Le président ukrainien a diffusé sur ses réseaux sociaux des vidéos révélant deux soldats nord-coréens, présentés comme étant interrogés à Kiev après leur capture dans la région de Koursk, en Russie. Ces images semblent également faire partie de la stratégie de propagande ukrainienne, à l'approche de l'investiture de Donald Trump, prévue pour le 20 janvier.
## Détails des conditions des soldats capturés
Alors que l'investiture de Donald Trump se rapproche, Volodymyr Zelensky active tous les moyens à sa disposition. Sur ses plateformes sociales, il a mis en ligne des vidéos fournies par ses services de renseignement. On y voit deux hommes, identifiés comme des soldats nord-coréens, capturés sur le territoire russe, dans la région de Koursk. Les vidéos montrent les soldats blessés, alités, sans qu'il soit clair s'ils se trouvent dans un établissement hospitalier. L'un d'eux est couvert d'une couverture, avec une main fortement bandée, tandis que l'autre a un bandage autour de la mâchoire et une lèvre qui saigne.
## Une controverse juridique sur la diffusion d'images
Le partage de ces images soulève des questions éthiques et juridiques, car si ces individus sont effectivement des prisonniers de guerre, cela pourrait constituer une infraction à la Convention de Genève. Celle-ci stipule, dans son article 13, que les prisonniers doivent être protégés contre les violences, les intimidations, ainsi que la curiosité publique. La diffusion par le président ukrainien amène à un examen critique de ces pratiques.
## Une manipulation de l’information ?
D'après les déclarations de ces présumés prisonniers, ils semblent ne pas savoir où ils se trouvent ni avoir conscience de combattre en Ukraine. Leurs réponses, fournies par des hochements de tête, sont à peine audibles sur l'enregistrement, où la voix de l'interrogateur a été altérée. Les détenus affirment qu'ils pensaient participer à un entraînement militaire, et que leurs familles ignorent leur localisation. Les services de renseignement ukrainiens annoncent mener ces interrogatoires en collaboration avec leurs homologues sud-coréens, dans un centre de détention à Kiev. Cependant, il reste impossible de vérifier leur identité ainsi que les conditions d'interrogation.
## Un message stratégique avant l’arrivée de Trump
Ces vidéos s’inscrivent dans une opération de propagande dont l’Ukraine se sert pour faire passer des messages importants. Cela vise, d'une part, à affirmer la présence de soldats nord-coréens sur le front, une information qui n'a pas été confirmée ni par Moscou ni par Pyongyang. Les renseignements américains pensent en effet qu'environ 10 000 soldats ont été envoyés dans la région de Koursk. En mettant en lumière cette menace, Zelensky cherche à alerter ses alliés à l'approche de l'investiture de Trump, tout en pesant sur la situation de l’escalade militaire aux côtés d’une puissance host
## Détails des conditions des soldats capturés
Alors que l'investiture de Donald Trump se rapproche, Volodymyr Zelensky active tous les moyens à sa disposition. Sur ses plateformes sociales, il a mis en ligne des vidéos fournies par ses services de renseignement. On y voit deux hommes, identifiés comme des soldats nord-coréens, capturés sur le territoire russe, dans la région de Koursk. Les vidéos montrent les soldats blessés, alités, sans qu'il soit clair s'ils se trouvent dans un établissement hospitalier. L'un d'eux est couvert d'une couverture, avec une main fortement bandée, tandis que l'autre a un bandage autour de la mâchoire et une lèvre qui saigne.
## Une controverse juridique sur la diffusion d'images
Le partage de ces images soulève des questions éthiques et juridiques, car si ces individus sont effectivement des prisonniers de guerre, cela pourrait constituer une infraction à la Convention de Genève. Celle-ci stipule, dans son article 13, que les prisonniers doivent être protégés contre les violences, les intimidations, ainsi que la curiosité publique. La diffusion par le président ukrainien amène à un examen critique de ces pratiques.
## Une manipulation de l’information ?
D'après les déclarations de ces présumés prisonniers, ils semblent ne pas savoir où ils se trouvent ni avoir conscience de combattre en Ukraine. Leurs réponses, fournies par des hochements de tête, sont à peine audibles sur l'enregistrement, où la voix de l'interrogateur a été altérée. Les détenus affirment qu'ils pensaient participer à un entraînement militaire, et que leurs familles ignorent leur localisation. Les services de renseignement ukrainiens annoncent mener ces interrogatoires en collaboration avec leurs homologues sud-coréens, dans un centre de détention à Kiev. Cependant, il reste impossible de vérifier leur identité ainsi que les conditions d'interrogation.
