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ÉducationTranscription
00:00Good afternoon and welcome to the Mid-Day Bilingual Newscast on the Cameroon Radio Television.
00:24Hello Rosalie.
00:25Hello Yotika, les mesdames, messieurs, bonjour.
00:28Bienvenue aux 12 heures sur la CRTV et CRTV News.
00:31En vitrine, le boulevard du 20 mai à Yaoundé, un paradis alimentaire.
00:3615.000 Français fassent débourser pour 50 kg de riz Big Joe.
00:40C'est ce riz pakistanais qui a du succès.
00:43La ruée vers ce produit étranger nous amène à parler de la politique d'import-substitution.
00:48Pourquoi le Medin Cameroun est peu prisé ?
00:51Nous irons dans les marchés.
00:54Projet de construction de l'autoroute Yaoundé-Douala.
00:57Les travaux sont en arrêt, bloqués par les riverains qui revendiquent le paiement des indemnités pour lever cet écueil.
01:04Toutes les parties prenantes du projet sont réunies en ce moment autour du ministre des Travaux Publics.
01:10Et voilà pour ce qui est du sommaire.
01:12La première partie du journal en langue anglaise.
01:15Exactement, Rosalie.
01:17Encore une fois, bienvenue à ce Mid-Day Bilingual Newscast.
01:21Le riz est un délice au Cameroun.
01:23Et pour combattre l'inflation, le ministère des Travaux organise une promotion de vente sur la courtoisie du boulevard May 20 à Yaoundé.
01:31Un sac de 50 kg de riz vendu à 37 000 CFA francs coûte maintenant 21 500.
01:38Le prix par sac de 25 kg de riz est de 11 000 CFA francs au lieu de 13 500 francs.
01:47Le discount est particulier pour une marque pakistanaise.
01:50Alphonse Abungwa Achu est à l'étage du boulevard May 20.
01:55Bonsoir, Alphonse. Il y a du riz et plus pour un discount.
02:00Bonsoir, Yoti Kalelissonge.
02:02Bienvenue au boulevard May 20.
02:05C'est une prolongation de la vente qui est organisée par le ministère des Travaux
02:11pour que les Camerooniennes puissent réduire la pression sur les prix.
02:17Le point d'attraction ici est la vente de riz venant du Pakistan.
02:23Le prix de ce riz leur donne la raison d'arriver ici à 5h du matin.
02:30Nous avons 25 kg de riz qui vendent d'habitude à 21 000 CFA francs,
02:38mais ils le vendent ici à 11 000 CFA francs.
02:40Nous avons 50 kg de riz qui vendent d'habitude à 37 000 CFA francs,
02:46mais ici, ils nous disent qu'ils le vendent à 21 000 CFA francs.
02:49Vous pouvez donc imaginer le scramble qui est organisé ici par les Camerooniennes
02:55pour avoir au moins un sac de ce riz et réduire la pression sur les prix dans leurs familles.
03:02Ceux qui sortent ici, ils choisissent un ticket sur cette ligne que vous voyez derrière nous.
03:07Ils vont à la boutique où ils vendent ce riz.
03:11Les officiers du ministère des Travaux ont fait en sorte que
03:14personne ne prenne plus de deux sacs de riz.
03:16Ils ont également garanti qu'il était de bonne qualité.
03:19Pour aujourd'hui, le scramble est terminé.
03:21Ils nous disent que le scramble va continuer demain
03:25car nous allons vous donner plus de détails dans les prochaines nouvelles.
03:29Ibrahima Amadou, Jean-Jean Momha,
03:32enregistré pour le Midday News du 20 mai.
03:37... et l'ensemble de l'équipe.
03:38Annuellement, Cameroon dépense des millions de CFA francs
03:41sur l'importation du riz.
03:43L'ambition du gouvernement est de réduire la reliance sur l'importation
03:46et d'augmenter la production locale.
03:48Prenons le cas de la production de riz.
03:50Le but est de partir d'une capacité de production
03:53de plus de 140 000 tonnes
03:56jusqu'à 460 000 tonnes en 2027.
03:59Cela se trouve aussi dans la politique de substitution de l'importation
04:03pour inclure les secteurs de priorité,
04:05comme l'industrie agro, la forêt, les textiles et la fabrication.
04:09Mais pour que cela soit un succès,
04:11les politiciens empêchent les consommateurs
04:14de choisir les produits localisés sur nos produits importés,
04:17comme le rapporte Prince Will Mukwele Aduma.
04:21Produits faits en Cameroun.
04:23Qu'est-ce qu'ils sont et à quel niveau de patronage ils le méritent ?
04:27Ce n'est pas tout ce qu'on voit sur le marché
04:30qui est fait en Cameroun.
04:32Ici, en Cameroun, nous pouvons faire beaucoup de choses.
04:3613 millions de CHF sont allocés pour la substitution de l'importation
04:40avec un pays qui profite de plus de 100 produits marqués.
