Gilles-William Goldnadel, avocat, était invité dans l'émission Punchline, ce mercredi 22 janvier, sur CNEWS. Il s'est exprimé sur la sortie de son nouveau livre «Journal d'un prisonnier»: «Je décris le wokisme comme un hôpital psychiatrique à ciel ouvert».
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00:00Écoutez, d'abord, je ne voulais pas commettre un énième livre sur le wokisme.
00:05Moi, je suis anti-wok, bien avant le wokisme.
00:11Avant même qu'on invente le mot, peut-être ?
00:14Avant qu'on invente le mot, j'avais déjà compris la chose.
00:17La détestation de l'hétérosexuel mâle blanc existait déjà depuis 20 ans,
00:24avant qu'on emploie le mot et avant qu'on sombre dans la folie,
00:30le dernier état de la folie, si vous voulez.
00:33Parce que je décris le wokisme comme un hôpital psychiatrique à ciel ouvert.
00:39Et j'explique ce qu'est le wokisme dans sa dimension de racisme anti-blanc,
00:44dans son ambitionnisme pathologique, dans sa détestation de l'hétérosexualité.
00:50Vous vous rendez compte que vous avez quelqu'un qui s'appelle Paul B. Preciado,
00:55B pour Béatrice, parce qu'avant, c'était une femme,
01:00qui fait autorité depuis des années dans le journal Libération
01:06et qui explique que l'hétérosexualité incarne le mâle, mais le mâle M.A.L.
01:14Comme je n'ai pas voulu pondre un essai sur le wokisme,
01:19c'était un peu une ruse pédagogique.
01:22J'ai voulu faire rire et en même temps apprendre vraiment de l'intérieur.
01:27Donc oui, la trans insoumise a pris le pouvoir.
01:31La trans insoumise a pris le pouvoir, c'est une dystopie,
01:35mais ce n'est pas totalement.
01:36Imaginez une crise économique extrêmement grave, tout peut arriver.
01:40Et je dis que c'est vrai que les gens se sont peu battus
01:44et que le pouvoir est tombé comme un fruit mur.