Retrouvez le replay de l'avant-course du sprint messieurs d'Antholz-Anterselva de la 6e étape de Coupe du monde de biathlon du 24/01/2025.
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SportTranscription
00:00Musique d'ambiance
00:24On retrouve en Tols tel qu'on l'aime avec le soleil,
00:27un temps magnifique pour ce site sublime qui accueillera encore une fois les Jeux Olympiques l'année prochaine.
00:32C'est la dernière étape avant les championnats du monde à Lenzerheide, étape cruciale pour l'équipe de France.
00:38C'est ce match France-Norvège, le Sprint Home, qui va nous occuper aujourd'hui avec toujours Marie-Anne-Sophie.
00:44Comment ça va ?
00:45Très bien.
00:46Oui ?
00:47Oui, on est en forme.
00:48Oui ?
00:49Notre troisième semaine, nous aussi, on se jauge peut-être qu'il y a des pratiques, mais nous on est là.
00:54Marie a l'air en pleine forme, n'a rien oublié, Marie, tu vas bien ?
00:57Tout va bien. Content de voir le beau ciel bleu là-bas.
01:02Vous n'êtes pas tête en l'air, Marie, ce n'est pas votre caractère.
01:05Non, pas du tout.
01:08Alexis, ça va Alexis ?
01:10Moi, j'ai loupé le départ, j'ai oublié mon verre.
01:12Votre verre ?
01:13J'en ai un, mais les biathlètes ne partagent jamais, ils font très attention aux éventuels virus, éventuellement.
01:22Tanguy va nous dire ça d'ailleurs.
01:24Vous êtes déjà sur le pas de tir, Tanguy, des traditionnels réglages qui ont déjà commencé.
01:31Oui, c'est la pause, là, ils viennent de changer les cartons.
01:33Bonjour à tous, avec le soleil, vous le réclamiez hier, 45% d'humidité Messaoud aujourd'hui.
01:40C'est deux fois moins qu'à Oberhof au début du mois.
01:43Alors, en altitude, l'air sec, attention au soleil.
01:46Qu'est-ce qu'on fait, Messaoud, évidemment ?
01:48Je vais le faire en direct, c'est hyper important avec le soleil qu'il y a.
01:52Et tous les athlètes l'ont fait, c'est de se mettre un petit peu de crème solaire avant de pouvoir bien regarder ce qui se passe sur les réglages.
01:59Et je peux vous dire qu'on peut en rigoler, mais en vrai, les athlètes, ils ont plutôt intérêt à bien se protéger du soleil,
02:05s'ils veulent bien finir la semaine et garder leur capitale peau parfaite, alors que les cafés arrivent sur le pas de tir.
02:13C'est Simon Fourcade qui apporte les cafés, ça c'est traditionnel.
02:16Et on ne rigole absolument pas, évidemment.
02:19Le café en direct.
02:21Magnifique.
02:23Toujours aussi sympa, Simon Fourcade.
02:25Alors là, je suis parfait, j'ai de la crème solaire partout sur le visage, j'ai le café, tout va bien.
02:30Vous avez vu comme l'ambiance est plus détendue.
02:33Je vous assure que c'est du café dedans quand il y a du soleil, quand il n'y a pas de vent sur les réglages.
02:38Et puis en plus, tous les coachs ont 2-3 minutes de marge, puisque effectivement, les cartons sont en train d'être changés.
02:43Condition facile, Jean-Paul.
02:46Vraiment, super condition.
02:48Pour l'instant, le Fagnon ne bouge pas, je pense que ce sera comme hier.
02:51Aujourd'hui, c'est vraiment comme hier.
02:54Jean-Paul est d'autant plus détendu que pour lui, il n'y a pas d'enjeu aujourd'hui.
02:57Ses filles ont bien travaillé hier, donc aujourd'hui, il observe et il scrute ce que fait son collègue.
03:02Il n'y a pas d'enjeu pour moi, je pourrais presque aller faire la sieste.
03:05Mais bon, quand même, je vais rester là.
03:07Il va y avoir une belle course, il vaut mieux rester bien réveillé.
03:11Jean-Paul Giacchino, le lendemain de la victoire de l'Ou, Jean Monod, évidemment.
03:15Marie ?
03:16On en rigole du soleil, mais par contre, il y a un facteur qui est important, c'est les lunettes de soleil.
03:20Et le fait de les enlever suffisamment tôt avant le pas de tir, parce que des fois, l'ensoleillement, comme ça, peut vraiment surprendre et éblouir.
03:27Et pour être bien éveillé, pour viser bien le centre de la cible, c'est important de ne pas les enlever au dernier moment.
03:33Et il faut les enlever à combien de temps avant ?
03:36Parce que c'est vrai qu'on aperçoit Jean Lesboe qui va continuer sa tournée d'adieu.
03:39C'est un peu avant d'entrer sur le tapis. Après, là, on est dans une arrivée en montée, donc on a besoin des bras.
03:45On a besoin d'utiliser les bras, donc il faut trouver un moment de relâchement où on peut patiner sans les cannes,
03:50pour pouvoir retirer ses lunettes sans perdre de temps sur les skis.
