Retrouvez le replay du débat de l'Équipe de Greg du 23/01/2025.
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00:00Raphaël, vous avez beaucoup de talent, du coup vous allez vous en servir pour nous remontrer ce qu'il s'est passé hier dans cette soirée de folie.
00:05Ils ont eu beaucoup de talent parce qu'ils étaient menés 2-0, 50ème, 53ème et la révolte a été lancée à la 56ème avec Barcola
00:12qui va servir ensuite, nous naissent plus d'MBL 1-0 pour le PSG, 2-2, l'égalisation, la frappe de Barcola, incroyable la 60ème minute de jeu,
00:2078ème minute de jeu ensuite pour prendre l'avantage avec Joao Neves et puis Gonçalo Ramos marquera le but du 4-2.
00:29Le PSG remonte à la 22ème place avant le dernier match contre Stuttgart, il suffira d'un nul pour aller chercher la qualification au barrage.
00:38Alors vu le maniau, City donne des ailes pour le PSG, je vous posais la question, est-ce que ce PSG vous a fait rêver ?
00:43Regardons vos ardoises, c'est une question de circonstance, ah oui pour Alessia, il m'en fait espérer et ça en dit long ça pour Olivier Rouillet.
00:50Il y a 5 oui pour Ambre, c'est magique pour Karine, mais oui avec des points d'exclamation pour Jérôme et oui pour Raphaël.
00:57Olivier je vous garde un peu sous le coude pour se l'espérer parce qu'évidemment il y aura des choses à dire sur les projections, des choses à confirmer.
01:03Ambre je viens vous voir pour les 5 oui. On s'est dit à un moment, ça repart, ils sont incapables de marquer un but.
01:09Fabien Nruiz il a eu l'occasion, c'est sauvé par Guardiol, on peut lui donner le crédit aussi du sauvetage, ils en prennent deux avec concours de circonstance, ballon dévié, ce que vous voulez.
01:18On s'est dit à un moment, ils n'y arriveront pas. Qu'est-ce que vous retenez ? La révolte ou le jeu constant tout au long du match ?
01:25Les deux, Greg. C'est d'ailleurs pour ça que le PSG m'a fait rêver parce que ça y est, c'est un PSG consistant, un PSG constant et qui arrive à trouver des vertus mentales pour retourner un match.
01:34Quand ? C'est vrai, tout le monde se dit, ça y est, ça recommence, le scénario habituel, le pas de chance, pas de finition, pas de réalisme, un but refusé, pas grand chose.
01:42Et il y a eu plein de joueurs qui ont réussi à retourner, João Neves qui a réussi à retourner le but qui contre malheureusement, Barcola qui arrive à retourner sa première mi-temps en deçà, Ousmane Dembélé qui rentre alors qu'il arrive d'une grippe, sous des trombes d'eau et on a l'impression de la symbolique.
01:58Tout était fort et en effet, même le fait de renverser le match, la dramaturgie qu'il y a eu dans ce match c'est ça aussi.
02:03Mais moi je disais tout à l'heure en ouverture que ça faisait un moment qu'on n'avait pas eu un truc qui nous faisait un peu lever du canapé quand même, surtout du côté du PSG.
02:09Il y a eu tout, il y a eu le sel, il y a eu le coaching gagnant, il y a eu les émotions, il y a eu tout ce qui fait un magnifique match de football qui rentre dans le livre d'or du Paris Saint-Germain donc il m'en fait rêver.
02:17Et c'est un succès qui a fait rêver la France mais pas seulement. Toute l'Europe a été complètement électrisée par cette victoire du Paris Saint-Germain.
02:25Le Paris Saint-Germain qui a envoyé un message assez fort en Espagne. Par exemple, Marca parle d'une remontada épique, d'une leçon monumentale du Paris Saint-Germain à City, d'un PSG qui ressuscite d'une exhibition en deuxième période et on a pu même lire dans un autre article.
02:39Lucho, on ne fait pas ça à un ami. Evidemment en référence à l'amitié entre les deux entraîneurs, amitié vieille de plus de 30 ans.
02:47En Italie, la Gazeta dello Sport évoque un match spectaculaire avec un Paris Saint-Germain qui a souffert, qui n'a rien lâché mais qui a renversé la vapeur. Tout au sport parle de victoire sensationnelle.
02:58On file au Portugal où la rencontre a été très suivie en raison de nombreux joueurs portugais dans l'équipe. Malgré le faux départ en deuxième mi-temps, l'équipe de Luis Henrique était bien supérieure à celle de Pep Guardiola et l'a confirmé dans le dernier quart d'heure.
03:11Direction l'Allemagne, Bilt évoque un duel de géants, un énorme match du Paris Saint-Germain. Kicker évoque de son côté une volonté passionnée et dominante récompensée.
