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00:00C'est la civilité qui a fait ça.
00:05Oui mais on ne connait pas les acteurs politiques au Sénégal.
00:12Je pense qu'ils sont toujours en mesure de trouver des plans de convergence.
00:19Je n'ai jamais entendu parler de divergences de vues sur la télévision.
00:25Ce sont les vrais acteurs politiques qui le portent.
00:29On ne sait peut-être pas ce qu'ils font sur internet.
00:35Les divergences ne sont pas fondamentales.
00:42Ce sont des divergences de vues et de points de vue.
00:51Je pense qu'ils sont toujours en mesure de trouver des plans de convergence.
00:55Parfois, les gens le savent.
00:58Parfois, les gens se sentent des numéros, ils parlent et discutent.
01:04Parfois, il y a des conséquences et tout ça doit exister en politique.
01:08C'est off the record comme on dit.
01:11Les gens ne le voient pas, ils parlent sur la télé, sur internet.
01:17Ce ne sont pas des acteurs majeurs qui le portent.
01:21Mais je pense que ce n'est pas une chose nouvelle.
01:23Il y a des divergences de vues sur le PS, sur le PS, sur les parcs de gauche.
01:30Il y a aussi des divergences entre Aboulaye Wad et nous.
01:35Mais les gens se retrouvent.
01:37Avant de parler de PASSEF, on avait une première divergence de 2000 à 2012.
01:43De 2012 à 2019, c'était fondamentalement PASSEF.
01:48Et maintenant, on est dans le PASSEF.
01:52Pour dire la vérité, on est tous ensemble.
01:55Les gars, on ne peut pas continuer sur internet.
01:57Mais les gars, entre nous, on est des gentils.
02:00Je pense que les jeunes doivent le soutenir.
02:02Je vois que vous êtes les deux.
02:04C'est un plateau qui est difficile, mais en dehors quand même.
02:07C'est notre ami, Amit Pong.
02:11Parce qu'il n'y a pas d'animosité.
02:14Je l'aime, je l'aime pas, je sais.
02:16C'est ce qui se passe.
02:17Même parfois, sur Facebook,
02:20les gens ne comprennent pas.
02:24Parfois, il y a un message, mais il y a quelqu'un qui débarque de là-bas,
02:28il ne comprend pas, puis il vient et insulte.
02:30Il rend l'ambiance un peu compliquée, un peu difficile.
02:34Finalement, c'est comme ça.
02:36Mais dans la vie réelle, on est invités tous les jours.
02:39Avant l'émission, on ne se comportait pas.
02:42On est des amis, on a pas de problème.
02:45Donc, c'est ça la politique.
02:47Maintenant, il faut juste apprendre, les jeunes doivent apprendre.
02:50Si on peut, c'est parce qu'on a appris à s'exprimer.
02:54Si on est des gars, on s'exprime avec des divergences de vie fondamentales.
02:58Entre Abdoul Rahim Agne et Idriss Seck,
03:01les gens nous rappellent encore de leurs débats.
03:03Les gens nous rappellent encore des débats entre Mbaye et Mourdiagne Fadel.
03:08Donc, on s'habitue à ça.
03:10En fait, il y a des joutes verbales.
03:13Quand on parle avec des gars, c'est comme ça.
03:18Mais au-delà de tout, on est des gars.
03:21C'est une chose, c'est vrai.
03:25Donc, c'est ce que je veux dire.
03:27Donc, c'est des choses qui arrivent.
03:28Mais il n'y a pas d'échec.
03:31Effectivement, la question vient à soi-même,
03:33parce qu'on est dans le corps.
03:34Donc, il y a de l'amitié, de l'amitié, de l'amitié.
03:37Donc, c'est toujours important de rappeler ça.
03:40D'accord.
03:41Si tu as fait tous tes débats, je t'en prie,
03:43tu as débattu avec le président de la République,
03:46parce qu'il n'y a pas d'opposition,
03:48tu as débattu avec tout le monde.
03:50Il n'y en a pas beaucoup qui ont débattu.
03:52Il y a Mbaye, Mbareme Souleil.
03:53Mbareme Souleil et Mbareme Mbareme Souleil ont tous débattu.
03:56Si tu n'as pas fait tous tes débats, il n'y a pas de débat.
03:58Si tu n'as pas fait tous tes débats, il n'y a pas de débat.