03:53Mais toutefois, en essayant de ne pas se faire surprendre par la luminosité, du coup, quand on les enlève.
03:58Tout ça avec l'altitude, la fatigue.
04:00C'est vous dire à quel point on a toujours autant d'admiration pour les biathlètes, avec tout ce qu'on vous raconte depuis le début.
04:07Anne-Sophie, l'équipe Connect avec votre petite tablette.
04:11Pendant que Joannès se prépare, il faut faire attention à la crème, s'alimenter visiblement également.
04:18Pour Joannès Beu, ça fait beaucoup de choses à penser avant le départ d'une course.
04:21Anne-Sophie ?
04:22Oui, vous pouvez continuer à réagir avec nous sur l'équipe Connect.
04:25Vous connaissez le chemin, vous allez sur l'application, le site l'équipe.
04:28J'y suis actuellement sur ma tablette, je vais sur l'onglet direct.
04:31Et sur le direct, je clique sur début de l'épreuve, sur ce sprint masculin.
04:35Nous voici arrivés sur cette page où l'on vous pose cette question.
04:38Quel est votre plus beau souvenir à Antolles ?
04:41On a dû faire un premier choix, un premier écrémage pour vous proposer la rasia de victoire de Joannès Beu.
04:49Le titre mondial d'Emilien Jacquelin sur la poursuite, c'était en 2020.
04:54Le titre mondial en relais en 2020 également, vous vous souvenez Messaou David, c'est l'arme de Martin Fourcade.
04:59La première victoire en carrière de Quentin Fillon-Maillet, c'était un an auparavant, en 2019.
05:05C'est dur.
05:06C'est très très dur.
05:07Mais comme vous n'aimez pas choisir, vous allez choisir le relais.
05:11Le relais c'est bien.
05:13Alexis ?
05:14Emilien pour moi.
05:15C'était vraiment une belle belle course.
05:18On reverra les images parce qu'effectivement ça nous a marqué.
05:22C'était des championnats du monde absolument extraordinaires avec cette équipe de France.
05:25On est donc en altitude à Antolles.
05:28On vous en parle énormément parce qu'on l'a déjà vu hier.
05:31L'impact qui était grand sur la course femme.
05:34La préparation de l'équipe de France, c'est important Alexis.
05:36On va apercevoir l'altitude des sites de stage de l'équipe de France.
05:40Et on est beaucoup plus bas que l'équipe de France féminine.
05:43C'est le choix qui a été fait par Simon Fourcade et tout le staff de l'équipe de France.
05:46Pourquoi ?
05:47Alors il y a quand même un petit peu d'altitude qui a été placée.
05:49Il y a également au niveau stratégique des choix qui ont été faits avec de l'hypoxie.
05:53On a vu notamment un reportage avec Emilien qui lui a pu installer une tente hypoxie carrément chez lui.
05:59On sait qu'après Manon au centre d'entraînement national, on peut aussi en faire.
06:03Donc il y a quand même eu du travail en altitude sans monter très haut.
06:06Et la stratégie surtout, on voit cette pente qui va descendre jusqu'à Souchennes.
06:10L'idée c'était vraiment cette année d'arriver avec une fréquence gestuelle de fin de préparation beaucoup plus élevée.
06:17Pour pouvoir être performant dès le début de la saison.
06:19L'année dernière, les garçons avaient terminé leur préparation en étant à B100.
06:22On avait senti un décalage.
06:24On vous l'explique souvent quand on s'entraîne en altitude, on a une gestuelle qui est plus lente.
06:27Et il faut parfois 3-4 courses quand on redescend d'altitude pour trouver le bon rythme.
06:31On avait eu ce décalage finalement que les hommes avaient subi toute l'année dernière face aux Norvégiens.
06:36Là on a voulu contrer ça.
06:37En tout cas le staff Simon a voulu contrer ça en accord avec les athlètes.
06:41Et ils ont décidé de finaliser leur préparation en étant plus bas en altitude pour être compétitif dès Souchennes.
06:46Et on voit que c'est une stratégie pour l'instant qui est gagnante.
06:50Puisqu'ils ont été dans le coup dès les premières courses à Contiolatti.
06:52Ils ont gardé le rythme.
06:53Et ils ont été pour l'instant sur une phase qui les propulse avec de la confiance.
06:58Avec toutes ces choses qui les accumulent et dont ils se servent de course en course.
07:01Il y a quand même de l'altitude à l'intérieur.
07:04Mais d'une manière un petit peu différente par rapport à l'utilisation que les filles ont pu avoir cette année.
07:09Et juste pour compléter sur l'altitude ici à Antolles.
07:12Je trouve que c'est plus impactant sur le côté tir.
07:16Notamment sur les premières balles du tir couché.
07:18Que sur le côté physique.
07:20Sur le côté physique on a vraiment des biathlètes qui pour certains n'y arrivent pas du tout.
07:23Et passent complètement à travers.
07:24Mais c'est une toute petite proportion.
07:26Par contre quasiment tout le monde doit faire extrêmement attention sur sa première balle du coucher.