03:22Et forcément en Angleterre, on a un petit peu moins vibré. On est allé fouiller là encore les journaux britanniques. City a tout gâché, lâche le Daily Express en ajoutant que les joueurs de Guardiola ont implosé et gardent leurs espoirs européens suspendus à un fil.
03:37Même photo pour le Daily Mail avec le dépit d'Erling Haaland, le jeu de mots du Daily Star, Sacrebleu qui se transforme en Sacrebleu.
03:47Là encore, on parle d'explosion en plein vol, beau jeu de mots. C'est encore Erling Haaland qu'on retrouve avec le Daily Télégraphe, la reddition de City.
03:56Titre quotidien qui parle d'un sentiment de fin d'empire, de la plus grande capitulation de cette équipe des Sky Blues et le Guardian parle d'un désastre en défense.
04:06On termine avec les mots cinglants de Jamie Carragher, ancien joueur de Liverpool et aujourd'hui consultant pour CBS Sports. Ce soir, c'était 11 hommes contre 11 enfants.
04:15J'adore. Et Greg, vous parliez, ça faisait longtemps qu'on ne s'était pas levé de notre canapé devant peut-être un match du Paris Saint-Germain.
04:22Vous savez, dans le genre de l'équipe, on note les matchs en nombre d'étoiles. Donc ce match-là a reçu 6 étoiles et on a regardé la dernière fois qu'il y avait une victoire du PSG, un match 6 étoiles.
04:32Ça fait 4 ans. 4 ans, regardez, on a dressé la liste. Le dernier match 6 étoiles, la dernière victoire 6 étoiles du Paris Saint-Germain, c'était en avril 2021 lorsqu'ils avaient battu le Bayern Munich sur le score de 3 buts à 2.
04:44Après, il y a eu le Real en 2019, il y a eu deux matchs en 2017 mais c'est la première fois depuis 4 ans qu'on a une victoire 6 étoiles du PSG notée comme cela dans le journal.
04:52Parce que Jérôme, en fait, on va parler du classement. Ils ne sont que 22e et c'est totalement légitime d'en parler. La réalité, c'est que c'est normal qu'ils soient champions, c'est un train qui arrive à l'heure.
05:01En Coupe d'Europe, ils ont eu des demi-finales comme ils ont eu des huitièmes mais ok, le retour de Barcelone était super mais parfois, ce n'était pas toujours dingue.
05:08Je veux dire, l'Espagnol de Barcelone, c'était dans la Real Sociedad. D'autant pour moi, ce n'était pas dingue. Là, hier, c'était un drôle de bon match de foot.
05:16On est sur autre chose. Peut-être que je vais m'auto-bingoler, je ne sais pas.
05:19Non, les yeux.
05:20Mais moi, franchement, j'arrive à un moment de ma vie où c'est plus les émotions que le 4-4-2.
05:24Mais ça, c'est très propre à moi. J'ai vu tellement de matchs. C'est vrai que parfois, ce PSG-là m'ennuyait et on l'a dit six mille fois. Je ne comprenais pas trop où il voulait aller.
05:37Et surtout, je ne me levais plus de ma chaise.
05:39C'est l'âge.
05:42C'est l'âge.
05:43Jouer au Limbago, c'est pire.
05:44Mais égoïstement, hier, moi, j'ai kiffé une soirée comme depuis très longtemps.
05:53Mais PSG et Watt, confondus.
05:56C'est vrai que la veille, on avait eu le Benfica-Barça.
05:58C'était pas mal aussi.
05:59C'était parfait.
06:00Mais là, avec une équipe en plus, pour laquelle je suis impliqué émotionnellement.
06:04Je ne regarde pas le PSG comme je regarde le Monaco, par exemple. C'est normal.
06:07Mais c'était génial.
06:09Parlons plus tard du 4K2, de Stuttgart, des notes.
06:13Mais là, juste le début des débriefs, je trouve que c'est très bien qu'on aille sur ce qu'on a ressenti.
06:18C'était l'idée de construire l'émission comme ça.
06:20C'est dans l'émotion.
06:21Après, presque, je m'en fous du reste.
06:23Mais oui, hier, merci.
06:25Maintenant, laissez-moi un quart d'heure.
06:28Je vais échauffer un peu.
06:30Je vais arriver pour Stuttgart.
06:31Parce que si je fais tout ça pour perdre un Stuttgart, ce sera autre chose.
06:34Karine, c'est vrai qu'on se chambre un peu là-dessus.
06:37Vous étiez un peu déçu de beaucoup de matchs.
06:40On ne voit pas assez de bon foot en Ligue 1.
06:42C'est compliqué.
06:43Même en Ligue des champions, les matchs 4 à 3, on n'y arrive pas.
06:45J'ai vu Donetsk-Brest avant.
06:47Qui n'était pas fou.
06:49Hier, est-ce que vous avez pris du plaisir à regarder ce match de foot ?
