• hier
Retrouvez le replay de l'Équipe du Soir du 06/01/2025.

Category

🥇
Sport
Transcription
00:00:00C'est l'équipe du soir, bonsoir ! Le Milan renverse l'Inter, un match renversant puisque l'Inter menait 2 à 0 autour de la cinquantième minute et puis Contessao, son coaching, a été payant.
00:00:28Et c'est Milan qui remporte la Supercoupe d'Italie sur le score de 3 buts à 2. Une équipe du soir avec, je le disais, avec beaucoup d'innovation. Il y aura peut-être si on a le temps, une carotte et un ventilo.
00:00:44On présente évidemment tous nos invités, on peut remettre la musique quand même parce qu'on a l'impression que c'est... Bonne année à Damien Degord, bonne année à Dave Apadou, bonne année à Hugo Guillemet, bonne année à Rico Blanco et bonne année au président Roland Corbis. Bonsoir messieurs !
00:00:58Bonsoir ! Merci et bonne année !
00:01:00L'orchestre est accordé, bonne année !
00:01:02Mounier qui s'occupe des informations. Les informations, c'est le triomphe du Milan en Supercoupe d'Italie ce soir.
00:01:10Et c'est une première depuis 2016 après un match complètement dingue juste avant la mi-temps.
00:01:17Touche rapide de Di Marco sur une contre-attaque de l'Inter. Taremi à l'entrée de la surface décale sur Martinez qui finit du gauche après un beau crochet.
00:01:30C'est son 8ème but de la saison de toute compétition confondue.
00:01:34Dès le retour des vestiaires, l'Inter fait le break. De Vrij trouve dans la profondeur Taremi. Taremi a juste Meignan et ça fait 2-0.
00:01:47Vous êtes impressionné Dave ?
00:01:49Oui, j'adore le contrôle, j'adore la passe et comme il fixe bien Meignan. Superbe !
00:01:54Mais Milan revient grâce à un coup franc superbement tiré par Théo Hernandez.
00:01:59A 10 minutes du coup de sifflet final, passe en profondeur de Leao pour Hernandez. Le français sert Pulisic qui finit bien, pivot du gauche, 2 partout.
00:02:12Et dans le temps additionnel, superbe passe de Pulisic pour Leao. Le portugais trouve Abraham dans l'axe, score final 3 buts à 2. Scénario incroyable que vous avez vécu sur nos antennes.
00:02:21Là c'est Milan remporte une 8ème Supercoupe d'Italie comme l'Inter.
00:02:26Merci Léna.
00:02:28Normalement, elle ne parle pas de l'équipe Connect Léna ?
00:02:31Comment ?
00:02:32Il n'y a pas un truc avec l'équipe Connect ?
00:02:33Alors on a un petit problème de l'équipe Connect, on a un petit bug. On a un petit bug Damien.
00:02:37Ah pardon.
00:02:38Je sais que vous êtes un fervent adepte des réseaux sociaux.
00:02:41C'est pour ça que je suis un peu surpris qu'on n'en parle pas.
00:02:43Et bien écoutez, vous pouvez nous faire le petit rapporteur de ce qui se dit, de ce qui se passe sur les réseaux sociaux.
00:02:46Mon téléphone est éteint.
00:02:48On est en train de résoudre le problème.
00:02:49D'accord, on est en train de résoudre le problème.
00:02:50La situation est sous contrôle.
00:02:51Mes amis, j'ai une question. Après, tu préfères ton père ou ta mère ?
00:02:54Une question un peu dans cette variante-là.
00:02:56Est-ce une victoire pour vous du Milan, avant tout ?
00:02:59Ou est-ce une défaite de l'Inter ?
00:03:00Habillage à l'italienne, s'il vous plaît.
00:03:03Milan, il y a les deux.
00:03:04Bah Milan ou Inter.
00:03:06Damien, la victoire du Milan ou plutôt la défaite de l'Inter ?
00:03:09Victoire du Milan.
00:03:10Victoire Milan.
00:03:11Dave ?
00:03:12Bis.
00:03:13Bis, victoire Milan.
00:03:14Hugo ?
00:03:15Ter.
00:03:16Inter, défaite de l'Inter.
00:03:17Eric ?
00:03:18De Milan.
00:03:20Je pense qu'on a un petit duel.
00:03:22Des autoduels.
00:03:23Président, vous regardez la caméra et vous dites juste ?
00:03:27J'ai dit Ter, pas Inter.
00:03:29Bis, Ter.
00:03:30Ah, bis, Ter.
00:03:31Ah bah oui.
00:03:32Change, change, ils avaient prévu l'habillage.
00:03:36C'est complètement une victoire du Milan.
00:03:38C'est complètement une victoire du Milan.
00:03:39Pour vous aussi, Roland ?
00:03:41Pas du tout.
00:03:42Pas du tout ?
00:03:43Bah pourquoi ?
00:03:44Tout simplement parce qu'une équipe aussi expérimentée que l'Inter
00:03:48avec les chiffres qu'il y a en championnat.
00:03:5115 000 encaissés.
00:03:52La possibilité de mener 2 à 0.
00:03:55Et ça c'est l'Inter, c'est pas Milan qui a encaissé, c'est l'Inter qui les a marqués.
00:04:00Et perdre 3 à 2, sincèrement je ne pensais pas que l'Inter serait capable de cette contre-performance.
00:04:09Donc pour moi, je suis déçu par l'Inter et ça ne m'empêche pas d'applaudir Milan.
00:04:13Ok.
00:04:14C'est la lecture de Roland.
00:04:16C'est une lecture que ne partage pas le ville-peuple de l'équipe du soir.
00:04:18Ça sent la révolution.
00:04:19J'entends ce que dit Roland.
00:04:21Mais quand on voit la seconde période de Milan, fin des mille années,
00:04:26où au cours de laquelle ils auraient pu marquer un deuxième but bien plus vite,
00:04:31sans un sauvetage de Bastoni, puis un autre arrêt, une autre parade de Sommer.
00:04:36Je trouve que la seconde période n'est pas du tout maîtrisée par l'Inter.
00:04:40Mais elle n'est pas du tout maîtrisée par l'Inter non pas parce que l'Inter panique.
00:04:43C'est juste parce que Milan montre un autre visage.
00:04:46Beaucoup plus agressif.
00:04:47Beaucoup plus porté vers l'avant.
00:04:50Ils étaient bien en première aussi, Milan.
00:04:52Par rapport à d'habitude.
00:04:53Beaucoup moins dangereux.
00:04:54Et là, c'est Milan.
00:04:56Il a apparu être allé chercher cette victoire.
00:05:01Damien, c'est un inventaire qui est un peu biaisé.
00:05:04Puisque moi, j'ai noté des actions et des occasions assez chaudes du côté de l'Inter.
00:05:08Il y a une balle de Zelinsky.
00:05:09Trois buts à un.
00:05:10Le ballon ne franchit pas.
00:05:11Il n'y a pas d'embaut.
00:05:13Le ballon n'a pas intégralement franchi la ligne.
00:05:16Et puis j'ai deux balles de 3 à 2 signées d'Humphreys à la 83ème et la 87ème.
00:05:20Avant la balle de Zelinsky, il y a quand même deux ballons de 2 à 2 pour Milan.
00:05:24Vous dites qu'elle est biaisée.
00:05:26Non, elle n'est pas biaisée.
00:05:27Ce n'est pas à Saint-Sunic.
00:05:29Je ne dis pas que c'était à Saint-Sunic.
00:05:31Je dis juste que Milan est vraiment allé chercher la victoire.
00:05:35Il n'a pas subi.
00:05:37Il n'y a eu aucune fatalité dans cette soirée pour les Milanais.
00:05:39Surtout qu'ils avaient fait le coup déjà contre la Juve en demi-finale.
00:05:43Contre la Juve, ils avaient été globalement contrôlés en première période par les hommes de Tiago Mota
00:05:51qui menaient 1-0, qui contrôlaient, qui avaient même eu une balle de 2-0.
00:05:55On ne voyait pas comment ce Milan pouvait se révolter.
00:05:57Et tu as quand même l'impression qu'il se passe quelque chose à la mi-temps dans ce vestiaire.
00:06:01Parce qu'ils sont revenus métamorphosés en termes d'état d'esprit, d'engagement, de pressing,
00:06:06de volume de course, d'impact.
00:06:08Et là, j'ai à peu près vu la même chose.
00:06:10Même si en première, je trouve qu'ils étaient déjà pas trop mal.
00:06:13Mais en seconde, franchement, je trouve qu'ils mettent l'Inter dans les corbes.
00:06:17Il n'y a pas beaucoup d'équipes en Europe qui peuvent le faire.
00:06:18Interruption de séance.
00:06:19Roland, vous voulez absolument revoir le troisième but.
00:06:21Le but de la victoire marqué par Abraham sur cette passe formidable de Léa O.
00:06:24Ah, le procès-verbal.
00:06:25Non, mais je ne sais pas.
00:06:27Il y a quelque chose.
00:06:28Oui, et la passe de Pulisic, celle qui décale tout.
00:06:30C'est le jeu défensif de l'Inter.
00:06:32Vous le trouvez comment ?
00:06:34Moi, je trouve que l'action est géniale offensivement.
00:06:36L'action, on ne va pas empêcher et critiquer Milan.
00:06:42Mais cette passe, elle est superbe, magnifique.
00:06:45Mais pour moi, c'est une évidence que dans une passe comme ça,
00:06:49il y a tout de suite une couverture des deux arrières centraux.
00:06:52Et là, c'est l'arrière centrale.
00:06:54Et tu as vu d'où il part, Léa ?
00:06:56L'appel, il est formidable.
00:06:57Ah, mais non, je ne t'ai pas dit le contraire.
00:06:59Et le fait que Milan marque, je te le dis, je te le répète.
00:07:03Il va vite.
00:07:04On les applaudit.
00:07:05Et là, cette passe, pour moi, normalement, elle ne doit pas être possible.
00:07:10Soit c'est parce que c'est la faute de l'Inter, soit on va applaudir Milan.
00:07:15Ou les deux.
00:07:16Mais il y a deux joueurs qui sont en mouvement sur la passe de Pulisic.
00:07:19Vous allez le voir.
00:07:20Est-ce qu'on peut remettre, s'il vous plaît, le pied-off ?
00:07:22Comme on a les droits, vous allez voir, vous jouez pour votre carrière en régie.
00:07:25Vous allez voir qu'il y a deux appels.
00:07:27Il y en a un de Calabria, qui part à droite.
00:07:29Et donc Bastoni, qui est normalement la couverture que vous appelez.
00:07:33Et là, Calabria vient de faire l'appel.
00:07:37Et Léao est partie.
00:07:38Bastoni est éliminé.
00:07:40Il y en a un dans l'axe, je ne sais pas comment il s'appelle, mais il dort.
00:07:43On va l'appeler le dormeur.
00:07:45Oui, parce que Calabria, il emmène déjà l'axe à gauche.
00:07:49Bastoni.
00:07:50Il l'emmène et du coup, il crée cet espace, cet angle de passe.
00:07:54Et après, l'appel est super tranchant.
00:07:57Il y a ça aussi.
00:07:58Il ne le fait pas entre footing et marche à pied.
00:07:59Il y va.
00:08:00On est aussi à la dernière minute des 95 minutes.
00:08:05Il est rentré.
00:08:06Il est prêt.
00:08:07Qu'il y ait l'absence d'un défenseur qui n'anticipe pas cette passe, c'est fort possible.
00:08:13La preuve.
00:08:14On peut revoir le deuxième but, l'égalisation du Milan à Pulisic.
00:08:18Là, je trouve qu'il y a Bastoni, là encore.
00:08:21Là, qui se fait quand même un petit peu trifler.
00:08:23Parce qu'il y a le centre de Théo Hernandez.
00:08:25Et je trouve que Bastoni est extrêmement passif.
00:08:27Là, il y a un dormeur, c'est Bastoni.
00:08:30On peut le revoir s'il me plaît.
00:08:31Et Pulisic avait fait plus ou moins le même coup en demi-finale.
00:08:33En battant, je crois que c'était Gatti.
00:08:38En tout cas, il était passé dans son but.
00:08:41C'est le 95, là, regardez.
00:08:42Voilà.
00:08:43Là, je trouve que je ne pourrais plus tomber sur Bastoni de 95.
00:08:47Il ne le voit pas arriver dans son dos.
00:08:50Il a le jeu, il faut y aller.
00:08:51Non, mais il ne le voit pas arriver.
00:08:52Il est peut-être un peu passif, mais il ne le voit pas arriver dans son dos.
00:08:55Peut-être que je ne sais pas qui est derrière Bastoni, mais il peut lui parler aussi.
00:08:58On ne parle pas du coup franc.
00:08:59Ça a l'air d'être une évidence, mais pour moi, je ne m'imaginais pas l'Inter expérimenté
00:09:04et solide comme ils ont l'habitude d'être, prendre un coup franc comme ça.
00:09:08Sur le coup franc de Hernandez, c'est incroyable la faute de Lotharo Martinez.
00:09:13Il s'échappe.
00:09:14Je l'ai vu trois fois.
00:09:15Il efface.
00:09:16Il est décalé du mur.
00:09:18Le ballon arrive.
00:09:19Il fait comme il y a deux pigeons en se retournant.
00:09:23Vous avez les images.
00:09:25C'est un truc de fou.
00:09:27Lotharo Martinez s'échappe.
00:09:29Après, il est bien tiré parce qu'il aura du poteau.
00:09:32Non, mais Lotharo Martinez, il doit rester face et mettre son pied.
00:09:36Mais c'est incroyable.
00:09:37Je n'ai pas du tout compris son attitude.
00:09:40Surtout, c'est un joueur généreux.
00:09:42Il faudra vérifier.
00:09:43Mais ça, en Angleterre, il y avait un joueur qui avait fait ça, justement, de s'esquiver
00:09:46dans le mur.
00:09:47Son nom m'échappe.
00:09:48Non, mais il n'était pas dans le mur.
00:09:49Il s'était pris toute la semaine dans la presse.
00:09:50Exactement.
00:09:51Tu te souviens de ça ?
00:09:52Non, mais Lotharo Martinez, il est à 1,50 m du mur.
00:09:56Et lui, il est décalé.
00:09:57Il est sur la trajectoire.
00:09:59Il veut faire une aile de pigeon pour défendre.
00:10:01Il s'échappe.
00:10:02Mais c'est un truc de fou.
00:10:03Regardez-le.
00:10:04Je vous demande les images.
00:10:05Est-ce qu'on a les images ou on les a purgées ?
00:10:08En deuxième partie.
00:10:09On n'a pas le coup franc ?
00:10:10On n'a pas le coup franc, les gars.
00:10:11Qu'est-ce que vous faites en Angleterre ?
00:10:13C'est comme ça.
00:10:14J'aimerais en revenir.
00:10:15C'est quand même une histoire dans l'histoire.
00:10:17Dans ce match, c'est contre Cessaro.
00:10:19Les stades, c'est deux matchs, un titre.