04:44Ce n'est pas suffisant.
04:46Les Camerouniennes, les jeunes filles en particulier,
04:50ont tendance à préférer les produits importés.
04:55Quand elle va dans un supermarché,
04:57elle veut acheter du jus d'orange qui vient de l'Afrique du Sud.
05:01Elle veut acheter du jus de poisson frais qui vient de la France.
05:06Même des tomates.
05:08Nous devons lancer une avocatie profonde,
05:12une avocatie culturelle pour le changement culturel.
05:15Il doit y avoir une motivation
05:17qui prend des offres faites en Cameroun
05:19de la nourriture, des cosmétiques,
05:21le vin et les industries pharmaceutiques
05:24dans les familles camerooniennes.
05:26Si je prends un pays comme le Congo-Mazaville,
05:29il y a 9 filles d'entre 10 qui se vêtent en vêtements africains.
05:34Mais ici, en Cameroun, c'est exactement le contraire.
05:38Le problème, c'est le prix.
05:41Combien ça coûte pour une jeune fille
05:44de se vêtre avec des matériaux localisés ?
05:48Il faut améliorer la production
05:50pour que quand la quantité de produits localisés
05:54augmente,
05:56le prix de chaque unité diminue.
06:10En basant les rapports du National Institute of Statistics,
06:13l'importation de riz compte pour 5,4%
06:16de l'importation totale du pays.
06:18Au Goundhary, le marché du riz est dominé
06:21principalement par des variétés de l'Inde,
06:23le Thaïlande et le Pakistan.
06:25Néanmoins, le marché Cameroonien,
06:27comme le riz d'Iagoua du Nord,
06:29est aussi un marché de préférence pour les consommateurs.
06:32Alice Ouajibanmia nous a présenté
06:34les détails du marché du riz
06:37vis-à-vis des choix des Camerooniennes
06:39ou des consommateurs.
06:40Bonjour, Alice.
06:46Bonjour, Yoti, Kallé, Lissonger.
06:48Mesdames et Messieurs, merci de nous rejoindre
06:50au Petit Marché.
06:52C'est le plus grand marché du Goundhary.
06:54L'importation du riz de l'Inde,
06:56le Thaïlande et le Pakistan
06:58dominent le marché du riz.
06:59De longues graines au riz cassé,
07:01les variétés sont nombreuses,
07:03avec un prix de 13 000 CFA de France
07:06à 25 000 CFA de France,
07:08en fonction de la qualité et de l'origine.
07:10Le riz importé est devenu essentiel
07:12dans cette partie du pays.
07:14Son goût, sa texture et sa qualité consistente
07:17le rendent un fruit préféré
07:19sur presque chaque tableau.
07:21Les consommateurs apprécient particulièrement
07:23les variétés asiatiques
07:25pour leur consistance après la cuisson
07:27et leur valeur pour l'argent.
07:29Cependant, malgré ce qui peut être appelé
07:31l'omniprésence de ces variétés,
07:33certains consommateurs préfèrent le riz local.
07:35Même si moins connu
07:37et disponible en quantités limitées,
07:39le riz fait en Cameroun,
07:41en particulier celui produit en Yagua,
07:43dans la région du Nord du pays,
07:45apparaît à sa fragrance unique et d'authenticité.
07:48Que ce soit le riz local ou le riz importé,
07:50les préférences varient
07:52d'un consommateur à l'autre.
07:54Pour beaucoup, la choix dépend
07:56principalement de la disponibilité
07:58et du prix, même si la qualité
08:00et les habitudes de manger
08:02aussi font que ces choix diffèrent.
08:04Rapportant en direct de Gaoundere,
08:06Baba Umaru,
08:08Alice Wajibania.
08:10Au revoir, Yoti.
08:12Merci. Lutte contre la vie chère,
08:15Big Joe fait sensation.
08:17Big Joe, c'est le nom du riz pakistanais
08:19vendu à 15 000 Français.
08:21Les Français font le sac de 50 kg
08:23au boulevard du 20 mai.
08:25Depuis le 23 décembre dernier,
08:27plus de 3 000 sacs
08:29sont écoulés chaque jour.
08:31La ruée vers cette denrée alimentaire
08:33crée de longues files d'attente
08:35à cet endroit du centre-ville de Yaoundé.
08:37Il s'agit d'une opération
08:39spéciale de vente
08:41promotionnelle engagée par
08:43le ministère du Commerce.
08:45Le boulevard du 20 mai,
08:47devenu un paradis alimentaire pour les consommateurs.
08:49Ambiance sur place
08:51avec Étienne Pascal.
08:55Bonjour, Rosalie Sofinké.
08:57Bienvenue ici au boulevard du 20 mai
08:59où se poursuit une vente promotionnelle
09:01organisée par le ministère du Commerce.
