L'Équipe du Soir du 5 janvier - L'Équipe du Soir - replay - Vidéo Dailymotion

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Retrouvez le replay de l'Équipe du Soir du 05/01/2025.

Transcript

00:00:00Générique

00:00:16Bonsoir à toutes et tous, c'est ravi de vous retrouver.

00:00:18Meilleur vœu, bonne année 2025.

00:00:20C'est l'ouverture de l'équipe du soir avec une ouverture en fanfare

00:00:23pour l'Olympique de Marseille qui a gagné largement face au Havre 5-1.

00:00:27Attention au casting ce soir.

00:00:29Nous avons comme président Raymond Domenech qui est avec nous.

00:00:31Bonsoir Président. On fait vite le bonjour.

00:00:33Le meilleur vœu à tous.

00:00:35A tous ceux qui nous regardent et aux autres aussi.

00:00:37Exactement. Fred Piquion.

00:00:39Oui, bonsoir. Bonne année.

00:00:41Bonne année, meilleur vœu.

00:00:43La santé surtout.

00:00:45Le combinaire nordique Grégory Schneider.

00:00:47Le meilleur vœu à tous et tout particulièrement

00:00:49aux résidents des 14 villages de la République de Sauget.

00:00:52Merci, c'était important je pense.

00:00:54Dave Apadou, bonne année.

00:00:56La santé et tout le tremblement.

00:00:58Arnaud Hermant, meilleur vœu.

00:01:00Grand parcours en Ligue des Champions.

00:01:02Je ne suis pas sûr.

00:01:04Mais on peut le souhaiter quand même.

00:01:06On va l'espérer.

00:01:08J'aime, j'aime la grotte avec nous.

00:01:10Donc c'est vous qui venez d'être cité par Greg.

00:01:12Pour la République du Sauget.

00:01:14Exactement. On aura évidemment toutes les réactions avec vous.

00:01:16On a beaucoup d'infos. On parlera combinaire nordique,

00:01:18donc fléchette, mais surtout football.

00:01:20Nicolas Chebriant était au Vélodrome.

00:01:22Il était avec nous. Bonsoir Nico.

00:01:24Vous êtes accompagné de Lucas Blanchard.

00:01:26On attend derrière vous les joueurs incessamment sous peu.

00:01:28On aura toutes les réactions des joueurs marseillais

00:01:30après cette victoire.

00:01:32Évidemment dans l'équipe du soir, en direct.

00:01:34Mais on commence avec les images bien sûr

00:01:36et la belle victoire marseillaise.

00:01:38Aucun suspense dans ce match.

00:01:40L'OM qui commence parfaitement son année.

00:01:42C'est Valentin Rongier qui ouvre le bal.

00:01:44L'ouverture du score sur cette frappe de loin

00:01:46de l'ancien Nantais à la 25ème.

00:01:48Bilal Nadir pour le 2-0.

00:01:50L'organisation cette saison pour le joueur

00:01:52post-formé à l'OM.

00:01:54Mopé pour le 3-0.

00:01:56Troisième but en Ligue 1 pour l'ancien joueur

00:01:58de la Première Ligue. 4-0 pour Eliouaï

00:02:00qui n'avait plus marqué depuis fin octobre.

00:02:02Cinquième but d'Ulysse Garcia.

00:02:04Et réduction de l'écart que vous voyez d'André Ayou

00:02:06qui n'a pas célébré et qui a été

00:02:08ovationné par le Vélodrome.

00:02:10Au classement, l'OM revient à 7 points du PSG

00:02:12et prend 3 points d'avance sur Monaco.

00:02:145 buts à 1 pour l'Olympique de Marseille

00:02:16ce soir au Vélodrome.

00:02:18L'OM a été impressionnant.

00:02:20Petit habillage, vous nous donnez votre

00:02:22impression. Pour vous l'OM a-t-il été

00:02:24impressionnant Fred ? Oui.

00:02:26Greg ? Pas du tout.

00:02:28Dave ? C'est l'adversaire.

00:02:30Est-ce que l'OM a été impressionnant ?

00:02:32Non. Je peux pas répondre à ça.

00:02:34Non. Arnaud ?

00:02:36Non. Non plus.

00:02:38Très bien. Nous avons un oui et beaucoup de non.

00:02:40Président ? On les envoie

00:02:42au feu quand même.

00:02:44C'est l'OM de 2025.

00:02:46Le duel, c'est parti.

00:02:50Fred, on va vous laisser choisir votre adversaire.

00:02:52Vous avez 3 adversaires potentiels.

00:02:54Il y en avait un qui avait l'air bien remonté à côté de vous.

00:02:56Il m'appelle.

00:02:58Il t'a même regardé en te suppliant.

00:03:00Il veut m'intimider.

00:03:02Intimider Fred Piquiol, je peux me lever de

00:03:04bonheur.

00:03:06Il a plus d'expérience que moi.

00:03:08Attention, ils sont prêts en régie. Fred, vous voulez

00:03:10prendre la main ou vous la donner à Greg ? Je la donne à Greg.

00:03:12Greg, c'est vous qui prenez la main.

00:03:14Pourquoi l'OM ne vous a pas impressionné ce soir ?

00:03:16Je me fais le porte-voix

00:03:18de ce qu'a dit Dave Apado. On ne peut pas faire

00:03:20abstraction de l'adversité

00:03:22qui était très faible.

00:03:24Je pense qu'il y a 8 équipes de Ligue 1 qui auraient passé

00:03:265 buts au Havre

00:03:28ce soir.

00:03:30C'est une équipe qui est en perdition.

00:03:32Par ailleurs, j'ai trouvé que Marseille, en deuxième

00:03:34mi-temps, donnait du temps au temps et élevait

00:03:36un peu le pied. Ils n'ont même pas eu besoin de puiser.

00:03:38Ils ont fait des belles choses.

00:03:40Ils ont pris ce que l'adversaire leur donnait.

00:03:42L'adversaire leur a donné beaucoup de choses. Ils n'ont pas mis

00:03:4410 buts non plus alors qu'ils en avaient les moyens ce soir.

00:03:46Je n'ai pas trouvé particulièrement impressionnant

00:03:48et saignant. Top, c'est terminé. Greg, attention

00:03:50au temps. C'est tout au tour

00:03:52d'Ofrédéric Micas. Je m'attendais à cette pédoirie

00:03:54bien évidemment de l'adversaire.

00:03:56Mais il faut dire que l'OM, pour moi,

00:03:58a fait le match parfait. Le match parfait, ça veut dire

00:04:00déjà de marquer contre une équipe

00:04:02qui joue avec un bloc hyper bas.

00:04:04C'est très compliqué, c'est très difficile.

00:04:06Il y a beaucoup d'équipes qui se seraient

00:04:08peut-être

00:04:10cassés les dents et pris les pieds

00:04:12dans les filets ce soir.

00:04:14Marseille a joué un peu

00:04:16je me rappelle du match d'Auxerre

00:04:18où c'était très compliqué. Là, ce soir, ils ont fait

00:04:20le match qu'il fallait. J'ai trouvé un très

00:04:22bon Olympique de Marseille.

00:04:24Top, terminé.

00:04:26Alors, allez-y sur les réseaux. C'était

00:04:28bon, ça commence bien cette année. Vous allez

00:04:30évidemment sur l'équipe Connect et puis

00:04:32vous réagissez et vous votez surtout pour le oui ou

00:04:34pour le non, pour Greg ou pour Fred.

00:04:36Bien sûr, est-ce que l'Olympique de Marseille

00:04:38vous a impressionné ce soir ? Président,

00:04:40je me tourne vers vous même si, je ne sais pas,

00:04:42je commence à connaître mon président.

00:04:44Je peux surprendre.

00:04:46Il en a surpris plus d'un.

00:04:50Ça fait partie de la connaissance.