00:10:21Un titre tous les deux matchs.
00:10:24Pas contre n'importe qui.
00:10:26Avec le scénario chaque fois.
00:10:28La juve donne l'impression d'être tranquille.
00:10:31Dans ce match, égalisation.
00:10:33But de la victoire.
00:10:34Et en plus de ça, il y a son fils en face.
00:10:36Voilà, exactement.
00:10:37Contre Cessaro, est-ce qu'il a complètement relancé le Milan ?
00:10:39Là, on va se calmer.
00:10:40Ils sont huitièmes du championnat.
00:10:41Complètement, je ne sais pas.
00:10:42Mais en tout cas, l'électrochoc a fonctionné.
00:10:44Et puis, pour voir jouer le Milan sous Fonseca à la fin,
00:10:47c'était une équipe qui était complètement malade.
00:10:49Avec un effectif qui n'est pas, pour moi, qui n'est pas top
00:10:52par rapport à l'effectif de l'Inter, par exemple, pour comparer.
00:10:55Il arrive à faire un truc dans le jeu aujourd'hui.
00:10:58En première période, ils sont menés, pour moi, assez dur.
00:11:00Parce qu'ils étaient là, quand même.
00:11:02Même s'ils étaient beaucoup moins dangereux et moins bons qu'après la pause.
00:11:05Ils reviennent transfigurés.
00:11:08Et ils prennent encore ce deuxième but.
00:11:10Donc l'Inter, en plus, ils ont la chance, entre guillemets,
00:11:12de marquer aux deux meilleurs moments du match.
00:11:16Mais Milan a tellement cherché à gagner pendant 90 minutes, en fait,
00:11:21ce que je n'avais pas vu depuis le début de saison,
00:11:23que la victoire...
00:11:25Je te trouve un peu dur, Hugo.
00:11:26Dur avec qui ?
00:11:27Avec le Milan.
00:11:28Parce qu'avec le Milan de Fonseca, effectivement, ce n'était pas un grand Milan.
00:11:30Là, il ne faut pas oublier que c'est quand même une compétition à part.
00:11:32C'est la Supercoupe.
00:11:33Bien sûr, bien sûr.
00:11:34Et ce n'est pas la même chose que d'aller jouer...
00:11:35Mais tu vois une grosse différence, quand même.
00:11:37Après, c'est peut-être juste l'électrochoc.
00:11:39Sur ces deux matchs-là, oui.
00:11:40Mais regarde les résultats du Milan sur les six, sept derniers matchs de Fonseca.
00:11:45Ils ont perdu un match contre l'Atalanta Bergam, en championnat.
00:11:48Mais ils ont gagné leurs quatre derniers matchs de Ligue des Champions.
00:11:51Ils ont quatre victoires en six matchs.
00:11:53Ils ont deux nuls, effectivement, je ne sais plus contre qui, mais...
00:11:56Ils avaient des matchs frustrants.
00:11:58Exactement.
00:11:59Mais en termes de résultats, moi, je pense que le malaise,
00:12:01c'était plus entre Fonseca et son vestiaire.
00:12:03On est d'accord.
00:12:04Voilà.
00:12:05Un vrai malaise sportif, quoi.
00:12:06D'ailleurs, la preuve, on voit Théo Hernandez qui ne jouait pas sous Fonseca.
00:12:09Il est là, il a eu un but de passe.
00:12:10Oui.
00:12:11Mais...
00:12:12L'A.O. aussi.
00:12:13L'A.O., c'est un problème aussi.
00:12:14J'ai le sentiment que l'équipe, elle était en souffrance sportive.
00:12:19Mais par contre, on sait que contre ces A.O., puisqu'on l'a vu avec Nantes,
00:12:21il est capable d'avoir une efficacité immédiate.
00:12:24Et quasi, peu importe le groupe qu'il a.
00:12:27Parce qu'il n'avait pas une équipe de Cador non plus avec Nantes.
00:12:30En tout cas, ils étaient très, très loin du compte avant qu'il arrive.
00:12:33Il est arrivé et assez vite, même très vite, il a remonté la pente.
00:12:37Il termine septième.
00:12:39Septième.
00:12:40Et c'est le meilleur classement de l'Equiterre.
00:12:42Voilà.
00:12:43Et sans avoir fait l'intégralité de la saison.
00:12:44Franchement, il a cette capacité-là.
00:12:46Presque qu'il est capable de durer.
00:12:48Mais en tout cas, là, il a envoyé un super message.
00:12:50Ce qui l'expand, toi, notre coach, Roland Corbi.
00:12:53Pompier de scène.
00:12:54Et du pit-à-tif.
00:12:55Contre ces A.O., c'est un très beau coach.
00:12:57Contre ces A.O., c'est un bon entraîneur, ça.
00:12:59Là, je ne suis pas surpris.
00:13:01Eric, vous vouliez vous inviter à un moment dans la petite dispute entre Hugo et Damien ?
00:13:04Le sentiment que j'ai eu dans ce jeu qui était très ouvert, un peu boxe-to-boxe,
00:13:07qui allait vite.
00:13:09L'Inter a 2 à 0.
00:13:10Ils doivent calmer le jeu.
00:13:12Un peu, à mon avis.
00:13:14Alors que c'est une équipe qui maîtrise.
00:13:16Mais elle a continué à aller de l'avant.
00:13:18Essayé même de marquer.
00:13:20Elle a eu des occasions.
00:13:21Mais ça a fait, en même temps, le jeu du Milan-Assez avec le banc qui rentre,
00:13:25qui fait la différence.
00:13:26Abraham, les A.O.
00:13:28Calabria.
00:13:29Et puis, le tournant, pour moi, du match, c'est à 2 à 0.
00:13:33Je n'ai pas en tête.
00:13:356 minutes après 2-1.
00:13:37Et là, ça remet le Milan-Assez dans la course.
00:13:41Et ils ont marqué, tant mieux pour eux, très vite.
00:13:43Donc, ils sont revenus.
00:13:44Vous avez vu la détermination.
00:13:46Après, je vous rejoins tous.
00:13:47Ils sont allés la chercher.
00:13:49Ils n'ont pas lâché mentalement.
00:13:50Ils se sont encouragés.
00:13:52Après, ça ne tient à rien.
00:13:54Parce qu'on pourrait raconter une autre histoire.
00:13:56Et ça aurait pu faire aussi 3-2 de l'autre côté.
00:13:59À la vue du résultat et du scénario, c'est peut-être un tournant dans leur saison.
00:14:05Il y a un plus grand prof que moi.
00:14:07Compte tenu de ce qui se passe dans ce championnat qui est passionnant,
00:14:11on va quand même regarder encore de plus près ce qui va se passer maintenant.
00:14:16Avec l'Inter.
00:14:17Et aussi avec le Milan.
00:14:19Quand c'est ça, je ne saurais pas être allé.
00:14:21Le Milan remonte taquiné un petit peu les 3 premiers.
00:14:25Ils sont 8e.
00:14:26Ils ont des points de retard.
00:14:27La finale de la Supercoupe d'Italie.
00:14:28Ils ont un match en retard.
00:14:29La finale de la Supercoupe d'Italie.
00:14:30Ils disputent sur 3 matchs.
00:14:31Ce qui a donné des idées à Vincent Labrune, le patron de notre championnat.
00:14:34Qui va adopter le même dispositif pour le trophée des champions.
00:14:38C'est une information L'Equipe.
00:14:40Consultable actuellement sur le site L'Equipe.
00:14:42Signé Arnaud Hermant.
00:14:43La formule devrait convier les 3 premiers du championnat.
00:14:451, 2, 3.
00:14:46Plus le vainqueur de la Coupe de France.
00:14:47Si Paris gagne le championnat de la Coupe de France, ce sera après son 24e.
00:14:50Ce qui se fait en Espagne aussi.
00:14:51Voilà.
00:14:52Cette première édition pourrait avoir lieu en Afrique.
00:14:54Soit en République démocratique du Congo.
00:14:55Soit en Côte d'Ivoire.
00:14:56Et puis le changement de format devrait être validé par le conseil d'administration de la Ligue.
00:15:00Qui n'écoute jamais.
00:15:01Comme on le sait, Vincent Labrune.
00:15:04Mercato OM.
00:15:06Voici la première recrue hivernale de l'OM.
00:15:08On a les images.
00:15:09Elles vont partir.
00:15:10Le défenseur central italo-brésilien Luiz Felipe.
00:15:13Une signature donc pour 18 mois.
00:15:1527 ans.
00:15:16Ancien taulier de la Lazio.
00:15:18Chouchou de Simone Inzaghi.
00:15:20Vous le voyez.
00:15:21Il est là.
00:15:221m87 de muscle.
00:15:23Le joueur était libre depuis sa résiliation avec le club saoudien d'Al-Hitiyad.
00:15:28Alors quel est le niveau de ce joueur ?
00:15:30C'est une petite question finalement.
00:15:32Est-ce que Luis Henrique est un plus pour l'OM ?
00:15:34Ou simplement un joueur en plus ?
00:15:36Il s'est renseigné.
00:15:38Il a fait son enquête.
00:15:39C'est Eric Blanc.
00:15:41Vous me dites que c'est un plus.
00:15:43Un plus pour l'OM.
00:15:44Pourquoi ?
00:15:45Vous avez une minute pour nous convaincre.
00:15:46On va baisser un peu l'intensité lumineuse.
00:15:48Vous faites vos comptes à rebours.
00:15:49Et puis Henrique, vous déroulez.
00:15:51Je ne vais pas vous mentir.
00:15:52Je ne l'ai pas vu jouer.
00:15:53Je ne le connaissais pas.
00:15:54Simplement, je veux être positif.
00:15:56Et je fais surtout confiance à Benazia et à De Zerbi.
00:15:59De Zerbi qu'il connaît très bien.
00:16:00C'est un joueur qui a la double nationalité sportive.
00:16:03Brésilienne, italienne.
00:16:04Il a une sélection.
00:16:05Il a joué quand même à l'Alaso pendant longtemps où il a été bon.
00:16:08Il a joué sous les ordres aussi de Sarri.
00:16:10Inzaghi le trouvait bon.
00:16:12Et puis il est parti un an au Betis.
00:16:14Il est parti après en Arabie Saoudite.
00:16:16Bien sûr qu'ils l'ont peut-être exfiltré
00:16:18parce qu'ils ont besoin d'un joueur étranger
00:16:21pour faire le nombre dans la deuxième partie.
00:16:23Là, en ce moment, c'est le Mercato.
00:16:25Mais bon, c'est un joueur intelligent.
00:16:27Il est droitier.
00:16:28Il peut jouer à plat à 3-5-2.
00:16:30Il sait lire le jeu.
00:16:32J'en ai entendu du bien.
00:16:33J'ai lu un peu la Sampa
00:16:35qui est une équipe en Italie qui le trouvait bon.
00:16:38Le seul bémol qu'on peut mettre pour l'instant,
00:16:40c'est qu'il a eu des blessures.
00:16:42Il n'a pas joué depuis le mois d'août.
00:16:43Il a été blessé au mollet.
00:16:45J'ai vu des ennuis musculaires.
00:16:46Mais tous les Italiens et tous les entraîneurs
00:16:48disent qu'il a un cuit football élevé.
00:16:50Qu'il a un état d'esprit réprochable.
00:16:52Qu'il a un compétiteur.
00:16:53Donc moi, je pense qu'ils ne se sont pas trompés.
00:16:56Je fais confiance à De Zerbi et à Benazia.
00:16:58Ok, ben voilà.
00:17:02C'était l'enquête du professeur Rico
00:17:04devant des profs journalistes complètement ébahis.
00:17:07Ricky, silence.
00:17:08Avez-vous convaincu le petit peuple
00:17:10de l'équipe du soir ?
00:17:12Habillage et on y va.
00:17:13Convaincu par l'exposé d'autre jeune scout,
00:17:16Ricky Blanco ?
00:17:17Non.
00:17:18Ah, d'accord.
00:17:19Dave ?
00:17:20Hélas non.
00:17:21Hélas non non plus, d'accord.
00:17:22Très bien.
00:17:23Il devait être un peu plus sympa.
00:17:24Pas loin de me renverser.
00:17:25J'ai quelques réserves.
00:17:26Ah, vous avez quelques réserves.
00:17:27Il a fait l'effort d'enquêter.
00:17:29Ils n'ont pas tous fait ici.
00:17:31Attendez, attendez.
00:17:32Je peux poser une question ?
00:17:33Attendez, attendez.
00:17:34Est-ce que Roland y compte ?
00:17:35Pourquoi ?
00:17:36Roland, j'ai la réponse.
00:17:37Est-ce que vous l'avez convaincu ?
00:17:38Est-ce que les téléspectateurs l'ont, la réponse ?
00:17:40Roland, est-ce qu'il vous a convaincu, notre Rico ?
00:17:43Comment dire ?
00:17:44Oui, ça veut dire que Roland y les a.
00:17:46Vas-y, j'ai envie d'entendre tes arguments.
00:17:48Alors, c'est quoi le...
00:17:49C'est qui ?
00:17:50C'est-à-dire que les arguments.
00:17:52Quand je vois la durée du contrat, l'OM ne prend pas de risques.
00:17:58C'est ça qu'il faut regarder.
00:18:00Mais entre ne pas prendre de risques et être sûr que ça va être une réussite,
00:18:05là, je n'ai pas cette vision.
00:18:08Et je l'aurai peut-être.
00:18:09Je souhaite à l'OM qu'on puisse l'avoir.
00:18:12Même si je comprends ce que dit Eric.
00:18:15Il faut quand même savoir qu'être joueur à l'OM, c'est un endroit compliqué.
00:18:20C'est un endroit différent.
00:18:22Un arrière central qui se blesse, ça peut être inquiétant.
00:18:29Ce joueur-là qui s'impose à l'OM, c'est un grand point d'interrogation pour moi.
00:18:36Mais par contre, je dis que c'est bien joué de la part de l'OM.
00:18:39Parce qu'il n'y a aucun risque, un contrat d'un an et demi,
00:18:42qui peut être avec une clause qu'avant le 30 juin,
00:18:46l'OM pourra décider s'il lui donne cette année supplémentaire ou pas.
00:18:50Donc, il a cinq mois pour s'imposer.
00:18:53C'est très bien.
00:18:54Un défenseur central fragile, ça me rappelle Eric Bailly.
00:18:58Bon joueur, mais qui était vraiment en cristal, Eric Bailly.
00:19:01L'exposé, c'est une enquête.
00:19:03Pourtant, vous êtes un enquêteur en chasse.
00:19:05Il ne vous a pas convaincu.
00:19:07Ce n'est pas qu'il m'a convaincu ou pas convaincu.
00:19:10Le problème, c'est qu'Eric commence son exposé en disant
00:19:13je ne l'ai pas vu jouer.
00:19:14Moi, j'aurais aimé qu'il le voit jouer et qu'il me dise c'est un super joueur.
00:19:17Il aurait fallu que je regarde l'Arabie Saoudite.