09:03Juste derrière moi,
09:05comme vous pouvez le voir, ce sont des clients
09:07qui sont venus
09:09pour se procurer du riz.
09:11Parce que c'est une derrée la plus prisée
09:13au cours de cette vente promotionnelle.
09:15Il faut dire que depuis ce matin,
09:17il y a ceux qui sont venus et nous l'ont confié
09:19qui sont là depuis 5 heures du matin
09:21pour se procurer un sac de 50 kg
09:23produits pakistanais
09:25qui est vendu ici à 15 000 francs
09:27au lieu de 36 000 francs CFA
09:29comme d'habitude. On parle également
09:31d'une autre variété de riz,
09:33ce sont des brisures. 25 kg
09:35est vendu à 11 500 au lieu
09:37de 22 000 francs comme prix
09:39habituel. Il faut donc dire que pour
09:41discipliner toutes ces personnes
09:43venues en masse ici au boulevard du 20 mai,
09:45le directeur du commerce par la voix de son délégué
09:47départemental du Fundi nous a rassuré
09:49que les choses sont
09:51organisées de telle sorte qu'avant de
09:53se procurer ce riz, on vous donne d'abord
09:55un ticket et c'est ce ticket qui vous permet
09:57d'avoir droit à un seul
09:59sac de riz. Il faut le signaler que c'est un seul
10:01sac qu'on va à chaque client
10:03et la vente promotionnelle
10:05vient d'être interrompue
10:07parce que le premier stock
10:09du riz vendu ici
10:11est épuisé depuis 9 heures. On nous a
10:13dit parce que les populations sont levées très tôt pour
10:15venir ici. Donc les populations sont
10:17en attente du produit
10:19surtout le plus prisé qui est le riz pakistanais
10:21de 50 kg. Voilà donc ce qu'on
10:23peut vous dire à l'instant même où
10:25beaucoup de personnes attendent encore
10:27pour se procurer ce produit
10:29de grande consommation qu'est du riz.
10:31En direct du boulevard du 20 mai,
10:33Ibrahima Amadou,
10:35Jean-Jacques Momba, Etienne Pascal Azegu,
10:37nous vous envoyons l'antenne.
10:39Rosalie Sofinké.
10:41Merci Etienne Pascal Azegu.
10:43On peut constater juste derrière vous
10:45qu'ils sont nombreux à se bousculer
10:47pour obtenir le précieux sésame.
10:49Nous allons écouter quelques réactions
10:51des Cameroonais sur place.
10:53Il n'y a que le riz
10:55pakistanais.
10:57Le sac de 50 kg
10:59est à 15 000 francs. Mais il y a d'autres
11:01riz d'autres
11:03origines, thaïlandaises,
11:05indiennes,
11:07dont les prix vont de
11:0921 500
11:11à 22 500.
11:13Il est un riz de bonne qualité.
11:15Vous imaginez bien que
11:17le gouvernement ne peut pas laisser
11:19commercialiser un produit
11:21qui pourrait mettre en danger
11:23la santé des consommateurs
11:25cameroonais. Sur le sac,
11:27les origines sont indiquées.
11:29Les dates de péremption sont également indiquées.
11:31Le marché finit à 9 heures.
11:33Il faut avoir le ticket.
11:35Si tu n'as pas de ticket, on ne te sert pas.
11:37Le riz est à 15 000 francs.
11:41La promotion
11:43de ce riz importé nous amène
11:45une fois de plus à poser un regard
11:47sur la politique d'import-substitution
11:49au Cameroun. Il est important
11:51de réduire la consommation
11:53des produits étrangers et favoriser
11:55la production et la consommation
11:57des produits locaux.
11:59La promotion du made in Cameroun
12:01devient alors un challenge.
12:03Sur les tendances actuelles, écoutons
12:05le reportage de Franck Evina.
12:09A l'idéal économique,
12:11la préférence nationale s'impose
12:13une condition, la disponibilité
12:15de l'offre. Il est inconcevable
12:17qu'au 21e siècle,
12:19en 2024-2025,
12:21on trouve encore
12:23des produits suggérés sur le marché.
12:25C'est parce que la production locale ne le suit pas.
12:27Quand vous allez sur un supermarché,
12:29vous trouvez
12:31un litre de jus d'ananas qui vient
12:33du sud et qui est vendu à 4 000 francs.
12:35Son concurrent camerounais
12:37est à 1 500 francs. Mais dès que
12:39le supermarché demande de livrer
12:413 tonnes, le producteur ne peut plus.
12:43Sur le rôle de l'État face à l'impératif
12:45de ce facteur production,
12:47les experts ont des avis mitigés.
12:49Il faut absolument
12:51accroître les moyens
12:53des ministères
12:55et de la banque
12:57des petites et moyennes entreprises
12:59pour pouvoir soutenir la production.
13:01Il faudrait bien que
13:03les producteurs économiques prennent le relais.
