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Retrouvez le replay du débat de l'Équipe de Greg du 11/02/2025.

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00:00De retour dans l'équipe de Gregg pour débriefer cette victoire du Paris Saint-Germain, trois buts à zéro du côté de Roudourou face à Brest.
00:10On était là à l'avant-match, il y a eu la mi-temps et donc le PSG qui prend sans doute plus qu'une option.
00:16Raphaël, avant de débriefer ça avec Alicia, avec Benoît, avec Loic, avec Nabil et avec Charlotte, on regarde avec vous ce qui s'est passé du côté de Guingamp.
00:23Avec une équipe de Guingamp, enfin plutôt de Brest qui a résisté sur la pelouse de Guingamp.
00:28Mais il a fallu attendre la vingtième minute de jeu, voir cette main de Les Melous dans sa surface de réparation.
00:34Pénalty pour le Paris Saint-Germain, transformée par Vitinha, 1-0 pour le PSG.
00:39La réaction, l'égalisation presque de Sima, mais ça va taper le poteau à la 35ème minute de jeu pour Brest.
00:46Le but du 2-0, il est inarrêtable, Ousmane Dembélé à la 45ème et puis le doublé à la 66ème minute de jeu.
00:5523ème but cette saison, toute compétition confondue pour Ousmane Dembélé.
00:59Son 15ème sur l'année civile 2025, Paris a déroulé notamment sur cette deuxième période.
01:05Ils ont eu la possession, ils ont eu les occasions et c'est dans les duels aussi qu'ils ont été très bons les Parisiens.
01:11Vous suivez le PSG au quotidien pour le Journal de l'équipe et pour l'équipe de Greg.
01:15Vous l'aviez plutôt annoncé d'ailleurs, c'est pour ça que je viens vous voir en premier.
01:19Vous aviez dit que le PSG se qualifierait dès ce soir, quand on évoquait peut-être un Brest plus frileux, plus défensif.
01:28Vous pensez que c'est déjà plié la confrontation ? Posons la question directement.
01:31Je le pensais avant le match, je le pense encore plus après le match, après 3-0, ça apparaît totalement logique.
01:36Même si les stats, on voit que le Brest a autant tiré que le PSG, on a vu le match attendu.
01:42Le PSG laisse des espaces parce que c'est ce PSG qui accepte de concéder des occasions dans un match.
01:48Et puis ce PSG qui en ce moment est clinique devant le but, ils ont eu 5 ou 6 occasions franches, ils en ont mis 3.
01:55Franchement, il n'y a pas photo entre les deux équipes et c'est ultra logique de voir le PSG s'imposer 3-0 ce soir.
02:02On va en parler, mais on va tout de suite du côté de Roudourou, retrouver Giovanni Castaldi qui a vécu le match depuis les tribunes.
02:07Et forcément peut-être un regard différent, je ne sais pas. Bonsoir Giovanni, merci d'être avec nous dans ce débrief dans le DG.
02:13C'est vrai que le PSG était plus clinique, plus réaliste que Brest.
02:18Et à l'arrivée, l'efficacité dans les deux surfaces, c'est ce qui fait la différence, surtout en Ligue des Champions.
02:24Bonsoir Greg, il y avait un sentiment de supériorité qui était assez évident, même si par moments Brest a emballé la rencontre.
02:35Une fois que Vitigny avait marqué sur pénalty, il y a eu un petit moment de folie avec cette séquence avec le poteau de Hakimi.
02:42La tête également de Sima, mais globalement il y a un sentiment de maîtrise et de puissance de ce PSG.
02:52On parle beaucoup de l'efficacité, c'est normal parce que c'est ce qui faisait défaut en début de saison Greg.
02:57Mais cette équipe parisienne surtout, elle est très impressionnante athlétiquement sur tout ce qu'elle met dans les duels, dans l'agressivité, à la récupération.
03:05Et je trouve que ça use énormément les joueurs adverses.
03:09Beaucoup de personnes le disent en conférence de presse, on pense que c'est de la communication.
03:13Quand on parle avec certains acteurs du jeu en off, ils disent honnêtement que ce PSG-là c'est un cauchemar à jouer.
03:18Et je trouve que ça s'est vérifié encore ce soir, même si Brest n'a pas démérité.