07:31Où on le voit on arrive vraiment en étant beaucoup plus essoufflé que d'habitude.
07:35Avec surtout des battements cardiaques qui sont plus lourds.
07:37On les ressent plus.
07:38Ça fait bouger la carabine.
07:40Et on peut se faire piéger.
07:41Si on coupe trop longtemps sa respiration sur la première balle.
07:44Derrière on est en dette d'oxygène.
07:46Pour la deuxième et la troisième.
07:47On peut également sur le debout avoir des fois un décalage.
07:50Entre ce qu'on voit et la réalité.
07:52Parce que le cerveau est un peu en manque d'oxygène.
07:55On y reviendra sur le tir.
07:57Hier c'était flagrant.
07:58Notamment pour Justine.
08:00Sur sa manière de prendre la respiration.
08:02Marie.
08:03Mais on va aller retrouver Tanguy.
08:05Parce qu'il a quelques précisions sur le stage.
08:07De près Manon Tanguy.
08:09Tout à fait.
08:11Ils ont fait peut-être moins de blocs d'altitude.
08:14Ce que disait Alexis.
08:15Que les filles.
08:16En revanche.
08:17Ils ont fait.
08:18Et c'est presque une première.
08:19Un bloc de trois semaines complètes d'altitude.
08:22Après Manon.
08:23Avec d'abord une semaine à la maison.
08:26Émilien Jacquelin.
08:27C'était avec une tente hypoxie.
08:29Certains sont allés à Bessan.
08:31Éric Perrault est venu ici à Antolles.
08:33Sur cette période là.
08:34Et puis ensuite.
08:35Ils ont fait dix jours complets.
08:36Après Manon.
08:37Dans des chambres hypoxiques.
08:38En dormant.
08:39En passant douze à quatorze heures par jour.
08:41En altitude.
08:42Tout en étant à mille mètres.
08:43Donc voilà pour la petite précision.
08:45Et justement.
08:46Vous parlez d'Éric Perrault.
08:47On va l'écouter.
08:48Vous l'avez retrouvé hier.
08:49Éric Perrault.
08:50Et il vous a raconté.
08:51Ce choix.
08:52De passer du temps à Antolles.
08:53Et il était en famille.
08:54À ce moment là.
09:08J'ai envie de travailler un petit peu.
09:10Bafouiller le sol.
09:11Prendre l'insta.
09:14Ouais.
09:15Bafouiller un petit peu.
09:16Plus le mouvement.
09:17La sortie de pas de tir.
09:18Un petit peu.
09:20Avec des calmes.
09:21Avec dragon.
09:22Je pense que ça serait bien.
09:23De répéter encore.
09:24Ici avec vitesse.
09:26Ouais.
09:34J'ai peur.
09:35J'ai peur.
09:37Je ne vais pas lire.
09:38Couché.
09:39Couché.
09:40Point de gauche.
09:42Je vais prendre des repères en famille.
09:44Avec mon père.
09:45On aime tellement échanger sur tout ça.
09:46Là on avait une semaine entière pour bosser.
09:48Donc finalement.
09:49Tous les trucs qu'on discute à la maison.
09:50On a pu les mettre en place sur le pas de tir.
09:52Comme là par exemple.
09:53Notamment on a discuté de la stratégie de l'arrivée.
09:55Par exemple.
09:56Qui va aujourd'hui maintenant faire le tour du pas de tir.
09:58Ou comment aborder les tirs.
09:59Ou quelques petits détails.
10:04Moi ce que j'aime.
10:05C'est l'environnement global ici.
10:06C'est-à-dire que je me sens un peu comme à la maison.
10:08Finalement ça ressemble un petit peu au fond de vallée.
10:10Que j'ai chez moi à Pézet.
10:11Ici finalement c'est une petite piste dans la forêt.
10:13Qui se foifille.
10:14Et ça j'aime bien.
10:15Je trouve que ça donne un petit esprit.
10:16Plus nature.
10:22Et l'occasion de remercier le frère d'Éric Perrault.
10:24Pour ses images.
10:25Et l'occasion également de vous dire.
10:26Que le documentaire.
10:27Un été chez les Perrault.
10:29Est disponible sur sa chaîne Youtube.
10:31En intégralité.
10:32Vous pouvez aller le visionner.
10:33Marie.
10:34C'est chouette de voir ça.
10:35Partagé en famille.
10:36Ça fait toujours rêver.
10:37De partager ça.
10:38Quand on a des enfants.
10:39Et on se projette toujours un petit peu.
10:41Non c'était juste pour.
10:42Revenir sur l'altitude.
10:43En fait.
10:44Après maintenant.
10:45Ils sont en capacité.
10:46De pouvoir justement.
10:47Vraiment fractionner.
10:48Les différentes altitudes.
10:49Auxquelles ils veulent.
10:50Soit s'entraîner.
10:51Soit dormir.
10:52Et c'est assez intelligent aussi.
10:53Justement de pouvoir avoir le luxe.
10:54De s'entraîner à mille mètres.
10:55Donc de conserver une gestuelle.
10:56Qui est proche.
10:57Qui est plutôt rapide.
10:58Comme on l'a évoqué tout à l'heure.