04:02Bon, j'avoue que tous les débats que j'ai eu avec eux,
04:08je l'avoue honnêtement, à chaque fois que je débattais avec eux,
04:11c'était sur des questions de principe, sur des questions économiques.
04:14Je me rappelle un jour, Mbareme Souleil venait débattre,
04:16j'étais avec un gars dans une chiffrure,
04:18il m'a dit que tous les débats étaient sur des chiffres déprimés.
04:21J'ai essayé de lui donner une direction,
04:23il m'a dit qu'il allait à Flanders,
04:24mais je commençais juste par dire qu'il allait dans une chiffrure.
04:26Il m'a dit qu'il allait à côté de la chiffrure.
04:28Mais bon, tous ces choses, je sais qu'il y a de l'amitié.
04:30Bon, comme je l'ai dit, tous les débats m'ont marqué.
04:34Même avec le président Diomaye.
04:35Oui, Diomaye, bien sûr, parce que c'est un homme très correct,
04:39il faut le dire, très courtois.
04:41Donc, il a débattu avec nous et tout.
04:42Bon, il y a tout ce qu'il y a.
04:44Donc, vraiment, et moi, je le dis avec le recul,
04:47bon, les rares choses, je suis d'accord avec le passé quand même.
04:51Je vous le dis, c'est grâce à Dieu.
04:52Vous savez, maintenant, au Sénégal, il y a beaucoup de choses à dire.
04:55Maintenant, quand vous parlez, vous dites que vous n'êtes pas d'accord.
04:58Non, je suis d'accord.
04:59Je suis dans l'opposition, je m'oppose et je l'assume.
05:03Alors, si je suis interpellé dans des cas, je ne sais pas comment dire,
05:07si j'ai la possibilité de vous parler bien,
05:10et que je sais que vous êtes d'accord, je vous le dis.
05:12C'est parce qu'ils ont contribué à relever les débats politiques,
05:15ça, il faut le dire.
05:16Ce sont les rares choses, d'ailleurs, je suis d'accord avec eux.
05:19Mais ça, c'est à un moment donné.
05:20Et maintenant ?
05:22Non, non, à un moment donné, ça dit de 2014, je me rappelle bien,
05:25jusqu'en 2019, bon, vraiment, ça, je peux le témoigner.
05:28J'ai eu une période où je disais que si je débattais avec eux,
05:30je n'allais pas réussir.
05:32Mais j'avoue qu'à part de 2019, en 2020,
05:34les gars, ils ont radicalement dépassé.
05:36C'est pour ça qu'ils ont commencé à dire qu'ils n'allaient pas réussir.
05:37Voilà, voilà.
05:38Mais après, les choses ont bougé, avec les jambolisations,
05:41il y a eu beaucoup de jambolisations.
05:43Ils ont commencé à communiquer, à parler de leurs affaires.
05:46Ils ont dit qu'ils n'avaient pas le temps.
05:49Ils ont contribué à nous jamboliser comme ça, parce qu'ils avaient intérêt.
05:52Tu sais, mais déjà, pour coordonner un produit,
05:55il faut être fonctionnaire de l'agriculture.
05:57Oui, oui, mais tu sais, c'est ça.
05:59C'est un peu comme ça.
06:01Je me disais, non mais on découvre Pape Malik, mais je dis mais...
06:04C'est vrai, mais tu ne dois pas être fort.
06:05Parce que je te dis, il y a une autre vidéo que j'ai vu, tu la connais?
06:09Bon, le président Maxal, je te le dis,
06:10le président Maxal, je l'ai vu en ce moment.
06:12Parce que Pape Malik, quand on l'a vu en l'encomposant,
06:14il avait dit que c'était le pape Malik qui avait le pouvoir.
06:16Parce que pour beaucoup de questions techniques, parfois,
06:17on se demande, si ce n'était pas Pape Malik,
06:21est-ce que l'ambassadeur ne serait pas au niveau de l'affaire?
06:23Parce que quand on est dans les débats, il y a des chiffres ou des mots techniques
06:26un peu sur certains ministères.
06:27Tu as l'habilité pour sortir de tes discours et faire quelque chose d'audible.
06:32C'est ce que Pape Malik doit préparer le produit pour faire.
06:35Ou est-ce que c'est parce que c'est trop tard?
