• avant-hier

Catégorie

📺
TV
Transcription
00:00C'est important. C'est important.
00:03Euh,
00:05euh,
00:07euh,
00:09euh,
00:11euh,
00:13euh,
00:15euh,
00:17euh,
00:19euh,
00:21euh,
00:23euh,
00:28C'est que
00:36euh,
00:41euh,
00:43euh,
00:45euh,
00:47euh,
01:49C'est la première fois qu'on parle de ce genre de sujet.
01:54Depuis l'élection présidentielle, vous avez été fascinés par le régime d'Abdi.
02:02Oui, c'est vrai.
02:04Il y a eu beaucoup d'opposants qui se sont battus pour le régime d'Abdi.
02:12Mais je pense qu'il n'y a pas eu d'opposants pour l'élection présidentielle.
02:18C'est vrai.
02:19Les Sénégalais pensent qu'il est temps de sortir de là-bas.
02:28Ils ont fait une grande offensive et les résultats ont donné ce qu'ils ont voulu.
02:34C'est juste qu'il est temps de sortir de là-bas.
02:38Mais sur le plan politique, il y a des sujets qui peuvent nous mettre à l'aise.
02:47Si on parle de politique, c'est sûr qu'ils sont à l'aise.
02:52Mais ils sont mal à l'aise parce qu'ils ne sont pas politiques.
02:58L'opposition n'a pas laissé les jeunes travailler avec eux.
03:05Ils sont tous mal à l'aise.
03:07Mais ils ont une autre situation, c'est le passif pour les jeunes.
03:17Si le passif est avec eux, les pauvres sont sur le terrain politique.
03:20S'il y a un problème, ils vont s'occuper d'eux.
03:25Jusqu'à présent, le passif est avec l'opposition.
03:34Tout ce qu'il veut faire avec l'opposition, c'est le passif.
03:39Il fait tout ce qu'il veut.
03:43J'ai connu le maire de Dakar, Batille Midiaz, je l'ai signé pour qu'il n'y revienne pas.
03:49Mais il n'a pas fait ce que j'ai demandé.
03:54Je pensais qu'il allait faire un décret révolutionnaire mais il ne l'a pas fait.
04:00Il a fait tout ce qu'il a demandé.
04:02C'est comme ça jusqu'à présent.
04:04Il n'y a pas d'obstacle sur le plan politique de l'opposition.
04:11En général, l'opposition a des faits majeurs pour faire des principes.
04:20Par exemple, il a des violations flagrantes des droits des citoyens.
04:25Il a aussi des violations flagrantes sur les élections.
04:30Il a aussi des violations sur les droits des jeunes.
04:33Mais si on regarde l'opposition, elle n'a qu'un seul problème.
04:38Son seul problème c'est qu'il n'y a pas de chef de l'opposition.
04:44Il a aussi des violations sur les réseaux sociaux.
04:50Il a changé de numéro et il est injoignable.
04:53Donc, il n'y a pas de problème.
04:55Il est le chef de l'opposition silencieux.
04:59Il est aussi le chef de l'Assemblée Nationale.
05:02Il n'y a pas de problème de positionnement.
05:08Il n'est ni pour ni contre.
05:14Il est toujours comme ça.
05:16Il ne veut que la neutralité au niveau de l'immunité parlementaire.
05:24Il n'y a pas de problème de positionnement.
05:28Bien que l'on soit opposant, on peut se demander si c'est l'opposition.
05:35Je viens juste de dire qu'il n'y a pas de problème de positionnement.
05:39Il n'y a pas de problème de positionnement.
05:45Il a toujours été comme ça.
05:47C'est pour ça qu'il n'est pas exploité.
05:50Il a des opportunités mais il n'y a pas de problème de positionnement.
05:55Il n'y a pas de problème de positionnement.
05:59Il n'a pas de problème d'intérêt.
06:04Il n'a pas de problème d'intérêt.
06:08Il ne sait pas où se trouver.
06:11Il ne sait pas où se trouver.
06:16Il a toujours été comme ça.