13:05Ceux qui importent le riz
13:07thaïlandais ont suffisamment
13:09de moyens pour produire le riz camerounais,
13:11mais ils préfèrent faire le pan.
13:13Que dire de nos habitudes de consommation
13:15extraverties ?
13:17Il n'y a pas un pays d'Afrique francophone
13:19où il y a le sudobisme comme au Cameroun.
13:21Si vous trouvez du riz
13:23camerounais en abondance,
13:25il sera consommé en abondance.
13:27Décomplexer nos rapports au Made in Cameroun,
13:29c'est lui ouvrir une voie royale
13:31vers le marché des biens échangeables.
13:33Il faut des mesures conceptives.
13:35Je prends l'exemple du riz.
13:37Au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale,
13:39le Japon était vaincu
13:41sur l'industrie économique par terre.
13:43La première mesure
13:45qu'ils ont demandé
13:47au général MacArthur, l'Américain,
13:49qui avait fait signer l'acte de capitulation,
13:51il avait dit
13:53que le Japon n'importera pas
13:55un gramme de riz.
13:57En mesure, en quantité et en qualité,
13:59redistribuer et surtout consommer sans complexe,
14:01voilà comment garantir le succès.
14:03Au fait maison.
14:07Le riz est un aliment très prisé
14:09dans les ménages.
14:11En Gawanderé, il ne manque pas dans les menus.
14:13On le consomme sous toutes ses formes,
14:15cuit à la vapeur
14:17ou transformé en couscous.
14:19Les férus de ce céréal
14:21savent souvent quel choix opérer
14:23pour un meilleur plaisir culinaire.
14:25Et là-bas, dans la Damaoua,
14:27un constat est fait dans les marchés,
14:29le riz importé a du succès,
14:31certainement à cause de sa variété
14:33et de sa disponibilité
14:35sur le marché. Et pourtant,
14:37son prix est en constante augmentation.
14:39Nous allons avoir
14:41un aperçu de la situation
14:43dans un marché de Gawanderé
14:45avec notre correspondant Laurent Chissoukbe.
14:47Bonjour.
14:49Bon après-midi à vous sur le plateau.
14:51Bon après-midi chers téléspectateurs.
14:53Merci de nous retrouver en direct
14:55du petit marché de Gawanderé.
14:57Ici, le riz importé en provenance
14:59de l'Inde, de Thaïlande et du Pakistan
15:01domine les étals.
15:03Long, grand ou brisé,
15:05les variétés sont multiples
15:07avec des prix qui haussent entre 13 000 et 25 000
15:09pour le petit sac de 25 kg.
15:11A cause de leur goût,
15:13leur texture et leur régularité
15:15sur le marché,
15:17plusieurs consommateurs
15:19préfèrent regaler leurs papilles gustatives
15:21avec ces variétés asiatiques
15:23qu'ils jugent d'ailleurs toujours consistantes
15:25même après cuisson.
15:27Certains consommateurs, par contre,
15:29pensent que le riz local,
15:31notamment celui produit à Yagua,
15:33bien que moins connu et disponible
15:35en quantité limitée dans les marchés,
15:37séduit par son parfum unique
15:39et son goût authentique.
15:41Donc, qu'il s'agisse de riz local ou de riz importé,
15:43les préférences varient
15:45d'un consommateur à un autre.
15:47Depuis le petit marché de Ngaoundéré,
15:49je suis Ivan Carlos Minkube,
15:51Baba Omaru pour la CRTV.
15:57Merci à vous, Ivan Carlo,
15:59depuis Ngaoundéré.
16:01Inscription sur les listes électorales,
16:03tous les Cameroonais invités
16:05à se rendre dans les antennes communales
16:07de l'ECAM ou dans les représentations
16:09diplomatiques à l'étranger.
16:11Les futures échéances électorales
16:13avancent à pas de géants
16:15et pour cela,
16:17l'ECAM est sur le terrain
16:19pour enrôler le plus grand nombre
16:21d'inscrits. Le lancement officiel
16:23de ce processus a eu lieu
16:25en début de semaine en Bancomo
16:27et voici à ce sujet
16:29la réaction du directeur général
16:31des élections,
16:33Dr Eric Essousset,
16:35au micro de Joseph Itoté.
16:37Bonjour.
16:39Merci de nous accorder
16:41cet entretien.
16:43Vous êtes le directeur général
16:45des élections et la révision
16:472025 du fichier électoral
16:49vient d'être lancée.
16:51Alors au-delà de l'enrôlement
16:53des potentiels électeurs,
16:55comment est-ce que ça se déroule sur le terrain
16:57avec les partis politiques,
16:59les organisations de la société civile,
17:01en plus bref, les autres acteurs du processus ?
17:03Bonjour. Ce que je peux vous dire,
17:05c'est que notre système est inclusif.