10:59Et puis de pouvoir.
11:00Par contre.
11:01Faire les récupérations.
11:02Et tout.
11:03Pour qu'en fait.
11:04T'avoir quand même la réaction du corps.
11:05Face à l'altitude.
11:06Qui est l'objectif recherché.
11:07De pouvoir fabriquer des globules.
11:08De pouvoir tester des protocoles.
11:09Etc.
11:10Sur la récupération.
11:11Donc c'est ce que Prémanon.
11:12Permet d'offrir aux athlètes.
11:13Et voilà.
11:14C'est utilisé par l'équipe de France.
11:15Un sujet passionnant.
11:16L'altitude évidemment.
11:17On continuera d'en parler demain.
11:18Parce que Tanguy.
11:19Il nous prépare un magnifique sujet.
11:20Sur cette question.
11:21Et on continuera d'en parler.
11:22Avant la poursuite.
11:23Et le relais demain.
11:24Parce qu'on a un enchaînement spécial.
11:25Du côté d'Antolles.
11:26Ce week-end.
11:27Avec les poursuites.
11:28Et le relais au programme.
11:29Quant à Firmailler.
11:30Il est là.
11:31Pour les traditionnels réglages.
11:32On retrouve l'équipe de France.
11:33Et Johannes Esbeu.
11:34Qui continue sa tournée d'adieu.
11:35Juste après ça.
11:54Au lendemain de la victoire de Loujamboneau chez les filles.
11:59C'est un match France-Norvège.
12:00Qui nous attend dans ces conditions idylliques à Antolles.
12:03Maître Johannes Esbeu qui continue sa tournée d'adieu.
12:06Après l'annonce de sa retraite.
12:08A l'issue de cette saison.
12:09Et non de la saison prochaine.
12:10Alors qu'on est sur le site olympique.
12:12Il devait disputer normalement l'année prochaine.
12:14Mais il a décidé de tourner la page.
12:16Dès la fin de la saison.
12:17On va donc profiter du roi Johannes.
12:18Jusqu'au bout de cette saison.
12:20Avec Alexis, Marie, Anne-Sophie.
12:22Le match France-Norvège.
12:23Anne-Sophie on va y plonger.
12:25Avec la start list.
12:26Antoine Aguigona sera le premier des 6 français.
12:29A prendre le départ de ce sprint.
12:30Il a le dossard 24.
12:32Il partira devant Emilien Claude.
12:35Deuxième français.
12:36Et puis ça va être le début de ce groupe rouge.
12:38Vous le savez maintenant.
12:39Avec Tarje Beu, Fabien Claude, Sturlala et Greg Johannes Beu.
12:43Ils vont se succéder.
12:44Il y a une minute d'écart.
12:45Entre chaque départ.
12:47Tommaso Giacomelle.
12:48Le dernier vainqueur de cette saison.
12:50Lui qui a remporté la Maastacht.
12:52La semaine dernière.
12:53Arup Olding partira 6 dossards.
12:55Devant Quentin Fillon-Maillet.
12:57On n'oublie pas également.
12:58Partine Huldal.
12:59Parce que le Norvégien a remporté.
13:01Un sprint cette saison.
13:02En l'absence devait être les Christiansen.
13:04On aura l'occasion d'en reparler.
13:06Certainement pendant la course.
13:07Emilien Jacquelin et Eric Perrault.
13:09Partiront vraiment tout à la fin.
13:11De ce gros groupe de leaders.
13:14On aperçoit Simon Fourcade.
13:17Sur le pas de tir.
13:19Sur la piste.
13:20Il discute avec Antoine Aguigona.
13:22Il sera le premier Français à s'élancer.
13:24On parlera de l'amour d'Emilien Jacquelin.
13:26Pour Antolles.
13:27C'est le sondage du jour.
13:28Il fait partie des choix.
13:29Des meilleurs souvenirs à Antolles.
13:31Avec le QR code en bas à droite de votre écran.
13:33On va accompagner la tournée d'adieu.
13:36De Johannes Boeh.
13:37La saga Boeh.
13:38Sur chacun des sites.
13:40Où il va nous offrir sa démonstration.
13:45On commence par Antolles.
13:47Les 10 victoires de Johannes Boeh à Antolles.
13:52En une minute.
14:48Il y a un record à aller chercher face à Björn Dahlen.
14:50Celui de Léonard Björn Dahlen.
14:52Et de 95 victoires en carrière.
14:54On compte tout.
14:55Et les courses en coupe du monde.
14:57Et les championnats du monde.
14:58Vous le constatez cet écart.
15:007 victoires pour l'instant.
15:01Laissées par au Panthéon du biathlon.
15:03Il reste 9 courses à Johannes Boeh.
15:06Pour aller les chercher.
15:07Il reste 9 courses au classement.
15:10Pour le classement général.
15:119 courses en coupe du monde.
15:12Et 4 courses individuelles au mondiaux.
15:14On comptera toutes les courses.
15:16Il en reste 13.
15:18Pour tenter d'égaler.
15:20Pour dépasser même Björn Dahlen.
15:23On sait qu'il n'est pas un homme de chiffres.