00:04:52Il ne faut pas le provoquer comme ça.

00:04:54Surtout quand il fait ça.

00:04:56Ça fait partie de la connaissance qu'on commence à avoir

00:04:58d'un bon domaine. Il peut nous surprendre.

00:05:00Vous attendez quoi ? Allez-y.

00:05:02Pour qui je vais voter ?

00:05:04Oui, sur l'argument.

00:05:06Quand il y a Marseille, il ne faut pas aller contre Marseille

00:05:08parce qu'on a perdu d'avance.

00:05:10Vous pensez pour les votes ?

00:05:12Oui, mais tu es un homme intègre.

00:05:14Comme je suis un homme intègre, je vais donner

00:05:16raison à Fred. Parce que ce genre

00:05:18de match, il faut quand même le gagner.

00:05:20Mais Fred n'est pas tout à fait honnête parce que

00:05:22le premier but que marque

00:05:24Marseille, il est hors jeu

00:05:26de position. De Mopé.

00:05:28Je ne sais pas qui.

00:05:30C'est le but de Rongier.

00:05:32C'est le premier but qui déclenche tout.

00:05:34Dans ce match-là, il fallait marquer le premier but

00:05:36pour que ce soit fini, terminé.

00:05:38Ce premier but-là, il est un petit peu

00:05:40entaché.

00:05:42D'ailleurs, j'ai été surpris parce qu'on ne nous l'a pas

00:05:44remontré au ralenti. À aucun moment,

00:05:46on l'a vu en fin de match.

00:05:48Mais sur ces matchs-là,

00:05:50il faut quand même les gagner. Il faut marquer

00:05:52des buts. Ce n'est pas aussi simple que ça. Même

00:05:54contre une équipe qui était faible. C'est vrai que

00:05:56le Havre n'a pas gagné depuis un moment.

00:05:58Il faut gagner. Et Marseille

00:06:00a prouvé que dans d'autres matchs,

00:06:02ils n'avaient pas réussi à le faire.

00:06:04Aujourd'hui, ils ont réussi à le faire. On ne va pas les enfoncer.

00:06:06Tant mieux. Ils partent bien.

00:06:08C'est bien qu'il y ait un concurrent au PSG

00:06:10et qu'il reste

00:06:12accroché.

00:06:14Je préfère que ce soit comme ça.

00:06:16Si la question, c'est de savoir

00:06:18si Marseille a bien fait le boulot

00:06:20et même très bien fait,

00:06:22je pense que là, pour le coup, on est tout à fait d'accord.

00:06:24L'intitulé de votre question, c'était impressionnant.

00:06:26Ça veut dire quelque chose où tu as l'impression que

00:06:28l'équipe que tu vois, en l'occurrence Marseille,

00:06:30a dégagé quelque chose

00:06:32qui te laisse augurer

00:06:34quelque chose de plus grand. Or, là, c'est là que tu es obligé

00:06:36de le ramener à l'adversaire. De la même façon,

00:06:38quand ils en ont passé 4 à Saint-Etienne,

00:06:40qui en plus avait trouvé le moyen d'être réduit à 10,

00:06:42tu étais obligé d'indexer ça

00:06:44à la faiblesse de l'adversaire.

00:06:46Après,

00:06:48je suis d'accord sur le fait qu'ils ont

00:06:50très bien fait ce qu'ils avaient à faire.

00:06:52Moi, franchement, je ne boude pas mon plaisir. J'ai vu des buts,

00:06:54j'ai vu des mouvements, j'ai vu

00:06:56des combinaisons,

00:06:58j'ai vu un super rongier au milieu

00:07:00qui te résout quand même pas mal d'équations.

00:07:02Tout ça, oui. Mais sur le côté

00:07:04impressionnant, ça voudrait dire que

00:07:06ils ont dégagé un truc que tu n'attendais pas.

00:07:08Contre cet adversaire-là,

00:07:10j'attendais quand même quelque chose de Marseille.

00:07:12Mais vous avez parlé des mouvements, des combinaisons.

00:07:14Quand même, Marseille, on sent qu'il se passe quelque chose

00:07:16quand même en ce moment. Face à des plots,

00:07:18tu peux combiner quand même.

00:07:20Nous, des fois, on faisait des matchs

00:07:22à l'entraînement, les plots contre les autres.

00:07:24Nicolas Chébriant

00:07:26Vous êtes avec nous, Nico.

00:07:28Vu du stade, justement, vous qui les connaissez bien,

00:07:30vos petits Marseillais,

00:07:32dites-nous un petit peu comment vous les avez trouvés.

00:07:34Est-ce que vous avez été impressionné par votre Olympique de Marseille

00:07:36version 2025 ?

00:07:40Oui, alors je vais

00:07:42rejoindre ce qui a été dit au sens où

00:07:44pour être impressionné, il faut forcément,

00:07:46on est obligé de pondérer par rapport

00:07:48à la faiblesse de l'adversité. Pour le reste,

00:07:50Bilal Nadir qui vient de passer,

00:07:52parlez-lui d'un match abouti.

00:07:54Il y a eu du sérieux, de l'application,

00:07:56parfois de l'inspiration.

00:07:58En tout cas, ce qui est sûr, c'est que c'est une rentrée

00:08:00pour cette année 2025

00:08:02parfaite, avec

00:08:04quand même une frappe de 25 mètres

00:08:06de Rongier qui finit en but,

00:08:08avec le premier but de

00:08:10Nadir. Bref, tout était

00:08:12parfait, même, j'ai envie de dire,

00:08:14le but qui est encaissé par l'Olympique

00:08:16de Marseille, puisque c'est André Ayou

00:08:18lui-même qui vient empêcher

00:08:20ce clean sheet et qui a eu droit

00:08:22à une ovation, ce qui est quand même relativement

00:08:24rare, le stade Vélodrome, donc, qui n'a pas

00:08:26manqué de saluer André Ayou à cette occasion.

00:08:28Donc, match, on va

00:08:30dire, au scénario parfait, oui.

00:08:32Voilà, c'est vrai, même le but

00:08:34d'Ayou est parfait. Arnaud,

00:08:36je me tourne vers vous qui avez répondu non à la

00:08:38question. Vous attendiez

00:08:40donc un 5-1 au moins, minimum, ce soir

00:08:42pour Marseille, avant de vous mettre

00:08:44devant le match. Vous imaginiez donc

00:08:46Marseille A ? Non, parce que je ne suis pas un garçon

00:08:48qui se projette beaucoup en général.

00:08:50Non, parce que c'est le premier

00:08:52match de l'année civile, donc

00:08:542025, donc toujours difficile de

00:08:56savoir comment les équipes reprennent, que ce soit

00:08:58Le Havre qui était au fond de la calme, on voit qu'ils y sont

00:09:00toujours, que Marseille qui était

00:09:02plutôt pas mal

00:09:04fin 2024, donc c'est difficile

00:09:06de se projeter. Après, moi je rejoins

00:09:08les arguments de Dave, c'est-à-dire qu'on a vu un bon Marseille

00:09:10qui a fait le boulot, et effectivement

00:09:12Raymond et Frédéric sont mieux placés

00:09:14que nous pour savoir la difficulté

00:09:16parfois à marquer un premier but

00:09:18contre des équipes comme ça, très défensives

00:09:20et qui ne sont pas forcément en grande réussite.

00:09:22Après, voilà.

00:09:24Quand on juge un match,

00:09:26on est quand même obligé de tenir, c'est comme une copie

00:09:28d'élève, vous êtes quand même obligé de tenir

00:09:30compte de la difficulté ou

00:09:32de l'exercice du devoir, donc là on est

00:09:34quand même obligé de tenir compte du niveau

00:09:36de l'adversaire, et le niveau de l'adversaire Le Havre

00:09:38c'est l'avant-dernier de la classe

00:09:40qui est quand même dans une très mauvaise

00:09:42phase, qui s'est fait sortir en Coupe de France

00:09:44il n'y a rien qui va au Havre depuis

00:09:46le début de saison. On va juste dire un mot

00:09:48du Havre tout à l'heure, mais ils vont à Rennes.