17:07Nous travaillons avec tout le monde
17:09et c'est pour cela qu'il y a les commissions
17:11ministres des révisions des listes électorales
17:13qui comprennent les partis politiques,
17:15d'abord les premiers, puis qui sont les bénéficiaires
17:17de cette opération. Dans les
17:19communes, il y a l'administration,
17:21le sous-préfet qui est représenté,
17:23il y a les municipalités,
17:25l'OMER, Blumenberg qui est représenté,
17:27et les champs de campagne. Vous voyez que c'est inclusif.
17:29Et la société civile
17:31a un rôle très important, c'est qu'il fait
17:33la sensibilisation pour amener
17:35les électeurs à venir et
17:37les caméraniers, les citoyens à venir s'inscrire.
17:39C'est pour vous dire qu'à ce
17:41niveau, notre coopération
17:43est très bonne. Et j'ai signé
17:45ceci, c'est qu'après avoir fait les inscriptions,
17:47il y a un PV,
17:49qu'on appelle le processus d'impact, qui est signé de tous les membres
17:51de la commission et chacun a sa copie.
17:53C'est pour vous dire que franchement, nous n'avons pas de problème.
17:55Il est évident que
17:57les partis politiques et les autres
17:59organisations de la société civile
18:01sont impliqués. Mais d'où vient-il
18:03qu'on parle de manipulation du fichier
18:05électoral ?
18:07Il y a deux possibilités. Il y a soit les gens qui sont de mauvaise foi,
18:09parce que souvent, je crois
18:11que ça peut arriver,
18:13et ça peut aussi arriver
18:15que les gens veulent
18:17qu'ils le font à des impôts pour peut-être
18:19avoir la meilleure information.
18:21Mais la manipulation ne peut pas se faire.
18:23Puisque tous ces partis politiques sont
18:25dans la commission de révision
18:27des listes électorales. Maintenant,
18:29la manipulation, c'est une affaire, n'est-ce pas,
18:31des sorcelleries. Parce que je ne sais pas si
18:33on respecte la loi. La loi est claire.
18:35Elle est appliquée
18:37de manière, n'est-ce pas,
18:39de manière rigoureuse,
18:41au niveau de la commune.
18:43Et quand bien même après, on a fini
18:45de faire les inscriptions au niveau
18:47communal, il y a maintenant les étapes de
18:49traitement qui passent par la région.
18:51Et puis au Centre national de biométrie
18:53électorale, où maintenant, nous faisons
18:55un tri pour voir si
18:57le fichier que nous avons, s'il n'y a pas
18:59les doublants, les gens qui sont inscrits plusieurs fois,
19:01s'il n'y a pas les décédés, comme je l'ai dit,
19:03s'il n'y a pas les gens qui se sont inscrits
19:05un du mal et qui ne respectent pas la loi.
19:07Voilà. Donc nous faisons ce traitement.
19:09Et c'est ça qui permet, donc, le 30 décembre,
19:11de détailler les listes électorales
19:13qui sont publiées dans les communes.
19:15Dans les régions du nord-ouest et du
19:17sud-ouest, le contexte
19:19sécuritaire n'est pas le même.
19:21Comment est-ce que les agents en rôleurs
19:23procèdent pour inscrire
19:25les potentiels électeurs ?
19:27La stratégie aussi, c'est de travailler dans les commissions,
19:29c'est d'avoir la loi, première chose.
19:31Et donc, quand on travaille
19:33dans les commissions, on réussit
19:35à faire que l'on puisse
19:37s'adapter maintenant au contexte local.
19:39Donc, on travaille dans les commissions. D'autre part,
19:41il y a les autorités administratives
19:43qui aident à ce qu'on encadre, n'est-ce pas,
19:45notre personnel,
19:48pour qu'il n'y ait pas de problèmes.
19:50Donc, je pense que le point central,
19:52c'est la commission des rédigérenciers qui travaillent.
19:54Même si c'est dans un endroit où il y a
19:56l'insécurité, mais dès qu'il y a la sécurité,
19:58la commission fait son travail. C'est la même chose
20:00partout. Et même à la diaspora, d'ailleurs.
20:02Monsieur le directeur général des élections,
20:04Dr Éric Essousset, merci
20:06d'avoir accepté de répondre à vos questions.
20:08C'est moi qui vous le remercie.
20:10C'est de la bonne information.
20:12Merci, Joseph Itoté,
20:14et à nos invités sur la nouvelle.
20:16La première tournée des travaux de construction
20:18sur le Yaoundé-Douala-Motowé
20:20va bientôt prendre place. Depuis
20:2210h30, le ministre des Travaux
20:24Emmanuel Ngannou-Djoumezie
20:26a été en contact avec des délégations
20:28des gouverneurs traditionnels et des
20:30habitants affectés par le projet.
20:32Après l'annonce officielle en novembre
20:342024, le travail apparaît
20:36à un stand-still en raison
20:38du fait que les contracteurs
20:40n'ont pas pu continuer de déforestation
20:42depuis le 15 décembre,
20:44car la population a refusé
20:46d'obéir jusqu'à ce qu'elle soit compensée.