15:26De stade.
15:27De record.
15:28Johannes Boeh dans sa manière de s'exprimer.
15:30Mais celui-ci.
15:31Est-ce que vous êtes convaincu.
15:32Que ça va rythmer sa fin de carrière ?
15:34Je n'étais pas avec vous la semaine dernière.
15:36Comme tout le monde.
15:38J'ai été hyper surpris.
15:41Mais presque dans le bon sens de sa déclaration.
15:43De dire qu'il décidait d'arrêter.
15:46Même si les Jeux Olympiques arrivent.
15:47Même s'il y a des records qui sont en cours.
15:49Et qu'il pourrait battre presque facilement.
15:51Quand on voit.
15:52Tant qu'il est proche de Björn Dahlen.
15:53Dans une saison de plus.
15:54On pourrait se dire qu'il serait quasiment sûr de battre ça.
15:56Ça montre à quel point.
15:57Vous l'avez déjà dit.
15:58Et tout le monde dit la même chose.
16:00À quel point Johannes est un homme.
16:01Et un champion exceptionnel.
16:03Et à part.
16:04C'est un très très grand champion.
16:06Très performant.
16:07Qui peut être.
16:08Et moins auto-centré.
16:10Que la plupart des grands champions.
16:11Il est ouvert à l'extérieur.
16:12Et surtout.
16:13Il est ouvert à sa famille.
16:14Il a vraiment fait des choix importants dans sa carrière.
16:16Il a choisi de quitter Oslo.
16:18Où il s'entraînait.
16:19Pour aller vivre dans un tout petit village.
16:21Il a dû créer un pas de tir lui-même.
16:22Où on le voyait avec la pelle.
16:23En train de stabiliser la zone où il mettait le tapis.
16:26Il a acheté un tapis roulant.
16:27Pour pouvoir s'entraîner à domicile.
16:29Avec son enfant.
16:30Dans le berceau juste à côté.
16:31Voilà.
16:32Plein de choses qui montrent.
16:33Que c'est un homme.
16:34Avant tout.
16:35Qui aime la vie.
16:36Qui aime sa famille.
16:37Et qui aime ces choses-là.
16:38Et que le biathlon.
16:39C'était bien sûr.
16:43C'était un individu ultra talentueux.
16:45Et hors normes.
16:46Mais qu'il n'a pas fait en sorte.
16:48De devenir un ogre.
16:50Et ne penser plus qu'à ça.
16:51C'était vraiment.
16:52Pour lui.
16:53Une façon d'exprimer son potentiel.
16:55Et c'est vraiment pour ça.
16:56Que comme beaucoup de gens.
16:57J'admire Johannes.
16:58Je le félicite.
16:59Et oui.
17:00Sur cette fin de carrière.
17:01On a envie de l'accompagner.
17:03On a envie de le voir briller.
17:04On a envie de le voir.
17:05Pourquoi pas réussir.
17:06Ce record incroyable de Björn Dahlen.
17:07Qui nous paraissait démesuré.
17:09Et on sent qu'il en est capable.
17:10Même s'il arrêtera l'année prochaine.
17:11Et pour terminer.
17:12Dire que ça va considérablement changer.
17:13La vision de ces pré-olympiques.
17:14Pour les autres participants.
17:15Puisque imaginer l'année prochaine.
17:16Avec Johannes.
17:17Et imaginer l'année prochaine.
17:18Sans Johannes.
17:19Ce n'est plus du tout la même chose.
17:20On sait que.
17:21Quand il y a Johannes au départ.
17:22Il y a quasiment.
17:23A chaque fois.
17:24Une place de prise sur le podium.
17:25Là.
17:26Il y a beaucoup.
17:27Beaucoup d'athlètes.
17:28Qui vont se dire.
17:29Ok.
17:30Il y a une occasion.
17:31De vraiment devenir champion olympique.
17:32L'année prochaine.
17:33On va écouter Eric Perrault.
17:34Tiens.
17:35Avant de donner la parole à Marie.
17:36La question qui lui a été posée.
17:37Justement.
17:41Est-ce qu'il va prendre sa retraite ?
17:42Ça fait des chances de plus.
17:43De gagner.
17:44Est-ce qu'il le voit comme ça ?
17:45Ou pas Eric Perrault ?
17:46On se dit.
17:47En fait.
17:48À la place de Johannes.
17:49Il y aura un nouveau jeune.
17:50Qui sera super performant.
17:51Qui peut être meilleur que Johannes même.
17:53Donc.
17:54Non.
17:55Honnêtement.
17:56Je ne me dis pas qu'il y aura plus de place.
17:57Et oui.
17:58Par contre.
17:59C'est sûr que ça m'attriste.
18:00Forcément.
18:01Je pense que.
18:02Ça fait partie.
18:03Des très grands champions.
18:04Des légendes du biathlon.
18:05Donc.
18:06D'avoir pu le côtoyer.
18:07D'avoir pu courir avec.
18:08D'avoir pu commencer à le battre un petit peu.
18:10Aussi.
18:11Il me reste encore la fin de saison.
18:12Pour essayer de le battre.
