les actualités locales et les événements de votre région du 21 février à travers les reportages diffusés sur vos trois chaînes régionales : 8Montblanc, téléGrenoble & TL7.
Catégorie
📺
TVTranscription
00:00...
00:20Des trains tous les quarts d'heure, entre Lyon et Saint-Etienne.
00:24C'est l'objectif de ce nouveau plan CERM qui lie la métropole à la région,
00:29en tout cas si l'état du réseau le permet.
00:32On ne s'interrogera plus de savoir s'il faut prendre un billet
00:35auprès de la métropole, auprès de la région,
00:38s'il faut louer son vélo auprès d'un autre opérateur.
00:41On essaiera de mieux gérer tout ça.
00:43Concrètement aussi, quelqu'un de Saint-Etienne
00:45pourra aller dans le centre de Grenoble avec la même carte,
00:47qui sera la cartoura demain, c'est-à-dire que les mobilités
00:49aussi à l'échelle régionale devront être mieux organisées.
00:52Et concrètement, c'est plus de trains, un cadencement,
00:55c'est-à-dire plus régulier.
00:57C'est concrètement des trains avec une plus grande capacité
01:00pour qu'il n'y ait pas des gens, même quand le train arrive,
01:02qui restent sur le quai parce qu'ils ne peuvent pas rentrer dans le train.
01:05Les gares, elles ont aussi une capacité d'absorption
01:07d'un nombre de trains limité.
01:09Donc on est en train de bien organiser, bien coordonner tout ça.
01:12Ce service ne concernera pas que les trains,
01:14mais aussi les bus, les tramways et même les vélos
01:17de Saint-Etienne métropole.
01:19L'objectif final en 2026 est de tout réunir
01:22au sein d'un même billet sur la carte Oura de la région.
01:25Et Saint-Etienne métropole se prépare déjà
01:28à cette révolution dès 2025.
01:31La première étape, c'était l'année dernière,
01:33où nous avons ouvert l'open paiement,
01:35c'est-à-dire le paiement par carte bancaire
01:37directement dans les trams et les bus.
01:40A partir du mois de juin 2025,
01:43nous aurons donc la possibilité d'avoir des QR codes,
01:47un système de billettique interopérable
01:49qui sera mis en place dès le mois de juin
01:51avec l'intégration des services de la carte Oura
01:54au mois de septembre.
01:56C'est une billettique unique pour l'ensemble des modes de transport,
01:59d'aller d'un point A à un point B sans se poser la question
02:01en disant où je prends le type de transport,
02:03comment je le prends et combien ça coûte.
02:05En ce début d'année, c'est le lancement
02:07de ce projet CERM et des études qui vont avec.
02:10On aura un résultat opérationnel d'ici 12 mois,
02:13une fois les conclusions de ces études connues
02:15et une fois qu'on aura les financements aussi de l'Etat,
02:18compris du retard avec les mouvements politiques de l'année dernière.
02:29Bras tendus vers l'avant, cheveux au vent,
02:32sensations et frissons sont garantis pour ces passagers.
02:36Et pour cause ici, pas de vitres ni de parois,
02:39mais l'impression de pouvoir toucher les montagnes.
02:42Inaugurée en juillet dernier,
02:44Aerolive est la nouvelle attraction de La Plagne.
02:47La première télécabine à l'air libre a proposé
02:50une montée à plus de 3000 m d'altitude au-dessus du vide,
02:54avec une vitesse de 6 m par seconde.
03:01Ça fait quand même des sensations,
03:04mais c'est vraiment sympa, la vue, le paysage,
03:07c'est vraiment beau.
03:09On a l'impression d'être vraiment en liberté,
03:12c'est vraiment très très bien.
03:14C'est magnifique, un paysage démentiel, c'est extraordinaire.
03:18Au départ, c'est une appréhension,
03:21mais honnêtement, ça vaut le détour.