00:09:50Vous attendez le déplacement à Rennes pour confirmer

00:09:52l'élève qui est en progrès, c'est ça ? Même Rennes.

00:09:54On ne peut quand même pas dire que Rennes marche

00:09:56sur l'eau. Si ils n'ont pas 5

00:09:58à Rennes, ça commencera à être autre chose.

00:10:00C'est déjà en termes d'effectifs,

00:10:02il y a une certaine consistance que le Havre

00:10:04n'a malheureusement pas, pour diverses raisons

00:10:06on sait que c'est des arguments qui sont avancés.

00:10:08L'argument bloc bas qu'ils vous ont donné, la difficulté

00:10:10Juste par rapport à ça,

00:10:12face au Havre, ils sont toujours

00:10:14bloc bas contre toi. Il se trouve quand même

00:10:16que sur 16 matchs, ils ont perdu 12.

00:10:18Le bloc bas du Havre

00:10:20n'effraie pas

00:10:22les attaques contre Ligue 1.

00:10:24Même à domicile, des fois

00:10:26contre le PSG, ils n'ont pas passé le milieu de terrain.

00:10:28Mais comment est-ce que tu joues contre le PSG ?

00:10:30Les autres matchs contre Strasbourg, etc.

00:10:32Contre Lyon, ils étaient

00:10:34complètement contre toi.

00:10:36C'est une équipe qui est en immense difficulté,

00:10:38qui a perdu 12 matchs.

00:10:40C'est difficile de ne pas le paramétrer.

00:10:42C'est une équipe qui ne pose de problème à personne.

00:10:44Ils ont pris, je crois, 36 buts

00:10:46en 16 journées.

00:10:48Rendez-vous compte.

00:10:50Mais par contre, la réalité...

00:10:52Qu'aurait dû faire l'OM

00:10:54pour vous impressionner, alors, ce soir ?

00:10:56Il fallait qu'ils gagnent 10-0.

00:10:58Ils ont tous raison, et Fred a raison.

00:11:00Il vous a habitué

00:11:02à mieux.

00:11:06Allez parler aux dirigeants de Ligue 1,

00:11:08allez parler aux joueurs de Ligue 1, allez parler aux entraîneurs de Ligue 1.

00:11:10Vous avez 4 ou 5 clubs qui crient misère,

00:11:12qui ne peuvent pas,

00:11:14et qui, tout simplement, ne peuvent pas jouer ces matchs-là.

00:11:16Quand Montpellier reçoit Marseille,

00:11:18à ce moment-là, ça fait 5-0, ça peut faire 10.

00:11:20Alors, il y en a quelques-uns, mais ça,

00:11:22ce n'est pas un match représentatif en Ligue 1.

00:11:24Je vous mets quand même un carton jaune, le premier de l'année,

00:11:26mais retourner sa veste comme ça,

00:11:28ce n'est pas possible.

00:11:30Le retournement de veste que vous venez d'avoir, là,

00:11:32ce n'est pas possible.

00:11:34Par contre, ce qui est sûr, pour revenir à l'OM,

00:11:36parce que ça reste quand même notre sujet,

00:11:38c'est que ça fait un moment, maintenant,

00:11:40qu'ils se donnent de l'élan. Et ça, ce n'est pas anodin.

00:11:42Parce que, de la même façon qu'il y a eu des matchs,

00:11:44parfois, un petit peu trompeurs au niveau du score

00:11:46en première partie de saison,

00:11:48j'inclue peut-être même le premier match contre Brest,

00:11:50où ils avaient collé 5-1, merci Géronimo Rulli,

00:11:52parce que, franchement,

00:11:54ils n'avaient pas maîtrisé grand-chose, c'était du contre, etc.

00:11:56Il se trouve que l'histoire, elle avait bien tourné.

00:11:58Moi, je trouve qu'il y a eu un avant

00:12:00et un après Marseille-Auxerre.

00:12:02Ce match qui a été, pour moi,

00:12:04je crois qu'ils ont touché le fond ce soir-là.

00:12:06C'est le même genre de match que ce soir.

00:12:08Je suis d'accord, mais peut-être avec d'autres arguments.

00:12:10Il y a plus de talent,

00:12:12une capacité quand même

00:12:14à gêner l'adversaire qui est supérieure

00:12:16et à faire mal chez Auxerre.

00:12:18Mais, ce soir-là,

00:12:20ils ont touché le fond, il y avait la sortie

00:12:22de Roberto De Zarbis qui dit, si c'est moi le problème,

00:12:24je pars. Enfin, je me suis dit, attends.

00:12:26Il paraît qu'il l'a encore en travers de la gorge, ce match.

00:12:28Oui, mais je me dis, quand tu sors,

00:12:30au bout de neuf journées,

00:12:32si c'est moi le problème, je pars.

00:12:34Je me suis dit, attends, j'ai déjà vu ça

00:12:36la saison dernière.

00:12:38Dans trois semaines, il est parti.

00:12:40Moi, je trouve que là,

00:12:42depuis, ils ont enchaîné des très bonnes performances,

00:12:44y compris contre des bons clubs.

00:12:46Je pense à Monaco, le match nul contre Lille.

00:12:48Ça reste une vraie bonne performance.

00:12:50Je trouve que depuis, ils ont de l'élan.

00:12:52Et tu as l'impression qu'avec leur stage,

00:12:54il y a un état d'esprit qui se crée.

00:12:56Et ça, pour le coup,

00:12:58je trouve que c'est beaucoup plus révélateur

00:13:00qui attend peut-être l'OM en deuxième partie de saison

00:13:02que le Stricte Fête d'Anarpa.

00:13:04C'est ça qui a une équipe qui, à mon avis...

00:13:06C'est la cohésion d'équipe aussi, par rapport au stage dont tu parlais,

00:13:08juste après la pause des fêtes contre Auxerre.

00:13:10Ils en ont fait deux, d'ailleurs.

00:13:12Ils n'en ont pas fait qu'un.

00:13:14Ils en ont fait un de leur propre chef.

00:13:16Ça dit quelque chose.

00:13:18Celui qui n'est jamais loin du groupe marseillais,

00:13:20lui aussi, il fait de la cohésion, c'est Nicolas Chébriant.

00:13:22Le Chex.

00:13:24Le Chex, bien sûr, qui est là.

00:13:26Il y a toujours ce syndrome vélodrome.

00:13:28On avait parlé des contre-performances,

00:13:30notamment au vélodrome.

00:13:32C'est important.

00:13:34Bien gagné au vélodrome pour les Marseillais.

00:13:38Absolument.

00:13:40C'est sans doute ce qu'on peut noter aussi.

00:13:42Jusqu'à présent, l'OM n'avait jamais gagné

00:13:44par plus de deux buts d'écart.

00:13:46Neuf buts seulement marqués jusqu'à ce match,

00:13:48avec deux victoires seulement sur sept matchs.

00:13:50Également, rappelez qu'au final,

00:13:52ces Marseillais n'avaient pris que deux points

00:13:54face à Reims, Angers et Auxerre.

00:13:56Ce sera sans doute une bouffée d'oxygène.

00:13:58Parler de syndrome, c'est peut-être un petit peu

00:14:00excessif, mais en tout cas,

00:14:02c'est une nouvelle bonne opération

00:14:04à domicile.

00:14:06Ce n'était pas vraiment le cas jusqu'à présent.

00:14:08Pour rappel, les Marseillais sont premiers

00:14:10à l'extérieur, sur le classement extérieur.

00:14:12En revanche, à domicile, c'était vraiment

00:14:14de grandes difficultés depuis le début de la saison.