06:18Vous pensez qu'il ne peut pas se composer comme l'opposition?
06:25Je pense qu'il ne peut pas se composer comme l'opposition.
06:31Il n'y a pas de problème d'intérêt.
06:37Mais est-ce qu'il peut se perturber politiquement?
06:45Je ne pense pas, au contraire, on en a besoin.
06:49Parce qu'il y a des difficultés dans le domaine politique.
06:52L'emploi, la vie chère, les droits de l'homme...
06:57En réalité, le Sénégal est un pays de bonheur.
06:59Il y a des oppositions qui se sont détournées du regard du Sénégal.
07:05Par exemple, le politisme.
07:07Il y a des gens comme Abdou Mbawoui qui se sont détournés du regard du Sénégal.
07:15Il y a des gens qui se sont détournés du regard du Sénégal.
07:18Il y a des oppositions qui se sont détournées du regard du Sénégal.
07:23Il y a aussi la rédition des comptes.
07:25Aujourd'hui, aucun opposant ne peut dire qu'il s'est détourné du regard du Sénégal.
07:31Vous avez vu la situation, il n'y a pas de convocation.
07:36Personne n'a été convoqué dans ce dossier.
07:39On vous a dit qu'il n'y a pas de convocation au Sénégal.
07:43On ne sait même pas où se trouve Ngoorgi.
07:46Il a une stratégie, il insère des effets de surprise à chaque fois.
07:53Il ne communique pas avec les autres.
07:54Ngoorgi est un homme, il fait ce qu'il veut.
08:00Il a un retard par rapport à ce qu'on a vu pour les législatives.
08:07Le 12 septembre, le président de l'Assemblée nationale m'a donné le 13% pour le DPG.
08:14Je l'ai apporté et je l'ai reçu.
08:18Je l'ai donné à l'Assemblée nationale et je l'ai reçu le 12 juillet.
08:23L'opposition n'a donc pas réagi.
08:25Il a dit qu'il n'y avait pas de député et qu'il n'allait pas y aller.
08:30Il a dit qu'il n'allait pas y aller et qu'il allait le faire.
08:34Il a perdu les deux.
08:37Il a l'impression de prendre toutes les garanties juridiques
08:44pour poser un acte.
08:46Contrairement au président Meksal.
08:48Après, personne ne peut le faire.
08:52Il a l'impression de prendre toutes les garanties juridiques pour poser un acte.
08:59Contrairement au président Meksal qui pose un acte
09:02il a l'impression de prendre toutes les garanties juridiques pour poser un acte.
09:04Le président Meksal est très pragmatique.
09:09Il est très politique et il fait tout ce qu'il veut.
09:12Il a l'impression de prendre toutes les garanties juridiques pour poser un acte.
09:16Mais il n'y a pas de député.
09:20Il est très approché et le président Meksal a gouverné pendant 12 ans.
09:26L'opposition n'a pas réagi et il a reçu le 14% pour le DPG.
09:30Il a réussi mais il y a des limites.
09:33C'est pour ça qu'il a fait ce mandat.
09:36Mais il a reçu toutes les garanties juridiques pour poser un acte.
09:39Le conseil juridique, le professeur Ndiaye et d'autres sont là pour l'assurer.
09:48Ils sont là pour l'assurer.
09:53Ils sont là pour l'assurer.
09:55Il faut aussi anticiper l'opposition parce qu'ils sont là pour l'assurer.
10:01Si on sait qu'ils sont là pour l'assurer, il faut y aller.
10:04Il faut anticiper l'opposition pour que les gens puissent s'occuper d'eux.
10:10Mais je pense que l'opposition ne va pas attendre.
10:14Elle ne va pas attendre jusqu'à ce qu'elle commence à poser des questions.
10:20Elle ne va pas attendre jusqu'à ce qu'elle commence à poser des questions.
10:25Elle ne va pas attendre jusqu'à ce qu'elle commence à poser des questions.
10:28Elle n'a pas d'observation.
10:30Oui, elle n'a pas d'observation en attendant.