03:24Mais avant de pouvoir profiter de cette ascension vertigineuse
03:28vers les sommets, il a fallu bien sûr s'équiper
03:31et surtout être brifi.
03:33Je vais vous prévenir, venez vers moi,
03:36et à ce moment-là, c'est moi qui vais ouvrir
03:39la porte de la cabine,
03:41ouvrir le rail de sécurité.
03:43L'idée, c'est déjà de pouvoir expliquer un petit peu
03:46le fonctionnement de notre nouvelle cabine,
03:48qui est quand même très particulière,
03:50qui a ni vitres et qui a aussi un sol complètement ouvert
03:53où on peut voir à travers, avec un système où on est harnaché
03:56avec un baudrier et une longe pour se sécuriser.
03:59Effectivement, on est sur une cabine qui est en mouvement
04:02dans notre gare quand elle arrive,
04:04et du coup, il faut effectivement préparer les gens,
04:07leur expliquer niveau sécurité comment ça va fonctionner
04:10pour qu'ensuite, en temps réel et en vitesse réelle sur le quai,
04:13que tout puisse bien se passer.
04:15Les consignes de sécurité données,
04:17il ne reste donc plus qu'à savourer l'expérience
04:20pour cette famille venue de Montpellier.
04:2215 minutes en moyenne pour admirer les montagnes
04:25à perte de vue et vertige ou pas,
04:28difficile de ne pas en ressortir conquis.
04:31On a vraiment, vraiment peur.
04:33On voit vraiment bien le vide.
04:35Mais par contre, pour les personnes qui sont à l'aise avec ça,
04:38franchement, ça peut être une expérience qui est top.
04:41C'est très beau et franchement, la vue, elle a coupé le souffle.
04:44On ne va pas se mentir, j'ai eu un peu peur quand même.
04:47Mais franchement, une fois qu'on est dessus,
04:49on a juste à regarder la neige et franchement, c'est impressionnant.
04:52On n'a pas trop le temps de stresser.
04:54Moi, franchement, je me suis régalée.
04:56Une expérience insolite qu'il est donc possible de vivre
04:59Il faudra quand même compter 49 euros par personne
05:02pour embarquer à bord d'Aérolive.
05:09140 ans de savoir-faire grenoblois balayés d'un revers de la main.
05:13La maison des gants Lady Gear, fondée en 1885,
05:17est contrainte de baisser le rideau,
05:19car sa matière première, la peau de chevraud, vient à manquer.
05:22Le maître gantier et meilleur ouvrier de France,
05:25Jean Stradzeri, a lutté jusqu'au bout
05:27pour que sa boutique reste ouverte.
05:29Après 60 années dans la profession,
05:32même 61 ans depuis cette année,
05:35on met un terme un peu à notre fabrication.
05:39Mais ce n'est pas de gaieté de cœur que l'on fait ça.
05:42J'ai fait ce que j'ai pu pour maintenir ma boutique
05:45et ma fabrication le plus longtemps possible.
05:48Et puis voilà, je suis obligé d'arrêter maintenant.
05:51Pour tout vous dire, je n'étais pas préparé.
05:53Je n'aurais jamais pensé que j'arrêterais vraiment
05:55en raison du manque de matière première.
05:57Depuis l'annonce de la fermeture,
05:59les derniers clients affluent pour profiter des promotions
06:02et essayer de trouver gants à leur main.
06:04Une vague d'entraide qui met du baume au cœur
06:06à l'équipe de l'établissement.
06:07Ça faisait 15 ans qu'on avait la boutique,
06:09donc on avait notre clientèle et ça fait chaud au cœur
06:13parce qu'il y a beaucoup de solidarité autour de tout ça.
06:15Ils veulent repartir avec leur dernière paire de gants de Grenoble.
06:19Le magasin ne désemplit pas.
06:20Les grenoblois sont également venus remercier la Femini Stradzeri,
06:24qui représente l'héritage du Grenoble du XIXe siècle,
06:27lorsque la ville était la capitale mondiale du gant.