00:14:16Merci, Nico.

00:14:18C'est vrai que ça se saurait si on était excessifs

00:14:20dans l'équipe du soir.

00:14:22Jamais.

00:14:24Je vais aller titiller un peu le président,

00:14:26mais est-ce qu'on voit la patte des herbes ?

00:14:28On en a parlé depuis le début.

00:14:30Il cherche des couples aussi.

00:14:32C'était ma manière de lui dire

00:14:34que c'était bonne année.

00:14:36Tous les entraîneurs

00:14:38arrivent à construire

00:14:40plus ou moins quelque chose

00:14:42en fonction de l'effectif qu'ils ont.

00:14:44Il a un effectif qui est solide.

00:14:46Il a trouvé une organisation.

00:14:48Son équipe, de départ, ça fait quelques matchs,

00:14:50c'est à peu près la même à chaque fois.

00:14:52Ça veut dire qu'il a trouvé

00:14:54un style et que ça marche.

00:14:56Alors dire que c'est sa patte,

00:14:58oui, c'est la responsabilité de l'entraîneur

00:15:00de trouver une équipe cohérente

00:15:02qui fonctionne.

00:15:04Le système qu'il a installé est plutôt bien.

00:15:06Dans l'animation, il n'y a pas de miracle.

00:15:08Il joue à trois derrière.

00:15:10Il a des pistons.

00:15:12Il a des joueurs qui sont capables

00:15:14d'éliminer.

00:15:16Il a un avançant qui sait garder le ballon,

00:15:18qui peut lui marquer des buts.

00:15:20Il a des milieux.

00:15:22La position de Rabiot au milieu,

00:15:24qui est un monstre physique,

00:15:26qui est capable de faire la navette,

00:15:28de ramener, de récupérer des ballons.

00:15:30Il a les éléments pour le faire.

00:15:32Je ne dis pas que...

00:15:34Ça, c'est toujours le cas.

00:15:36Il a ressuscité Rongier, par exemple.

00:15:38Oui.

00:15:40Tous les ans, c'est la même chose.

00:15:42Avec tous les entraîneurs qui arrivent,

00:15:44ils ne jouent pas au départ.

00:15:46Il montre qu'il est là.

00:15:48C'est vrai qu'il est un joueur plutôt offensif.

00:15:50Il le met piston.

00:15:52Ça, c'est un bon coup.

00:15:54À l'heure actuelle, le piston, c'est un offensif.

00:15:56Dans des équipes qui ont le ballon,

00:15:58dans les équipes qui jouent,

00:16:00quand ils ont joué Marseille,

00:16:02les pistons, on ne les a pas vus.

00:16:04Quand on a le ballon, les pistons,

00:16:06c'est des offensifs, pas des défensifs.

00:16:08Ça ne change rien. Il vaut mieux avoir

00:16:10un hélier qui recule qu'un arrière qui monte.

00:16:12Là, si on t'écoute, il ne fait rien.

00:16:14C'est la chambre d'enregistrement.

00:16:16Ce que je voulais dire par rapport à De Zerbi,

00:16:18c'est évidemment que c'est sa patte.

00:16:20On l'a vu à Sassolo, à Brighton.

00:16:22Il a regardé les matchs de l'OM

00:16:24avant de venir à l'OM.

00:16:26L'effectif, il l'a regardé.

00:16:28Si aujourd'hui, Enrique joue sur le côté,

00:16:30c'est qu'il s'est dit,

00:16:32oui, je vais garder ce joueur.

00:16:34Je ne vais pas aller dépenser une somme inconsidérable

00:16:36pour aller chercher un autre joueur

00:16:38alors que je l'ai déjà dans mon effectif.

00:16:40Pour moi, la patte, elle est là.

00:16:42Pour moi, les sorties de balles,

00:16:44les passes,

00:16:46Greenwood qui vient rechercher

00:16:48un peu aussi l'intérieur.

00:16:50Moi, je me posais la question

00:16:52pendant le match.

00:16:54Comment ça se fait que Greenwood,

00:16:56qui normalement est un attaquant de côté,

00:16:58vient chercher énormément ?

00:17:00Parce qu'il laisse l'espace

00:17:02à Greenwood et à Enrique.

00:17:04Et de l'autre côté, il y a Merlin.

00:17:06Il met énormément de densité

00:17:08dans cette axe de jeu

00:17:10pour laisser les côtés à ses pistons.

00:17:12Ce que dit Raymond quand même,

00:17:14c'est qu'il a quand même les joueurs du dessus.

00:17:16Quand t'as Rabiot, quand t'as Greenwood,

00:17:18quand t'as Balerzi.

00:17:20Ce moment-là, Rabiot, c'est une pipe.

00:17:22Lui aussi, il a les meilleurs joueurs du monde.

00:17:24Ça peut te mettre assez à l'aise sur un certain nombre de matchs.

00:17:26S'il entraîne le Havre, ce n'est pas pareil.

00:17:28C'est ce que vous êtes en train de nous dire.

00:17:30C'est le cas pour tous les coachs.

00:17:32Donc, il n'y a jamais de grands coachs avec vous.

00:17:34Non, pas à ce stade.

00:17:36Les grands coachs sont ceux qui entraînent

00:17:38les grandes équipes.

00:17:40À l'échelle de la Ligue 1,

00:17:42c'est une grande équipe.

00:17:44Tu parles de l'échelle de la Ligue 1.

00:17:46Qu'est-ce qu'on juge ?

00:17:48Ils ne sont pas en Ligue des champions.

00:17:50On parle des grands clubs européens.

00:17:52Quand Marseille fera la Coupe d'Europe

00:17:54et qu'ils seront dans les grands européens,

00:17:56on pourra dire ça.

00:17:58Ils ont fini 9e ou 10e la saison dernière.

00:18:00Là, ils sont peut-être postulants

00:18:02pour être vice-champions.

00:18:04Allez, on écoute Jeremy.

00:18:06Il a une déclaration depuis tout à l'heure.

00:18:08Il a donné la déclaration de Roberto De Zerbi

00:18:10au micro du diffuseur.

00:18:12Il dit « Je suis désolé, mais je suis déçu

00:18:14par le but qu'on a encaissé.

00:18:16Gagner 5-0 ou 5-1, ce n'est pas la même chose. »

00:18:18En fait, il en voulait plus, Roberto De Zerbi.

00:18:20À l'exigence du coach.

00:18:22Non, c'est de la...

00:18:24En fait, il parle à ses joueurs

00:18:26pour essayer de trouver un petit levier

00:18:28pour un peu faire redescendre tout le monde.

00:18:30Donc, il a utilisé ça.

00:18:32Ça ne me semble pas très franc du collier quand même.

00:18:34Mettez-vous à sa place.

00:18:36Je ne suis pas d'accord.

00:18:38En discutant avec, justement,

00:18:40Mehdi Benatia,

00:18:42directeur sportif de l'OM,

00:18:44c'est quand même quelqu'un

00:18:46qui a envie, justement...

00:18:48Vous savez, le 1, là.

00:18:50Si avec Monaco, ils sont à la lutte

00:18:52à la fin de saison,

00:18:54le 1, il peut compter.

00:18:56Oui, puis surtout, il traduit...

00:18:58Au-delà du truc comptable...

00:19:00Non, mais Greg, au-delà du truc comptable,

00:19:02peut-être qu'il le survend un peu,

00:19:04mais moi, je pense que les coachs

00:19:06ne supportent pas le relâchement.

00:19:08Merci.

00:19:10Ça n'a rien à voir avec deux herbes.

00:19:12C'est tous les entraîneurs qui disent ça.

00:19:14Je n'ai pas dit que ça n'a pas de deux herbes.

00:19:16Quand on sent le relâchement...

00:19:18Comme si c'était extraordinaire,

00:19:20il avait de l'exigence.

00:19:22Tout le monde dit la même chose.