06:36Ou est-ce que c'est parce que le niveau de débat aussi,
06:37c'est ce qu'il doit faire exactement?
06:39Tu sais, l'affaire, si tu veux, il y a des profils.
06:40Moi, peut-être, j'ai eu l'occasion, on parle de questions économiques.
06:44On parle de questions financières.
06:45On parle de gestion publique.
06:47Bon, moi, peut-être, c'est ce que j'ai appris, c'est ce que j'ai travaillé.
06:49C'est ce que j'ai fait.
06:50Mais on aurait dû parler d'autre chose, du droit, par exemple.
06:53Bon, il y a des gens qui sont plus habilités à l'affaire pour parler de ça.
06:55Bon, maintenant, par rapport à Pape Malik,
06:58qui vient, qui impose des débats politiques, des débats techniques et tout,
07:01je pense que je parle sous votre contrôle.
07:03Avant 2019, avant 2020, avant 2021, vous pourriez m'inviter.
07:07Tu sais, moi, c'est ce que j'ai fait depuis longtemps.
07:09J'ai appris, j'ai appris l'économie.
07:11J'ai appris l'économie, j'ai appris la science, j'ai appris l'université de Dakar,
07:14j'ai appris le chiffre, j'ai appris l'économie, j'ai appris l'économie.
07:18Tu vois, j'ai fait mon parcours, c'est un parcours honorable.
07:21Je pense que je n'ai jamais repris une pauvre classe.
07:23Je parle sous le contrôle de mes collègues.
07:26J'ai appris le troisième cycle.
07:29Tu vois, ils ont déployé le troisième cycle.
07:32Moi, je suis allé faire un doctorat, je suis allé travailler au ministère de l'économie et des finances.
07:35Moi, je suis allé au ministère de l'économie et des finances aussi, il faut que je travaille.
07:37J'ai profité d'ailleurs de l'occasion pour s'entendre avec l'économiste Pierre Ndiaye.
07:45Pierre Ndiaye, c'est lui qui a fait la planification.
07:47Non, c'est DGPP, avant il avait été dans la prévision des économies.
07:51J'ai eu l'occasion d'intégrer là-bas.
07:53J'ai travaillé là-bas, j'ai travaillé au bureau des finances publiques.
07:55Donc, j'ai appris beaucoup.
07:56Ceux qui sont là-bas, ce sont des anciens collègues que je connais très bien.
08:02J'ai travaillé avec eux.
08:03Donc, si vous avez des profils, le débat n'est pas imposé.
08:06Si vous avez des profils, le débat n'est pas imposé.
08:08Maintenant, les gens avaient intérêt à présenter le pape Malick sur un R.
08:13Ils les registrent.
08:15Oui, parce qu'ils avaient intérêt.
08:16Si vous avez des amis qui veulent vous montrer que vous n'êtes pas capable de faire des choses,
08:22vous pouvez le faire.
08:23Mais là, la vérité a fini par triompher.
08:27Parce que c'est fini, la politique est finie.
08:30Je suis là pour assumer ma responsabilité.
08:32Moi, je suis un profil politique.
08:34Je suis très technique, c'est vrai, je suis d'accord.
08:36J'ai appris, j'ai développé, j'ai travaillé.
08:37Et la preuve, c'est que j'ai connu mon travail.
08:40Mais par contre, je suis un homme politique.
08:41Parce qu'à l'âge de 29 ans, j'étais président du conseil départemental.
08:44C'est important.
08:46Donc, tu voulais venir ici.
08:47En 2014.
08:48J'étais président du conseil départemental.
08:50Donc, quand j'étais là-bas, on m'a dit qu'on n'allait pas là-bas.
08:52Je me suis dit que si je n'allais pas là-bas en 2014, je n'allais pas être PDS.
08:55C'est ce qu'on disait.
08:57C'est ce qu'on disait sur la télé.
08:58Non mais c'est vrai.
08:59Je te dis que si quelqu'un veut venir ici, je le ferai.
09:01Quand je suis allé là-bas, je n'étais pas PDS.
09:04J'ai perdu le pouvoir en 2012.
09:06Deux ans après, je suis allé à l'élection avec eux.
09:07Dieu m'a mis en place.
09:08Non, c'est pour les ministres.
09:10Oui, oui.