10:32Qu'est-ce qui t'attend à ce moment-là et pourquoi est-ce que tu penses qu'on ne doit pas y aller?
10:40Je pense que l'objectif est d'aller vers un autre côté.
10:46Je pense que tous les partis politiques sont là pour t'alerter.
10:55Tu as peut-être constaté qu'il y a quelque chose qui n'est pas là.
11:02On a commencé à créer des partis politiques en 1959 jusqu'en 2024.
11:08Sous Senghor, Abou Laiwad et Macky Salle jusqu'ici.
11:14Et à chaque fois, on a créé 400 à 500 partis.
11:18Qu'est-ce qu'on peut faire à ce moment-là?
11:22Où est-ce que le Sénégal est actuellement?
11:25Que se passe t-il ici?
11:27Tu devrais faire quelque chose pour que les partis politiques de l'ensemble se réunissent.
11:33Pour qu'ils fassinent l'opposition pour qu'on l'élimine.
11:37Je suis venu ici en 1960.
11:41C'est ce qu'il faut pour l'opposition.
11:48Personne n'a eu le temps de construire ce qu'il a appelé l'Etat.
11:54Mais dans l'ensemble, qu'est-ce qu'on peut faire pour que les partis politiques de l'ensemble se réunissent?
12:08Je ne peux pas te le dire.
12:11Leopold Senghor est devenu président de Macky Salle après avoir créé plus de 140 partis politiques.
12:25Plus de 154 partis politiques en 12 ans.
12:29Ils ont accumulé 60 ans d'existence en ce qui concerne la gouvernance.
12:34Qu'est-ce qu'on peut faire pour que les partis politiques de l'ensemble se réunissent?
12:41On ne peut pas se dire qu'en 2024, le Sénégal aura une solution mais ce n'est pas le cas.
12:47Ils ont 60 ans d'existence pour le faire.
12:51Tu penses qu'il n'y aura pas de changement?
12:55Pas de changement, on fait l'autocritique.
12:58Pourquoi?
13:00Pour te dire qu'en 1960, tu as commencé à créer des partis politiques.
13:06Mais en 2024, tu as constaté qu'il y a un problème avec l'administration.
13:18Qu'est-ce que tu ferais pour que les partis politiques de l'ensemble se réunissent en 2024?
13:26C'est pour ça qu'on liste l'autocritique.
13:29On fait constamment des changes pour que les partis politiques de l'ensemble se réunissent.
13:38Pour qu'ils se réunissent.
13:40Ce qu'il faut au moins, c'est de faire le plus d'efforts possible.
13:48Mais qui doit être sous l'opposition automatiquement?
13:53Même si nous avons des défauts, M.Mouhammed est en train d'éliminer les défauts.
13:57Nous n'avons jamais été ou nous n'en serons jamais allés.
14:00Mais je pense que si l'autocritique s'en va, ce sera très cher.
14:06Que fais-tu pour la souveraineté alimentaire?
14:08Tu as 60 ans, que fais-tu?
14:11Que fais-tu pour l'industrialisation?
14:13Tu as 60 ans, que fais-tu?
14:16Que fais-tu pour l'emploi des jeunes?
14:18Que fais-tu?
14:20Que fais-tu pour la rationalisation des dépenses du train de vie de l'Etat?
14:24Que fais-tu pour l'administration du Sénégal?
14:27Toutes ces questions, nous devons les poser au quotidien.
14:31Si nous avions avancé au minimum dans 100%, nous serions au moins 80%.
14:38Aujourd'hui, nous sommes dans l'urgence de régler ce que nous appelons
14:43les dents de première nécessité.
14:50L'emploi, l'industrialisation ou autre chose.
14:55C'est pour dire que le Sénégal doit être un objectif pour tout le monde aujourd'hui.
15:02Nous devons nous-mêmes dire ce que nous devons dire.
15:05Si nous avions un système de défense et d'attaque ou de contre-attaque depuis 60 ans
15:13nous n'en serions pas là aujourd'hui.
