemment complexe, mais je pense que si on n'a pas le courage de l'aborder d'une
10:41façon civilisationnelle, on est effectivement foutu. Pour l'instant, on voit que ce n'est
10:45pas le cas. Et puis les agriculteurs, en plus, ont un gros défaut, c'est qu'ils sont trop
10:49bien élevés. Ils se font encore entendre d'une façon trop bien élevée.
10:55Je ne vais pas dire qu'il faut qu'ils agissent autrement, bien entendu, parce que c'est
11:00tout à l'humblesse de votre pitié.
11:01On peut en vouloir, bien entendu, au gouvernement, à l'état de l'Union Globale.
11:04Surtout quand on a promis beaucoup de choses.
11:06Mais les organisations du monde agricole, moi, naïvement, j'essaie de développer
11:12une activité d'oléiculteur en Corse du Sud, en aidant des jeunes à s'installer dans
11:17des villages qui sont en train de, quelque part, mourir. Mais c'est un calvaire, c'est
11:23un galère entre la chambre d'agriculture, l'eau d'arc. Mais on y comprend.
11:27Je le vis personnellement et je me dis mais c'est surréaliste.
11:31Au lieu, entre guillemets, d'aider des jeunes à s'installer, on a le sentiment, parfois,
11:34que certaines structures agricoles...
11:35Vous voyez l'effet pour eux, je vois.
11:36Mais plus profondément, on a quand même confié l'agriculture à la politique agricole
11:46commune, la PAC, et ça fait longtemps.
11:48Et on arrive aujourd'hui à un modèle dont on a du mal à sortir, objectivement.
11:52Vous savez plus très bien, et c'est ça qui est terrible, à quoi sert l'agriculture.
11:56Parce que s'il s'agit de nourrir la population française à un prix raisonnable, vous voyez
12:02bien que les normes qu'on impose à l'agriculture ne permettent pas de le faire.
12:05C'est pour ça qu'on signe des accords avec l'extérieur.
12:07Donc on a une agriculture pour la partie de la population française qui peut se payer
12:17des produits de qualité, et on a par ailleurs une agriculture étrangère qui nous apporte
12:22avec OGM, etc., des produits bon marché que les gens achètent.
12:27Et entre les deux, c'est compliqué parce que plus personne ne choisit le modèle qui
12:31est le nôtre.
12:32Oui, mais ça tombe bien.
12:33Alors, je vous ai apporté du fromage.
12:34Vous savez que moi, je suis épicurien.
12:37De la Haute-Savoie.
12:38Mais je voulais vous dire, vous en profiterez bien, vous l'apprécierez bien, parce que
12:43dans dix ans, vous n'aurez peut-être plus que des insectes à des produits d'Amérique
12:46du Sud.
12:47Et là, vous vous direz, peut-être que c'était mieux avant.
12:49C'est pour ça que je dis qu'il y a un moment...
12:51Donc, il y a un moment, il faut savoir, il faut savoir qu'est-ce que les gens veulent.
12:55L'histoire du prix, c'est faux.
12:56C'est faux.
12:57Il faut savoir ce qu'on veut, c'est tout.
13:00C'est facile de faire ça, d'importer ce qu'ils font.
13:03Ça, c'est le commerce.
13:04C'est le commerce.
13:05Ce n'est pas les producteurs de chaque...
13:07Ils ne gagnent nulle part, ni chez nous, ni là-bas.
13:09Voilà.
13:10Et entre-temps, il se passe quoi ? Chaque fois qu'on achète et qu'on produit moins, c'est
13:14le pays qui s'affaiblit.
13:15On est bien d'accord.
13:16On n'aura plus rien, même plus que les yeux pour pleurer.
13:18L'agriculture, c'est pire que l'industrie, là, aujourd'hui.
13:20On est en train de liquider.
13:21Et ce n'est pas acceptable.
13:23On ne nous autorise même pas à manifester.
13:25Alors, vous qui étiez préfet, on voulait aller porter une gerbe à la Règle de Triomphe,
13:28on nous interdit de faire ça.
13:29Mais on est quoi, des sous-citoyens ? On est quoi ?
13:34Virginie.
13:35Je voulais juste rebondir sur votre première question par rapport au reportage et à votre
13:41journaliste sur le fait que tout apparaissait peut-être plus calme que l'année dernière.
13:46Moi, je m'interroge sur pourquoi cette année, il y a un taux historiquement bas de participation
13:52à vos élections professionnelles, moins 8 points par rapport aux dernières élections.
13:57Et donc, ce qu'on peut aussi se poser comme question en étant à l'extérieur, c'est
14:02est-ce que réellement les organisations syndicales sont représentatives de l'ensemble des agriculteurs
14:11aujourd'hui ? Vu le taux de participation, on peut s'interroger.
14:15Non, mais bon, il y a eu une modification syndicale, mais je vais dire, c'est comme
14:21à la politique.
14:22Historique d'ailleurs.
14:23Mais bon, après, c'est un petit peu comme à la politique, je crois que les gens n'y
14:26croient bientôt plus, parce qu'on s'aperçoit bien que les revendications qu'on porte, on
14:29n'arrive pas à les faire aboutir.
14:30Ils sont tous d'accord avec nous.
14:31Quand on a fini les discussions le lendemain, c'est fini, on tourne la page et on parle
14:36d'autre chose.
14:37Je ne vois pas comment ça peut se terminer.
14:40Quand on n'y arrive plus politiquement, quand on n'y arrive plus par le dialogue, ça peut
14:46commencer à se terminer, une affaire pareille.
14:48Christian Convert, merci d'être passé nous voir, j'aimerais vous voir lundi après-midi,
14:54parce que c'est important de soutenir les agriculteurs.
14:57Et sur notre antenne, on parle des agriculteurs et de notre problématique, parce que que
15:00serait la France sans les bons produits français ? Et ce n'est pas un Corse comme François
15:05Pipponi, ce n'est pas lui qui l'aime.
15:07Je confirme.
15:09La Corse, ça vient à monter.
15:10Merci beaucoup, on reste en contact évidemment, et bon courage pour ce beau salon et faites
15:19une bise à Oupette.
15:20J'ai une vache là-bas, j'irais embrasser la mienne.
15:24C'est les géris de ce salon, c'est la plus grande ferme de France et on en parlera beaucoup,
15:31notamment demain sur l'antenne de CNews.
15:33Restez avec nous sur Europe 1 et sur CNews, on parlera de C8 et j'aurai le plaisir d'acquérir
15:38Jordan Deluxe, qui est une grande figure de cette chaîne et évidemment on aurait voulu
15:43avoir plus de réactions d'un certain bord politique, mais c'est un peu compliqué là
15:48aussi.
15:49Vous voyez, nous aussi, les médias, on a aussi des problèmes.
15:51On aime bien rigoler quand on écoute Al Mouna.
15:53Merci Christian Convert, surtout sur Europe 1 et sur CNews dans quelques instants.
15:56A tout de suite.