09:11Je n'étais pas candidat, mais j'ai encadré des jeunes qui étaient là-bas.
09:14Il y avait des candidats.
09:15Dieu m'a mis en place.
09:16Donc, je suis allé à l'élection, j'ai gagné.
09:18Tu vois, j'ai eu l'expérience de gestion de la communauté locale.
09:20Aujourd'hui, depuis 11 ans, je suis le président du conseil départemental.
09:24Malgré mon jeune âge.
09:25Depuis 11 ans, je gère la gestion publique du conseil départemental.
09:28Après, je n'ai pas perdu mon travail au ministère de l'Economie et des Finances.
09:31Je l'ai fait comme tout le monde.
09:33On m'a dit que je n'étais pas responsable, que je n'avais pas de travail.
09:35Je cherchais de l'expérience, mais j'avais des modèles.
09:38Je n'étais pas le président du conseil départemental.
09:40Je n'étais pas le président du département.
09:42J'ai respecté mes heures de travail.
09:44J'ai travaillé de 8h à 17h.
09:46Je n'étais pas sous le contrôle de mes anciens collègues.
09:48Mais j'ai respecté mon travail.
09:50J'ai travaillé de 8h à 17h.
09:51Je n'étais pas responsable de mes vacances.
09:54Donc, j'ai travaillé et j'ai eu de l'expérience.
09:56Président Maxalle, en 2019, m'a donné le produit.
09:58Je travaille ici comme je dois.
10:01Je travaille 7 jours.
10:02J'ai le plaisir de le dire, je travaille 7 jours.
10:05Je le dis souvent et j'en profite pour donner l'exemple.
10:08Vous avez des produits, vous en avez entendu parler.
10:09Vous en avez entendu parler de 29 milliards.
10:1129 milliards, on en a déjà parlé.
10:13Au Sénégal, on pense que 29 milliards sont la grande valeur du produit.
10:16Mais le Sénégalais ne sait pas qu'il y a un projet de 59 milliards.
10:20Si j'avais piloté ce projet, je n'aurai pas eu ce financement.
10:27Mais on devrait travailler pour faire des marchés.
10:29Moi, j'ai fait tout pour faire des marchés.
10:32Vous avez entendu parler du projet?
10:34Parce qu'il y a eu un scandale.
10:37Donc, il n'y a pas de scandale.
10:38Vous n'avez pas de scandale.
10:41Mais, est-ce que vous avez atteint votre objectif?
10:43Par rapport à ce qui s'est passé avec vous.
10:46C'est vrai que le rapport de la Cour des comptes l'a évoqué.
10:48Donc, il n'y a pas de scandale.
10:49Il y a des objectifs qui ont été fixés.
10:51Est-ce que les objectifs ont été atteints?
10:52Je ne sais pas.
10:53Mais je veux vous expliquer qu'aujourd'hui,
10:56quand on parle de scandale,
10:57je dirais que j'ai géré les 59 milliards.
11:01Je ne vous dis pas tout ça
11:02parce que le marché qu'on a créé, c'est de l'argent et de l'argent.
11:04Dans un pays normal, il n'y a pas d'argent.
11:07Je vous pose la question.
11:09Vous gérez les 59 milliards, il n'y a pas d'argent.
11:11Est-ce qu'on doit parler de l'argent?
11:12Je suis d'accord.
11:13C'est ce que je veux dire.
11:14Au Sénégal, si quelqu'un gère 100 ou 200 francs,
11:17on peut l'acheter.
11:18Quand je dis que j'ai géré les 59 milliards,
11:21dans 3 ans,
11:22j'ai envoyé des Sénégalais qui travaillaient là-bas
11:25jusqu'à ce qu'ils soient intégrés.
11:27Si je ne le dis pas, il n'y a pas d'argent.
11:28Et pourtant, si on dit qu'on a géré les 59 milliards,
11:31ça nous fait mal.
11:32Maintenant, tu as raison.
11:34Le rapport de la Cour des comptes l'a évoqué.
11:35Mais vous ne le connaissez pas.
11:36Quand on a sorti le rapport de la Cour des comptes,
11:38le 2 mai, je me rappelle,
11:39j'étais à la une partout.
11:40J'étais là-bas, je l'ai apporté, il m'a dit qu'il l'avait apporté.
11:43Un an après, je suis là-bas.