15:18Est-ce qu'il n'est pas temps aujourd'hui d'avoir une responsabilité autocritique
15:22pour voir d'autres méthodes?
15:27Est-ce qu'il n'est pas temps de regarder ce que nous devons faire avec nos oppositions
15:33et ce que nous devons faire avec ceux qui sont dans l'opposition?
15:37Est-ce qu'il n'y aura pas de changement si nous testons ça avec Moïse pour voir?
15:40Tu as raison, c'est une bonne idée.
15:42Tu n'as vraiment pas honte Youtube.
15:46Nous devons tous faire ce qu'il faut car je ne sais pas si tu m'as compris.
15:53Mais je ferai le minimum pour que Moïse Réoumi change.
15:56C'est ce que tu dois faire.
15:59Si tu penses que l'opposition doit servir son pays
16:05je peux t'aider car tout restera dans le Sénégal.
16:12Et tout restera sénégalais.
16:14C'est pourquoi nous devons construire cette unité.
16:18Une unité entre l'opposition et le pouvoir.
16:21C'est ce qui doit être la réalité.
16:22Comment pouvons-nous prôner une union africaine?
16:26En réalité, au sein de ton propre pays, tu as du mal même à construire cette unité.
16:34Tu devrais développer une union sur le continent et tu ne pourras pas le faire en amont.
16:40Tout ce que nous faisons est une question de contradiction sans fin.
16:44C'est objectif mais ce que nous faisons est très subjectif.
16:49Le problème que nous avons c'est la question de vengeance politique.
16:53Où es-tu allé au Sénégal?
16:55Tu n'as même pas l'air d'être un homme.
16:58Tu n'as même pas l'air d'être un homme car c'est moi qui t'aime.
17:04Je ne suis pas là pour que les gens réussissent.
17:10Il y a beaucoup de gens dans ce pays qui réussissent.
17:15Tu es là pour que les gens réussissent.
17:18Le Sénégal doit changer d'avenir.
17:23Si c'est vrai pour toi, tu penses qu'on va l'oublier et qu'on va l'échouer?
17:28On parle de patriotisme aujourd'hui mais tu es là pour que les gens réussissent.
17:35Tu penses que l'on peut remettre en question leur patriotisme?
17:41Tchénaka...
17:42Voilà, depuis 1960, tous les ministres du Sénégal
17:48sont des millionnaires et des milliardaires.
17:54Tout le monde peut le considérer comme ça.
17:58Que deviendra le Sénégal?
18:01Tu es ministre, tu as un salaire de 5 millions.
18:06En quelques temps, tu seras un milliardaire.
18:10C'est ce que l'on peut évoquer comme patriotisme.
18:15En toute sincérité.
18:19Tu n'as rien à offrir au Sénégal mais tu n'as rien à donner au Sénégal.
18:2480% de milliardaires et anciens ministres sont des milliardaires.
18:28Tu peux en parler jusqu'à 10%.
18:33Je veux te dire qu'il n'y a pas de personne qui n'a pas perdu.
18:37Tu peux en parler jusqu'à 10% mais nous sommes des millionnaires.
18:42Nous sommes des millionnaires.
18:45Le Sénégal a changé, il est devenu plus grand.
18:50Personne ne peut dire que l'état du Sénégal est enceinté.
18:54Il n'y a rien de manque en ce qui concerne l'état.
18:57Depuis 1960, il y a combien de rapports qui sont produits?
19:02Il y a combien d'études qui sont faites?
19:05C'est une question de gestion.
19:07C'est pour ça qu'aujourd'hui, personne ne peut remettre en question son patriotisme.
19:14Parce que tu as beaucoup de choses à gérer.
19:19Il est temps de changer notre méthode d'affaires.
19:28Mais on ne peut pas continuer à se défendre parce qu'on est des politiques.
19:32Parce qu'on ne peut pas faire ce qu'on veut.
19:36Tu partages la même avis, l'unité entre l'opposition et le pouvoir.
19:41Il faut avoir l'opposition et le pouvoir.
19:44Mais il y a aussi l'intérêt, on peut le voir.