18:13Mais.
18:14Et en tout cas.
18:15D'apprendre beaucoup de lui.
18:16Parce que.
18:17Quand on court avec des gens.
18:18Comme lui.
18:19On sent qu'il y a beaucoup d'expérience.
18:20Dans la gestion de course.
18:21Et juste de pouvoir l'observer.
18:22Quand on est côte à côte.
18:23C'est intéressant.
18:24Eric Perrault.
18:25Qui va continuer à s'inspirer.
18:26De Johannes B.
18:27Marie.
18:28Ce week-end.
18:29On était beaucoup dans l'émotion.
18:30Après l'annonce.
18:31De Johannes B.
18:32Maintenant qu'on est à Antolles.
18:33On bascule.
18:34Dans quel sentiment ?
18:35Est-ce que vous avez vécu ça ?
18:36De savoir que vous alliez arrêter votre carrière ?
18:38On vit comment les courses qui restent ?
18:40Est-ce que c'est quelque chose que vous pouvez partager ?
18:43On les vit comme une dernière.
18:45Pour chacune.
18:46Après.
18:47Chaque athlète.
18:48Je pense.
18:49Il vit différemment.
18:50En fonction des objectifs qu'il s'est fixés.
18:51J'ai l'impression que.
18:52Je ne suis pas sûre que Johannes B.
18:53Se sente vraiment concerné.
18:55Par tous ses records à battre.
18:56J'ai plutôt l'impression.
18:57Qu'il va essayer de faire du mieux qu'il peut.
18:59Comme à chaque fois.
19:00En fait.
19:01Donner un maximum de spectacle.
19:02Pour lui-même.
19:03Pour son public.
19:04Je suis sûre qu'on a une intention particulière.
19:06Sur chaque site que l'on quitte.
19:08Parce qu'on sait que c'est un peu la dernière fois.
19:10Que l'on peut courir sur ce site-là.
19:12Donc.
19:13C'est à la fois.
19:14Assez.
19:15Comment ?
19:16Assez détendu.
19:17A la fois.
19:18On a quand même envie de pouvoir être performant.
19:19Enfin.
19:20Je pense.
19:21Voilà.
19:22Chaque chose est appréhendée.
19:23De façon différente.
19:24Et en tout cas.
19:25Pour la perte que c'est.
19:26C'est sûr que c'est une grande perte.
19:27Pour le billet de long.
19:28Et en même temps.
19:29C'est aussi ça.
19:30La beauté d'un athlète de haut niveau.
19:32Je pense que Yoannès fera partie des personnes.
19:33Qui vont laisser une grande trace.
19:34En tant qu'athlète.
19:35En tant qu'humain.
19:36Mais.
19:37Après.
19:38Comme l'a dit Eric.
19:39Il y a des gens qui vont lui succéder.
19:40Il y a.
19:41Voilà.
19:42Il y a un nouvel ordre mondial.
19:43Qui va se mettre en place.
19:44Et.
19:45Pourquoi pas lui.
19:46Ce petit jeune.
19:47A qui il faisait allusion.
19:48Pourquoi ce ne serait pas Eric.
19:49Qui prendrait cette place-là.
19:50Voilà.
19:51C'est pour ça.
19:52Qu'on va continuer de profiter de Yoannès B.
19:53Jusqu'à la fin de la saison à Oslo.
19:54Donc.
19:55On va voir le classement général avec vous Anne-Sophie.
19:56Dans un instant.
19:58Oui.
19:59Je suis assez curieux.
20:00De voir comment Yoannès.
20:01Maintenant qu'il s'est libéré de ce poids.
20:02Parce que c'est un poids.
20:03Quand on le sent finalement.
20:04Dessouchen.
20:05Il nous l'avait dit.
20:06Il n'y est pas.
20:07Il n'était pas mobilisé.
20:08On se rappelle de cette interview.
20:09Qui nous avait marqué.
20:10En tout début de saison.
20:11Où il disait.
20:12Mais vraiment.
20:13Je n'y suis pas.
20:14Il a réussi après.
20:15A faire des belles courses.
20:16Et.
20:17A garder la tête du classement général.
20:18Mais globalement.
20:19Je pense qu'il traînait quand même un poids.
20:20En lui.
20:21De se dire.
20:22Je ne le sens plus.
20:23Je n'ai plus envie.
20:25Il a ressenti le besoin.
20:26A Rupolding.
20:27De se libérer.
20:28Parce que ça prenait.
20:29Trop d'importance.
20:30En lui.
20:31Et finalement.
20:32Le fait.
20:33De se libérer de ça.
20:34Je suis curieux.
20:35De voir.
20:36Si ça va le rendre plus fort.
20:37Et presque invincible.
20:38Parce que finalement.
20:39Maintenant.
20:40Il sait que c'est fini.
20:41C'est la fin.
20:42Il va vouloir en profiter.
20:43Ou au contraire.
20:44S'il est déjà passé à autre chose.
20:45De dire.
20:46Ça y est.
20:47Maintenant que je l'ai dit.
20:48Tout le monde sait que je vais arrêter.
20:49J'ai moins.
20:50Cet objectif.