20:48C'est l'issue principale
20:50qui a été discutée par les
20:52partenaires respectifs afin
20:54d'arriver à la vérité, et donc de
20:56résumer la construction du
20:58Yaoundé-Douala-Motowé. Vous aurez
21:00de nombreuses informations dans
21:02nos prochaines annonces.
21:04Et maintenant à autre chose,
21:06les honneurs académiques ont été payés
21:08par le ancien professeur Jean-François Guingamp.
21:10Il était un journaliste iconique
21:12à la télévision Cameroon,
21:14où il a servi d'éditeur en chef
21:16de FM 94.
21:18Le professeur Guingamp était aussi un lecteur
21:20à l'école d'advance de communication
21:22ASMAC et à l'Institut d'entraînement
21:24CRTV pour la conservation
21:26de l'héritage audiovisuel
21:28EFCPA. Les membres de l'académie,
21:30dirigés par le représentant
21:32du directeur de l'université
21:34de Yaoundé-Douala-Motowé, le professeur
21:36François-Marc Modjom,
21:38ont décrit le décès de
21:40Varsity Dawn comme un professeur
21:42respectif. Le professeur
21:44Jean-François Guingamp
21:46a décidé de se reposer le 11 janvier
21:48dans son quartier natif de Bangang,
21:50dans la division de Bambuto de la région
21:52de l'Ouest. Rosalie,
21:54c'est maintenant le moment pour nous d'aller
21:56vers la région de l'Ouest du Sud.
22:16L'université ouvre le bal aujourd'hui.
22:18La cérémonie se tient en présence
22:20du président du conseil
22:22d'administration de l'université
22:24de Boya, le professeur
22:26Ako Edouard Oben.
22:28Au campus de Boya, retrouvons
22:30Stéphane Talla. Bonjour.
22:32Bonjour Yaoundé.
22:34Bienvenue au Temple du Savoir.
22:36Nous sommes effectivement sur le campus
22:38de l'université de Boya.
22:40L'amphithéâtre en plein air,
22:42Nganjo Ndeli,
22:44et des couilles de monde dans leur
22:46toge les apprenants attendent
22:48impatiemment leur diplôme en présence
22:50de leurs proches venus massivement
22:52ici ce jour. Licence,
22:54master, doctorat, PhD,
22:56tous les cycles sont concernés
22:58jusqu'à samedi prochain.
23:00Il s'agit des promotions allant de 2021
23:02à 2024.
23:04Aujourd'hui, le tapis rouge est déroulé
23:06au lauréat de l'école supérieure
23:08de traducteurs et d'interprètes
23:10ASTI. Il y a également
23:12la faculté des sciences juridiques et politiques
23:14de l'université de Boya
23:16et ceux de trois autres facultés.
23:18La cérémonie de remise
23:20d'un diplôme vient d'être ouverte
23:22par le vice-chancellor, le professeur
23:24Horace Gomobanga, en présence
23:26du pro-chancellor, le président du conseil
23:28d'administration de UB,
23:30le professeur Ako Edward Obel. Il y a également
23:32l'inspecteur général des services
23:34régionaux, Jacques Oulsou.
23:36Il faut dire que c'est parti pour trois
23:38jours de célébrations du succès.
23:40On place demain à la faculté
23:42des sciences de la santé.
23:44On clôture avec quatre autres facultés.
23:46Ce sera donc samedi.
23:48Et parmi les lauréats, aujourd'hui, nous avons
23:50le chef du service de l'information
23:52et des magazines de CRTV Sud-Ouest,
23:54Hendry Macaulay, qui va désormais porter
23:56la casquette de docteur
23:58en direct du campus de l'université
24:00de Boya, Amanda Nyong'o
24:02et Stéphane Talla, pour le 12h
24:04CRTV.
24:06Merci Stéphane Talla.
24:08Voilà cette information
24:10dans la suite du 12h. Travaux de
24:12construction du projet de l'autoroute
24:14Yaoundé. Voilà. Le ministre
24:16des Travaux public, Emmanuel Gannon
24:18Dioumessi, reçoit
24:20depuis 10h30 à Yaoundé
24:22une délégation des autorités
24:24traditionnelles, des villages et
24:26des riverains impactés par le projet.
24:28Après le lancement
24:30des travaux au mois de novembre
24:322024, les travaux de déforestation
24:34entrepris dans la région du
24:36centre par l'entreprise
24:38adjudicataire du contrat
24:40sont bloqués depuis le 15 décembre
24:422024 par les riverains
24:44qui exigent le paiement
24:46au préalable des indemnités
24:48d'expropriation.
24:50C'est donc pour lever cet écueil
24:52que les différentes parties
24:54prenantes du projet se retrouvent
24:56au ministère des Travaux publics.