06:29C'était immuable en fait.
06:31Devoir fermer ce magasin, c'était un peu crève-cœur,
06:35on va dire ça comme ça.
06:36À la fois très triste de la fermeture
06:38et en même temps très contente d'avoir pu
06:40prendre une paire d'avance
06:43pour quand j'aurais perdu ceux-là
06:45ou qu'ils seront trop abîmés.
06:47Un seul regret pour Jean,
06:48celui de ne pas avoir réussi à transmettre ses connaissances
06:51et à perpétuer son savoir-faire.
06:53Unique maître gantier au col tricolore,
06:55Jean Stradzeri est et restera à jamais le premier.
07:04Une texture lisse couleur ivoire,
07:06un talon concave et une croûte plutôt épurée.
07:10Pas de doute, ce sont bien ici les caractéristiques du Beaufort.
07:14Mais avant de devenir une meule à pâte presse et cuite,
07:17ce prince des gruyères typique de Savoie
07:19est passé par un processus de fabrication bien précis,
07:23comme ici à la coopérative laitière de Moutier.
07:26Là on se trouve dans l'atelier de fabrication de Beaufort
07:29et comme on peut le voir,
07:31le lait qui a été collecté ce matin,
07:34donc le lait chaud de la traite du matin
07:37plus le lait froid d'hier soir,
07:39est mis dans les cuves,
07:42chauderon de 6000 litres de lait
07:44dans lesquels on va mettre jusqu'à 5400 litres de lait
07:47en ce moment pour faire 12 meules.
07:49On remplit, pendant qu'on remplit, ça chauffe.
07:52Quand la cuve est pleine, à ce moment-là,
07:54le fromager rajoute la présure.
07:57Une fois cet enzyme naturel ajouté,
07:59place au décaillage pour obtenir des perles de fromage.
08:02Puis c'est au tour de la cuisson de faire son job.
08:05Le Beaufort appartient à la famille des fromages à pâte presse et cuite.
08:10Le pressage c'est après, la cuisson c'est dans le chauderon.
08:13On va monter de 33° à 54° en 40 minutes.
08:17Quand c'est bon, on attend encore un petit peu
08:21pour faufiner l'égouttage
08:23et après on moule les fromages.
08:25Après moulage, les fromages restent en moyenne 20h sous presse,
08:28puis ils sont refroidis et immergés dans une eau saturée en sel.
08:32Ce n'est que 24h plus tard qu'ils rejoignent les caves d'affinage
08:35où en moyenne 500 meules sont stockées à minima 5 mois,
08:39avec la particularité d'être affinées à la main
08:42dans des caves datant des années 50.
08:44Il faut une température contrôlée entre 6,5 et 9,5-10 degrés
08:51et avec un taux d'hygrométrie assez élevé entre 90 et 95%.
08:56Au cours de cet affinage, les fromages sont retournés à la main
09:01et frottés avec de l'eau salée régulièrement.
09:04Quand on estime que la croûte a un petit peu séché,
09:07on les retourne et on les frotte.
09:09Pour autant, la coopérative évolue aussi avec son temps.
09:12Depuis 2012, des travaux ont permis de moderniser l'affinage
09:16avec un robot réalisant les mêmes gestes que les salariés.
09:19Toutes les tâches difficiles de retournement à la main
09:22ou de faire tourner la meule sur le bord de la planche,
09:24c'est fait par le robot.
09:26C'est quand même nous qui décidons de la force de la brosse,
09:31la pression qu'on exerce, de la quantité d'eau qu'on injecte,
09:34du nombre de tours qu'on fait,
09:36et bien sûr qu'il va y avoir un contrôle visuel avant,
09:39quand est-ce que je déclenche les soins,
09:41et après, est-ce que ce que j'ai fait faire est à la hauteur de mes attentes ?