20:51D'être toujours performant.
20:52De toujours gagner.
20:53Est-ce qu'il veut.
20:54Terminer en écrasant tout.
20:55Ou est-ce qu'il veut.
20:56Juste terminer.
20:57En faisant.
20:58Comme on le dit.
20:59Une tournée d'adieu.
21:00Avec peut-être.
21:01Moins de performance.
21:0295.
21:03C'est le chiffre.
21:04A aller chercher.
21:05Ce record.
21:06De Leiner.
21:07Bjorndalen.
21:08Il est à 88.
21:09Johannes Boeh.
21:10Et ce site.
21:11Et ce plan.
21:12Qui est absolument extraordinaire.
21:13A Antholes.
21:14On pourrait le regarder.
21:15Pendant des heures.
21:16On a l'impression.
21:17Que c'est une animation.
21:18Avec un fond vert derrière.
21:19Tellement c'est parfait.
21:20Anne-Sophie.
21:21Le classement général.
21:22Très.
21:23Très serré.
21:24Sturlala et Grede.
21:25A réduit l'écart.
21:26La semaine dernière.
21:27Il n'y a que 38 points.
21:28Entre les deux hommes.
21:29On a commencé.
21:30A faire les scénarios.
21:31Vous nous connaissez.
21:32Si Sturlala et Grede.
21:33Gagnent aujourd'hui.
21:34Et que Johannes Boeh.
21:35N'est pas dans le top 4.
21:36Donc ce n'est pas un scénario.
21:37Non plus.
21:38Impossible.
21:39Il est envisageable.
21:40Ce scénario là.
21:41Ce sera Sturlala et Grede.
21:42Qui sera en jaune.
21:43Sur la poursuite.
21:44Donc attention.
21:45C'est impératif.
21:46De marquer des points.
21:47Pour reprendre de l'air.
21:49sur ce classement général.
21:50Emilien Jacquelin.
21:51Et Antholz.
21:52C'est évidemment.
21:53Une histoire très particulière.
21:54L'amour.
21:55D'Emilien.
21:56Pour Antholz.
21:57Qui vous est résumé.
21:58Dans ce sujet.
21:59Si je ne me trompe pas.
22:00La première fois.
22:01Que j'ai couru ici.
22:02C'était un très bon souvenir.
22:04Parce que j'avais fini 5e.
22:05Du sprint.
22:06Et 6e.
22:07De la poursuite.
22:08Ce jour là.
22:09Je tire à 10 sur 10.
22:10Je donne 100%.
22:11De ce que j'ai.
22:12En engageant.
22:13Énormément.
22:14Et c'est passé.
22:15Emilien Jacquelin.
22:16Qui va aller signer.
22:17Son performance.
22:18En carrière.
22:19Une très belle 6e place.
22:20Pour Emilien Jacquelin.
22:21Je me rappelle.
22:22Être à la cérémonie des fleurs.
22:23Entouré de.
22:24Johannes Beu.
22:25Martin Fourcade.
22:26Anton Kipouline.
22:27Emine Zvencen.
22:28Arne Pfeiffer.
22:29Toutes ces personnes.
22:30Qui m'avaient fait rêver.
22:31De mes 15 à 22 ans.
22:32Et directement.
22:33Antholz.
22:34A une place importante.
22:35En tout cas.
22:36Dans ma carrière.
22:37Allez Emilien.
22:38On ne pense plus à rien.
22:39Il faut rester devant.
22:40Comme ça.
22:41Pour l'instant.
22:42C'est bien.
22:43On ferme la porte.
22:44Allez.
22:45Il va aller le chercher.
22:46Il prend seulement.
22:47La première victoire.
22:48De sa carrière.
22:49Elle est là.
22:50Et c'est un titre mondial.
22:51Magnifique.
22:52Deux réactions.
22:53M'ont surpris.
22:54Ce jour là.
22:55C'est premièrement.
22:56Johannes Beu.
22:57Qui.
22:58Dès que je passe la ligne d'arrivée.
22:59Me félicite.
23:00Avec un grand sourire.
23:01Et deuxièmement.
23:02Martin.
23:03Qui arrive.
23:04Quatrième.
23:05Et c'est vrai que.
23:06C'est peut-être la seule fois.
23:07Que je l'ai vu.
23:08Heureux.
23:09De passer une ligne.
23:10En étant le premier déçu.
23:11Finalement.
23:12Emilien Jacquelin.
23:13Où t'arrives.
23:14C'est la médaille de bronze.
23:15Qui est en train de se jouer.
23:16Je ne suis même pas forcément.
23:17Très certain.
23:18De me dire.
23:19Je vais jouer cette troisième place.
23:20Pour moi.
23:21C'est tout simplement.
23:22Le jeu.
23:23Et j'ai essayé de finir devant lui.
23:24Et c'est vrai que.
23:25Ce week-end là.
23:26En tout cas.
23:27M'a donné cette.
23:28Cette image.
23:29D'un très bon finisheur.
23:30Alors que.
23:31On va dire.
23:32Pas forcément.
23:33Ça dépend tout simplement.
23:34Contre qui je tombe.