03:22Benoît, on est un peu déçu peut-être de la réaction brestoise.
03:25Parce qu'on disait qu'il fallait qu'ils attaquent très fort la seconde mi-temps, qu'ils arrivent à emballer le jeu.
03:28Et cette seconde mi-temps, ils n'ont pas trouvé la façon de l'emballer alors qu'ils avaient eu un quart d'heure assez intéressant en première mi-temps.
03:35Je pense qu'ils ont eu les opportunités pour revenir à la fin de première mi-temps.
03:39Face au PSG, lorsque vous passez à côté d'opportunités comme ça, après c'est compliqué.
03:46Parce que c'est un rouleau compresseur qui arrive derrière.
03:49On l'a vu en seconde période, ils ont maîtrisé de bout en bout.
03:52Il y a un but hors-jeu d'un bout de nez, d'un bout de pied, je ne sais pas quoi.
03:55Ils auraient pu en mettre 4 ou 5, le Paris Saint-Germain.
03:59On voit un Debbélé qui est en pleine confiance, notamment sur son but avec la prise de balle qui est incroyable.
04:04Il frappe, elle est un petit peu contrée.
04:06On voit que pour l'instant, cette équipe du Paris Saint-Germain aujourd'hui est quasi inarrêtable.
04:11Rouleau compresseur, disaient Giovanni, Charlotte et Nabil.
04:14C'est vrai qu'on a le sentiment que Brest et le PSG ne jouent pas dans la même catégorie.
04:21En seconde mi-temps, on a vu l'écart un peu plus net.
04:24Parce que la première mi-temps était en ballant, on était sortis de là.
04:26Ok, il y a 2-0, mais Brest avait fait quelque chose.
04:29Là, ça s'est matérialisé de manière plus dure, je trouve, en seconde mi-temps.
04:32C'était terrible de pouvoir voir Brest montrer à une image comme ça.
04:38Parce que je pense que s'ils mettent les 2-3 opportunités, à mon avis, ils se donnent un peu plus de confiance.
04:43Mais à partir du moment où tu ne mets pas ces occasions-là, tu n'arrives pas à être efficace à des moments clés,
04:47Paris Saint-Germain, après, ils prennent confiance et après, c'est le rouleau compresseur.
04:51Pour moi, je suis d'accord avec toi Loïc, c'est plié pour la semaine prochaine.
04:56Je suis un peu déçue parce que Brest m'attendait un petit peu mieux qu'Amara, il aurait pu marquer.
05:01Mais après, regardez le match de championnat, ils sont venus, ils ont poussé, il y a quand même 3 buts d'écart encore.
05:06Je ne suis pas sûr que ce PSG-là aurait coulé si Brest avait marqué.
05:09Non, mais ça aurait mis encore plus de la folie au Roudourou.
05:12Nous, on aurait eu plus d'ambiance et de suspects.
05:16On sait qui va gagner, c'est juste un scénario.
05:22Et là, c'est vrai qu'il y a la mi-temps, la double confrontation.
05:25Si Brest retourne le truc, à côté, la remontada, c'est une rigolade.
05:33Vous voyez ce que je veux dire ?
05:36Le PSG, évidemment, au-dessus, c'était en mode Ligue 1 avec une marge comme ils savent le faire.
05:41Mais Brest n'a pas démérité, ils ont eu des temps forts, ils n'ont seulement pas validé.
05:45Maintenant, le PSG, ils sont dans une forme de continuité.
05:48Collectivement, on voit ce qu'ils veulent faire.
05:51Ils ont trouvé l'efficacité, effectivement, il a raison Giovanni.
05:53Ce qui fait la différence, c'est l'efficacité par rapport à la première partie de saison
05:57et notamment par le biais de Dembélé qui est reconverti.
06:00On va en parler, on va parler de Dembélé, allons-y.
06:03Mais, ce n'est pas que je ne veux pas casser l'ambiance,
06:07il faut toujours aussi relativiser par rapport à l'adversité.
06:10Là, l'idée, c'est de battre l'adversaire qu'on vous propose.
06:14Je ne dis pas le contraire.
06:16C'est un barrage avec des champions en face.
06:18Brest ou pas Brest, ça reste une équipe qui a passé le premier tour.