09:45Un travail moins pénible pour les salariés donc,
09:47mais identique dans la technique,
09:49avec quelques mois plus tard, des beaux-forts qui se retrouveront en vitrine.
09:53En moyenne, la coopérative fabrique près de 18 000 meules chaque année.
09:58Il est 8h du matin au centre de formation de Bourgoin-Jalieu,
10:07et dans 4 heures, les 4 brigades faites d'apprentis
10:10vont devoir livrer leur version du dessert de l'Isère.
10:13L'ambiance est formidable, ça sent bon,
10:16ça sent le miel, ça sent la pomme, ça sent le coin,
10:19ça sent le chocolat, la vanille,
10:21il y a des sourires sur tous les visages.
10:23Pourtant, l'enjeu est grand.
10:25Le meilleur dessert qui sortira de cette cuisine
10:27deviendra le dessert de l'Isère.
10:29L'objectif derrière ce concours,
10:31promouvoir la gastronomie iséroise et les produits du département.
10:35Car le cahier des charges est clair,
10:37la recette doit contenir pommes, poires, chocolat et bien évidemment des noix.
10:41Et certains prennent quelques risques dans les ingrédients.
10:44Je trouve ça assez habile de certaines équipes
10:47de pousser un petit peu le risque en utilisant les épices.
10:50Voilà maintenant la moitié du temps de préparation écoulée,
10:53l'un des coachs d'une des brigades
10:55retranscrit l'ambiance du défi.
10:57Là ça se passe plutôt bien,
10:59ils sont assez détendus, ils ont envie de prendre du plaisir.
11:04Et on est plutôt dans les temps,
11:06tout se passe bien, il n'y a pas eu de ratés,
11:08j'espère qu'il n'y en aura pas.
11:09Et des ratés, il n'y en a eu aucun.
11:11Les apprentis qui ont pu s'entraîner assez pour le concours
11:14ont toutes et tous réussi à rendre dans les temps leur création.
11:18Maintenant, place au jury.
11:21Les délibérations faites,
11:23c'est la victueuse qui remporte cette édition du meilleur dessert.
11:26Deux pâtes sablées avec d'un côté une poire pochée
11:28et de l'autre de la crème chocolat chartreuse
11:30et de la crème au noix.
11:32La concurrence a été telle que le jury a eu
11:34beaucoup de difficultés à choisir le gagnant.
11:37Les quatre pour nous méritaient de faire partie
11:40des desserts de l'ISER.
11:42Au final, c'était un régal total
11:45et un moment de partage et de bonheur.
11:48Derrière ce dessert, ce sont deux apprentis,
11:50Emilie et Léo, mais surtout…
11:52Beaucoup d'émotions, parce qu'il y a eu beaucoup de travail.
11:55On est partis vraiment à l'opposé et on a réussi.
12:00Je suis très fière de ce qu'on a fait aujourd'hui.
12:03Moi, je trouve que ça a été une sacrée bonne aventure
12:06parce qu'on a pu découvrir beaucoup de monde,
12:08partager avec beaucoup de gens.
12:10Je pense que c'est encourageant.
12:11Plus tard, si on me propose des concours de ce type,
12:14je le ferai avec grand plaisir.
12:16Même sans forcément gagner, mais juste y participer,
12:18c'est déjà magnifique, c'est déjà génial.
12:20Une victoire qui donne envie de voir en grand.
12:23J'espère atteindre un jour l'émeuf et le gagner.
12:26Alors qui sait, dans l'avenir,
12:28ces apprentis s'affronteront peut-être
12:30pour devenir là où le meilleur ouvrier de France.
12:38Non, vous ne rêvez pas.
12:40Vous venez de monter dans un camion
12:42où se joue un opéra, Place Bouvier à Montbrison.
12:45Un projet mis en place par l'Opéra de Lyon et la région.
12:48Neuf départements traversés,
12:50Montbrison n'a pas hésité à rejoindre la tournée
12:52sur un coup de fil.