11:45Je suis là-bas ou mon père est là-bas.
11:47Je me rappelle encore une fois que je n'étais pas ministre.
11:53Si je suis épinglé dans le rapport de la Cour des comptes,
11:55on ne va pas attendre la Cour de justice.
11:56J'ai expliqué le rapport de la Cour des comptes
11:59mais les gens ont voulu qu'on fasse comprendre.
12:01J'ai rencontré quelqu'un qui m'a dit qu'il y avait 300 millions.
12:05Mais il n'y a eu pas mal de manquements dans le rapport de la Cour des comptes.
12:07Bien sûr, il y a eu des manquements.
12:09Il y a des objectifs qu'on n'a pas reçus.
12:11Je vais vous parler des objectifs plus tard.
12:14Je suis d'accord qu'il y a eu beaucoup de manquements.
12:16Mais personne n'a dit qu'il n'y avait pas mal de manquements.
12:19Et pourtant, dans les réseaux sociaux,
12:21il y a beaucoup de manquements.
12:25Est-ce que ce n'est pas là où se trouve le malheur aussi?
12:27Quelqu'un qui a réalisé qu'il a un objectif à atteindre
12:31et qui a fait des manquements.
12:33Très bien, ça me permet d'expliquer ce que j'ai fait au produit.
12:36Tu m'as demandé de m'expliquer ce que j'ai fait au produit.
12:40Je suis très fier de mon bilan au produit.
12:42J'ai réalisé deux choses au produit.
12:44Quand je suis venu, j'ai trouvé un projet de 29 milliards de dollars problématique.
12:49Quand je suis venu, j'ai réalisé qu'il n'y avait qu'une chose qui était prête.
12:52C'est d'aller au CFA.
12:55Il y avait des Israéliens là-bas et leur présence, je le dis aujourd'hui,
12:58c'est une présence qui n'a pas été expliquée.
13:01Mazar?
13:03Non, Green 2000.
13:05Tu entends bien?
13:07Il y a eu d'autres projets qui n'avaient pas commencé.
13:12J'ai rencontré un autre projet qui n'avait pas commencé.
13:15J'ai rencontré Kermomar Saar qui a commencé en 2017 et qui a arrêté en 2017.
13:20Voilà la situation que j'ai trouvée.
13:22Et j'ai rencontré un projet de 52 milliards de dollars qui a été financé en 2017.
13:26Mais le travail n'était pas suffisant car il n'y avait pas le marché.
13:30C'est ce que j'ai rencontré au produit.
13:32Donc, j'ai rencontré des Israéliens et leur présence au niveau du produit ne l'explique rien.
13:41Parce qu'ils étaient prêts pour l'exploitation du travail.
13:46Ils connaissaient l'économie.
13:48Donc, j'ai travaillé avec eux jusqu'à ce qu'ils nous donnent le marché.
13:53Aujourd'hui, ils sont là pour le marcher.
13:55Donc, j'ai commencé par Kermomar Saar.
13:57J'ai commencé par Kermomar Saar et j'ai travaillé.
14:00J'ai travaillé avec le président de Kermomar Saar et j'ai commencé par Kersambakan.
14:04Avec Senghal Cam.
14:06Oui, j'ai commencé par Kersambakan.
14:08Mais il y a beaucoup de choses qu'il faut vous expliquer.
14:13Je vais vous expliquer.
14:14Kersambakan a commencé par Kersambakan et j'ai commencé par Kersambakan.
14:19Senghal Cam a commencé par Kersambakan mais j'ai des problèmes fonciers terribles.
14:23Personne ne peut le comprendre.
14:24J'ai des problèmes fonciers mais je n'ai pas le droit d'y aller.
14:28Pour la petite histoire, j'ai des problèmes croustillants comme on peut le dire.
14:33On en a besoin.
14:35Parfois, j'ai reçu des menaces mystiques qui m'ont dit que j'allais mourir sur ce terrain.
14:42Oui, parce qu'il y a des menaces.
14:44Le président Maksal m'a demandé de démarrer les choses.
14:48Les jeunes parlent de tout ce que j'ai dit mais j'ai risqué ma vie.
14:54C'est pour ça que je suis venu ici.
14:57C'est pour la petite histoire.
14:58Les gens sont venus ici pour travailler.
14:59Les gars sont venus ici avec des pistoles et des fêtes.
