• il y a 10 heures
Rachel Khan : «Aujourd'hui, on ne peut pas cracher sur les lumières et l'État de droit et d'un autre côté, en être créditeur. Avec cette barbarie qui nous entoure à tous étages, cette question de l'État de droit doit être évoluée plus en phase avec la légitimité d'une décision.»

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Transcription
00:00Mais le problème, c'est que chez les détenus, il y a aussi des parcours,
00:06des personnes qui, en réalité, qui, dans le fond, ne veulent pas réellement sortir aussi.
00:10Moi, j'y suis allée beaucoup, faire des interventions et des ateliers, etc.
00:15Et dans leur vie, ça fait partie presque de leur vie de faire des allers-retours,
00:19maison, détention.
00:21Après, j'ai trouvé très intéressant ce que vous avez dit sur l'état de droit,
00:25l'histoire du droit, le fondement, finalement, patrimonial de ce droit avec les lumières.
00:32Mais aujourd'hui, le problème, c'est qu'on ne peut pas, d'un côté,
00:35cracher sur les lumières et l'état de droit, etc.
00:38et, d'un autre côté, en être, finalement, créditeur.
00:42C'est ça, mon sujet.
00:44Avec la barbarie qui nous entoure, cette insécurité à tous les étages
00:48et cette violence à tous les étages,
00:51cette question de l'état du droit aujourd'hui,
00:53je pense que ça doit quand même être évolué plus en face avec la légitimité d'une décision.

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