00:19:24Tous les entraîneurs.

00:19:26C'est le symbole d'une équipe.

00:19:28On ne relâche pas.

00:19:30Quoi qu'il arrive, on doit jusqu'au bout

00:19:32Quand ça va très mal...

00:19:34C'est le principe.

00:19:36C'est-à-dire qu'ils sont là pour

00:19:38un peu contredire le résultat.

00:19:40Et c'est normal.

00:19:42Pierre Sage ne le fait jamais, ça.

00:19:44Il est plutôt très honnête.

00:19:46Il ne le fait jamais, ça.

00:19:48Il est toujours très clair.

00:19:50Il dit quand ça va bien, quand ça ne va pas bien.

00:19:52C'est vrai.

00:19:54C'est quoi ta phrase sur la sincérité ?

00:19:56La sincérité est une forme de calcul

00:19:58comme une autre.

00:20:00Tu l'as prise ?

00:20:02C'est Machiavel.

00:20:04Evidemment, votre auteur préféré.

00:20:06Si tu décides de dire la vérité,

00:20:08tu ne décides pas du tout.

00:20:10C'est clair.

00:20:12Un mot sur le Havre.

00:20:14Arnaud, on a parlé du niveau du Havre.

00:20:16Est-ce que vous sentez

00:20:18que ça peut bouger au Havre ?

00:20:20Didier Digard, est-ce qu'il est sur la scellette

00:20:22ce soir après ce match-là ?

00:20:24Ça ne semblait pas être le cas en fin d'année.

00:20:26Aussi bien le président roussier

00:20:28que Mathieu Bonnet, le directeur sportif,

00:20:30semblait vouloir lui accorder

00:20:32encore beaucoup de confiance.

00:20:34On voit le classement juste un jeudi.

00:20:36Le problème, c'est qu'ils n'ont pas rendu.

00:20:38Leur problème majeur,

00:20:40c'est qu'ils n'ont pas d'argent

00:20:42et qu'ils vont devoir faire quelques ventes

00:20:44lors de ce Mercato pour pouvoir

00:20:46équilibrer des comptes.

00:20:48Il y a Operil qui est en partance

00:20:50pour la Turquie.

00:20:52Malheureusement, ils n'ont pas beaucoup

00:20:54de ressorts.

00:20:56Ils ne sont pas encore

00:20:58avec une masse salariale encadrée.

00:21:00Ça les limite

00:21:02quand même beaucoup dans leur volonté

00:21:04de se renforcer. Après, l'avenir de l'entraîneur,

00:21:06est-ce qu'ils vont le garder ?

00:21:08C'est les grands perdants du DIC CVC.

00:21:10Ils ont touché un ennemi.

00:21:12Eux, c'étaient les grands perdants

00:21:14de ça et ça se répercute.

00:21:16Pour parler des chiffres,

00:21:18les CVC ont pris

00:21:201,5 million quand le moindre club de Ligue 1

00:21:22a pris 33 millions.

00:21:24Ils étaient en Ligue 2.

00:21:26Oui, mais ils sont montés.

00:21:32Tu avais eu Metz qui était dans une situation.

00:21:34Metz a pris 16.

00:21:36Un club qui était en Ligue 1

00:21:38et qui est descendu l'année de CVC,

00:21:40il a pris 16 ennemis. Le Havre, considérant

00:21:42qu'il était en Ligue 2 et qu'il est monté,

00:21:44il aurait dû toucher ses ennemis.

00:21:46Fred, comment ça peut se passer

00:21:48dans un groupe

00:21:50quand on est comme ça au fond de la gamelle ?

00:21:52Pour les joueurs, c'est dur.

00:21:54Qu'est-ce qui peut rallumer la flamme

00:21:56ou leur permettre de sortir la tête du trou ?

00:21:58Franchement, c'est compliqué.

00:22:00C'est très dur.

00:22:02Même si on mettait Guardiola dans cette équipe,

00:22:04est-ce qu'ils arriveraient

00:22:06à remonter la pente ?

00:22:08Ça vient des leaders, des joueurs

00:22:10plus que de l'entraîneur ?

00:22:12Ça vient de tout le monde.

00:22:14Aujourd'hui, Raymond est là.

00:22:16Il est coach. Est-ce qu'il ne faut pas faire corps ?

00:22:18Est-ce qu'il ne faut pas

00:22:20partir en stage ?

00:22:22Est-ce que cette forme de cohésion

00:22:24de groupe

00:22:26peut rallumer quelque chose ?

00:22:28On parlait de prendre 34 buts.

00:22:30À un moment donné, même faire un 0-0,

00:22:32c'est peut-être important.

00:22:34Leur espoir ?

00:22:36Leur espoir, c'est que

00:22:38devant, il y a 3 points d'avance.

00:22:40Ils ne sont pas dans la situation, tu te souviens,

00:22:42des Arles-Avignon, ou je ne sais pas qui,

00:22:44Toulouse, qui partaient avec des 10 points de retard.

00:22:46Je crois que Duprat avait réussi

00:22:48à la remonter.

00:22:50Mais enfin, tu n'es pas dans une situation

00:22:52où, au moins comptablement, tu es désespéré.

00:22:54Je parle sur le fait de pouvoir t'accrocher à quelque chose.

00:22:56Tu te dis, bon, 3 points, sachant que devant,

00:22:58ce ne sont pas des locomotives, peut-être que...

00:23:00Non, mais il y a un problème de niveau.

00:23:02Nantes et Saint-Etienne ont tout autre moyen.

00:23:04Nantes et Saint-Etienne ont tout autre moyen que le Havre.

00:23:06Non, je dis juste sur quoi tu peux jouer.

00:23:08C'est ça. On avance sur ce qui s'est passé

00:23:10au cours de vos fêtes.

00:23:12Oui, parce que j'ai quelque chose de très important.

00:23:14Vous avez suivi, je sais,

00:23:16d'une manière très assidue alors qu'on regarde

00:23:18le résultat. Et sans surprise, Président...

00:23:20Sans surprise, Marseille a gagné.

00:23:22Non, c'est Fred qui a gagné.

00:23:24J'étais un peu d'accord, finalement.

00:23:26Au final, Greg,

00:23:28vous avez un peu gagné puisque vous étiez d'accord

00:23:30avec Franck. Donc, je n'ai pas dit tout à fait.

00:23:34Vous acceptez votre défaite, alors ?

00:23:36Totalement. Face à lui, ça va.

00:23:38Face à d'autres, non.

00:23:40Il t'a regardé !

00:23:42Je le disais, tout au long de vos fêtes,

00:23:44vous avez été subjugué par le spectacle

00:23:46Fléchettes, les championnats du monde de fléchettes.

00:23:48C'est devenu une sorte de phénomène de société.

00:23:50Même Derriapadoux a envie de jouer aux fléchettes.

00:23:52On a testé, là, juste avant le match.

00:23:54Et vous avez peut-être remarqué pendant le match

00:23:56la célébration de Nile Maupay.

00:23:58Nile Maupay, au moment de marquer son but,

00:24:00a célébré en faisant le geste

00:24:02qu'il envoyait des fléchettes.

00:24:04On va vous montrer l'image pour ceux qui ne l'avaient pas vue.

00:24:06Hop, célébration Fléchettes.

00:24:08Il n'y a pas que lui.

00:24:10Bien sûr, après, derrière, tout le monde s'y met

00:24:12pour regarder les championnats du monde.

00:24:14Il l'avait déjà fait, quand il était en première ligue.

00:24:16C'était pour chambrer et imiter

00:24:18James Madison,

00:24:20qui était, d'ailleurs,

00:24:22aux championnats du monde de fléchettes

00:24:24pendant les championnats du monde, on l'a vu.

00:24:26Il est notamment allé voir Luke Hitler et les autres.

00:24:30On s'est penché sur le dossier.