12:54C'était il n'y a pas trois semaines.
13:02Le directeur de l'Opéra de Lyon, un dimanche,
13:04me contacte pour me proposer
13:06ce que nous avons aujourd'hui.
13:08Et très franchement, j'ai dit oui tout de suite.
13:10C'était une très belle opportunité,
13:12l'occasion de faire découvrir l'opéra à Montbrison
13:15d'une forme assez exceptionnelle,
13:17des gradins amovibles,
13:19dû à l'évert, tel qu'on le pratique
13:21sur l'Ouafouragglomération.
13:23Aller vers le public, aller sur les territoires.
13:26C'est aussi le credo que s'est donné
13:28l'actuel directeur de l'Opéra de Lyon,
13:30le Stéphanois Richard Brunel,
13:32ex-élève de la Comédie,
13:34longtemps directeur de la compagnie Anonyme,
13:36qui n'a pas oublié les leçons
13:38du maître de la décentralisation.
13:40J'en dois citer le public.
13:42C'est un plus un et un par un
13:44qu'il faut amener vers la création contemporaine.
13:46Écoute, depuis que j'ai été nommé
13:48à la direction de l'Opéra National de Lyon,
13:50évidemment,
13:52je n'ai pas oublié d'où je viens,
13:54je n'ai pas oublié mes rencontres
13:56avec Jean Dasté,
13:58il y a maintenant assez longtemps.
14:00C'est tout à fait le positionnement de l'Opéra de Lyon,
14:02de s'ouvrir et de s'interroger
14:04et de partager, avec du public par ailleurs
14:06qui ne connaît pas forcément l'opéra,
14:08qui ne connaît pas forcément la musique
14:10et qui n'a jamais été confronté
14:12à une soprane et un bariton à 1m50.
14:18Pour cette opéra de poche,
14:20le sang du glacier,
14:22Richard Brunel a choisi un livret contemporain
14:24et non pas la facilité.
14:26Un livret qui s'intègre autour d'une réalité,
14:28les glaciers fondent, se réchauffent
14:30et les algues rouges les recouvrent.
14:32Tout d'un coup, ce que ça évoque en imaginaire,
14:34le sang des glaciers ou le sang du glacier,
14:36on peut tout à fait imaginer
14:38une contamination de l'eau
14:40ou un assèchement du fleuve.
14:42On peut vraiment pousser le bouchon
14:44et c'est ce qu'ont fait les trois artistes.
14:46Elles ont inventé une dimension plus onirique.
14:48Deux artistes lyriques incarnent
14:50les frères et sœurs ingénieurs glaciologues
14:52et l'opère, enfouie sous la glace
14:54qui refait surface.
14:56Les musiciennes sont, elles,
14:58derrière un tulle carrelé, façon Jean-Pierre Reynaud
15:00et leurs sons de harpe, violoncelle
15:02ou accordéon grincent devant
15:04le danger des sons inédits, très organiques.
15:06La compositrice Claire-Mélanie Sinuber
15:08a utilisé nos trois instruments
15:10avec une symbolique.
15:12En ce qui concerne l'accordéon,
15:14il est plus en référence à la glace.
15:16Et pour la harpe ?
15:18Pour la harpe,
15:20c'est le côté aquatique,
15:22il me semble.
15:24Le mouvement de l'eau.
15:26Voilà, c'est ça.
15:28Et notre troisième comparse au violoncelle
15:30fait le lien entre nous deux.
15:32Le violoncelle s'apparente
15:34à la voix humaine.
15:36Elle fait un peu la troisième voix
15:38de l'opéra.
15:40Un opéra qui nous fait entendre
15:42des sons concrets, grincements, glissés,
15:44presque des grognements d'animaux.
15:46Et le glacier qui s'envahit de rouge.
15:48Un opéra symboliste,
15:50un camion nomade à Montbrison
15:52avec une représentation ce mercredi soir à 20h.
15:54Et demain à 14h30.