24:58Nous y reviendrons.
25:02Retour à la stabilité
25:04dans le nord-ouest Cameroun
25:06et le sud-ouest, les femmes passent
25:08à l'action. Un manuel de vulgarisation
25:10des valeurs de paix
25:12a été présenté
25:14et distribué hier à Bamenda.
25:16L'initiative à caractère pacifique
25:18est portée par deux dames
25:20originaires de ces deux régions
25:22en crise et appartenant
25:24à une tasse-force pour la paix.
25:26Laurent Chissoukbe
25:28a plus de détails.
25:30C'est une initiative
25:32féminine première du genre
25:34depuis que la crise s'évite
25:36dans les régions du nord-ouest et du sud-ouest.
25:38Des femmes qui désormais comprennent
25:40qu'il est grand temps de poser des actes
25:42en faveur du retour à la paix
25:44dans les deux régions soeurs.
25:46Un manuel perçu comme une boussole
25:48vient traduire toute la ferme
25:50détermination qui les anime.
25:52Nous sommes persuadés
25:54que ce manuel va beaucoup aider
25:56au retour à la paix.
25:58Pour l'instant, nous avons imprimé
26:00plus de 1000 exemplaires.
26:02Mais pour aujourd'hui, nous avons
26:04d'abord distribué une centaine.
26:06Il s'agit d'un document
26:08de 77 pages
26:10qui présente les stratégies
26:12et la démarche adoptées par des femmes
26:14pour promouvoir les valeurs de paix.
26:16Le dit manuel en quoi les responsables
26:18sera vulgarisé dans toutes les
26:20communautés du nord-ouest et du sud-ouest
26:22en pidgin et en anglais.
26:24Il est facile à comprendre.
26:26Il suffit de le consulter
26:28à travers les photos et les caricatures.
26:30Chaque femme pourra faire
26:32son idée de ce qui est attendu
26:34d'elle.
26:36Au cours de la cérémonie des circonstances,
26:38elles ont annoncé d'autres actions
26:40à mener dans les mois à venir
26:42à l'instar des descentes de sensibilisation
26:44dans les communautés.
26:48Cette note triste aux douze,
26:50le professeur Jean-François
26:52Ngé-Gang, enseignant
26:54et mairie de l'Estic,
26:56est un secrétaire général,
26:58maître de conférences
27:00au département radio
27:02de cette prestigieuse école
27:04et responsable à la CRTV
27:06par avant, décédé
27:08le 21 décembre 2024
27:10d'essuie de maladie, a entamé
27:12son dernier voyage ce jeudi
27:14à Yaoundé. Un hommage
27:16académique lui est rendu
27:18en ce moment à l'esplanade
27:20de l'Estic en présence
27:22de ses collègues, de ses confrères,
27:24de ses étudiants et du responsable
27:26de l'Estic, le docteur
27:28François-Marc Maudion.
27:30Vous regardez le midi
27:32Bilingual Newscast sur la caméra
27:34radio-télévision. La population
27:36de la division Maniou dans la région
27:38du sud-ouest a prié leur volonté
27:40de convaincre les combattants séparistes
27:42dans l'arène d'arrêter leurs armes et
27:44de rejoindre le centre DDR.
27:46Ils parlaient à la fin de l'adresse
27:48du président de l'État à la nation.
27:50Karine Kubon a les détails.
27:52Convaincue par
27:54l'officier de la division Maniou,
27:56Yves-Bétan Aounfak Alienou,
27:58une section croissante d'inhabitants
28:00de Mamphé, la capitale de la division
28:02Maniou, a conversé sur l'esplanade
28:04de la résidence de l'Estic pour
28:06écouter la fin de l'adresse du président
28:08de l'État à la nation.
28:10Tous ceux qui ont pu
28:12sacrifier
28:14une partie de leur temps précieux,
28:16rejoignez-nous.
28:18Certains dénaissants de Mamphé ont exprimé
28:20l'optimisme pour un retour immédiat
28:22en paix, après avoir cité
28:24des problèmes, en particulier
28:26pour leur localité,
28:28adressés par le président de l'État.
28:30Le président de l'État parle
28:32des prix de l'électricité.
28:34Nous le remercions car nous savons
28:36qu'on l'apprécie à cause
28:38de ses politiques.
28:40Le prix de l'électricité,
28:42c'est maintenant un voyage
28:44sur les routes.
28:46Pour le maire de Mamphé,
28:48le président de l'État a appelé
28:50certains compatriotes qui portent
28:52encore des armes pour accueillir la paix.
28:54Ils devraient être reçus
28:56comme une branche d'olive.
28:58Le président de l'État rappelle
29:00à nos compatriotes
29:02qui portent encore des armes
29:04et qui sont là,
29:06qu'il a exténdé
29:08son bras de paix.