00:19:19Il y a trop de matchs ailleurs.
00:19:20Ça fait plus d'un an et demi qu'il est parti du Betis en 2023.
00:19:24Il a joué 13 matchs.
00:19:26Tu le savais ?
00:19:2713 matchs en Arabie Saoudite.
00:19:28Et il a été blessé.
00:19:30Un match, un de ces ans.
00:19:32Ecoutez Damien.
00:19:33Tout ça ne fait qu'alimenter mes doutes sur ce joueur
00:19:38qui a une très belle carrière à l'Aladjian comme Eric l'a dit.
00:19:42Mais il est passé en Arabie Saoudite où il a été blessé.
00:19:45Il n'a pas joué.
00:19:46Ça ne vous inquiète pas qu'il donne un accord avec son club.
00:19:51Il se retrouve libre.
00:19:53Je me dis que c'est qu'il ne doit pas être dans une grande forme.
00:19:55Son club à l'Itiade, ils ont pris Danilo pour renforcer la défense.
00:19:58Ils auraient pu le garder lui.
00:19:59Danilo, c'est un étranger aussi.
00:20:00Exactement.
00:20:01Je ne suis pas convaincu.
00:20:03Peut-être qu'il va...
00:20:04En plus, blessure au mollet.
00:20:06C'est quand même pas le muscle dont on se remet le plus facilement.
00:20:09C'est un endroit compliqué.
00:20:11Je crains que ce soit effectivement un joueur en plus
00:20:15qui sera peut-être par moments bon.
00:20:17Je n'ai aucune garantie là-dessus.
00:20:20Je n'ai aucune certitude.
00:20:21J'insiste sur le fait que ce n'est vraiment pas risqué du tout.
00:20:24Il n'y a pas de transfert.
00:20:26Je suis d'accord avec toi, mais c'est une autre question.
00:20:29Je ne pense pas que ce soit des salaires qu'on entend depuis...
00:20:32Tu vois, quand l'OM prend Rabiot libre,
00:20:38tu dis que là, c'est vraiment un bon coup.
00:20:42Oui.
00:20:43Juste une chose, j'ai quand même entendu sur ce plateau et ailleurs...
00:20:47Damien ne l'enterre pas, mais Damien est sceptique.
00:20:49On peut être sceptique, mais c'est un joueur, en tout cas en Italie,
00:20:53qui a prouvé qu'il a quand même eu pendant quatre ans
00:20:57un niveau de jeu élevé.
00:21:00Peut-être qu'à 27 ans, il est déjà cuit et il est rôti.
00:21:04Moi, je pense que...
00:21:05Bien sûr, quand il dit qu'ils l'ont...
00:21:06Pourquoi ils ne l'ont pas gardé ?
00:21:07D'abord, ils veulent le recruter.
00:21:08Je me suis renseigné.
00:21:09C'est un Arabi.
00:21:10C'est deux autres joueurs meilleurs et peut-être pas à son poste,
00:21:13à d'autres postes pour fonctionner davantage.
00:21:16Moi, je ne dis pas que c'est Ramos de la grande époque ou Pouyol.
00:21:19Je dis simplement que j'ai...
00:21:21Je répète sur ce plateau, j'ai entendu 25 000 fois
00:21:23qu'il fallait recruter derrière, que l'urgence allait être à Marseille,
00:21:26plutôt derrière, latéral ou un joueur.
00:21:29Non, parce qu'un joueur en plus, ça veut dire un joueur moyen
00:21:32puisqu'on ne fait que critiquer la défense de Marseille.
00:21:35Là, tu es en train de me refaire une deuxième minute.
00:21:37Je te propose qu'on fasse circuler un peu la barre.
00:21:39Non, je vais la faire circuler.
00:21:40Attends, tu as eu une minute pour convaincre.
00:21:43Ce n'était pas la bonne distance.
00:21:44Je vais la faire, mais deux Erbis,
00:21:46ils connaissent davantage le football que toi et surtout à Marseille.
00:21:49Ils ne sont jamais gourés.
00:21:50C'est vrai que Marseille ne s'est jamais gouré dans son recrutement.
00:21:52Non, non, ne dis pas Marseille.
00:21:53D'ailleurs, la preuve, ils sont tellement courants.
00:21:55La preuve, ils ne sont tellement pas gourés dans leur recrutement
00:21:57qu'ils ont recruté derrière cette année.
00:21:59Et il n'y a rien qu'ils trouvent grâce à leurs dieux.
00:22:01Ils sont obligés de faire jouer le coup d'homme bien.
00:22:03C'est vrai que c'est extraordinaire la pertinence du recrutement.
00:22:06On a le droit de répondre un peu, peut-être.
00:22:08Non, vous l'avez attaqué.
00:22:09Professeur, deuxième n'a pas recruté tous les joueurs de Marseille.
00:22:14L'exposé de Rico Blanco, la fameuse grande enquête,
00:22:17je n'ai rien appris.
00:22:18Savoir que ça a été un très, très bon joueur à la Lazio,
00:22:20et pour le coup, on l'a vu.
00:22:22Enfin, ceux qui ont subi la Lazio,
00:22:23c'est vrai que c'était un très, très bon joueur à la Lazio.
00:22:25Très dur, beaucoup de leadership, etc.
00:22:28C'était à la Lazio depuis qu'il s'en est passé.
00:22:30Ça fait deux ans et demi.
00:22:31Exactement.
00:22:32Non, il a joué aux bêtises civiques.
00:22:33Oui, mais pourquoi tu parles de la Lazio pour aller aux bêtises déjà ?
00:22:36À 25 ans, ça n'arrive jamais.
00:22:39Si tu es très loin à la Lazio, tu ne vas pas aux bêtises.
00:22:41Est-ce que tu sais, la Lazio, est-ce que tu sais pourquoi il est allé aux bêtises ?
00:22:45Exactement.
00:22:46Oui, je te pose la question.
00:22:48J'attends la règle.
00:22:49Non, mais j'attends parce que je l'ai.
00:22:50Tu sais ?
00:22:52Je ne te le dirai même pas parce que j'ai bluffé et t'as plongé.
00:22:56Donc, il ne connaît rien.
00:22:58Rien du tout.
00:22:59En fait, un expéditeur, c'est un bluff géant.
00:23:01Il n'est pas crédible.
00:23:02Il n'est pas crédible.
00:23:03Oui, je suis obligé.
00:23:05Riky, silence.
00:23:07C'est une réalité.
00:23:08Le bloc qui te parle de Riky Dussant ne vous soutient pas,
00:23:11mais les téléspectateurs vous soutiennent.
00:23:13Merci.
00:23:14Je vous applaudis.
00:23:15J'avais tout le monde contre moi.
00:23:17Silence, mes amis.
00:23:18Nous allons ouvrir la page Dakar.
00:23:20Tous les soirs, un journaliste va vous raconter ses thérapes.
00:23:23Le conteur s'appelle Louis Boulet.
00:23:25Entrez ici, mon cher Louis.
00:23:26Trois Dakars à son actif.
00:23:27C'est son quatrième qu'il va faire sur l'Opèque.
00:23:31Bonsoir, monsieur Boulet.
00:23:32Bonsoir, Olivier.
00:23:33Bonsoir à tous.
00:23:34Je pense que l'ambiance va retourner tranquille.
00:23:37Peut-être que Rito a des trucs à dire.
00:23:39Il a peut-être demandé une enquête aussi là-dessus.
00:23:41Alors, c'était une page d'hier.
00:23:43C'était le travail des journalistes que j'ai fait.
00:23:45Et vous êtes des journalistes depuis 25 ans.
00:23:48On va t'appeler.
00:23:54Alors, il est né en 1980.
00:23:57Louis vient d'arriver pour le Dakar, s'il vous plaît.
00:23:59On l'accueille, mes amis.
00:24:01On va revenir, mon cher Louis, par une image d'hier.
00:24:03Carlos Sainz qui fait un tonneau.
00:24:05Vous allez le voir.
00:24:06Son petit Raptor qui a retourné.
00:24:08Et il abandonne.
00:24:10Dès la deuxième étape.
00:24:13Ce n'est pas un peu trop tôt, Louis ?
00:24:15C'était écrit que cette 48h chrono allait être fatale.
00:24:18Plusieurs favoris.
00:24:19Et c'est tombé sur lui.
00:24:20C'est tombé sur Sainz.
00:24:21Et quand on voit l'état de son Raptor.
00:24:22On se demande même comment il a fait pour rallier l'arrivée aujourd'hui.
00:24:24Parce qu'il a vraiment eu le droit à toute la panoplie.
00:24:27Le pare-brise arraché.
00:24:29La surchauffe moteur.
00:24:30La crevaison.
00:24:31Les erreurs de navigation.
00:24:32Je vous en passe même.
00:24:33Il a eu le droit à tout.
00:24:34Et ça peut expliquer pourquoi il était absolument furieux en arrivant à l'arrivée.
00:24:38Puisqu'avec 1h30 de retard en général.
00:24:40Il savait très bien que son Dakar était terminé.
00:24:42Donc, il a abandonné en fin de journée.
00:24:46Même pour un gars comme ça.
00:24:47Vous avez parlé de l'étape 48h chrono.
00:24:50Donc, elle est marquée par une nuit de camping.
00:24:53C'est quoi la différence ?
00:24:54Juste bêtement entre le camping qu'ils ont eu.
00:24:57Nos concurrents.
00:24:58Et un bivouac traditionnel.
00:24:59C'est le strict minimum en fait.
00:25:00Et c'est le retour à ce qu'on peut appeler l'ancien Dakar.
00:25:02Où ?
00:25:03C'est le strict minimum.
00:25:05C'est une tente.
00:25:06Un sac de couchage.
00:25:07Une ration militaire.
00:25:08Et après basta.
00:25:09Rien de plus.
00:25:10C'est pas d'assistance.
00:25:11Pas de toilette.
00:25:12Pas d'équipe au petit soin.
00:25:13Et pas de plat préparé.
00:25:14Donc, ça donne une séquence plutôt sympa.
00:25:15Où chaque pilote est logé à la même enseigne.
00:25:17Les pros comme les amateurs.
00:25:19Enfin, presque tous.
00:25:20Puisqu'on va voir que Nasser Al-Attiyah a fait le coup du Vébriska.
00:25:23Et il s'en est bien tiré.
00:25:24Ok, on l'écoute.
00:25:26Oh, montre-moi tout ça.
00:25:27Oh là là !
00:25:28J'ai des crêpes.
00:25:31J'ai du thon.
00:25:32Le thon, j'ai compris.
00:25:36C'est pareil en français.
00:25:37Un petit désert.
00:25:38Et puis, j'ai aussi de la viande séchée.
00:25:41Oui, la viande séchée.
00:25:42Oh là là !
00:25:43Et puis, on a du fromage.
00:25:45Oh non, du fromage !
00:25:47Du fromage français ?
00:25:48Je ne sais pas.
00:25:49Peut-être, oui.
00:25:51Voilà, c'était Franck Spiron.
00:25:52Dans quelques minutes, la suite du Dakar avec le premier accessoire.
00:25:56Un ventilateur.
00:25:57Ce qui fait chaud sur le Dakar, mais c'est pas ça.
00:25:59A tout de suite, mes amis.
00:26:00Avec Louis Boulay.
00:26:02Reprise de la page Dakar !
00:26:04Ça vous intéresse le Dakar ?
00:26:05On l'a ou pas ?
00:26:06Attention, il frise.
00:26:08Mes amis, si j'ai mis le ventilo, c'est qu'on parle de Sébastien Loeb
00:26:11qui a un problème de ventilo.
00:26:12Il y en a trois, je crois, sur Saint-Dacien.
00:26:14Et généralement, ça tombe en panne.
00:26:15C'est ce qui est arrivé hier.
00:26:16Aujourd'hui, panne ou pas panne, Louis ?
00:26:18Pas de panne, mais il a eu chaud.
00:26:19Il aurait bien eu besoin de votre voix.
00:26:21C'est ça, c'est ça.
00:26:22C'est ça, c'est ça.
00:26:23C'est ça, c'est ça.
00:26:24C'est ça, c'est ça.
00:26:25C'est ça, c'est ça.
00:26:26C'est ça, c'est ça.
00:26:27C'est ça, c'est ça.
00:26:28C'est ça, c'est ça.
00:26:29C'est ça, c'est ça.
00:26:30C'est ça, c'est ça.
00:26:31C'est ça, c'est ça.
00:26:32C'est ça, c'est ça.
00:26:33C'est ça, c'est ça.
00:26:34C'est ça, c'est ça.
00:26:35C'est ça, c'est ça.
00:26:36C'est ça, c'est ça.
00:26:37C'est ça, c'est ça.
00:26:38C'est ça, c'est ça.
00:26:39C'est ça, c'est ça.
00:26:40C'est ça, c'est ça.
00:26:41C'est ça, c'est ça.
00:26:42C'est ça, c'est ça.
00:26:43C'est ça, c'est ça.
00:26:44C'est ça, c'est ça.
00:26:45C'est ça, c'est ça.
00:26:46C'est ça, c'est ça.
00:26:47C'est ça, c'est ça.
00:26:48C'est ça, c'est ça.
00:26:49C'est ça, c'est ça.
00:26:50C'est ça, c'est ça.
00:26:51C'est ça, c'est ça.
00:26:52C'est ça, c'est ça.
00:26:53C'est ça, c'est ça.
00:26:54C'est ça, c'est ça.
00:26:55C'est ça, c'est ça.
00:26:56C'est ça, c'est ça.
00:26:57C'est ça, c'est ça.
00:26:58C'est ça, c'est ça.
00:26:59C'est ça, c'est ça.
00:27:00C'est ça, c'est ça.
00:27:01C'est ça, c'est ça.
00:27:02C'est ça, c'est ça.
00:27:03C'est ça, c'est ça.
00:27:04C'est ça, c'est ça.
00:27:05C'est ça, c'est ça.
00:27:06C'est ça, c'est ça.
00:27:07C'est ça, c'est ça.
00:27:08C'est ça, c'est ça.
00:27:09C'est ça, c'est ça.
00:27:10C'est ça, c'est ça.
00:27:11C'est ça, c'est ça.
00:27:12C'est ça, c'est ça.
00:27:13C'est ça, c'est ça.
00:27:14C'est ça, c'est ça.
00:27:15C'est ça, c'est ça.
00:27:16C'est ça, c'est ça.
00:27:17C'est ça, c'est ça.
00:27:18C'est ça, c'est ça.
00:27:19C'est ça, c'est ça.
00:27:20C'est ça, c'est ça.
00:27:21C'est ça, c'est ça.
00:27:22C'est ça, c'est ça.
00:27:23C'est ça, c'est ça.
00:27:24C'est ça, c'est ça.
00:27:25C'est ça, c'est ça.
00:27:26C'est ça, c'est ça.
00:27:27C'est ça, c'est ça.
00:27:28C'est ça, c'est ça.
00:27:29C'est ça, c'est ça.
00:27:30C'est ça, c'est ça.