06:53C'était génial.
06:54Comme je vous le dis, j'ai vu quand même Donetsk-Brest avant.
06:56J'étais bien enfoncée dans ma chaise.
06:58J'avais du mal.
07:00C'est un régal.
07:01Franchement, parce que même la première mi-temps, le PSG ne mène pas au score.
07:05Pense à voir où ouvrir le score.
07:07Pour une peau de genou, Hakimi est hors-jeu.
07:09Mais le contenu était génial.
07:11La première mi-temps, on ne l'a pas vu passer.
07:12Nous, on était à la radio.
07:13Arrête-je.
07:14Déjà, il y a 45 minutes qui sont passées.
07:16Il y avait un rythme de dingue.
07:17Il y avait des occasions.
07:18Il y avait tout.
07:19Le parc était magnifique.
07:20Non, il n'y avait pas tout.
07:21Le maillot de City, une horreur.
07:23J'ai rarement vu une horreur pareille.
07:24Sinon, tout était au rendez-vous.
07:26Je ne sais pas si ce n'est pas le maillot des frères Gallagher.
07:28C'est le maillot Asis.
07:30Je ne peux pas dire du mal parce que je les aime d'amour.
07:33C'est vrai qu'il est extrêmement laid.
07:35Le contenu du match était vraiment plaisant.
07:38Il y avait du rythme.
07:39Il y avait de l'intensité.
07:40Il y avait des occasions.
07:41Il n'y avait pas de but.
07:42Parfois, il n'y a pas besoin d'avoir de but en une mi-temps pour se régaler.
07:44La seconde période, c'est incroyable.
07:45Tu te dis que le PSG est marron comme d'hab.
07:48Ils ne convertissent pas leurs occasions.
07:50Derrière, tu as un grand d'Europe qui a de la qualité.
07:53Il est puni.
07:54C'est le fiasco.
07:55Il y a 17 points à moins d'eux.
07:57Je n'aurais jamais imaginé que le 2-0 se transforme en 4-2.
08:01Dembélé fait une mi-temps incroyable.
08:04Ramos, qui est visiblement un joueur de piètre au niveau aux yeux de Luis Henrique,
08:08sait encore marquer des buts comme très souvent.
08:10Tout est beau dans ce match.
08:12L'ambiance a contribué à tout ça.
08:14C'est vrai qu'avec la pluie, on se dit qu'ils prennent la flotte.
08:16Ils ont tout ça.
08:17Maintenant, Olivier Rouillet.
08:18Assez d'enthousiasme.
08:19Espérez.
08:20Vous êtes dans la projection déjà.
08:21Oui.
08:22Rêver, c'est beau.
08:23Rêver, c'est quand je dors.
08:24J'ai un rêve magnifique.
08:26Mais là, je ne me suis pas endormi.
08:28Je peux vous dire qu'à 2-0, j'étais prêt quand même à changer de chaîne.
08:31Je voulais voir ce que faisait El Bayern.
08:35Ce qui m'a plu dans cette rencontre, c'est la réaction.
08:41À 2-0, tu te dis que ça recommence.
08:44Il nous embrouille.
08:46On n'en peut plus.
08:47Et puis là, tout d'un coup, il se passe quelque chose de formidable.
08:49Il se passe quoi ?
08:50C'est que tu as Barcola qui se réveille, qui fait une passe extraordinaire à Dembélé.
08:53Et c'est l'enchaînement.
08:54C'est l'enchaînement.
08:55Et surtout, cette dynamique, cet état d'esprit.
08:58C'est pour ça que je vais rejoindre la question que vous nous posez tout à l'heure sur Enrique.
09:03J'ai le sentiment qu'hier soir, enfin, les deux sont compris.
09:07L'équipe et l'entraîneur.
09:08C'est-à-dire que là, il y a eu une expérience…
09:10Comme s'il s'était un peu lâché l'abri de même au bon temps.
09:12Les biorhythmes devaient être tous dans le bon sens, etc.
09:16Ça devait être génial.
09:17Et là, on a vu quelque chose.
09:19On a compris.
09:20On a compris enfin le travail d'Enrique depuis qu'il est au PSG.
09:23On a compris que les joueurs avaient commencé à sentir quelque chose.
09:26Le fait de marquer vite ce demain, ça change tout.
09:28Oui.
09:29On est clair.
09:30Ça, c'est l'état d'esprit.
09:33On a l'habitude de voir les Parisiens, samedi, tu les vois, ils sont menés en championnat.
09:40Ils reviennent, ils gagnent.
09:41A Lens.
09:42Ça paraît normal.
09:43À Monaco aussi.
09:44Non mais ça paraît normal.
09:45Et ça, c'est génial.
09:46C'est génial.
09:47Hier soir…
09:48Non mais là, c'est pas normal, effectivement.