29:10Le président de l'État,
29:12Yves-Bétrin Aounfak Alienou,
29:14a accueilli des centaines de personnes
29:16et applaudit le président de l'État
29:18pour son insight sur les problèmes
29:20qui affectent leur région.
29:22Il s'est déplacé à une grande junction
29:24dans la ville pour arrêter les feuilles de feu
29:26et pour passer au nouvel an
29:28dans le fanfare.
29:30Ce midi, nous voyons
29:32la région du nord de l'État
29:34pour célébrer avec les Mafars.
29:36Ils sont des migrants formant
29:38un groupe ethnique localisé
29:40au nord de Cameroun et au nord de Nigéria.
29:42Les Mafars peuvent aussi être trouvés
29:44dans des villes comme Mali, Tchad, Soudan, Burkina Faso
29:46et Sierra Leone.
29:48Il y a quelques jours, ils dansaient
29:50aux rythmes du festival international
29:52des Mafars.
29:54Henri Tatoy peut être enregistré.
29:58C'est ce spectacle artistique
30:00de Marceline Dumas
30:02qui a dessiné les coulisses
30:04de ce premier festival international
30:06des Mafars,
30:08décrit par beaucoup comme un succès
30:10ressemblant.
30:12Au-delà de la musique vibrante,
30:14de la danse et de l'habitude traditionnelle,
30:16il y a un message plus profond
30:18qui s'adresse au thème préjudiciable
30:20du Matakam
30:22qui a été utilisé pour moquer
30:24et détruire les Mafars.
30:26C'est péjoratif ce thème Matakam.
30:28Nous avons été regardés
30:30avec ce thème Matakam,
30:32mais avec ce festival, nous avons décidé
30:34que c'est fini.
30:36De la musique traditionnelle à la musique contemporaine,
30:38la diversité de la culture Mafar
30:40a été enregistrée à l'écran
30:42pour satisfaire les visiteurs du festival.
30:44La grande délégation nigerienne
30:46des Mafars
30:48a été aussi satisfaite
30:50par ce qui leur a pris les yeux et les oreilles.
30:52Ce qui m'a marqué, c'est la grande mobilisation
30:54des Mafars ici à Mokolo.
30:56Nos frères nigeriens
30:58sont aussi présents à la cérémonie
31:00et c'est très important.
31:02Il y a l'unité
31:04entre les Mafars
31:06et au moins,
31:08notre peuple et notre culture.
31:10Le rendez-vous a été pris
31:12pour l'année 2027
31:14pour la deuxième édition.
31:38La situation sécuritaire au palais présidentiel
31:40Tchadien est sous contrôle
31:42après la tentative de déstabilisation
31:44menée par des hommes armés
31:46de couteau dans la nuit
31:48de mercredi à jeudi.
31:50Des 25 assaillants
31:52qui ont mené l'assaut,
31:5418 ont été éliminés.
31:56Le président de l'Assemblée nationale
31:58s'est rendu au courant
32:00de la situation.
32:02Le président de l'Assemblée nationale
32:04s'est rendu au courant
32:06de la situation.
32:08Les 7 hommes qui ont mené l'assaut,
32:1018 ont été éliminés par les soldats
32:12et les 7 autres ont été capturés.
32:14Selon Abdou Rahman Koulamala,
32:16le ministre tchadien des Affaires étrangères
32:18qui a écarté la piste terroriste,
32:20le commando est arrivé à bord d'un véhicule
32:22qui a semblé être en panne
32:24devant la présidence
32:26avant d'agresser violemment les gardes.
32:28En Somalie, la sécheresse s'accentue
32:30durant l'année 2025.
32:32Pas moins de 6 millions de personnes
32:34ont indiqué le gouvernement.
32:36Soit une augmentation de 1,6 million
32:38de cas par rapport à l'année précédente.
32:40L'Organisation des Nations Unies
32:42pour l'Alimentation et l'Agriculture
32:44s'inquiète de la possibilité
32:46d'un scénario similaire
32:48à la famine de 2011 à 2012
32:50qui avait causé la mort
32:52de 260 000 Somaliens.
32:54Aux Etats-Unis d'Amérique,
32:56déjà deux décès ont enregistré
32:58la ville de Los Angeles dans l'état de Californie.
33:00Les autorités qui disent n'avoir pas
33:02plus de détails sur ces cas
33:04tentent de neutraliser les flammes
33:06avec 250 pompiers mobilisés.
33:08Avec trois foyers importants,
33:10l'incendie a déjà ravagé plus de 2 000 hectares
33:12de terrain, détruit plus de 1 000 bâtiments
33:14et privé d'électricité
33:16environ 188 000 foyers
33:18et entreprises.
33:32Merci d'avoir regardé
33:34et bonne fin de week-end.
33:36Rosalie, bonne fin de week-end.
33:38Bonne fin de week-end, à demain,
33:40à lundi, mesdames et messieurs,
33:42avec le même plaisir.