00:27:31C'est ça, c'est ça.
00:27:32C'est ça, c'est ça.
00:27:33C'est ça, c'est ça.
00:27:34C'est ça, c'est ça.
00:27:35C'est ça, c'est ça.
00:27:36C'est ça, c'est ça.
00:27:37C'est ça, c'est ça.
00:27:38C'est ça, c'est ça.
00:27:39C'est ça, c'est ça.
00:27:40C'est ça, c'est ça.
00:27:41C'est ça, c'est ça.
00:27:42C'est ça, c'est ça.
00:27:43C'est ça, c'est ça.
00:27:44C'est ça, c'est ça.
00:27:45C'est ça, c'est ça.
00:27:46C'est ça, c'est ça.
00:27:47C'est ça, c'est ça.
00:27:48C'est ça, c'est ça.
00:27:49C'est ça, c'est ça.
00:27:50C'est ça, c'est ça.
00:27:51C'est ça, c'est ça.
00:27:52C'est ça, c'est ça.
00:27:53C'est ça, c'est ça.
00:27:54C'est ça, c'est ça.
00:27:55C'est ça, c'est ça.
00:27:56C'est ça, c'est ça.
00:27:57C'est ça, c'est ça.
00:27:58C'est ça, c'est ça.
00:27:59C'est ça, c'est ça.
00:28:00C'est ça, c'est ça.
00:28:01C'est ça, c'est ça.
00:28:02C'est ça, c'est ça.
00:28:03C'est ça, c'est ça.
00:28:04C'est ça, c'est ça.
00:28:05C'est ça, c'est ça.
00:28:06C'est ça, c'est ça.
00:28:07C'est ça, c'est ça.
00:28:08C'est ça, c'est ça.
00:28:09C'est ça, c'est ça.
00:28:10C'est ça, c'est ça.
00:28:11C'est ça, c'est ça.
00:28:12C'est ça, c'est ça.
00:28:13C'est ça, c'est ça.
00:28:14C'est ça, c'est ça.
00:28:15C'est ça, c'est ça.
00:28:16C'est ça, c'est ça.
00:28:17C'est ça, c'est ça.
00:28:18C'est ça, c'est ça.
00:28:19C'est ça, c'est ça.
00:28:20C'est ça, c'est ça.
00:28:21C'est ça, c'est ça.
00:28:22C'est ça, c'est ça.
00:28:23C'est ça, c'est ça.
00:28:24C'est ça, c'est ça.
00:28:25C'est ça, c'est ça.
00:28:26C'est ça, c'est ça.
00:28:27C'est ça, c'est ça.
00:28:28C'est ça, c'est ça.
00:28:29C'est ça, c'est ça.
00:28:30C'est ça, c'est ça.
00:28:31C'est ça, c'est ça.
00:28:32C'est ça, c'est ça.
00:28:33C'est ça, c'est ça.
00:28:34C'est ça, c'est ça.
00:28:35C'est ça, c'est ça.
00:28:36C'est ça, c'est ça.
00:28:37C'est ça, c'est ça.
00:28:38C'est ça, c'est ça.
00:28:39C'est ça, c'est ça.
00:28:40C'est ça, c'est ça.
00:28:41C'est ça, c'est ça.
00:28:42C'est ça, c'est ça.
00:28:43C'est ça, c'est ça.
00:28:44C'est ça, c'est ça.
00:28:45C'est ça, c'est ça.
00:28:46C'est ça, c'est ça.
00:28:47C'est ça, c'est ça.
00:28:48C'est ça, c'est ça.
00:28:49C'est ça, c'est ça.
00:28:50C'est ça, c'est ça.
00:28:51C'est ça, c'est ça.
00:28:52C'est ça, c'est ça.
00:28:53C'est ça, c'est ça.
00:28:54C'est ça, c'est ça.
00:28:55C'est ça, c'est ça.
00:28:56C'est ça, c'est ça.
00:28:57C'est ça, c'est ça.
00:28:58C'est ça, c'est ça.
00:28:59C'est ça, c'est ça.
00:29:00C'est ça, c'est ça.
00:29:01C'est ça, c'est ça.
00:29:02C'est ça, c'est ça.
00:29:03C'est ça, c'est ça.
00:29:04C'est ça, c'est ça.
00:29:05C'est ça, c'est ça.
00:29:06C'est ça, c'est ça.
00:29:07C'est ça, c'est ça.
00:29:08C'est ça, c'est ça.
00:29:09C'est ça, c'est ça.
00:29:10C'est ça, c'est ça.
00:29:11C'est ça, c'est ça.
00:29:12C'est ça, c'est ça.
00:29:13C'est ça, c'est ça.
00:29:14C'est ça, c'est ça.
00:29:15C'est ça, c'est ça.
00:29:16C'est ça, c'est ça.
00:29:17C'est ça, c'est ça.
00:29:18C'est ça, c'est ça.
00:29:19C'est ça, c'est ça.
00:29:20C'est ça, c'est ça.
00:29:21C'est ça, c'est ça.
00:29:22C'est ça, c'est ça.
00:29:23C'est ça, c'est ça.
00:29:24C'est ça, c'est ça.
00:29:25C'est ça, c'est ça.
00:29:26C'est ça, c'est ça.
00:29:27C'est ça, c'est ça.
00:29:28C'est ça, c'est ça.
00:29:29C'est ça, c'est ça.
00:29:30C'est ça, c'est ça.
00:29:31C'est ça, c'est ça.
00:29:32C'est ça, c'est ça.
00:29:33C'est ça, c'est ça.
00:29:34C'est ça, c'est ça.
00:29:35C'est ça, c'est ça.
00:29:36C'est ça, c'est ça.
00:29:37C'est ça, c'est ça.
00:29:38C'est ça, c'est ça.
00:29:39C'est ça, c'est ça.
00:29:40C'est ça, c'est ça.
00:29:41C'est ça, c'est ça.
00:29:42C'est ça, c'est ça.
00:29:43C'est ça, c'est ça.
00:29:44C'est ça, c'est ça.
00:29:45C'est ça, c'est ça.
00:29:46C'est ça, c'est ça.
00:29:47C'est ça, c'est ça.
00:29:48C'est ça, c'est ça.
00:29:49C'est ça, c'est ça.
00:29:50C'est ça, c'est ça.
00:29:51C'est ça, c'est ça.
00:29:52C'est ça, c'est ça.
00:29:53C'est ça, c'est ça.
00:29:54C'est ça, c'est ça.
00:29:55C'est ça, c'est ça.
00:29:56C'est ça, c'est ça.
00:29:57C'est ça, c'est ça.
00:29:58C'est ça, c'est ça.
00:29:59C'est ça, c'est ça.
00:30:00C'est ça, c'est ça.
00:30:01C'est ça, c'est ça.
00:30:02C'est ça, c'est ça.
00:30:03C'est ça, c'est ça.
00:30:04C'est ça, c'est ça.
00:30:05C'est ça, c'est ça.
00:30:06C'est ça, c'est ça.
00:30:07C'est ça, c'est ça.
00:30:08C'est ça, c'est ça.
00:30:09C'est ça, c'est ça.
00:30:10C'est ça, c'est ça.
00:30:11C'est ça, c'est ça.
00:30:12C'est ça, c'est ça.
00:30:13C'est ça, c'est ça.
00:30:14C'est ça, c'est ça.
00:30:15C'est ça, c'est ça.
00:30:16C'est ça, c'est ça.
00:30:17C'est ça, c'est ça.
00:30:18C'est ça, c'est ça.
00:30:19C'est ça, c'est ça.
00:30:20C'est ça, c'est ça.
00:30:21C'est ça, c'est ça.
00:30:22C'est ça, c'est ça.
00:30:23C'est ça, c'est ça.
00:30:24C'est ça, c'est ça.
00:30:25C'est ça, c'est ça.
00:30:26C'est ça, c'est ça.
00:30:27C'est ça, c'est ça.
00:30:28C'est ça, c'est ça.
00:30:29C'est ça, c'est ça.
00:30:30C'est ça, c'est ça.
00:30:31C'est ça, c'est ça.
00:30:32C'est ça, c'est ça.
00:30:33C'est ça, c'est ça.
00:30:34C'est ça, c'est ça.
00:30:35C'est ça, c'est ça.
00:30:36C'est ça, c'est ça.
00:30:37C'est ça, c'est ça.
00:30:38C'est ça, c'est ça.
00:30:39C'est ça, c'est ça.
00:30:40C'est ça, c'est ça.
00:30:41C'est ça, c'est ça.
00:30:42C'est ça, c'est ça.
00:30:43C'est ça, c'est ça.
00:30:44C'est ça, c'est ça.
00:30:45C'est ça, c'est ça.
00:30:46C'est ça, c'est ça.
00:30:47C'est ça, c'est ça.
00:30:48C'est ça, c'est ça.
00:30:49C'est ça, c'est ça.
00:30:50C'est ça, c'est ça.
00:30:51C'est ça, c'est ça.
00:30:52C'est ça, c'est ça.
00:30:53C'est ça, c'est ça.
00:30:54C'est ça, c'est ça.
00:30:55C'est ça, c'est ça.
00:30:56C'est ça, c'est ça.
00:30:57C'est ça, c'est ça.
00:30:58C'est ça, c'est ça.
00:30:59C'est ça, c'est ça.
00:31:00C'est ça, c'est ça.
00:31:01C'est ça, c'est ça.
00:31:02C'est ça, c'est ça.
00:31:03C'est ça, c'est ça.
00:31:04C'est ça, c'est ça.
00:31:05C'est ça, c'est ça.
00:31:06C'est ça, c'est ça.
00:31:07C'est ça, c'est ça.
00:31:08C'est ça, c'est ça.
00:31:09C'est ça, c'est ça.
00:31:10C'est ça, c'est ça.
00:31:11C'est ça, c'est ça.
00:31:12C'est ça, c'est ça.
00:31:13C'est ça, c'est ça.
00:31:15169 kilomètres.
00:31:16Pourquoi, Louis ?
00:31:17Bon, la nouvelle a dû faire plaisir à pas mal de concurrents parce qu'on sort déjà
00:31:21de deux étapes et on a l'impression qu'on est déjà à 10.
00:31:23En fait, là, on va filer vers le nord de l'Arabie saoudite où c'est un terrain avec
00:31:26plus de cailloux et il pleut beaucoup sur cette zone-là.
00:31:30Donc, pour raison de sécurité, l'étape de demain va s'arrêter au kilomètre 327.
00:31:34Donc, soit, je vais y arriver, 169 de moins que prévu.
00:31:39Donc, elle sera plus courte mais pas moins intéressante.
00:31:42Donc, il faudra être là pour le vendre direct demain puisqu'il sera question de
00:31:45stratégie où les favoris vont tout faire pour ne pas se retrouver en tête pour la
00:31:49fameuse quatrième étape, la fameuse marathon.
00:31:51Il pleut souvent en Arabie saoudite ?
00:31:52Pas beaucoup mais quand il pleut, il pleut.
00:31:54Encore, ok.
00:31:55Merci beaucoup.
00:31:56Merci, Louis Boulay.
00:31:57Pas Louis Belin.
00:31:58Louis Boulay.
00:31:59A demain.
00:32:00A demain.
00:32:01Je vous raccompagne pas à la grille du parc parce qu'on a le menu info.
00:32:02Merci beaucoup, Louis.
00:32:03A demain.
00:32:04Le menu info, l'Enamouniro, bonsoir, la Supercoupe d'Italie gagnée par le Milan AC renversant.
00:32:09Attention, hein.
00:32:10Le tarot.
00:32:11Regardez.
00:32:12Le coufran.
00:32:13Ah oui, on va guetter du coup.
00:32:14On va regarder le tarot.
00:32:15Le tarot.
00:32:16Mais on a isolé l'image.
00:32:17A vous de jouer, Léna.
00:32:18La 6 000 ans triomphant Supercoupe d'Italie, c'est une première depuis 2016, un match
00:32:23complètement dingue et juste avant la mi-temps, sur touche rapide de Di Marco, contre-attaque
00:32:29de l'Inter.
00:32:30Taremi à l'entrée de la surface, décale sur Martinez qui finit du coche après un
00:32:33beau crochet.
00:32:34C'est son huitième but de la saison, toute compétition confondue.
00:32:39Dès le retour des vestiaires, l'Inter fait le break.
00:32:41De Vrij trouve dans la profondeur Taremi.
00:32:43Taremi a juste Meignan et ça fait 2-0.
00:32:48Et vous en parlez, mémé, superbe coufran tiré par Théo Hernández qui permet à la
00:32:536 000 ans de revenir à 2-1.
00:32:54À dix minutes du coup de sifflet final, passe en profondeur de Leao pour Hernández.
00:32:58Le Français sert Pulisic qui finit bien au pivot du gauche.
00:33:01Et dans le temps additionnel, superbe passe de Pulisic pour Leao.
00:33:05Le Portugais trouve Abraham dans l'axe.
00:33:07Score final 3 buts à 2.
00:33:08Scénario incroyable que vous avez vécu sur nos antennes.
00:33:11La 6 000 ans remportent une huitième supercoupe d'Italie.
00:33:14Égalité avec l'Inter.
00:33:15On l'a vu furtivement, mais on a isolé l'image du coufran.
00:33:19Parce que tu te rends compte que c'est pas si terrible que ça.
00:33:21Tu nous avances d'une faute professionnelle, Rico.
00:33:24Mais non, mais c'est dommage que Hugo soit agressif comme ça.
00:33:28C'est pas sur cet angle-là que tu vois la frappe.
00:33:36Quand on a vu le ralenti, tu vois rien.
00:33:40C'est pas celui-là.
00:33:41Mais bon, c'est pas grave.
00:33:42Je l'ai vu 25 000 fois à l'équipe en live.
00:33:46Quand vous avez vu le match, faut pas mettre la frappe.
00:33:50Faut mettre l'Ottaro Martinez qui s'échappe.
00:33:53Mais non, mais c'est pas celui-là.
00:33:55C'est là, voilà.
00:33:56Mais tu le vois mieux quand il est en gros plan.
00:33:59Voilà, il s'est tourné, il tourne.
00:34:03Regarde, là, là.
00:34:04Enfin, regarde la frappe.
00:34:06Regarde l'Ottaro Martinez.
00:34:07Face, il s'en va et regarde.
00:34:09Il essaie de la sauver.
00:34:10Attendez, on a notre coach.
00:34:12Coach Courbis, vous dites quoi ?
00:34:15Comportement catastrophique.
00:34:17Merci, Coach Courbis.
00:34:20Parce que je prenais encore une cisaille d'Hugo.
00:34:25J'aurais pu être votre adjoint.
00:34:26Lui, il aurait été en face.
00:34:27Il aurait pris 4-0.
00:34:28Moi, j'aurais été votre joueur.
00:34:30Oui, mais on aurait perdu avec toi.
00:34:32Moi, je t'aurais viré vite fait.
00:34:33Je t'ai détesté.
00:34:34Vous pouvez me garder par l'adjoint.