19:51Par exemple, l'approche de M. Adjel Ousmane Sonko pour développer le pays
19:57on peut voir qu'il y a des oppositions de vue.
20:01C'est l'objectif d'une contribution pour le pays et pour la vitalité démocratique.
20:11C'est ce que le Sénégal veut.
20:14On peut même se battre pour le patriotisme.
20:22C'est ce qu'on veut.
20:27Même dans le désaccord, parce qu'il nous faut aussi une opposition.
20:31Parce que sinon, on peut se battre pour faire ce qu'on veut.
20:37Mais il faut une opposition et une société civile pour le faire.
20:41Il faut aussi des journalistes qui alertent.
20:44C'est pour ça qu'on sait que ce n'est que le peuple qui les regarde.
20:48L'opposition s'est consacrée par la constitution, même son chef.
20:54C'est pour ça qu'il faut juger les uns les autres.
21:02Et essayer de laisser les suffrages.
21:04C'est ce qu'on veut, c'est ce qu'on doit faire.
21:07Donc, il ne faut pas se battre pour tout le monde.
21:10Mais on ne peut pas se battre pour tout le monde.
21:14Même pour les gouverneurs, on ne peut pas se battre pour tout le monde.
21:20Donc, il faut une opposition et une société civile pour le faire.
21:24Et puis, il faut une politique.
21:27On ne peut pas se battre pour l'opposition au Sénégal.
21:31Je crois qu'il y a des principes dans ce pays.
21:34Tu n'as pas besoin d'une politique pour le faire.
21:36C'est toujours bien de jouer le rôle de contre-pouvoir.
21:40C'est-à-dire que l'opposition ne va pas se battre pour tout le monde.
21:43Mais au Sénégal, la conscience de l'Askan est plus forte.
21:48On ne peut pas se battre pour l'opposition.
21:49C'est l'Askan qui se bat pour lui-même.
21:51Je crois que ce qui s'est passé ici depuis 2020, c'est ce qu'il s'est passé là-bas.
21:55On ne peut pas se battre pour l'objectif réel.
22:01On peut se battre pour quelqu'un d'autre.
22:03Je veux dire que la méthode que nous utilisons est la cause du problème.
22:09La méthode que nous utilisons est la cause du problème.
22:12On ne peut pas se battre pour tout le monde.
22:17C'est comme si on était toujours dans l'excès.
22:19C'est bien de se battre pour l'opposition parce qu'on ne peut pas se battre pour nous-mêmes.
22:25C'est ce qu'il m'a expliqué.
22:28Mais on ne sait pas où on va.
22:32On n'est que dans le début.
22:35Il est temps de voir la méthode que nous utilisons.
22:39C'est ce qui peut changer les choses.
22:42Quelle que soit la manière d'être positif pour le pays,
22:47il est temps.
22:49C'est ce que je veux dire.
22:51Je vous donne l'exemple du ministre de la justice qui est là.
23:00Il est de l'opposition, non?
23:02C'est une question de ministre de la justice.
23:04On ne peut pas se battre pour tout le monde.
23:09On est dans une difficulté extrême.
23:13On ne peut pas se battre pour tout le monde.
23:17Avant de vous parler, j'ai parlé avec le premier ministre de l'Islam.
23:25On s'est dit qu'il était le premier ministre de l'Islam.
23:36Si on prend l'exemple du président Sonko, c'est ça.
23:42Mais il n'a pas le droit de se battre pour tout le monde.
23:47C'est une question de contexte.
23:50C'est ça le problème au Sénégal.
23:53On doit se battre pour les choses qui se passent au Sénégal.
23:58Tu penses qu'on doit t'anticiper?
24:02Non, je pense qu'il y a de l'opposition ici.
24:05Tu parles de pacifisme.
24:07On va accepter ce qu'il y a de pacifiste.
24:11Mais qu'est-ce qui t'inquiète?
24:15Qu'est-ce qu'il y a alors?
24:17Je t'ai expliqué tout ce qui s'est passé au Sénégal successivement.