15:02Mais je n'ai pas armé moralement les agents.
15:05J'ai travaillé pour rendre hommage à Saburindjaye, ancien deskos qui m'avait beaucoup aidé.
15:10L'autorité établie exerce ses besoins.
15:13On porte plainte.
15:16Mais l'état m'a porté plainte.
15:19On m'a fait des plaintes.
15:22Les Sénégalais m'ont dit qu'ils ne pouvaient pas m'écouter.
15:27Mais j'ai fait ça, j'en suis battu.
15:29J'ai exercé mes besoins.
15:32J'ai démarré mon travail.
15:34Lorsque j'ai démarré mon travail, l'état m'a donné des impôts.
15:38Il m'a donné des impôts.
15:40Je pense que le rapport de la cour record l'avait dit, il y avait beaucoup d'incombritudes.
15:45Si le contrat était lié à Green 2000, il y aurait eu des problèmes d'interprétation.
15:52C'est l'une des erreurs que nous avons eues à commettre.
15:56Green 2000 disait que l'affaire était hors-taxe et qu'il fallait payer les impôts.
16:01C'est l'interprétation qu'ils ont faite.
16:04L'état sénégal, à travers la direction générale des impôts et le domaine,
16:09a dit qu'il fallait payer les impôts.
16:13Malheureusement, le product a été victime de cette situation.
16:16C'est pour ça qu'il y a eu des arrêts des travaux au niveau de Saint-Galcam.
16:20Maintenant, le projet de 59 milliards, je l'ai soutenu.
16:24On a armé les agents, on a boosté l'affaire, on a géré en toute transparence.
16:30On a créé le marché.
16:32Je me souviens quand on a créé le marché.
16:34Je me souviens quand on a créé les commissions.
16:39Je me souviens quand on a créé le marché.
16:42Dès que c'était transparent.
16:44Oui, on l'a validé, on l'a publié.
16:46Maintenant, on ne sait pas où on est.
16:48Je ne peux pas vous dire qui est là ou qui est là.
16:50C'est 50 milliards.
16:51C'est pour ça qu'on a soutenu l'affaire.
16:53On a dit qu'il fallait payer les impôts et qu'on allait travailler.
16:55C'est ça le fruit.
16:56Parce qu'il y a beaucoup de choses qui se passent dans les bureaux.
16:58Il y a beaucoup de choses qu'on doit faire pour Saint-Galcam.
17:02Tout ça, on l'a fait.
17:04On a hérité d'une situation très compliquée.
17:06Ce que je vous dis sur le retard et le retard du projet,
17:09c'est que vous n'avez pas atteint vos objectifs.
17:11Mais je vous laisse 4 chantiers.
17:15Si je quitte le ministère de l'Agence, je vous laisse 4 chantiers.
17:18Donc, vous avez tous votre terrain.
17:20Il y en a un qui a été lancé.
17:22Il y en a un qui doit être inauguré.
17:24Je l'ai vu aujourd'hui.
17:25Il y en a un avec Fafé Kourou, Nyombato et Dodji.
17:28Dans un an, trois mois, cinq mois, six mois,
17:31s'il veut l'inaugurer, je ne serai pas présent.
17:34Mais vous le savez tous.
17:36Il y en a un qui a été lancé.
17:38Donc, je sais que vous allez vous dire
17:40qu'enfin, le projet est là.
17:43Mais il y en a un qui doit être inauguré.
17:46J'ai commencé les travaux.
17:48Maintenant, on parle de masse salariale.
17:50Il y a beaucoup de choses que j'ai fait.
17:53J'ai fait des études.
17:55Il fallait remettre en cause beaucoup de choses.
17:57J'ai amélioré le climat.
18:00J'ai amélioré la gestion budgétaire.
18:02Je me rappelle très bien.
18:04Mais en moins d'un an,
18:06j'ai amélioré le prix de 40 millions.
18:08Mais le recrutement n'est pas un problème.
18:10Je ne pense pas avoir de problème.
18:12Parce qu'on nous dit que c'est un leader.
18:14Après, on recrute.
18:16Je vais vous expliquer tout ça demain.
18:19Parce qu'on nous dit que c'est un leader
18:22qui a été recruté au product.
18:24Avant mon arrivée.
18:26Avant sa arrivée.
18:27Je vois que vous vous dites que c'est faux.