00:34:36Il y a de l'ambiance dans votre staff.
00:34:38La Coupe du Roi, la qualification sans problème.
00:34:40On est au final du Real Madrid face à une D4 espagnole.
00:34:43Oui, qualification haut la main.
00:34:45Victoire 5-0 du Real contre Minera.
00:34:47Ouverture du score sur une mauvaise relance de l'équipe adverse.
00:34:50Valverde, d'une belle reprise de volée.
00:34:54Ils s'en jouent avec les jeunes.
00:34:56Derrière, sur un centre de Garcia, tête de Kamavinga.
00:34:59Et le Français inscrit son premier but de la saison avec le Real.
00:35:02Demi-heure de jeu.
00:35:03Valverde, passeur.
00:35:04Adragaler cherche l'angle et frappe.
00:35:073-0.
00:35:08Et le festival de buts continue.
00:35:10Une-deux entre Diaz et Modric.
00:35:15Superbe conclusion du Croate.
00:35:19A l'heure de jeu, Mbappé et Vinicius font leur entrée en jeu.
00:35:22Et le Français participe au dernier but.
00:35:24Mbappé porte la balle.
00:35:25La donne à Garcia.
00:35:26Qui s'entreprend à Adragaler.
00:35:29Doublé du Turc.
00:35:30Score final 5-0 pour le Real.
00:35:32Qualifié en huitième de finale de la Coupe du Roi.
00:35:34Oui, Roland.
00:35:35Ce n'est pas les mêmes règlements qu'en France.
00:35:37Si on prend en carte rouge en championnat,
00:35:39on peut jouer en Coupe du Roi.
00:35:41Ce qui n'est pas le cas dans le championnat.
00:35:43Vinicius était là.
00:35:44Nottingham Forest rejoint Arsenal à la deuxième place de Première Ligue.
00:35:47Victoire contre Wolverhampton.
00:35:49Ce soir en Première Ligue.
00:35:51Nottingham Forest.
00:35:52C'est incroyable.
00:35:53C'est un fort.
00:35:54Nottingham Forest.
00:35:55On y va, Léna.
00:35:56Sur un contre éclair.
00:35:58Gibbs-White arrive aux abords de la surface.
00:36:00Serre-et-Langa.
00:36:02Le 1-2 avec le Suédois.
00:36:04Finition parfaite en une touche de Gibbs-White.
00:36:06Qui vient tromper Josessa.
00:36:071-0.
00:36:08Juste avant la mi-temps.
00:36:10Otonodoïe prend de vitesse d'Oherti.
00:36:12Côté gauche.
00:36:13Il vient servir Chris Wood.
00:36:17Et dans le temps additionnel.
00:36:19Awoniyi ému aux larmes.
00:36:21Lorsqu'il marque son premier but de la saison.
00:36:23Avec Nottingham Forest.
00:36:25Score final 3-0.
00:36:26Nottingham, l'outsider de cette saison de Première Ligue.
00:36:29Et troisième du classement.
00:36:30Avec 40 points.
00:36:31Ex-aequo avec Arsenal.
00:36:32Il déjoue tous les pronostics.
00:36:34Nottingham Forest.
00:36:35Ça me rappelle mon enfance.
00:36:36Mais je suis plus si jeune que ça.
00:36:38C'était Brent Clough.
00:36:39C'était deux victoires.
00:36:40Double champion d'Europe.
00:36:41C1.
00:36:4279-80.
00:36:43Ils ont plus de titres de C1.
00:36:44Que de titres de champion d'Angleterre.
00:36:45Des titres de Première Ligue.
00:36:46C'est quoi cette équipe-là ?
00:36:48C'est une énorme surprise.
00:36:50C'est une équipe qui s'est battue pour se maintenir la saison dernière.
00:36:55Et cette année, c'est ce que dit Nino Espirito Santo.
00:36:59C'est que là, il voulait atteindre le nombre de points pour se maintenir tranquille.
00:37:04Je pense que là, il l'a atteint assez facilement.
00:37:06Mais c'est une équipe avec des joueurs qui sont des recalés de Liverpool.
00:37:11Neco Williams.
00:37:12Que des Britanniques quasiment.
00:37:14Ou formés en Angleterre comme Anthony Elanga qui est un Suédois.
00:37:17Mais formé à Manchester United.
00:37:18Hudson O'Doy qui est formé à Chelsea.
00:37:21C'est le club de la seconde chance.
00:37:22Exactement.
00:37:23C'est un peu ça.
00:37:24Et d'une certaine manière, avec un Matzels énorme cette saison.
00:37:28L'ancien gardien de Strasbourg.
00:37:29Il est énorme.
00:37:30Et encore ce soir, il a été monumental.
00:37:32C'est le quatrième match de suite sans prendre de but.
00:37:34Et le prochain match, c'est mardi 14.
00:37:37Nottingham-Liverpool.
00:37:38En fait, vous suivez la Première Ligue.
00:37:40Notamment pour Nottingham Forest.
00:37:41Notamment.
00:37:42Qui sera d'ailleurs.
00:37:43J'y serai.
00:37:44Vendée Globe de l'extraordinaire continu entre Charlie Dalin et Johan Richombe.
00:37:48Charlie Dalin toujours en tête.
00:37:50Johan Richombe deuxième.
00:37:52Sébastien Simon troisième.
00:37:53Et on est dans le Monéta.
00:37:54Une mémé.
00:37:55Dalin toujours en tête.
00:37:56Mais c'est très serré.
00:37:57Richombe est à seulement 200 km du leader.
00:38:00Et la course est conditionnée par différents facteurs.
00:38:04Écoutez, Charlie Dalin, il va tout vous expliquer.
00:38:07La situation météo.
00:38:11Est-ce qu'elle favorise le leader ou le poursuivant ?
00:38:19Est-ce que le poursuivant a une fenêtre pour revenir ou pas ?
00:38:25Les autres choses, c'est l'état du bateau.
00:38:30Il reste une grosse semaine de mer.
00:38:33Je sais qu'il va y avoir encore pas mal de choses à bricoler sur le bateau.
00:38:38Donc on va tester si ce n'est pas quelque chose qui…
00:38:42Parce que ces choses-là ne sont pas des choses qui diminueront le potentiel du bateau.
00:38:48Donc oui, il y a ça.
00:38:49Et puis voilà.
00:38:50Après, aussi l'inspiration du scooter.
00:38:53Les bons choix de routes.
00:38:55Les bons choix de voies.
00:38:57Il y a un peu de réussite.
00:39:01Il y a des obstacles encore à franchir.
00:39:03Forcément, il y a pas mal de trafic maritime.
00:39:06De plus en plus.
00:39:08C'est vraiment un ensemble de paramètres.
00:39:10Donc là, on va pouvoir déjà faire le point.
00:39:13Il va le sortir à dépôt.
00:39:16Quelles sont les distances sorties de saut.
00:39:20Et puis après, ça risque de se réveiller un peu dans la dorsale
00:39:25qui se situe au niveau des Canaries.
00:39:28La pression est constante.
00:39:30Chaque pointage, c'est de faire avoir gagné du terrain.
00:39:35La sortie de pot, c'est le poteau noir.
00:39:37C'est une zone où les vents sont instables.
00:39:39On peut soit être complètement encalaminé.
00:39:41Soit allé ou soit évidemment porté.
00:39:43Johan Richaume devrait être sorti ce soir du poteau noir.
00:39:46Donc 200 kilomètres à peu près de retard pour Richaume.
00:39:50Face à Dalin, toujours en voile.
00:39:52Pas de trophée Jules Verne pour Thomas Coville.
00:39:54Lancé dans une tentative pour battre le record du monde à la voile,
00:39:57le bateau français a dû stopper son effort.
00:39:59Coville et ses 6 coéquipiers ont constaté la perte du safran central.
00:40:03C'est une partie du gouvernail avant cette détérioration.
00:40:06Les 7 hommes avaient seulement quelques centaines de kilomètres de retard
00:40:09sur Francis Joyon, détenteur du trophée Jules Verne depuis 2017.
00:40:13Pas de trophée Jules Verne pour Coville
00:40:15et pas de deux peines d'Australie pour Richard Gasquet.
00:40:17Le Français a été sorti d'entrée en calife.
00:40:20À 38 ans, il dit adieu à Melbourne
00:40:23puisqu'il prendra sa retraite à Roland-Garros.
00:40:25Il sort après sa défaite contre le Croate H. Djukovic en 1h37 chrono.
00:40:30Le Français quitte ce tournoi sans jamais en avoir atteint l'écart.
00:40:33Gasquet enchaîne avec un 3e grand chlème à la suite
00:40:35sans parvenir à accéder au tableau final.
00:40:38Et c'est pas mieux pour le reste de nos compatriotes.
00:40:41Sur 6 Français engagés ce lundi, aucun n'a réussi à se qualifier.
00:40:44Ajoutez à ça le forfait de Van Aschey à cause d'une blessure.
00:40:47Ce dernier n'a pas précisé la gravité.
00:40:49Allez Arthur Wendertnecht, éliminé d'entrée.
00:40:51C'est lundi, ça commence fort.
00:40:53Il s'incline face à Christopher O'Connell.
00:40:555-7, 6-7.
00:40:56L'Australien à domicile a joué son meilleur tennis à l'image de 7 volets.
00:41:07Décidément, l'air australien ne réussit pas à Rinderknecht.
00:41:09Après Brisbane la semaine dernière,
00:41:11le Français est à nouveau éliminé d'entrée à Adelaide.
00:41:14Le classement ATP est tombé aujourd'hui.
00:41:16Bonne nouvelle pour Alexandre Muller.
00:41:18Plus de 237 places au classement ATP.
00:41:21Il est désormais 56e joueur mondial, soit son meilleur classement.
00:41:25Alexandre Muller, vainqueur hier du tournoi de Hong Kong.
00:41:28Giovanni Impeccipericar se hisse dans le top 30 du classement ATP.
00:41:32Imbert est 14e, fils lui est 20e.
00:41:34Et pour rappel, les trois premiers sont Sineur, Zverev, Pierre Carrasi.
00:41:38Merci Léna.
00:41:39Le Mercato expresse l'actualité du Mercato.
00:41:41C'est maintenant beaucoup de choses du côté de Lyon.
00:41:43Ça tombe bien, on a Hugo Soulcoud.
00:41:45John Texter, proche de vendre, s'épargne de Crystal Palace.
00:41:48C'est ce qu'annonce The Athletic.
00:41:49Vous en parlez déjà depuis quelques semaines, même de longs mois.
00:41:52On parle d'une vente à la hauteur de 178 millions d'euros.
00:41:57J'avais l'impression, dans les papiers que j'ai sur cette vente-là,
00:42:01que c'était beaucoup moins.
00:42:03Non, plus.
00:42:04C'est beaucoup plus ?
00:42:05Oui, mais après c'est difficile, parce que la valeur globale de Crystal Palace
00:42:10est supérieure à 400 millions d'euros, c'est un club de première ligue.
00:42:13Mais il ne faut pas calculer comme ça,
00:42:15quand il y a seulement 45% des parts qui sont vendues,
00:42:18d'autant que Texter n'a que 25% des droits de vote.
00:42:22C'est pour ça que ce ne sont que des parts financières,
00:42:25mais qui ne donnent pas de pouvoir de décision.
00:42:28On en parlait dans le journal d'aujourd'hui,
00:42:31qu'il y avait une lettre d'intention d'achat qui avait été signée.
00:42:35On n'avait pas le groupe qui avait signé cette lettre.
00:42:38Et The Athletic a révélé que c'était un groupe saoudien
00:42:41qui avait fait une offre à hauteur de 178 millions d'euros.
00:42:44Mais c'est une offre pour entrer en négociation,
00:42:46donc peut-être que ça sera plus.
00:42:48– Juste, vendredi, l'OL repasse devant la commission d'appel de la fédération.
00:42:56C'est la commission d'appel de la fédération.
00:42:58– Et la DNCG c'est la LFP.
00:43:01– Comment ça se passe là ?
00:43:02Est-ce que John Texter va arriver avec ce bond-là ?
00:43:05Ça peut marcher ?
00:43:06Ça peut enlever les pètes démocrates qui plaignent autour de l'ONU ou pas encore ?
00:43:09– Non, parce que la commission d'appel, comme devant la DNCG,
00:43:13il faut montrer de l'argent qui est déjà là.
00:43:16Donc ils vont plutôt montrer des apports de cash
00:43:19qui ont été faits par Pariguel durant le mois de décembre
00:43:24à hauteur de plusieurs dizaines de millions d'euros,
00:43:27je dirais 60 millions d'euros à peu près.
00:43:29Donc ils vont montrer ça.
00:43:31Mais après l'enjeu, c'est surtout un enjeu d'image pour dire on va bien,
00:43:34parce qu'il va y avoir une introduction en bourse aux États-Unis bientôt,
00:43:38donc il faut rassurer les partenaires.
00:43:40L'échéance, c'est plutôt fin mai avec la DNCG
00:43:42pour ne pas être rétrogradé en Ligue 2.
00:43:45– À chaque fois, vous faites une petite formule,
00:43:47l'OL dit il nous manque 100 pour être dans les clous,
00:43:51et la DNCG c'est 200, c'est 100 selon la préfecture et 200 selon les manifestants.
00:43:55Il y a toujours cet écart-là où ça s'affine un peu
00:43:58sur ce que souhaiteraient la DNCG et l'OL pour rentrer dans les clous.
00:44:02– Non mais la DNCG en fait… – Il leur manque 100 ou 200 ?
00:44:04– La DNCG, ils veulent que des objectifs financiers soient remplis
00:44:07avant la fin de l'exercice, 31 mai.
00:44:10Donc là en janvier, je ne sais pas ce qu'ils vont analyser la commission d'appel,
00:44:14mais s'il y a déjà 100 millions par exemple qui sont rentrés dans les caisses,
00:44:18parce qu'il y a eu aussi des ventes de joueurs, une baisse de la masse salariale, etc.
00:44:22Le fait que ça peut les convaincre de…
00:44:25– Jeff Igno, Gift Urban et puis le départ d'Anthony Lopez,
00:44:29qui fait économiser à peu près en salaire près de 2 millions d'euros,
00:44:32c'est considérable sur les 6 derniers mois.
00:44:34Ryan Shirky, pisté par l'Atalanta-Bergamme, c'est la Stampa qu'il annonce.
00:44:37Est-ce que vous avez une confirmation que l'Atalanta fait la cour ?
00:44:40– Confirmation qu'il n'y a pas de…
00:44:41En tout cas, entre l'Atalanta et Lyon, il n'y a pas de contact.
00:44:44Alors peut-être qu'il y a des contacts entre l'entourage de Shirky
00:44:47et le club italien, c'est possible.
00:44:50Pas eu de confirmation du côté du club italien.
00:44:53Donc pour l'instant, on attend, on n'a pas encore repris.
00:44:56– Pour l'instant, vous n'avez pas de confirmation.
00:44:57Roland, ça vous a inspiré quoi ?