06:20Quand c'est un barrage et tu es en huitième de finale ou en barrage,
06:23à une époque, je me souviens, il y avait des tirages.
06:25Il y avait Manchester City, il y avait l'UFC Ball.
06:27Il n'y avait pas de play-off.
06:29Paris, ils n'avaient qu'à faire mieux.
06:37Nabil, je prends les habitudes méméesques.
06:39Je vois Giovanni en haut en train de lever sa petite mimine.
06:42Je viens vous voir Giovanni, allez-y mon poulain, on vous écoute.
06:47C'est juste par rapport à ce que disait Nabil.
06:49Je suis d'accord qu'il faut relativiser Brest évidemment.
06:53Je ne veux pas vous dire que c'est le Real Madrid.
06:55En revanche, je ne peux pas accepter qu'en début de saison,
06:57on nous explique qu'en Paris, et pourtant Paris jouait bien,
07:00Paris dominait quand ils font match nul face au PSV.
07:03C'est les pompes à vélo, ils ne sont même pas capables de taper le PSV.
07:06Ensuite, quand ils perdent contre l'Atletico,
07:09ils ont mieux joué mais ils ne sont pas efficaces, ils ne marquent pas.
07:11À chaque fois que Paris fait quelque chose,
07:13Manchester City, c'est parce que c'est la fin de Manchester City.
07:16On ne peut jamais juger un match du PSG tant qu'ils ne sont pas gagnés avec des champions.
07:20Ok, c'est que Brest, etc.
07:23Brest a fait un parcours exceptionnel en Ligue des champions.
07:26Ils ont embêté beaucoup d'équipes.
07:28Ce n'est pas si facile que ça de les bouger.
07:30On le voit notamment en Ligue 1.
07:31Paris, ce soir, a fait un match sérieux,
07:33dans de bonnes dispositions sur un match de Coupe d'Europe,
07:36avec de l'intensité, de l'efficacité.
07:38On est forcément obligés de dire que c'est maîtrisé, que c'est efficace.
07:43Cela veut dire que cette équipe-là a des résultats qui comptent.
07:47Je trouve que c'est trop facile à chaque fois de parler des adversaires.
07:50Dans ce cas-là, on ne juge aucun match du PSG.
07:52C'est la figure. Après, le Bayer Leverkusen n'a pas gagné à Brest.
07:55Oui, d'accord. Ils ont fait tourner. Il y a eu un parcours.
07:58Malang, Brest, c'est des toccards.
08:00Je ne suis pas en train de dire que c'est des toccards.
08:03J'ai toujours un doute. Je le dis ici.
08:06Je serais convaincu, avec cet état de forme-là,
08:09quand ils taperont une grosse équipe.
08:11C'est comme ça que je le vois. J'ai le droit de le voir comme ça.
08:14Je n'ai pas dit qu'on n'avait pas le droit.
08:17Je dis qu'on est obligés de juger sur un match une rencontre
08:19par rapport à ce qu'on leur donne.
08:21Il y a deux matchs. Ils étaient dehors. Ils n'étaient pas efficaces.
08:23Là, qu'est-ce qu'on a dit ce soir ?
08:25On a dit qu'ils ont fait le boulot. Pas de soucis.
08:27Collectivement, c'est nickel. Dembélé marque des buts.
08:29Pas de problème. Je demande à voir face à une grosse équipe
08:32avec cette dynamique.
08:34Il y a eu City. On peut quand même souligner la dynamique
08:36sur les quatre derniers matchs.
08:38Parce qu'ils marquent au moins trois buts consécutivement
08:40en Ligue des Champions sur les trois derniers matchs.
08:42La dernière fois que c'était arrivé au Paris Saint-Germain
08:44en Ligue des Champions, c'était l'équipe d'Unai Emery.
08:46C'était entre septembre et novembre 2017.
08:48Donc, ça n'était pas arrivé depuis longtemps
08:50de voir un Paris Saint-Germain sur quatre rencontres consécutives
08:53marquer au moins trois buts en séance.
08:55Ce n'est pas pour dire trop. Parce qu'il y a la dernière fois
08:57qu'ils avaient gagné largement avec Unai Emery aux commandes.
08:59Et là, c'est domicile.