18:30Maintenant, c'est privé.
18:32Il a été recruté avant moi.
18:34Je me suis dit que c'était un leader.
18:36Il a été recruté avant moi.
18:38C'est une question que j'ai posée.
18:40Vous l'avez fait aussi.
18:41Non, je ne l'ai pas fait.
18:42Quand le product a été lancé,
18:44j'ai décidé de tout faire pour qu'il soit intégré.
18:48Il fallait qu'il y ait quelqu'un
18:50qui allait être le courant de transmission
18:53entre le product et les lutteurs.
18:55Pour expliquer leurs principes.
18:57Et il a bien fait son travail.
18:59Donc, j'ai dit qu'il n'y avait pas de souci.
19:01Pourquoi arrêter son contrat?
19:03Il a continué.
19:04Mais après, les gens ont diabolisé.
19:06Mais ce n'est pas grave.
19:07Donc, tout ça, on l'a fait.
19:09Je vous remercie de m'avoir donné l'occasion
19:12d'expliquer ce que j'ai fait au product.
19:14Et ce que j'assume.
19:15Parce que j'ai bien fait mon travail.
19:17Il y a eu des difficultés.
19:19J'ai travaillé avec eux.
19:21Mais quand je les ai rencontrés,
19:23ils me disaient qu'ils travaillaient pour moi.
19:25Aujourd'hui, il n'y a rien que je peux leur dire
19:27que je n'ai pas travaillé pour eux.
19:29Je vois ce qu'ils font sur les réseaux sociaux.
19:32Il y a un point dans le programme
19:35où on leur a donné 300 millions pour le product.
19:39C'est tellement ridicule.
19:41C'est faux.
19:42Je suis musulman.
19:44Je parle sur le contrôle des agents qui sont là-bas.
19:47Je ne vais pas vous dire ce qui s'est passé.
19:50Comme toute entreprise,
19:52il y a des avances sur le salaire que les gens se font.
19:54Comme toute entreprise.
19:55On sait qu'il y a des facilités qui n'ont pas d'intérêt.
19:59Je n'ai jamais pris ça.
20:02Je n'ai jamais pris ça avant.
20:04C'est-à-dire que c'est des permis pour les coordonnées.
20:07Bien sûr, je ne l'ai jamais pris.
20:09Même pour les crédits bancaires.
20:11Je n'y crois pas en réalité.
20:13Il y a un décret sur le salaire.
20:16Pour moi, il ne faut pas le faire.
20:18Parce qu'il n'y a pas d'argent.
20:20Rien ne peut le faire.
20:22Il ne peut pas faire la divergence de vie.
20:24Tu dois avoir la dignité de démissionner.
20:27Tu dois pouvoir prendre tes responsabilités.
20:31Je ne l'ai jamais fait.
20:33Après, il y a les affaires politiques.
20:35On a lancé le projet PDIS il y a quatre ans.
20:38On doit le lancer.
20:40Les salariés ne sont pas venus.
20:42C'est un genre de filial.
20:44Par exemple, le Sénéweb a un journal.
20:46On doit le lancer.
20:48Les salariés ne sont pas venus.
20:50On a pris 50 000 salaires.
20:52C'est ce qu'on a fait.
20:54Le PDIS est au niveau des salariés, 300 millions.
20:56Quand ils sont venus, ils m'ont dit qu'ils ne sont pas venus.
20:58Je n'étais pas venu.
21:00Mais quand je suis venu, j'ai rencontré un salarié.
21:02Il m'a dit qu'il avait 300 millions.
21:04Je lui ai dit qu'il avait 300 millions pour quelqu'un qui a quitté le projet.
21:09300 millions pour quelqu'un qui n'a pas encore remboursé.
21:12Il est là, debout.
21:14Il dit tout ce qu'il pense de ce pays.
21:16Il critique le gouvernement.
21:18Je lui ai dit que je n'avais pas 300 millions.
21:21C'est la meilleure manière de faire taire ton mari.
21:26C'est la meilleure manière de me faire taire.
21:28Ils ne vont pas le faire parce qu'ils savent que c'est ridicule.
21:31C'est des utilisations politiciennes.
21:33Pour déstabiliser une personne, pour diaboliser la personne.
21:35Mais encore une fois, je suis très fier de ce que j'ai fait au produit.