00:44:59– Je pense que ça serait une très bonne chose.
00:45:01– Oh, qu'il quitte le championnat ?
00:45:02– Qu'il quitte le championnat, je ne regarde pas ça.
00:45:04– L'Atalanta, c'est super équilibré.
00:45:05– Je regarde pour lui, pour pouvoir continuer à progresser.
00:45:09Je crois que dans une carrière, il y a plusieurs étapes.
00:45:12Il y a la pré-formation, il y a la formation, il y a l'apprentissage.
00:45:15Un garçon comme Shirky, pour moi, est en plein apprentissage.
00:45:19Et à l'Atalanta, avec les progrès qu'on va faire à tous ces joueurs
00:45:23et cet entraîneur qui me paraît être très, très compétent
00:45:26pour justement faire progresser les joueurs,
00:45:28c'est une très bonne chose qui pourrait lui arriver.
00:45:31– Le Mercato Express, c'est le Guillemet Express,
00:45:33le club de Com' serait intéressé par Nemanja Matic.
00:45:37Vous savez, le Serbe qui est arrivé il y a un an déjà, ça va vite.
00:45:40C'est Sky Sport italien. Là aussi, vous avez eu des confirmations ou pas ?
00:45:44– On a repris ensuite en Sky Sport, parce que là, pareil,
00:45:47il n'y a pas de contact entre les deux clubs.
00:45:49En revanche, entre l'entourage de Matic et Com', il y a des contacts.
00:45:54– Fabregas ? – Fabregas, oui.
00:45:56– Ils étaient ensemble à Chelsea ? – Ils étaient ensemble à Chelsea,
00:45:59ils sont proches. Après, le joueur a répété dernièrement
00:46:02qu'il avait envie de gagner la Ligue Europa cette saison,
00:46:05en tout cas d'aller loin, comme il joue le maintien en série A.
00:46:08En revanche, Matic, il est sous contrat jusqu'en 2026,
00:46:11il a le plus gros salaire du club avec la casette.
00:46:13Moi, je vois bien d'un commun accord, Matic partir en fin de saison
00:46:18pour économiser un très gros salaire, pas cet hiver,
00:46:21parce qu'ils ont besoin de lui, ils ne peuvent pas recruter pour le remplacer.
00:46:23Donc, s'ils laissent partir Matic, c'est qu'il faut garder Cacré,
00:46:26faire jouer Cacré, c'est compliqué.
00:46:28– On a Tesman, on a Véron, on a Moyennon.
00:46:30Matic, c'est le meilleur milieu de terrain avec Tolisso.
00:46:32– A Lens, le remplaçant de Brice, Samba devrait être Paul Lopez,
00:46:36ex-gardien de l'OM, qui est prêté cette saison à Géronne.
00:46:40L'OM est encore sur le porte-bagages jusqu'en 2026.
00:46:43Ça vous inspire quoi, Damien, Samba ?
00:46:45– Pas grand-chose, pas beaucoup d'optimisme pour Lens,
00:46:50parce que si Paul Lopez ne joue pas à Géronne,
00:46:53c'est qu'il ne doit pas être en grande forme.
00:46:56Lens est dans une situation un peu compliquée,
00:46:59alors ça va être quasiment impossible de garder Samba.
00:47:01Je ne vois pas comment ils peuvent le garder.
00:47:03Et s'ils le gardent de force,
00:47:05il ne fera pas forcément une très bonne saison non plus.
00:47:09Que le choix de la direction sportive de Lens se porte sur Paul Lopez,
00:47:13je suis un peu surpris.
00:47:14– Est-ce que Paul Lopez est meilleur qu'Ofi aussi ?
00:47:16– Je ne suis pas sûr.
00:47:18– Le transfert de Brice-Samba de Lens à Rennes,
00:47:22ce serait autour de 14 millions d'euros.
00:47:24On en parle déjà depuis quelques jours, pourtant ça coince.
00:47:27– Vous avez entendu des trucs ?
00:47:29– Je pense que d'après ce qu'on entend, on demande 20, ils proposent 14.
00:47:34D'après ce qu'on a vu depuis des années, ça se joue entre 17 et 18.
00:47:38– Et ça va se faire parce que Lens est obligé de vendre.
00:47:41– À la gorge.
00:47:42– En fait c'est ça.
00:47:43C'est-à-dire que les ventes qu'ils n'ont pas faites l'été dernier,
00:47:46que ce soit Danson ou Hélène Ahouy,
00:47:48pour les histoires de visites médicales non concluantes,
00:47:51ils doivent là maintenant les faire.
00:47:53Et c'est eux-mêmes qui avaient annoncé la couleur.
00:47:55Donc là, ils ont beau jeu un petit peu de dire,
00:47:57bon, Samba n'est pas très élégant, etc.
00:47:59La réalité, c'est que ça les arrange bien.
00:48:01Ils ont besoin de cette rentrée d'argent sous les indemnités.
00:48:07– Tu pensais que Paul Lopez, il pouvait peut-être aller à Rennes
00:48:10avec Sampaoli pour remplacer Mandanda ?
00:48:13– Ah oui, c'est vrai, c'est pas mal.
00:48:15– Vous me faites dire des choses que je n'ai même pas pensées,
00:48:17mais c'est bien.
00:48:18Tiens, j'ai appris le salaire de Samba et le salaire de Seco Fofana.
00:48:23– Regarde, ça t'abasse.
00:48:24C'est RMC qui nous annonce ce soir, dans l'émission Rotten Sans Flamme,
00:48:27500 000 euros.
00:48:28– Hein ?
00:48:29– Ouais, 500 000 euros pour Samba.
00:48:30– C'est l'histoire de Rennes, là.
00:48:31– Et 750 000 pour Seco Fofana.
00:48:33– 500 000 pour Samba ?
00:48:34– Ouais.
00:48:35– Non, non, non, 750 000 pour Fofana ?
00:48:37– Ouais, c'est ce qu'on dit.
00:48:39Le salaire la saison dernière de Martin Therrier, le plus haut salaire…
00:48:42– Je ne comprends pas que Samba soit allé à Rennes, alors.
00:48:44– Le plus haut salaire de Rennes la saison dernière,
00:48:47c'était 240 000, c'était Martin Therrier.
00:48:49C'était les chiffres, les salaires de l'équipe.
00:48:51– 500 000 pour Samba ?
00:48:52– 750 000 euros, il a 30 ans, il a signé jusqu'en 2029, ils ont fait ça ?
00:48:57– Ouais.
00:48:58– Il revient d'Arabie Saoudite ?
00:48:59– Ouais.
00:49:00– Il a un compte d'âge de 4 ans.
00:49:01– C'est des champions de la planification sportive et économique.
00:49:03– 700 000 ?
00:49:04– Oulah.
00:49:05– Ça me paraît hallucinant.
00:49:06– Et c'est le plus gros salaire hors PSG en Ligue 1.
00:49:08– Ça me paraît hallucinant.
00:49:09– Non, mais ils l'ont peut-être donné aussi beaucoup
00:49:11en pensant que derrière, quoi qu'il arrive, il y a un transfert.
00:49:14– Un transfert, c'est quoi ?
00:49:16– Samba ?
00:49:17– Non, Fofana.
00:49:18– Je ne sais pas où ils vont le retrouver.
00:49:19– Ils ne peuvent pas le demander.
00:49:20– Ah, Abdou Koudir, Koussanov, Affol, Le Rample.
00:49:23Les deux stratégies s'opposent.
00:49:25Allens, on veut le vendre au plus haut franc, mais il y a les prétendants
00:49:27et le joueur veut un projet pour lui, pour développer le joueur.
00:49:31En tout cas, son conseil.
00:49:32Aux manettes, c'est George Mendes qui aurait le mandat.
00:49:34– Ah, bonsoir.
00:49:35– Les clubs sur les tablettes, c'est du lourd.
00:49:37L'Evercuse, c'est Napoli, Juve, Borussia, L'Oréal, Manchester
00:49:41et puis le Paris Saint-Germain qui avait toqué à la porte.
00:49:43Damien, vous avez un petit commentaire ?
00:49:46– Ah oui, j'adore ce joueur.
00:49:47Je trouve qu'il progresse.
00:49:48Il a énormément progressé par rapport à l'année dernière.
00:49:50Très, très dur sur l'homme.
00:49:52Si c'est George Mendes…
00:49:53– Ben Vector.
00:49:54– Hein ? Pardon ?
00:49:55– Vingt ans.
00:49:56– Vingt ans.
00:49:57– Vingt ans.
00:49:58– Si c'est George Mendes qui s'occupe de lui,
00:50:00j'ai une petite idée d'où peut aller sa préférence.
00:50:02– Quoi, PSG ?
00:50:04– PSG ? Ouais, ça pourrait être le PSG.
00:50:06OK.
00:50:07À Montpellier, on s'intéresse à Ben Yénair.
00:50:08C'était une information qui m'a surpris ce week-end à l'écure de l'équipe.
00:50:13Dave, vous, c'est Ben Yénair ?
00:50:15Non, ce n'est pas possible.
00:50:16– Non, ce n'est pas possible.
00:50:17Vous savez, il y a des…
00:50:18– Le Gasset a confirmé en contre.
00:50:19– Oui.
00:50:20Vous savez, il y a des joueurs qui connaissent des mauvaises saisons.
00:50:22Il y a des entraîneurs qui connaissent des mauvaises saisons.
00:50:24Il y a des dirigeants qui connaissent des mauvaises saisons.
00:50:26Manifestement, les dirigeants de Montpellier
00:50:27connaissaient une très, très mauvaise saison.
00:50:29Je veux dire, dans quel monde ils se sont dit
00:50:33« Tiens, ça c'est une bonne idée.
00:50:35Je transpose, juste pour qu'on soit bien au clair.
00:50:37Si un club avait l'idée de recruter quelqu'un qui a été condamné,
00:50:44je ne dis pas accusé, mais condamné, il a été condamné
00:50:47pour agression à caractère raciste,
00:50:51est-ce qu'on se poserait la question de « Ouais, ça passe, jamais » ?
00:50:56Ou alors, il faut dire ouvertement
00:50:59qu'une agression féminicide, c'est moins important qu'une agression raciste.
00:51:06– Lyon, ils avaient bien fait signer Jérôme Boateng.
00:51:09Il avait été condamné.
00:51:10– Et tu trouves que ça a été enrichi d'idées ?
00:51:12– Ah ben non.
00:51:13– On est bien d'accord.
00:51:14Donc moi, je trouve que c'est hallucinant,
00:51:16dans la situation où est Montpellier, de se rajouter ça.
00:51:18La question n'est pas sportive.
00:51:20On ne parle pas, évidemment, de la valeur de Ben Yedder.
00:51:22Ben Yedder, s'il n'a pas ces histoires-là, la question ne se pose pas.
00:51:25Il n'est pas à Montpellier, il est ailleurs.
00:51:28Donc moi, je trouve ça hallucinant, en fait.
00:51:30– Oui, mais ce qui donne l'opportunité à Montpellier, justement,
00:51:32de prendre Ben Yedder, c'est ces histoires-là.
00:51:34C'est comme Marseille, Greenwood.
00:51:36C'est exactement pareil, à une autre échelle.
00:51:38– Je suis d'accord avec toi, mais Greenwood, même si je ne le…
00:51:41– Marseille ne l'aurait jamais eu s'il n'y avait pas de délits.
00:51:43– On est bien d'accord.
00:51:44Et moi, j'ai condamné, dans tous les sens, ce recrutement.
00:51:46Mais il se trouve qu'il n'y a pas eu de condamnation par la justice.
00:51:48Là, il y a une officialisation.
00:51:49– Oui, parce qu'elle a retiré la plateforme.
00:51:50– Mais très bien.
00:51:52Mais là, si tu veux, tu as une justice.
00:51:54Et surtout, il y a d'autres affaires qui sont en cours.
00:51:57Moi, je pense qu'un club, ce n'est pas simplement une entité sportive.
00:52:00On parle toujours des valeurs de Montpellier,
00:52:03les valeurs de La Paillade, les valeurs de Bachat.
00:52:05C'est ça, les valeurs ?
00:52:06– Ah non, mais je suis d'accord.
00:52:07– Donc, il ne faut pas me revendiquer ça, alors.
00:52:09– Et les valeurs de l'Ovalie, mes amis, qu'est-ce qu'on en fait ?
00:52:12– On vive.
00:52:13– Viré du Racing.
00:52:14C'est qu'à Michel Racing, c'est donc terminé.
00:52:16Le club a lancé au jour sa décision ce matin.
00:52:19Une information.
00:52:20L'équipe, bravo à Frédéric Bernays, le 16 décembre dernier,
00:52:23le talonneur était arrivé ivre à l'entraînement.
00:52:25Camille Cha et le Racing, c'est une page de 12 ans qui se tourne,
00:52:28puisque le joueur est arrivé au club à 17 ans.
00:52:31Il est, aujourd'hui, il faut le dire, j'ai 29 ans.
00:52:34Alors, viré Camille Cha, est-ce cruel ou est-ce logique ?
00:52:37On a un ancien Racing Man sous la main,
00:52:39champion de France avec le Racing, c'est notre Iki.
00:52:41Est-ce cruel ou logique ?
00:52:43Vous, votre réponse, c'est ni l'un ni l'autre.
00:52:45Alors, c'est quoi ?
00:52:46Il y a eu un accord entre le joueur et le club ?
00:52:47C'est ça qu'il faut comprendre ?
00:52:48D'abord, sur ce que je sais, il n'est pas arrivé ivre.
00:52:52C'est faux de dire ça.
00:52:53Il n'a pas besoin.
00:52:54Il n'a jamais eu un problème d'alcoolémie avec le club.
00:52:58Il avait festoyé la veille.
00:53:00Il est arrivé encore un peu embrumé, je dirais.
00:53:04Et le docteur lui a dit, t'assistes pas à l'entraînement, tu t'en vas.
00:53:09A partir de ce moment-là, de toute façon,
00:53:11sur ce que j'ai bien compris, c'est qu'entre lui et Lancaster,
00:53:15c'est pas au premier regard marié, mais plutôt divorcé.
00:53:19Ils avaient fait venir aussi un talonneur australien, K2, de 30 ans.
00:53:25Il y a Tariq, il y a Escobar, un jeune, et Hakouli.
00:53:28Ils étaient cinq.
00:53:29Et à un moment donné, on va dire que Kamisha et le club
00:53:33se sont mis autour d'une table et ils n'avaient plus rien à partager
00:53:37pour des raisons personnelles qui leur appartiennent, l'ambiance.
00:53:40Ils auraient pu s'arranger.
00:53:41Donc, ils se sont arrangés.
00:53:43Je ne sais pas, mais ils se sont arrangés.
00:53:44Donc, aujourd'hui, il y a eu un accord.
00:53:46– Un accord, en fait.
00:53:48– Il y a un accord, il s'est fait.
00:53:50La séparation est actée, c'est confidentiel.
00:53:53Je ne sais pas la somme, le défraiement.