09:01On est sur une série qu'ils ne faisaient plus depuis des années.
09:03C'était une vanne, Loic. Détendez-vous.
09:05Je sais que c'était à domicile.
09:07Je sais bien. Il n'y a pas de soucis.
09:09Un mot sur Dembélé, quand même.
09:11Dembélé, c'est Benoît.
09:13Il met encore un doublé, ce soir.
09:15C'est-à-dire qu'il a deux doigts d'un triplé, en plus.
09:17Il est à nouveau efficace. Il en rate une.
09:19Je vais vous dire, on a regardé le match ensemble.
09:21Il y en a une, vous savez.
09:23Il est un peu sur le côté droit de la surface de réparation,
09:25pour ceux qui ne l'ont pas vu. Il est seul face à Bizotte.
09:27Bizotte est déjà à moitié couché.
09:29Il leur balle vers la droite du poteau.
09:31On est même surpris qu'il ne cadre pas.
09:33Alors que, finalement, il y a deux mois, on aurait dit
09:35ça, c'est Dembélé.
09:37Non, mais il marche sur l'eau.
09:39Il marche sur l'eau parce que Dembélé...
09:41Il marche sur l'eau ou il marche sur l'eau ? Les deux.
09:43Maintenant, devant le but,
09:45c'est devenu un tueur, tout simplement.
09:49Il cadre quasi à chaque fois.
09:51Et puis surtout, comme on l'a dit
09:53avant le match, il est chirurgical
09:55devant le but. On voit qu'il a énormément
09:57de confiance, notamment dans ses prises de balles.
09:59Sur le second but, vous avez été impressionné
10:01comment il y va, c'est ça ?
10:03Sa prise de balle est fluide.
10:05Il s'amène son but. C'est-à-dire qu'avec une bonne prise de balle,
10:07il s'amène le but ouvert.
10:09Et on le voit aussi dans ses frappes.
10:11Il fait des frappes pleines de confiance.
10:13On sent qu'il frappe bien dans le ballon.
10:15C'est toujours bien placé, quasi inarrêtable
10:17à l'image de son premier but.
10:19Le premier but, pour vous, il n'est pas arrêtable ?
10:21Le premier but, ça va tellement vite.
10:23En plus, généralement, on dit aux gardiens
10:25non, mais pas premier poteau, c'est impossible.
10:27C'est limite une faute.
10:29Ça va tellement vite, avec ce petit robot
10:31en plus, juste avant. Donc non, il est en pleine
10:33confiance dans ses prises de balle, dans ses frappes.
10:35On le sent.
10:37Aujourd'hui, il est inarrêtable, Dembélé.
10:39Et là, il est en train de battre tous ses records,
10:41même personnels, parce que la saison dernière,
10:43il avait marqué 13 buts
10:45sur une année civile, mais en 42 matchs.
10:47Là, c'est 15 buts en 8 rencontres
10:49seulement sur l'année civile. Donc c'est complètement dingue.
10:51Et c'est le meilleur buteur en Europe.
10:53C'est tout simplement le meilleur buteur en Europe.
10:55On a réactualisé le classement au fur et à mesure du match.
10:57Regardez. Eh bien, meilleur buteur
10:59devant, sur l'année civile 2025,
11:01devant Retegui, devant Kyan Mbappé,
11:03devant Ryken, Robert Lewandowski, ou encore
11:05l'Ottawa Romarty.
11:07Prenez ses ballons d'or dans la discussion.
11:09J'allais vous en parler.
11:11Non mais c'est pour rigoler.
11:13Si Paris a gagné avec des champions,
11:15il peut prétendre.
11:17Mais c'est ce qui ressort sur les réseaux sociaux.
11:19Après la prestation d'Ousmane Dembélé,
11:21plébiscité, recouvert d'éloge, prestation
11:23parisienne la plus commentée, tout ce que vous
11:25voulez, mais il est en train de faire le buzz
11:27en ce moment sur les réseaux sociaux.
11:29Les 91 buts de Messi. On arrive.
11:31Bouge pas, Léo. En référence à ce
11:33record absolu de buts inscrits sur une année civile.
11:35Évidemment, c'était en 2012 avec Léo Messi.
11:37Bon, pareil, on se projette.
11:39On est en 2025, Ousmane Dembélé
11:41est le meilleur joueur du monde.