09:49Hier soir, on a…
09:50Il y a une prise de conscience.
09:51Mais c'est ça.
09:52Mais surtout, il ne s'effondre pas.
09:53Dans le sport, la confiance, c'est la conscience.
09:57C'est-à-dire que dès que tu es conscient de tes forces, dès que tu prends, tu te dis
10:03mais ça y est, en fait, ce qu'on fait depuis une heure…
10:05C'est le 55e et le deuxième but.
10:07Non.
10:0850, 53, 56, 56.
10:09Mais ce qu'on fait depuis le début du match, c'est bien.
10:12Ils sont trop moyens pour qu'on les…
10:15Oui, mais c'était déjà bien.
10:16À la limite, c'était des bons moments contre la Vético.
10:18Mais c'est ça.
10:19Contre le PSG, ils ne marquaient pas.
10:20On n'est pas au top.
10:22Là, c'est vrai qu'Ariane a raison.
10:23C'était en continu.
10:24C'est la première fois que je vois ça.
10:25Oui, c'est un match plein du début jusqu'à la fin.
10:26C'est ça qui change.
10:27Et tu l'as dit, il y a quand ils ont eu 6 étoiles, c'était contre le Bayern.
10:30Mais regarde la composition du PSG.
10:32Et là, ça n'a rien à voir.
10:34Là, on ne parie pas une cacahuète dans l'once de départ.
10:36Mais c'est ça qui est important.
10:38Mais c'est ça qui est important.
10:40C'est pour ça que j'espère.
10:41Parce que ce n'est pas du tout la composition d'équipe qu'on a eue contre le Bayern de
10:45Munich.
10:46Tu n'as rien.
10:48C'est que le pari Saint-Germain, c'est vrai, a été constant.
10:51Mais dans le dépassement de fonctions.
10:53L'ancien, il y a eu un retournement.
10:54Mais on sait que le PSG qui a pas le droit de le faire, ils étaient quand même…
10:56Est-ce qu'ils ont quand même un refus de perdre là depuis tant de temps ?
10:58Oui, mais bien sûr.
10:59C'est vrai qu'à l'ancien…
11:00Il y a eu quelque chose.
11:01Ils sont plus forts.
11:02Et ils sont tous dans le dépassement de fonctions.
11:03Et d'un coup, ils reviennent.
11:04En Coupe de France.
11:05Non, mais là, il y a eu un truc.
11:06Il se passe.
11:07Là, il y a eu ce petit truc en plus.
11:08Mais du coach aussi.
11:09Vous savez, ce qui va se passer, c'est que des gens mal intentionnés vont nous dire qu'on s'enflamme.
11:14Mais c'est sûr.
11:15Je voulais volontairement qu'on s'enflamme ce soir.
11:18Si on ne le fait pas ce soir, on ne le fait jamais.
11:20Il a dit qu'il allait encore gagner la Ligue des champions.
11:21Bien sûr.
11:22Il dit qu'hier, ils ont fait…
11:23Mais je voulais que cette émission démarcasse.
11:25C'est quand même du fou.
11:26C'est émotion, quoi.
11:27Là, en plus, t'as un peu un plateau de passionnés.
11:29Si on s'enflamme, pas là.
11:30Franchement, t'attends le mois de mai, le quart de finale.
11:33On va pas raconter.
11:34On va pas raconter.
11:35Sinon, on se voit qu'en juin pour faire des mémoires.
11:36On tombera tête de haut.
11:37On sera peut-être déçus.
11:38Mais on prend le risque.
11:39Et on a beaucoup parlé aussi de cette ambiance.
11:41Cette ambiance incroyable hier au Parc des Princes en Briété.
11:44C'était un parc en fusion.
11:46Luis Henrique, avant le match, avait lancé un appel aux supporters.
11:50Et en arrivant en conférence de presse après le match, le premier mot qu'il a eu, c'était justement pour les supporters.
11:56Je tiens à dire que nous avons les meilleurs supporters du monde.
12:02Sans doute possible.
12:03C'est un plaisir de représenter ces couleurs.
12:10Je pense qu'aujourd'hui, on a réussi une remontada très spéciale.
12:15Et que ça reflète la mentalité de nos supporters.
12:20Lutter jusqu'au bout et ne jamais cesser de croire que tout est possible.
12:23Les supporters ont rêvé.
12:25Les téléspectateurs ont rêvé aussi.
12:27Parce que pour le Paris Saint-Germain, dans cette campagne européenne de Ligue des champions,
12:30ils étaient énormément de téléspectateurs.
12:331 677 000 de moyenne.
12:36C'est énorme.
12:37C'est quasiment 200 000 de plus que les autres matchs.
12:38Allez, dans un instant, le conseil de classe, le hat-trick, le petit filet.
12:41A tout de suite dans le DG.
12:42Restez avec nous.