## Un message stratégique avant l’arrivée de Trump
Ces vidéos s’inscrivent dans une opération de propagande dont l’Ukraine se sert pour faire passer des messages importants. Cela vise, d'une part, à affirmer la présence de soldats nord-coréens sur le front, une information qui n'a pas été confirmée ni par Moscou ni par Pyongyang. Les renseignements américains pensent en effet qu'environ 10 000 soldats ont été envoyés dans la région de Koursk. En mettant en lumière cette menace, Zelensky cherche à alerter ses alliés à l'approche de l'investiture de Trump, tout en pesant sur la situation de l’escalade militaire aux côtés d’une puissance host
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00:00Le président ukrainien a diffusé sur ses réseaux sociaux des vidéos révélant de soldats
00:05nord-coréens présentés comme étant interrogés à Kiev après leur capture dans la région de Kursk.
00:10En Russie, ces images semblent également faire partie de la stratégie de propagande ukrainienne.
00:15À l'approche de l'investiture de Donald Trump, prévue pour le 20 janvier,
00:19alors que l'investiture de Donald Trump se rapproche,
00:22Volodymyr Zelensky active tous ses moyens à sa disposition sur ses plateformes sociales.
00:27Il a mis en ligne des vidéos fournies par ses services de renseignement.
00:30On y voit deux hommes, identifiés comme des soldats nord-coréens, capturés sur le territoire russe.
00:36Dans la région de Kursk, les vidéos montrent les soldats blessés à l'ité.
00:40Sans qu'il soit clair s'ils se trouvent dans un établissement hospitalier,
00:43l'un d'eux est couvert d'une couverture avec une main fortement bandée.
00:47Tandis que l'autre a un bandage autour de la mâchoire et une lèvre qui saignent.
00:50Le partage de ces images soulève des questions éthiques et juridiques.
00:54Car si ces individus sont effectivement des prisonniers de guerre,
00:58cela pourrait constituer une infraction à la Convention de Genève.
01:01Celle-ci stipule, dans son article 13,
01:03que les prisonniers doivent être protégés contre les violences, les intimidations,
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01:09La diffusion par le président ukrainien amène à un examen critique de ces pratiques,
01:14une manipulation de l'information, d'après les déclarations de ces présumés prisonniers.
01:19Ils semblent ne pas savoir où ils se trouvent ni avoir conscience de combattre en Ukraine.
01:23Leurs réponses, fournies par d'erchements de tête, sont à peine audibles sur l'enregistrement.
01:28Où la voix de l'interrogateur a été altérée.
01:30Les détenus affirment qu'ils pensaient participer à un entraînement militaire.
01:34Et que leur famille ignore leur localisation.
01:36Les services de renseignement ukrainiens annoncent mener ces interrogatoires en collaboration avec
01:41leurs homologues sud-coréens dans un centre de détention à Kiev.
01:45Cependant, il reste impossible de vérifier leur identité ainsi que les conditions d'interrogation.
01:50Ces vidéos s'inscrivent dans une opération de propagande dont l'Ukraine se sert pour faire passer
01:55des messages importants.
01:56Cela vise d'une part à affirmer la présence de solvats nord-coréens sur le front.
02:01Une information qui n'a pas été confirmée ni par Moscou ni par Pyongyang.
02:05Les renseignements américains pensent en effet qu'environ 10 zéros solvats ont été envoyés dans la
02:10région de Kursk, en mettant en lumière cette menace.
02:13Zelensky cherche à alerter ses alliés à l'approche de l'investiture de Djambe.
02:17Tout en pesant sur la situation de l'escalade militaire aux côtés d'une puissance hostile.
02:22Fournissant ressources et soldats à la Russie.
02:24Enfin, il est également question de la possibilité d'un échange de prisonniers.
02:28Même si l'importance de ces soldats capturés pour Kim Jong-un pourrait être limitée.
02:33En échange de prisonniers ukrainiens détenus en Russie, un député sud-coréen, quant à lui,
02:38indiquait que 300 solvats nord-coréens auraient été tués en Russie.
02:42Accompagnant ces assertions de notre trouvée sur les corps.
02:45Laissant supposer qu'ils subiraient des pressions pour se suicider plutôt que d'être capturés.
02:50Tout cela reste à vérifier.
02:52Confirmant les complexités des enjeux politiques et militaires actuels dans cette région.
02:56Je vous remercie d'avoir regardé cette vidéo.
02:59N'oubliez pas que je lis maintenant tous vos commentaires.
03:03Abonnez-vous et à bientôt pour de nouvelles vidéos.