00:24:32Grâce, notamment, à Swan Borsaleno,

00:24:34qui nous accompagne et qui nous a permis

00:24:36d'aimer les fléchettes sur la chaîne L'Equipe,

00:24:38on s'est aperçu de quelque chose, Jérémy.

00:24:40Un clash important dans l'histoire de Niel Maupay.

00:24:42Maupay adore chambrer sur les réseaux sociaux.

00:24:44Il avait eu une passe d'armes avec Luke Hitler,

00:24:46le champion du monde de fléchettes de 17 ans,

00:24:48que vous avez vu sur la chaîne L'Equipe.

00:24:50C'était l'année dernière,

00:24:52après un match de Maupay contre Manchester United,

00:24:54club que supporte Luke Hitler.

00:24:56Hitler avait dit que Maupay

00:24:58parlait plus qu'il ne marquait.

00:25:00C'était sur un commentaire Instagram.

00:25:02Il avait lancé la passe d'armes.

00:25:04La réponse de Niel Maupay, il a dit

00:25:06« J'ai attrapé un gros poisson. »

00:25:08Il avait dit « Big Fish » en référence

00:25:10au score qu'on peut faire aux fléchettes.

00:25:12Le Big Fish, c'est un terme de définition.

00:25:14Le plus gros finish pour les fléchettes.

00:25:16Il n'en rate pas une, Niel Maupay,

00:25:18quand il peut chambrer quelqu'un, même Luke Hitler,

00:25:20le champion du monde de fléchettes.

00:25:22Aujourd'hui, il ne peut plus s'attaquer.

00:25:24À l'époque, il était vice-champion du monde

00:25:26quand il s'y attaquait.

00:25:28Il avait 16 ans.

00:25:30Il a été vice-champion du monde à 16 ans.

00:25:32À 18 mois,

00:25:34il a commencé les fléchettes

00:25:36avec un jeu magnétique, Luke Hitler.

00:25:42Il n'a pas un physique de 17 ans.

00:25:44Maupay a réagi

00:25:46sur cette célébration.

00:25:48On le découvre en même temps.

00:25:50Il dit « Si j'ai tout regardé,

00:25:52les fléchettes, bien sûr.

00:25:54Moi, j'aime bien, en Angleterre,

00:25:56un peu dans la culture, j'ai regardé.

00:25:58C'est un anglais, Luke Hitler,

00:26:00de 17 ans, qui a gagné.

00:26:02Il y a une bonne ambiance. »

00:26:04Si Nile Maupay le dit.

00:26:06Si Nile Maupay fait la promo

00:26:08des fléchettes sur la chaîne L'Equipe,

00:26:10nous, on est preneurs.

00:26:12Je sais que Raymond,

00:26:14vous avez été attiré par Luke Hitler

00:26:16et par les fléchettes.

00:26:18J'étais fasciné.

00:26:20Il y a plusieurs écrans.

00:26:22Il y avait un match de foot d'un côté

00:26:24et les fléchettes de l'autre côté.

00:26:26J'ai été attiré en permanence

00:26:28par ces fléchettes.

00:26:30J'ai essayé.

00:26:32C'est plus difficile

00:26:34de jouer aux fléchettes

00:26:36que de mettre un but.

00:26:38C'est ça.

00:26:40C'est ça.

00:26:42C'est ça.

00:26:44C'est ça.

00:26:46C'est ça.

00:26:48C'est ça.

00:26:50C'est ça.

00:26:52C'est ça.

00:26:54C'est ça.

00:26:56C'est ça.

00:26:58C'est ça.

00:27:00C'est ça.

00:27:02C'est ça.

00:27:04C'est ça.

00:27:06C'est ça.

00:27:08C'est ça.

00:27:10C'est ça.

00:27:12C'est ça.

00:27:14C'est ça.

00:27:16C'est ça.

00:27:18C'est ça.

00:27:20C'est ça.

00:27:22C'est ça.

00:27:24C'est ça.

00:27:26C'est ça.

00:27:28C'est ça.

00:27:30C'est ça.

00:27:32C'est ça.

00:27:34C'est ça.

00:27:36C'est ça.

00:27:38C'est ça.

00:27:40C'est ça.

00:27:42C'est ça.

00:27:44C'est ça.

00:27:46C'est ça.

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00:27:50C'est ça.

00:27:52C'est ça.

00:27:54C'est ça.

00:27:56C'est ça.

00:27:58C'est ça.

00:28:00C'est ça.

00:28:02C'est ça.

00:28:04C'est ça.

00:28:06C'est ça.

00:28:08C'est ça.

00:28:10C'est ça.

00:28:12C'est ça.

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00:28:18C'est ça.

00:28:20C'est ça.

00:28:22C'est ça.

00:28:24C'est ça.

00:28:26C'est ça.

00:28:28C'est ça.

00:28:30C'est ça.

00:28:32C'est ça.

00:28:34C'est ça.

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00:28:38C'est ça.

00:28:40C'est ça.

00:28:42C'est ça.

00:28:44C'est ça.

00:28:46C'est ça.

00:28:48C'est ça.

00:28:50C'est ça.

00:28:52Ça dépend pas de eux.

00:28:54Ça dépend pas d'eux.

00:28:56On parle de sport et je me résous pas à

00:28:58me résous pas à

00:29:00de fermer le banc à la 16ème journée de championnat

00:29:02alors qu'il reste un demi championnat

00:29:04et qu'il peut se passer beaucoup de choses, y compris à Paris.

00:29:06Moi j'entends,

00:29:08d'autant que

00:29:10l'objectif de Longoria, c'est d'être en Ligue des champions

00:29:12c'est les trois. Mais je trouve

00:29:14qu'il faut pas

00:29:16mépriser la compétition, ce qui peut se passer

00:29:18et le sport c'est un truc bizarre,

00:29:20Il y a des portes qui s'ouvrent. Marseille, ils les prennent une fois, ils peuvent les tartiner au parc et ça fait plus que 4 points.

00:29:26Oui, on disait ça, je me souviens, il disait ça il y a un mois ou deux.

00:29:30Avant le match aller.

00:29:31Oui, avant le match aller et puis ils ont gagné celui-là, ils ont battu Monaco et tout d'un coup ils ont pris 10 points d'avance.

00:29:36Est-ce que le PSG vous fait une impression d'évidence ?

00:29:40Non mais en disant que Marseille regarde devant, c'est que Marseille regarde devant, pas pour aller chercher le PSG.

00:29:47C'est pour conserver sa deuxième place.

00:29:59La question c'est de savoir s'ils peuvent aller chercher le PSG, je vous dis non.

00:30:04Est-ce qu'ils peuvent, c'est la question, est-ce qu'ils doivent ? Est-ce qu'ils doivent y penser ?

00:30:07Pourquoi je dis ça ? Parce que un, je pense que tu es plus exigeant avec toi-même quand tu vises très très haut plutôt qu'un championnat.

00:30:14C'est la lutte dans ma tête en fait, c'est exactement ce que je dis.

00:30:16C'est vrai, mais ça c'est les vrais, ça c'est les compétiteurs.

00:30:18Ben dis-le parce que tu le diras mieux que moi.

00:30:20Non mais c'est la vérité, moi je suis coach, je vais chercher le PSG parce que je me dis c'est la meilleure façon de terminer deuxième du championnat.

00:30:27Si je vais chercher le Paris Saint-Germain.

00:30:30La psychologie d'un joueur c'est intéressant, quand vous débutez une saison ou quand vous jouez un match et que vous jouez une équipe potentiellement plus forte,

00:30:39on dit toujours non non mais on joue les matchs pour les gagner, est-ce que c'est la réalité ?

00:30:42Oui c'est la réalité.

00:30:44Pour les gagner.

00:30:46On entend toujours même quand vous jouez par exemple quand une petite équipe vient jouer le PSG, on entend ça fait partie des...

