Les insoumis imputent la fracture du Nouveau Front populaire (NFP) au Parti socialiste (PS) après son refus de voter la motion de censure contre le gouvernement de François Bayrou ce jeudi 16 janvier.
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00:00Alors notamment autour de la figure, pour ne pas encore en parler, de Jean-Luc Mélenchon, c'est-à-dire qu'on voit bien que
00:05les écologistes ne sont pas forcément en phase avec certaines des déclarations, avec une Marine Tondelier qui parle même d'un Jean-Luc Mélenchon
00:11masculiniste, je crois que c'était hier, et donc on voit bien qu'il y a une forme de rupture quand même au moins dans le discours.
00:16La seule chose c'est que ce NFP c'est un cartel électoral, c'est ça qui a permis d'avoir des candidatures uniques et donc on se rend bien compte
00:23aujourd'hui que la question
00:25la plus centrale, c'est est-ce qu'il y aura future dissolution, est-ce que sur les municipales ce genre d'alliage
00:30va affaiblir et peut-être que les écologistes se posent la question aussi différemment des socialistes parce que
00:36dans beaucoup de communes vous avez des alliances écolos, LFI, etc. Et donc c'est difficile de se dire qu'on prend une forme de
00:44déclaration d'indépendance, même si la continuité à mon avis des négociations avec le gouvernement
00:49prouve que aussi bien du côté du parti communiste que du côté des écologistes
00:53et bien il y a cette volonté de prendre de l'indépendance par rapport à ce que on a pu appeler la ligne du pire, c'est-à-dire que
00:58les LFI sont vraiment dans cette idée de la destitution du président, de la déconstruction et donc
01:03la gauche est aujourd'hui plus que jamais divisée sur la manière dont on continue à s'opposer.