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Dans 180 Minutes info, le procureur général honoraire, Jacques Dallest, est revenu sur le meurtre de Louise, estimant qu’«il y a une émotion bien supérieure aujourd’hui du grand public qui est très compréhensible». 

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Transcription
00:00Il y a toujours eu des meurtres, des homicides, on tourne à peu près à 1 000 par an.
00:04En 1995, 1 400 homicides.
00:07Ce qui est notable aujourd'hui, c'est le retentissement de ces événements qui ont toujours existé, mais qui est beaucoup plus fort.
00:14J'ai connu de près, malheureusement, le meurtre de la petite Maëlys,
00:17qui permettait de prédire, qui aurait permis de penser que cette petite de 8 ans aurait été enlevée dans une fête de mariage,
00:25à 3 heures du matin, en pleine campagne, par un des convives, Nordal-le-Landais.
00:30Donc ce genre de choses a toujours existé, et existera malheureusement,
00:33même si on peut aujourd'hui identifier beaucoup plus rapidement qu'auparavant les auteurs.
00:38Mais vous savez, le basculement dans le crime, c'est quelque chose qui est malheureusement dans l'être humain,
00:43plutôt masculin d'ailleurs que féminin.
00:46Mais pensons à l'affaire de la petite Lola, qu'on a déjà oubliée, et beaucoup d'autres crimes.
00:50Mais il y a une émotion bien supérieure aujourd'hui du grand public, qui est très compréhensible.
00:55Et c'est d'ailleurs ce dont doit tenir compte aussi l'institution judiciaire,
00:59le retentissement, l'émotion, et c'est un puissant aiguillon pour que l'enquête se développe et puisse aboutir à un résultat positif.

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