23:35Et on va dire.
23:36Que les deux frères Beu.
23:37Sont là.
23:38Ils sont là.
23:39Ils sont là.
23:40Ils sont là.
23:41Ils sont là.
23:42Ils sont là.
23:43Ils sont là.
23:44Ils sont là.
23:45Les deux frères Beu.
23:46Sont peut-être.
23:47Moins bons finisseurs.
23:48Que moi.
23:49En tout cas.
23:50Celle que j'ai le plus apprécié.
23:51C'est non pas.
23:52Durant les mondiaux.
23:53Mais c'est l'année suivante.
23:54Sur le relais masculin.
23:55On va l'avoir.
23:56Ce remake.
23:57Du finish.
23:58De la poursuite.
23:59De l'année dernière.
24:00J'ai eu cette sensation.
24:01De revivre mon titre.
24:02De l'année précédente.
24:03Parce que je me retrouvais exactement.
24:04De la même manière.
24:05Avec Johannes Beu.
24:06Pour la victoire finale.
24:07Sur le site d'Antholes.
24:09Cette fois.
24:10C'est pour une coupe du monde.
24:11C'est pour tous les copains.
24:12J'ai eu cette sensation.
24:13De savourer.
24:14En fait.
24:15Ce qui s'était passé.
24:16Un an auparavant.
24:17Et la chance que j'ai.
24:18C'est que le finish.
24:19Se passe quasiment.
24:20De la même manière.
24:21Et je peux lever les bras.
24:22Devant lui.
24:23Et une nouvelle fois.
24:24Le panache.
24:25Emilia Jaclin.
24:26Et plus fort que Johannes Beu.
24:35Emilia Jaclin.
24:36Qui va tenter.
24:37Cette belle histoire d'amour.
24:38Avec Antholes.
24:39Anne-Sophie.
24:40Son histoire avec le sprint.
24:41Cette saison d'ailleurs.
24:42Ça donne quoi ?
24:43Il brille sur ce sprint.
24:44Emilia Jaclin.
24:45Pire position sur cette course.
24:46Là.
24:47C'est quatorzième.
24:48C'était Aor Filzon.
24:49Mais sinon.
24:50Vous le constatez.
24:51C'est deux podiums.
24:52Il a gagné le premier sprint de la saison.
24:53Et sur le dernier.
24:54A Oberhof.
24:55Il y a deux semaines.
24:56Il l'avait également terminé.
24:57Sur le podium.
24:58Si vous êtes logique.
24:59Il est bien placé au classement du sprint.
25:00Exactement.
25:01Avec 24 points.
25:02Seulement de retard.
25:03Sur Johannes Beu.
25:05Le match France-Norvège.
25:06Sur ce circuit masculin.
25:08Mais sur le sprint.
25:09Ça donne quoi ce match ?
25:10Parce qu'il y a beaucoup de suspense.
25:12Depuis le début de la saison.
25:13C'est égalité.
25:14Quatre sprints.
25:15Et quatre vainqueurs différents.
25:16Deux Français.
25:17Deux Norvégiens.
25:18Sur le premier de la saison.
25:19On l'a vu il y a quelques instants.
25:21C'est la victoire d'Emilia Jaclin.
25:22On était à Contiolarti.
25:24On bascule sous le soleil d'Aor Filzon.
25:26Et là.
25:27C'est Johannes Beu.
25:28Qui gagne ce sprint-là.
25:29Devant.
25:30Sur la Lagrède.
25:31Encore un Français.
25:32C'est Fabien Claude.
25:33Qui les avait accompagnés.
25:34Sur le sprint d'Annecy Legrand-Bornan.
25:37Douche froide.
25:38Pas de vainqueur français.
25:39Mais c'est Martine Houldal.
25:40Qui avait écrasé la concurrence.
25:43Cette fois.
25:44Il n'y avait pas de tricolore sur le podium.
25:45Mais ils se sont bien rattrapés.
25:46En revanche.
25:47Sur le premier sprint de 2025.
25:49C'était il y a deux semaines.
25:50À peine.
25:51Et on avait vécu.
25:52Une des plus grosses émotions de l'hiver.
25:54Quentin Fillon-Maillet.
25:55Fabien Claude.
25:56Emilien Jaclin.
25:57Tous les trois.
25:58Sur le podium du sprint.
25:59Avec la victoire pour Quentin.
26:01Et on signe des deux.
26:02Quatre.
26:03Six.
26:04Huit mains.
26:05Tous ensemble.
26:06Pour que ça se produise également à Antolles.
26:07Vous avez été visiblement influencé par Alexis.
26:09Le résultat du sondage.
26:10Le plus beau souvenir à Antolles.
26:12C'est Emilien Jaclin.
26:13Qui arrive en tête.
26:14Assez nettement.
26:15Même très nettement.
26:1654%.
26:17Son titre de champion du monde.
26:18En 2020.
26:19Allez.
26:20On vous laisse encore voter.
26:21Pendant la courte pause.
26:22Et même pendant la course.
26:23Le départ de ce sprint.
26:24Le match France-Norvège.
26:25C'est juste après ça.
26:26A tout de suite.