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Alors que l'Insoumis Sébastien Delogu se rêve en maire de Marseille, Stéphane Ravier, sénateur des Bouches-du-Rhône, réagit : «Il nous fait savoir que sa campagne électorale sera la plus dure et la plus violente. [...] Il assume sa violence, il est dans la droite ligne de Jean-Luc Mélenchon»

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Transcription
00:00Il y a encore eu un portrait de lui dans Le Monde hier.
00:03Et dans ce portrait, M. Delogu nous fait savoir que,
00:08pour ces élections municipales de 2026 à Marseille,
00:11eh bien cette élection, cette campagne électorale,
00:14sera la plus dure et la plus violente.
00:18La plus violente. Il annonce la couleur d'ailleurs.
00:21Il y a déjà eu dans son secteur des altercations,
00:24je dirais même de la violence, entre ces militants
00:27et les militants du Parti Socialiste.
00:30Qu'est-ce que ça va être quand ils vont croiser
00:33les militants de la famille nationale à laquelle j'appartiens ?
00:36Voilà, c'est un homme de division, de violence,
00:41de violence verbale, mais pas seulement.
00:45Il était au tribunal il n'y a pas longtemps.
00:47Le tribunal doit se prononcer le 14 février,
00:49le jour de la Saint-Valentin,
00:50sur les accusations de violence faites à une femme.
00:53Le procureur a requis, je crois, 1000 euros d'amende
00:55et six mois de prison avec sursis.
00:57Ce n'est pas encore jugé, mais voilà le personnage.
00:59C'est un personnage qui assume sa violence.
01:02Il est dans la droite ligne de LFI,
01:04la droite ligne de Jean-Luc Mélenchon.

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