00:53:55– Pourquoi ce truc, la sort sur l'ivresse, tout ça ?
00:53:57– Parce qu'il est arrivé le 15 décembre.
00:54:00Je suis mieux placé peut-être que Bernays qu'un très bon...
00:54:03Non, mais non pas un confrère, un ami.
00:54:05L'article est bon.
00:54:06Je te dis, quand on a annoncé qu'il était ivre,
00:54:09ça veut dire que tu sors du parking et tu marches à quatre pattes.
00:54:12C'est pas le cas.
00:54:13Il est arrivé, d'accord ? C'est ça, ivre.
00:54:15Il est arrivé, il sentait encore l'alcool.
00:54:18Il a festoyé avec des amis du Racing le 15.
00:54:22Il arrive le 16.
00:54:23L'autre talonneur, Tari, s'est pas levé, lui.
00:54:26Il faisait partie de la fête.
00:54:28– Lui, il était à quatre pattes.
00:54:29– Non, lui, il était allongé sur le lit.
00:54:31Voilà, avec une bouillotte.
00:54:33Ça aurait été génial.
00:54:34Donc, l'autre, voilà.
00:54:37Et puis maintenant, voilà, c'est terminé.
00:54:39L'histoire se sépare.
00:54:40C'est un gamin que moi, j'ai connu très tôt.
00:54:42Puisqu'il a été champion de France avec un de mes fils en 2014, en junior Krabus.
00:54:46Et c'est maintenant, l'instant.
00:54:48– Carotte.
00:54:49– Carotte.
00:54:50Parce que vous, Eric, joueur du Racing, vous avez été suspendu.
00:54:54Vous n'avez pas été licencié, mais vous avez été suspendu.
00:54:56– Vous ne pouvez pas me suspendre.
00:54:58– Pour une affaire de carotte.
00:54:59Alors, racontez-nous.
00:55:00– Elle est petite, celle-là.
00:55:01– Celle-là, elle est petite ?
00:55:02– Ah non, mais moi, c'était…
00:55:03– Racontez, une grosse carotte.
00:55:04– Non, mais rapidement, c'était en 89-90, l'année du titre, d'ailleurs,
00:55:08qu'on allait voir.
00:55:09Et puis, au mois de septembre, le Showbiz, on était un peu traqués.
00:55:12Rousset avait été un peu…
00:55:14– Ils vont.
00:55:15– Ils vont éjectés.
00:55:16Et moi, sur le dernier match des playoffs, en poule basse,
00:55:19il fallait absolument gagner.
00:55:21Puis moi, j'emmerdais un peu trop les avants.
00:55:24Je prenais trop la parole.
00:55:26Donc, Robert m'avait mis à l'herbage.
00:55:28Et il m'avait dit…
00:55:29– Robert, papa renvoie.
00:55:30– Oui, le coach, le directeur, il m'avait dit,
00:55:32tu ne vas pas jouer pendant un mois.
00:55:34Bon, je suis sorti du groupe.
00:55:36Ils ont gagné le match qu'il fallait à Aurillac.
00:55:39On repart dans les playoffs.
00:55:41– On n'est toujours pas dans la carotte.
00:55:42– Oui, mais attendez.
00:55:43Maintenant, on y arrive assez vite.
00:55:45Donc, moi, je ne fais rien.
00:55:47Pendant un mois, je ne joue pas.
00:55:48Et puis, il me rappelle, parce qu'il y a un blessé,
00:55:50je rentre dans l'équipe, mais là, je ne parle à plus personne.
00:55:53Et en fin de compte, je fais quand même une bonne saison.
00:55:55Et arrive le mois de décembre.
00:55:57Et le mois de décembre, on est invités, parce que le Showbiz,
00:56:00ils vont, Franck, moi, Baptiste et Lagui,
00:56:04à faire un tournoi à Punta del Este en 89.
00:56:07Premier tournoi de rugby A7 mondial.
00:56:09On est invités dans la sélection.
00:56:11Donc, nous, on y va.
00:56:12Franck dit oui.
00:56:13Moi, je dis oui.
00:56:14Baptiste, comme il y a l'équipe de France qui arrive au mois de mars,
00:56:17c'est le tournoi, il a peur, il dit non.
00:56:19Et Lagui ne pouvait pas le faire.
00:56:21Donc, Rousset avait été viré.
00:56:23Moi, j'avais été suspendu un mois.
00:56:25Et Franck était international, lui aussi.
00:56:28On part.
00:56:29Et on le dit au club.
00:56:30Sauf qu'on avait un match le 14 décembre,
00:56:33ou j'en sais rien, contre Bègues ou Bourgouin.
00:56:36On leur dit, avec l'effectif que l'on a,
00:56:38on veut y aller, c'est l'esprit du racing.
00:56:40On a toujours répondu à des invitations mondiales.
00:56:43Bon, il faut savoir qu'on ne gagnait pas non plus des milliers d'essais.
00:56:46On n'était pas salariés du club, etc.
00:56:49Non, vous restez, vous restez.
00:56:50Nous, on se tire.
00:56:51Donc, on s'en va, on leur a dit.
00:56:54Mais, arrive, il n'y avait rien à se mettre sous la dent.
00:56:57Les journalistes, on avait un fax à l'époque.
00:57:00Franck était...
00:57:01La compo de l'équipe de France allait tomber pour le mois de mars.
00:57:04Bon, Yvon, il avait arrêté de jouer.
00:57:06Moi, je m'en foutais.
00:57:07J'étais prêt à assumer mon geste.
00:57:10Et là, avant de partir, je vais sur un marché, le hasard.
00:57:16Et puis, j'achète une carotte.
00:57:18Mais une carotte énorme.
00:57:19Non, mais tu ne peux pas savoir.
00:57:21Elle était déformée.
00:57:22Elle était grosse comme ça, avec trois têtes.
00:57:24Des carottes qui sont invendables.
00:57:26D'ailleurs, la femme l'a peut-être donnée.
00:57:28Et moi, qu'est-ce que je fais ?
00:57:30J'en achète trois.
00:57:32Je les mets dans un colis postal.
00:57:34Au nom de Jean-Pierre Labreau, le président.
00:57:36Robert Papin, en bord, chez lui, le directeur sportif.
00:57:39Et le trésorier, François Gers.
00:57:41Trois grosses boîtes.
00:57:43Je les amène, je me fais chier à la poste.
00:57:45Je les envoie chez eux.
00:57:47Et je mets un petit mot.
00:57:48Parce qu'à l'époque, il y avait cette expression.
00:57:50Tu m'as mis une carotte.
00:57:52Elle est toujours bonne.
00:57:54Et moi, elles étaient énormes.
00:57:56Tu veux leur mettre une énorme carotte.
00:57:58Non, moi, je leur écris.
00:57:59T'as de la chance, t'as la plus petite.
00:58:01C'est mieux.
00:58:02Et j'ai signé le président.
00:58:04Bonne année 90.
00:58:06Et les trois.
00:58:08Et l'anecdote, c'est que la femme du trésorier a fait la queue.
00:58:11Parce qu'elle n'était pas là le jour où le mec est passé.
00:58:13Elle s'est emmerdée à faire la queue à la poste.
00:58:15Pendant une demi-heure.
00:58:16Pendant les fêtes.
00:58:17Elle l'a ramenée.
00:58:18Elle dit, chérie, François, t'as un cadeau.
00:58:19Il l'ouvre.
00:58:20Il a une énorme carotte.
00:58:23C'est incroyable.
00:58:24Non, mais quand je suis rentré avec Franck, nous, on est suspendus.
00:58:27Alors, conseil, vous jouerez pas.
00:58:29Franck, il était titulaire.
00:58:31Franck Roux dit, Franck Ménel étant suspendu, je ne peux pas le mettre au premier match du tournoi.
00:58:37Contre le Pays de Galles.
00:58:38Puis bon, à un moment donné, Robert, il comprend que ça va trop loin.
00:58:41Il y a déjà une alerte en septembre.
00:58:44Là, il y a moi et Franck.
00:58:45On dégage.
00:58:46Donc, il nous dit, voilà, on va grouiller.
00:58:48Interdiction de perte.
00:58:49Et on fait 13-13.
00:58:51On revient dans l'équipe.
00:58:52Derrière, la ligne droite des Hunaudières.
00:58:54Un vaincu.
00:58:55Le bouclier.
00:58:56Trop magnifique.
00:58:57Voilà.
00:58:58Sauf qu'aujourd'hui...
00:58:59Ça m'a mis le coup d'attendre.
00:59:00Honnêtement, ça m'a mis le coup d'attendre.
00:59:01La carotte, mais franchement.
00:59:02C'est extraordinaire.
00:59:03Voilà.
00:59:04La carotte.
00:59:05Mais ça peut plus exister aujourd'hui.
00:59:06T'envoies une carotte à Nasser et à Luis Henrique, je ne sais pas comment ils vont le prendre.
00:59:09Pas de cette taille-là, en tout cas.
00:59:10Toi, Roland, tu l'aurais prise comment ? Avec un petit mot.
00:59:13Carotte, navet, poteau feu, mes amis.
00:59:16On balance la pub et on en parle dans quelques minutes.
00:59:18A tout de suite.
00:59:30On patcharge cette dernière partie de l'équipe du soir avec Léna Mounier pour la ligne de...
00:59:35L'équipe.
00:59:36Ligne de demain pour titre OM-ICO.
00:59:38Deux Herbis et son staff ont remis l'OM à l'endroit.
00:59:40Tout est expliqué dans le journal de demain.
00:59:42On va s'expliquer tout de suite puisque l'OM cartonne au Vélodrome.
00:59:45Victoire 5-1 contre Le Havre.
00:59:46Une position de Dauphin renforcée.
00:59:48Et après le match, Roberto De Zerbi, il crânait un peu.
00:59:51Il était ravi de cette victoire face à une équipe qui laisse la possession face à un bloc bas.
00:59:55Il paraît qu'on progresse face à un bloc bas.
00:59:57En tout cas, l'OM de De Zerbi.
00:59:58Ecoutez Roberto De Zerbi.
01:00:00On progresse avec les équipes qui jouent un bloc bas.
01:00:03Ce sont des matchs difficiles, différents des matchs verticaux comme contre Monaco ou Lille.
01:00:07On a des espaces très larges.
01:00:09Il faut beaucoup de patience.
01:00:10Il faut savoir bouger le ballon rapidement.
01:00:11Gagner les 1 contre 1.
01:00:12Ne pas forcer les passes pour éviter de s'exposer aux contres.
01:00:15On progresse face aux équipes regroupées.
01:00:17Des blocs bas.
01:00:18Êtes-vous d'accord avec Roberto De Zerbi ?
01:00:19Le chroniqueur, pas d'accord.
01:00:20Génial.
01:00:21On y va.
01:00:25D'accord.
01:00:26Monsieur Apadou, pas d'accord.
01:00:27Monsieur Degor.
01:00:28Pas d'accord, monsieur Degor ?
01:00:29C'est ça ?
01:00:30Vous n'êtes pas d'accord avec ce que vous avez entendu ?
01:00:31En tout cas, les progrès face à les blocs bas.
01:00:33Allons-y.
01:00:34On vous écoute.
01:00:35Damien.
01:00:37Si le match référence de Roberto De Zerbi pour tirer cette conclusion, c'est celui
01:00:42du Havre, je trouve que c'est un peu court.
01:00:44C'est un peu court parce que le Havre, aujourd'hui, est quand même pas loin d'être l'équipe
01:00:47la plus faible de Ligue 1, si ce n'est la plus faible, clairement.
01:00:50Et que depuis la défaite contre Ausserre ou contre Angers, je ne sais plus, ils n'ont
01:00:54pas joué d'autres équipes qui jouaient avec un bloc bas.
01:00:56Pas du tout.
01:00:57Ils ont joué Monaco, ils ont joué Lille, ils ont été à Saint-Etienne, ils ne jouent
01:01:00pas avec un bloc bas.
01:01:01Donc, se fier juste à ce match, c'est un peu court.
01:01:05Ok.
01:01:06Dave, vous êtes plutôt d'accord avec Roberto De Zerbi.
01:01:10Oui, je suis même complètement d'accord avec Roberto De Zerbi.
01:01:13Moi, je suis désolé, j'ai vu le match de Saint-Etienne, les deux matchs contre Saint-Etienne.
01:01:17Saint-Etienne était en bloc bas, d'autant plus qu'à un moment, ils étaient réduits
01:01:20à 10.
01:01:21Donc, ils n'avaient absolument pas d'autre choix.
01:01:23Et on a vu qu'ils en ont fait de la chair à saucisse.
01:01:25Hier, ça n'a pas traîné.
01:01:26Quand tu vois les difficultés de Lyon contre Montpellier, où il y a à peu près le même
01:01:32start entre les deux équipes, tu vois qu'ils ont beaucoup plus galéré.
01:01:35Il n'y a pas beaucoup d'équipes comme Marseille qui sont capables de mettre 5-1 au Havre avec
01:01:39une telle facilité.
01:01:40Moi, j'ai vu des circuits de pages, j'ai vu une aspiration.
01:01:43J'ai vu des progrès.
01:01:44Professeur, ce n'est pas inintéressant, mais bien près non.
01:01:46Une seconde, sept dixièmes pour votre rival.
01:01:49Damien, vous avez en tout cas…
01:01:50Je n'ai pas vu le même match contre Saint-Etienne que Dave, moi.
01:01:53Voilà.
01:01:54Regardez la Première Ligue.
01:01:55Vous n'avez pas fait la même école de journalisme.
01:02:00Il n'a pas digéré celle-là.
01:02:02Tonton Wiki, he's back.
01:02:04Bon, Roland, d'accord avec qui là ? Partager la sensibilité de Damien ou de Dave ?
01:02:10Disons déjà pas d'accord avec De Zerbi dans le sens que nous expliquer la recette qu'il
01:02:17faut pour battre le Havre, sincèrement, je ne m'y attendais pas du tout.
01:02:22Maintenant, il a certainement raison puisqu'il est en train de vivre ce championnat qui est
01:02:29un championnat quand même pas si facile qu'on peut le penser.
01:02:33Non.
01:02:34Je pense que faire des comparaisons pour voir si on a progressé par rapport à cette équipe
01:02:40du Havre, que sincèrement, si tu me demandes après le match de leur donner une division,
01:02:44je ne sais pas laquelle division je pouvais leur donner.
01:02:48C'est peut-être sévère de ma part.
01:02:51Je regarde ce qui se passe du côté du Havre parce que Jean-Michel Roussier est pour moi
01:02:57un président très compétent et quand je l'entends parler, à chaque fois je trouve
01:03:01qu'il ne dit pas de conneries.
01:03:03Et là, voir cette équipe du Havre jouer de cette façon-là, sincèrement, quand je sais
01:03:10qu'ils n'ont pas la possibilité financièrement de se renforcer à ce mercato sauf avec des
01:03:17prêts où il faudra avoir le nid, je suis déjà très inquiet pour eux.