24:21Mais regarde-le.
24:23C'est un problème avocat.
24:25On a beaucoup de ministres qui n'ont pas de rapport avec les autres.
24:30Tu le vois ici?
24:33Oui, c'est ce que je veux dire.
24:35Il y a des ministres qui n'ont pas de rapport avec les autres.
24:39Oui, c'est ce que je veux dire.
24:41Mais maintenant, il y a des ministres qui n'ont pas de rapport avec les autres.
24:44Laisse-moi t'expliquer.
24:46Je ne vais pas t'expliquer pourquoi je t'ai dit ça.
24:49Est-ce qu'il y a de l'opposition ici qui va s'occuper de ces ministres?
24:57Je vous ai dit qu'il y a beaucoup de ministres qui n'ont pas de rapport avec les autres.
25:01Dans le passé, tout ce qui existait ici n'était pas un problème.
25:05Il y a des gens qui veulent s'occuper d'eux-mêmes mais ils n'ont pas de rapport avec les autres.
25:10Pourquoi?
25:12Arrête de me poser cette question.
25:14Je sais bien que tu ne le sais pas.
25:16Mais il a posé la question.
25:18Je suis le gouverneur de l'Amourba, tu sais ce que je veux dire?
25:22J'ai un plan Sénégal émergent.
25:24J'ai un plan Sénégal émergent.
25:27Les meilleurs taux de croissance de l'économie et des finances que j'ai dans le Sénégal.
25:34Si tu es le gouverneur de l'Amourba, c'est ce qu'on t'a mis sur la table.
25:38Les autres fonctionnent comme des milliardaires mais...
25:41Ils ne peuvent pas s'occuper d'eux-mêmes.
25:43Si je peux confirmer qu'il y a des milliardaires dans l'Amourba,
25:52je ne sais pas ce qu'il y a de plus important.
25:56Je vais l'écouter et on verra.
25:57Mais si je le fais sur la logique...
26:00Si je le fais sur la logique, on verra les gestionnaires.
26:04Si je le fais sur la logique, le plan Sénégal émergent a fait un très bon tour.
26:11Je veux dire qu'il n'y a pas d'inégalité dans l'économie.
26:17Si tu es le gouverneur de l'Amourba, tu as gagné 20 ans et tu es un multimilliardaire.
26:26C'est ce que j'ai pu voir dans le Sénégal.
26:29Tu es un fonctionnaire.
26:31Je te dis que tu as gagné 20 ans et tu es un milliardaire.
26:36Mais il faudrait encore prouver ça.
26:39Non, ne me dis pas ça.
26:43Si tu as beaucoup d'argent, tu pourras faire de l'argent.
26:46Il y a des millionaires dans l'administration.
26:53Je ne suis pas le seul à poser cette question.
26:56Je ne suis pas le seul à savoir si c'est un multimillionnaire ou un milliardaire.
27:02Ne posez pas cette question aux gouvernants.
27:05Je ne suis pas exclu de la manière générale.
27:08Je ne suis pas exclu de la manière générale.
27:12Si tu n'écoutes pas ce que j'ai dit, c'est parce que tu es riche.
27:20Si tu écoutes Ousmane Sonko, il est hyper riche mais il n'y a pas de commerce sur l'Atam.
27:27Il n'y a pas de commerce sur l'Atam.
27:32Tu n'as pas de commerce sur l'Atam, c'est juste des présomptions.
27:34C'est pour ça que je pense que c'est la vraie psychose de nos jours.
27:40Est-ce qu'on ne peut pas se demander pourquoi on ne peut pas s'occuper d'eux?
27:47Est-ce qu'on ne peut pas se demander pourquoi on ne peut pas s'occuper d'eux?
27:52Est-ce qu'on ne peut pas se demander pourquoi on ne peut pas s'occuper d'eux?
27:57Il y a beaucoup de problèmes qui doivent être résolus.
28:00On doit être capable de s'occuper d'eux et de les rattraper.
28:07On doit poser ce problème là-bas.

Recommandations