00:30:52On vient pour gagner.

00:30:54On vient pour une petite équipe de Marseille.

00:30:56Mais peu importe, je parle de Marseille.

00:30:58Les équipes qui jouent contre Paris, ils ne disent pas on vient pour gagner.

00:31:01Ah ben si.

00:31:02Mais non, ils disent on vient pour en prendre le moins possible.

00:31:04Pour faire un résultat.

00:31:06Pour faire un résultat, le résultat c'est quoi ?

00:31:08C'est qu'on tient le plus longtemps possible.

00:31:10Nicolas Chebriant est avec nous.

00:31:12Victoire ce soir 5-1 de Marseille qui est à 7 points du PSG.

00:31:16Vous qui connaissez bien le climat marseillais.

00:31:18Je voudrais que vous me racontiez Marseille.

00:31:20Est-ce que ça va s'embraser ?

00:31:22Est-ce que ça va commencer à frémir ?

00:31:23Est-ce qu'on va regarder devant ?

00:31:24Ou est-ce qu'on va se contenter de cette deuxième place ?

00:31:26Non.

00:31:28Ils jouent quoi Marseille ?

00:31:30Non sans doute pas.

00:31:31En tout cas Roberto de Zerbi fera tout pour que ça ne s'embrase pas, c'est évident.

00:31:34Simplement d'ailleurs rappeler qu'avant ce match, l'entraîneur marseillais parlait justement de reprendre 3 points d'avance sur Monaco.

00:31:41Et n'envisageait pas ou ne nous précisait pas qu'il fallait se rapprocher de Paris et d'être désormais à 7 points.

00:31:48D'ailleurs assez régulièrement, Roberto de Zerbi ne parle jamais du titre de champion.

00:31:53Mais il rappelle tout de même paradoxalement qu'il n'est pas là pour jouer la deuxième, troisième ou quatrième place.

00:31:59Mais en tout cas, ce titre de champion n'est jamais affiché ouvertement.

00:32:05Alors juste Nico, parce que c'est le climat marseillais dont je parlais.

00:32:09Est-ce qu'autour, excepté de Zerbi, ça va s'emballer un petit peu quand même ?

00:32:13Est-ce qu'on va commencer à y penser côté supporters, presse régionale ?

00:32:17Encore ?

00:32:19Il s'est emballé avant le match de Paris.

00:32:22Franchement, je ne pense pas.

00:32:24Pour rappel, il y a eu ce match contre le Paris Saint-Germain à une période où beaucoup pensaient qu'il y aurait la possibilité de faire autre chose que de perdre ici au Vélodrome.

00:32:34Finalement, les espoirs ont été assez bien douchés.

00:32:37Donc, je ne suis pas sûr que Nonon qu'il y ait dans Flamaz à ce niveau-là.

00:32:40Très bien. C'est important. Ce match est à reproduire.

00:32:43Je suis d'accord avec lui parce que les supporters marseillais, de toute façon, ce sont des connaisseurs.

00:32:46Ils savent très bien qu'aller chercher Paris aujourd'hui, ça va être très compliqué.

00:32:48Maintenant, cette deuxième place, elle est quand même très importante pour l'Olympique de Marseille à tous les niveaux.

00:32:53Le retour au championnat, ils ont fini 8e l'année dernière.

00:32:56Il y a quand même aussi un aspect économique qu'il faut aller chercher.

00:32:58Et il y a des joueurs qui peuvent garder.

00:33:00Rabiot, il faut qu'il reste pour jouer la Ligue des Champions.

00:33:03Et puis, il ne faut pas de regrets.

00:33:05Rennes, Strasbourg, Nice et Lyon, les prochains matchs.

00:33:11Avec Lille en Coupe de France.

00:33:15Ce n'est pas simple.

00:33:17Pour revenir à votre question, il y a aussi un élément qu'il va falloir qu'on intègre et dont on aura les réponses dans quelques semaines.

00:33:23Le quit du PSG en Ligue des Champions.

00:33:25Parce que ça peut peser aussi dans la saison du PSG.

00:33:28Vous vous rendez compte ?

00:33:29S'ils sautent dès la phase de poule, tu ne sais pas derrière comment ça va être géré.

00:33:34Il peut se passer énormément de choses par rapport à ça.

00:33:37Si vous regardez les dernières saisons, le PSG, ils avaient une espèce d'assurance.

00:33:41Bon an, mal an, c'était qu'ils avaient le mec à 30 buts.

00:33:44Ils avaient les stars qui sortaient de matchs pourris.

00:33:47Ou Neymar qui, à un moment donné, prenait le...

00:33:50C'est fini, ça.

00:33:52Ils n'ont plus cette assurance-là.

00:33:55Ça ne veut pas dire qu'ils ne seront pas champions de France.

00:33:57Mais la marge, ce n'est plus la même.

00:33:59Quand tu fais un match pourri et que Mbappé t'en met trois, c'est quand même...

00:34:02C'est arrivé souvent.

00:34:03C'est arrivé souvent. Là, ils n'ont plus cette assurance-là.

00:34:06Il y a ce côté-là où il n'y a pas de garantie pour le PSG ?

00:34:10Moins.

00:34:11En Coupe d'Europe, non, pour l'instant, il n'y a pas de garantie.

00:34:14En France, sincèrement, quand on voit la première partie de championnat...

00:34:18C'est-à-dire qu'ils sont invaincus.

00:34:19On a quand même souvent assisté à des matchs à ces termes, malgré tout.

00:34:22Alors par séquence, ils sont capables de développer un football intéressant.

00:34:26Mais le jeu prôné par Luis Henrique, c'est quand même un jeu de position.

00:34:29Il faut essayer de trouver la brèche.

00:34:31Et sincèrement, on s'ennuie.

00:34:32Et on n'a pas vu une équipe où on se dit...

00:34:35Ouh là là, elle écrase ses adversaires.

00:34:39On en parlera tout à l'heure dans le débat.

00:34:41Mais elle gagne encore une fois à la dernière minute.

00:34:43Elle n'a pas de marge.

00:34:44Moi, je me souviens du Paris-Saint-Germain d'Ibrahimovic-Tawany.

00:34:47À la 60e minute, il y avait 2-3-4-0.

00:34:50C'était fini.

00:34:51Et on les engueulait en se disant...

00:34:53Ils vont encore gérer pendant une demi-heure la fin du match.

00:34:55Donc ce PSG n'a plus la marge forcément qu'il avait par le passé.

00:34:59Mais même avant les départs des stars.

00:35:01Déjà la saison dernière, il y avait Mbappé.

00:35:03Ce n'était pas autant un feu d'artifice.

00:35:07Mais quand même, de ce qu'on voit depuis le début de saison,

00:35:09ils sont quand même au-dessus de toutes les équipes françaises.

00:35:11Au-dessus, oui.

00:35:12Largement.

00:35:13Ça, c'est évident.

00:35:14Écoutez bien.

00:35:16Direction l'Italie.

00:35:17Dolce Itali.

00:35:18Oui, bien sûr.

00:35:19La Serie A qui nous passionne.

00:35:21Derby romain ce soir.

00:35:23Le derby romain.

00:35:24C'était l'Alps-Rome qui recevait l'Alfio.

00:35:27Sur l'affiche, l'Alps-Rome qui ne va pas bien.

00:35:30Avec Ranieri qui recevait au stade olympique.

00:35:32Kyohan Ryu au commentaire.

00:35:33Elvin Defazio également pour nous faire vivre ce match.

00:35:36Attention, c'est un grand format qu'on vous offre ce soir

00:35:38pour une ambiance italienne.

00:35:40Bien sûr.

00:35:57Quelle pression.

00:35:58Quelle pression pour la Roma avec Ranieri

00:36:01qui en a vécu tant évidemment des derbys.