11:43Rendez-vous compte. On n'a que des éloges.
11:45Le jour où Dembélé apprendra
11:47à cadrer, ça fera très mal.
11:49Aïe, c'est vrai que ça y est, on y est.
11:51Et puis regardez, Dembélé, ballon d'or,
11:53tout le monde. J'ai vu plein de commentaires
11:55passer. Peut-être que ce n'est pas qu'une plaisanterie
11:57finalement. On vit le prime
11:59de Dembélé sous nos yeux. Il y en a qui
12:01n'y reviennent pas. Dembélé en 2025,
12:03c'est quand même un niveau
12:05différent, lunaire, on peut le dire.
12:07Dembélé qui va avoir un ballon d'or avant
12:09Vinicius, qui l'aurait cru.
12:11Moi non plus, voilà. Et puis c'est surtout
12:13une prestation, encore une fois,
12:15commentée dans toute l'Europe.
12:17Giovanni, vous êtes avec nous
12:19un mot sur Dembélé parce que vous l'avez vu en action.
12:21Ça de plus, j'aime bien le dire et le répéter.
12:23Quand on est au bord du terrain, ce n'est pas forcément la même chose.
12:25Mais là, pour le coup,
12:27il a encore une fois été très fort.
12:29Il n'y a pas besoin d'en rajouter.
12:33Oui, ce qui est assez
12:35impressionnant, Greg, indépendamment du
12:37fait qu'il ait totalement éteint ce débat
12:39un peu surréaliste qu'on a eu tous au début
12:41de la première partie de saison. Est-ce qu'il faut
12:43un numéro 9 au PSG ? Finalement, il n'en a pas forcément
12:45besoin. C'est qu'en première période,
12:47Dembélé était le joueur parisien qui avait
12:49touché le moins de ballons et il a
12:51été impliqué, son but bien sûr,
12:53et c'est lui qui a provoqué le pénalty
12:55avec cette frappe. C'est aussi, on a beaucoup parlé
12:57en avant-match de son utilisation, du fait qu'il se
12:59dispersait moins dans une position axale,
13:01qu'il dépensait moins d'énergie, plutôt qu'il était
13:03plus lucide. Je trouve que la première pad,
13:05elle symbolise énormément, parce qu'on ne l'a pas beaucoup
13:07trouvé, mais tout ce qu'il a fait, quasiment,
13:09a été juste impeccable et implacable.
13:11Merci, Giovanni. On vous souhaite
13:13une bonne soirée. Je pense qu'on le retrouvera quand même dans l'équipe
13:15du soir, tout à l'heure, évidemment, avec
13:17Olivier Ménard. Salut Giovanni,
13:19merci d'avoir été avec nous. Quand on va voir
13:21Dembélé-Montoya, pour favoir
13:23courir vers le ballon d'or, on ne va pas comprendre.
13:25Ça va nous faire un tout petit peu bizarre.
13:27Ça va arriver, Montoya-Dembélé,
13:29ça file vers le ballon d'or. On n'est pas encore là,
13:31mais on peut s'en amuser un tout petit peu,
13:33puisqu'on aime s'amuser. Je vous rappelle quand même,
13:35le score, Paris-Saint-Germain,
13:37s'est imposé à Rodourou.
13:393-0 contre Brest et a donc pris
13:41une énorme option.
13:4389,4%
13:45de chances de se qualifier.
13:47Ils ont déjà été éliminés à 100%.
13:49Oui, mais à domicile, je vous donne l'info,
13:513 buts d'écart,
13:53défaite à domicile, toute compétition
13:55confondue. C'était en 28 février
13:572010, c'était face à l'OM.
13:593-0, toute compétition confondue.
14:01C'est pour cela que nos confrères d'Opta
14:03nous ont donné ce chiffre.
14:05C'est vrai que c'est un chiffre impressionnant,
14:07comme vous l'avez dit, tout au long de cette soirée.
14:09Allez, il est temps maintenant de découvrir
14:11celui que vous aimez chaque soir à cette heure-ci
14:13et qui est là, malgré le fait que l'émission soit plus courte
14:15et en débrief, de ce Brest-PSG.
14:17C'est Antoine Pinault. Voici le petit filet.

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