01:03:22Donc bravo pour l'OM qui finalement a réussi facilement à gagner un match au stade Vélodrome
01:03:29mais se servir de modèle du match de l'OM contre le Havre, non.
01:03:35Je pense qu'on attendra par exemple le match de Coupe de France contre Lille.
01:03:39Là, je pense qu'on pourra parler du bloc bas, du bloc haut ou du bloc tout court.
01:03:454 buts sur 5 ont été marqués au Havre face à un bloc bas.
01:03:50Moi, je prends deux serbilles, je l'écoute, je lui dis qu'on progresse face aux équipes regroupées.
01:03:54Est-ce qu'on peut revoir s'il vous plaît ces 4 buts marqués hier soir au Vélodrome ?
01:03:58Et là, ce genre de séquence-là, c'est...
01:04:01Face au bloc bas, il faut tirer de loin, donc c'est précis.
01:04:04Oui, ok, mais c'est nouveau ça.
01:04:06C'est un truc qu'aujourd'hui, hier soir, vous dites tiens, dans le logiciel, il y a un truc en plus.
01:04:13Vous avez vu un truc en plus ?
01:04:14Oui, parce qu'il ne s'agit pas de dire que ça y est, ils vont réussir à exploser tous les blocs bas.
01:04:19La question, c'est qu'on progresse face aux équipes regroupées.
01:04:22On ne peut voir que du progrès par rapport à deux matchs que j'avais vus.
01:04:25C'était Angers au Vélodrome qui n'était pas bien non plus et ils avaient fait 1 partout.
01:04:29Et Auxerre, mais qui n'était pas encore le Auxerre qui a enchaîné ensuite les victoires,
01:04:34où ils s'étaient fait ouvrir 3-1, mais c'était bloc bas aussi.
01:04:38Ils avaient fait des contres parce qu'il y avait une circulation en U comme une équipe de Hand.
01:04:42Il n'y avait pas assez de percussions, notamment des milieux de terrain qui ne faisaient pas assez d'appel dans la profondeur,
01:04:47comme on l'a vu face au Havre.
01:04:50Et puis la circulation du ballon était trop lente.
01:04:53C'est surtout ça qui m'a interpellé dans ce qu'a dit De Zerbi, c'est la vitesse de la circulation de balles face au Havre.
01:04:58Alors c'est vrai que le Havre est extrêmement faible, ça je suis d'accord, et donc ça va demander confirmation.
01:05:02Mais sur ce match-là, on ne peut constater que des progrès par rapport à Rongier et Auxerre.
01:05:06Moi je pense que Rongier, par exemple, solutionne beaucoup de choses.
01:05:09Parce que c'est quelqu'un qui se déplace incroyablement bien,
01:05:12qui crée des lignes de passe, qui crée donc des solutions,
01:05:15qui permet ce jeu, parfois ils arrivent à faire une concentration de jeu à 2, 3, 4,
01:05:20qui agglomère un peu l'adversaire, et quand ils se sortent de ces situations-là,
01:05:26derrière le jeu s'ouvre.
01:05:28Sur Rongier, je suis complètement d'accord avec toi.
01:05:30Franchement, il règle le 2-3-3 quand même.
01:05:32C'est nos gaps avec Montpellier par exemple.
01:05:34Je pense que Montpellier est largement au-dessus du Havre aujourd'hui.
01:05:37En termes de joueurs, ils ont des meilleurs joueurs.
01:05:39Et je pense, et on verra dans ce contexte qu'il y aura Montpellier-Marseille-Montpellier,
01:05:43mais je pense qu'ils continueront de souffrir.
01:05:45On fallait être d'accord avec De Zerbi pour gagner ce duel.
01:05:48En tout cas, Dave, vous avez plutôt convaincu.
01:05:50Dembélé en neuf à présent.
01:05:52Buteur providentiel dans le partitionnel lié au trophée de champion.
01:05:56Hormis ce but libérateur, Jimmy Algerino, ex-joueur du PSG,
01:06:00a apprécié sa perf et son positionnement.
01:06:02C'est-à-dire aujourd'hui dans l'équipe,
01:06:04on regarde, je trouve Dembélé intéressant au faux neuf.
01:06:06Ça le pousse à être plus concentré et attentif.
01:06:08Il est moins présible que quand il entre en venant de la droite.
01:06:11Et dans la surface, il peut éliminer et donc être dur à arrêter.
01:06:16Alors, avec Dembélé en neuf, c'est la meilleure formule, on va dire,
01:06:19de se péger à la sauce Louis-Henrique.
01:06:21Là encore, nos chroniquaires ne sont pas d'accord.
01:06:23Dave, je crois que vous êtes une nouvelle fois réquisitionné.
01:06:25On y va.
01:06:28Il est chaud.
01:06:29Dave, aimé du petit peuple marseillais, allez-vous faire le prince en étant...
01:06:35Aimé du petit peuple parisien.
01:06:37Vous changez l'adversaire, c'est Satané-Hugo Guillemet.
01:06:41Qui a fait une école de journalisme.
01:06:45Les parents perdent encore des traites, malheureusement.
01:06:47Non, j'ai fait une alternance, j'ai payé tout moi-même.
01:06:50Oui, mais vos parents en ligne, ils ont encore quand même...
01:06:53La meilleure formule du PSG avec Dembélé en neuf,
01:06:56vous avez dit oui, Hugo, et en position de contreur,
01:06:59il vous écoute, c'est Daïwa Padoue.
01:07:00Mais Hugo, vous avez la main.
01:07:01Pourquoi finalement ça vous séduit ?
01:07:03J'ai dit oui parce que la question c'est du PSG de Louis Sénéryké.
01:07:06Louis Sénéryké joue avec un faux neuf.
01:07:08Et quitte à jouer avec un faux neuf, autant que ce soit Ousmane Dembélé,
01:07:12plutôt qu'Asensio, Lee ou Désiré Doué.
01:07:15Dembélé, il a ce côté créatif mais aussi décisif.
01:07:20Il a mis quatre buts lors des quatre derniers matchs.
01:07:22Et ce rôle, moi, me plaît beaucoup parce que je l'ai vu très bon
01:07:25contre Lyon au Parc, il n'y a pas très longtemps dans ce rôle,
01:07:27bon contre Monaco.
01:07:28Et je l'avais vu excellent avec le Barça déjà contre le PSG,
01:07:30dans le huitième de Ligue des Champions.
01:07:32Donc, il a des dispositions pour ce rôle.
01:07:34Ok.
01:07:35Vous, non ? Vous fermez la porte ? Pourquoi, Dave ?
01:07:38Oui, parce que je crois à l'intelligence même chez Louis Sénéryké.
01:07:41Je suis persuadé qu'à un moment, il va retrouver la raison.
01:07:43Parce que quand tu as le joueur le plus déséquilibrant ou presque
01:07:46du championnat de France et pas loin d'Europe,
01:07:49Ousmane Dembélé, qui est incroyable sur son côté,
01:07:52qui a une relation technique avec Hakimi, comme il l'a montré l'an dernier,
01:07:55qui n'est pas hyper adroit, même s'il a marqué à la 92ème minute.
01:07:58Et que, en même temps, tu as Gonzalo Ramos,
01:08:01qui est quand même un très bon avançant, dont on nous a expliqué,
01:08:03oui, mais je n'ai pas d'avançante, il est blessé, etc.
01:08:05Il est là et il est plutôt performant.
01:08:07À un moment, le foot, on n'est pas obligé de toujours réinventer la roue.
01:08:09Voilà.
01:08:10Ok, d'accord. Très bien.
01:08:1230 secondes, on a été épuisé.
01:08:13Là, tu as juste eu besoin de 30 secondes.
01:08:14Oui.
01:08:16Et le meilleur poste de Dembélé, ça reste à gauche et on ne l'a jamais vu.
01:08:19Roland va le dire.
01:08:20Non, mais attendez.
01:08:23Ça, c'est scandaleux.
01:08:24Ça, Roland, ça ne doit pas te laisser avoir.
01:08:26Objection, là.
01:08:27Vous demandez quoi, alors ?
01:08:28Non, je ne demande rien.
01:08:29On n'y va pas.
01:08:30Non, mais on est content.
01:08:31Roland Courbis, on y va.
01:08:32Je vais essayer de bien lire pour bien comprendre.
01:08:36Avec Dembélé en numéro 9, est-ce la meilleure formule du Paris Saint-Germain de Louis-Henriquet ?
01:08:42Eh bien, oui.
01:08:43Ben non.
01:08:44Ben non.
01:08:45Non, pour moi, la meilleure formule, c'est avec un vrai 9.
01:08:47Mais c'est Louis-Henriquet.
01:08:49Oui, c'est le PSG de Louis-Henriquet.
01:08:50À ce moment-là, on valide toutes les compos.
01:08:52Il n'y a pas de débat.
01:08:53On peut ne pas être d'accord.
01:08:55Merci.
01:08:56Et maintenant que Dembélé puisse dépanner dans un rôle de numéro 9 et tout, mais
01:09:02si par exemple Ramos était blessé, je te dirais que c'est pas mal.
01:09:05Il peut dépanner en l'absence de Ramos.
01:09:08Mais voir Dembélé à la place de Ramos, je pense que cette solution-là est quand même
01:09:14une solution un peu moins bonne qu'avec Ramos.
01:09:17À l'estade de Dembélé en numéro 9, l'inventaire avait été fait par Hugo.
01:09:21Hugo, il y a quelques minutes, a dragué honteusement le président en disant que son meilleur
01:09:25poste, c'est à gauche et tout ça.
01:09:26Évidemment, c'est votre sensibilité.
01:09:29Vous le verriez mieux à gauche puisque c'est un vrai droitier.
01:09:31Mais là, en l'installant en numéro 9, est-ce que c'est, on va dire, un bon compromis ?
01:09:35Est-ce que c'est un meilleur compromis ?
01:09:36À la limite, si on me fait choisir entre droite et gauche, évidemment que je préfère
01:09:40Dembélé à gauche pour qu'il puisse rentrer et finir avec son petit droit.
01:09:44Maintenant, moi je vous dis, droite ou centre ?
01:09:46À ce moment-là, je prends le centre.
01:09:49Je préfère le centre qu'à droite.
01:09:54Il est d'accord avec vous ?
01:09:56On voit quelques buts cette saison.
01:09:58Régler les problèmes d'efficacité du PDG.
01:10:01Mais en général, régler les problèmes d'efficacité devant lui, est-ce que ça
01:10:05va être l'obsession de Lucien Dreyfus, là, maintenant, de régler ?
01:10:08Parce qu'il se crée des situations, il se crée des occasions.
01:10:11Est-ce que c'est ça, en fait, la question ?
01:10:13Moi, je ne suis pas complètement d'accord avec Hugo au sens où il joue avec un fauneuf.
01:10:17Non, il n'a pas envie forcément de jouer avec un fauneuf.
01:10:21Gonzalo Ramos était apte en début de saison.
01:10:23C'était Gonzalo Ramos qui jouait en pointe.
01:10:25Il s'est blessé.
01:10:26Il a fallu qu'il trouve d'autres solutions.
01:10:28Il n'avait pas de véritable avant-centre qui marquait.
01:10:30Mais maintenant que Ramos est de retour, moi, je trouve que la meilleure formule,
01:10:33c'est avec Gonzalo Ramos en pointe, Barcola à gauche et Demi à droite.
01:10:36Mais il l'a fait jouer, Ramos, titulaire, certains matchs.
01:10:41Ça date, maintenant.
01:10:43Non, mais il y a deux matchs.
01:10:45Je l'ai vu titulaire, il y a deux matchs.
01:10:47Ramos, d'ailleurs, il avait été bon.
01:10:50Mais moi, je pense que Luis Henrique, il aime changer.
01:10:53Il ne met aucun joueur dans le confort.
01:10:55Il veut que le collectif prenne le pas sur les individualités.
01:10:58Je n'étais pas rentré.
01:10:59Dave Apadou, il gagne.
01:11:01Non, je suis gêné, moi.
01:11:03Il n'a eu besoin que de 30 secondes.
01:11:05Moi, il a pris 40.
01:11:06Dave, je pense que c'est vous qui avez les jokers, il me semble.
01:11:08Je ne sais pas.
01:11:09Là aussi, Sebastien, vous gagnez.
01:11:11Ce soir, l'Inter-Milan, Milan-Inter.
01:11:13J'ai joué dans les deux clubs.
01:11:14C'est le thème du soir.
01:11:16Il y a de la star.
01:11:17Attention, premier joueur à avoir joué dans les deux clubs.
01:11:20J'ai marqué 159 buts pour les deux clubs.
01:11:24Ibrahimovic.
01:11:25Ibrahimovic, bonne réponse.
01:11:27J'ai pris ma retraite en juin 2023.
01:11:29J'ai aussi joué pour le PSG à Milan.
01:11:31Je suis actuel conseiller spécial de l'actionnaire.
01:11:34Attention, je viens de quitter le Genoa.
01:11:39Balotelli.
01:11:40Balotelli illégalise Damien Degor.
01:11:42Je suis champion dans l'Opéra Vic City.
01:11:44A Nice, Lucien Favre avait peur de moi.
01:11:46J'ai aussi joué à l'Olympique de Marseille.
01:11:48Mario Balotelli.
01:11:49Attention, mon surnom est aussi un modèle de voiture.
01:11:56Mon surnom est aussi un modèle de voiture.
01:12:01J'ai gagné trois ballons d'or de moins que CR7.
01:12:05Donc, ça fait deux.
01:12:07Baggio.
01:12:08Baggio, non.
01:12:09Ronaldo.
01:12:10Ronaldo, ouais.
01:12:11R9.
01:12:12Ah oui !
01:12:14Je suis nouveau champion du monde.
01:12:15Je l'ai gagné.
01:12:16Vous marquez quelques points.
01:12:18Et le dernier joueur pour la route.
01:12:20Je n'ai marqué que deux buts.
01:12:22Vieira.
01:12:23Avec l'AC Milan.
01:12:24Ce n'est pas Vieira.
01:12:25Vous êtes éliminé.
01:12:26Et Ronaldo.
01:12:27Non plus, mais 123 pour l'Inter.
01:12:31Deux buts à l'AC Milan et 123 pour l'Inter.
01:12:33J'ai joué onze matchs pour Monaco.
01:12:36Vierry.
01:12:37Vierry.
01:12:38Je l'ai dit avant.
01:12:40Vous l'avez dit avant.
01:12:42Et c'est Hugo qui gagne le match, ou pas ?
01:12:44Non, vous avez marqué quoi ?
01:12:454-4.
01:12:464-4, c'est sûr.
01:12:47Non, non, c'est Hugo.
01:12:48Je crois que tu n'as pas gagné.
01:12:49J'avais 4.
01:12:50Vous aviez 4.
01:12:51Les deux plus deux.
01:12:52OK, mes amis.
01:12:53Merci beaucoup.
01:12:54On vous embrasse.
01:12:55Et à demain, les amis.
01:12:56Car la maison est ouverte.
01:12:57Allez, à demain.

Recommandations