00:36:03Et donc la composition d'équipe de la Roma,

00:36:05évidemment qu'il y a le ballon dans ses couleurs habituelles.

00:36:07Il y a Lazio également en bleu, ciel et blanc.

00:36:13Si on pouvait avoir le même but qu'à San Siro il y a une semaine,

00:36:15on dit oui.

00:36:16Mais regardez le jeu collectif avec Coné.

00:36:18Coné qui avance.

00:36:19C'est un soldat français.

00:36:20Qu'est-ce que c'est bien joué Coné.

00:36:21Le centre d'Angelino.

00:36:22Le ballon dans l'espace de réparation avec Coné encore.

00:36:24La frappe de Coné.

00:36:25Une horreur extraordinaire de prouver d'elle-même

00:36:27que c'est l'action de la Roma.

00:36:30Ndika.

00:36:31Est-ce qu'on va passer une ligne ?

00:36:33Bien joué pour Adolf Bic.

00:36:34Ça c'est bien joué.

00:36:35Pellegrini.

00:36:36Dibala.

00:36:37C'est le jeu à la Roma que l'on aime.

00:36:38Avec le ballon pour Saïd Mekers maintenant.

00:36:40Saïd Mekers, le centre.

00:36:41Attention Pellegrini.

00:36:42Pellegrini.

00:36:43Pellegrini.

00:36:44Ce qui va frapper.

00:36:45Pellegrini qui frappe.

00:36:46Oh le but de Pellegrini.

00:36:47Oh le but de Pellegrini.

00:36:48Mais quelle action extraordinaire encore.

00:36:49Il était inattendu.

00:36:50Pellegrini.

00:36:51Mais qu'est-ce qu'elle veut ?

00:36:52Quel but de la rénovation.

00:36:53La résilience.

00:36:54Le record.

00:36:55Ndika était si critiqué.

00:36:56Pellegrini.

00:36:57Pellegrini.

00:36:5811ème but de le jeu ce dernier.

00:36:59Qui perçoit un rythme totalement fou.

00:37:00Totalement allaitant.

00:37:01Quelle action.

00:37:02Quelle symphonie.

00:37:03Et là Pellegrini encore omniprésent sur ce but.

00:37:04Il aurait pu faire une passe à Adolf Bic.

00:37:05Il préfère l'enrouler.

00:37:06Mais il la caresse.

00:37:07Il l'enroule.

00:37:08C'est un cadeau.

00:37:09C'est encore Noël.

00:37:10Mais quel but de Pellegrini.

00:37:11Le talent était là.

00:37:12Il était évidemment problème avec les supporters.

00:37:13Problème de comportement également.

00:37:14Mais le jour où il faut.

00:37:15Le jour où il est là.

00:37:16On vous parlait de l'orgueil.

00:37:17Lorenzo Pellegrini.

00:37:18La Roma mène 1-0.

00:37:20Facilement là-dessus d'Adolf Bic.

00:37:21C'est bien joué.

00:37:22Attention regardez.

00:37:23Ça va à 150 000 à l'heure par Olo Dybala.

00:37:24Le ballon sur le côté droit.

00:37:25Peut-être la frappe.

00:37:26L'arrivée bien bonne.

00:37:27Gardez le deuxième but.

00:37:28Mais quelle folie.

00:37:29Cette Roma est déchaînée.

00:37:30C'est Ibeckerska.

00:37:31Encore sur la service de Dybala au départ.

00:37:32Mais qu'est-ce qu'il se passe.

00:37:33La Roma.

00:37:34C'est ça le dernier but.

00:37:35Le dernier but.

00:37:36Le dernier but.

00:37:37Le dernier but.

00:37:38Le dernier but.

00:37:39Le dernier but.

00:37:40Le dernier but.

00:37:41Le dernier but.

00:37:42Le dernier but.

00:37:43Le dernier but.

00:37:44Le dernier but.

00:37:46Mais quelle dépoche d'énergie.

00:37:502-0 pour la Roma.

00:37:55Karse Yanos devant également.

00:38:06Chahouna.

00:38:07Normalement une équipe beaucoup plus offensive.

00:38:08Attention.

00:38:09Attention le centre.

00:38:10L'espace de réparation.

00:38:11La frappe.

00:38:12La frappe de Gendouzi.

00:38:13La frappe de Gendouzi.

00:38:14Avec Ndouzi encore, il aime ses gros matchs, il aime ses matchs électriques.

00:38:17Mais là, il a pris ses responsabilités en premier.

00:38:19Attention, directement, Banabou, mais quel arrêt pour Nuno Tavares.

00:38:23Il a notamment marqué un but à Villarreal contre Liverpool en demi-finale.

00:38:27Attention, mais quelle énorme occasion.

00:38:30Chahouna qui rate Casimiro Navakar, alors que Moulaydi avait fait cette remise en retraite.

00:38:39Ça chauffe encore, ça chauffe.

00:38:41Est-ce que ce match va se finir vraiment 11 contre 11 ?

00:38:43Et là, c'est la mêlée, c'est du rugby, c'est du catch, c'est de la boxe.

00:38:51Alors attention, un carton rouge.

00:38:54J'ai l'impression que c'est Castellanos qui prend un carton rouge,

00:38:57qui était, on l'avait dit, 150 000 points,

00:38:58qui était totalement très très énervé toute la seconde période.

00:39:02Vous l'entendez, le rougissement.

00:39:06La Louvre, plus en forme que jamais en tout cas.

00:39:08Est-ce que c'est fini ? Est-ce que c'est fini ?

00:39:10Est-ce que c'est fini ? C'est fini !

00:39:12La Roma qui gagne un derby électrique 2-0.

00:39:14Regardez le sourire de Paulo Dybala, victoire énormissime.

00:39:17Victoire fondamentale et victoire ultra-vérité.

00:39:20La Roma 2-0, la Lazio 0-1.

00:39:24Là, c'est rien évidemment.

00:39:26Vous suivez le feuilleton sur l'équipe et l'équipe lightfoot, magnifique.

00:39:30Dans quelques instants, le PSG a gagné un trophée, le trophée des champions.

00:39:35Vous allez me dire si ça vous a inspiré et comment vous avez trouvé le PSG

00:39:37qui a un énorme défi face à City qui approche.

00:39:40Il y en a un autre qui a un énorme défi qui approche, c'est Greg.

00:39:44Greg, vous m'avez promis que vous essayiez aux fléchettes, c'est ça ?

00:39:46C'était plus simple que de me traduire.

00:39:48C'est ce que vous avez dit, Greg ?

00:39:49Je m'entraîne dans la matière, là.

00:39:51C'est ça que vous avez dit, Greg ?

00:39:51Oui, je vous ai dit ça, mais on va faire le test juste après la pause.

00:39:55Voilà, vous l'avez bien fait.

00:39:56Restez avec nous en direct.

00:39:58Greg va s'essayer dans quelques instants aux fléchettes.

00:40:02On va faire le test, on va tout de suite, on va faire la liste de l'équipe.

00:40:04Le regard !

00:40:10C'est l'équipe du soir, de nouveau, bonne année, meilleurs voeux à vous.

00:40:21Nous sommes avec Raymond Desménèques, avec Brad Pichionne, avec Dave Après-Nous,

00:40:25avec Arnaud Hermant et avec un homme de défi, Greg Stener, qui a lancé son défi.

00:40:32Je rappelle que dans quelques instants, on parlera du Paris-Saint-Germain.

00:40:34On a beaucoup parlé de la victoire de l'OM qui s'est imposée 5 buts 1.

00:40:37Les réactions, Nicolas Chebriant est toujours sur place et on aura l'occasion de revenir

00:40:42sur l'OM tout à l'heure.

00:40:43Mais Greg, puisque nous avons parlé de la célébration de Neil Maupay, version fléchette

00:40:47et du clash Neil Maupay avec Luke Hitler, vous avez un défi, puisque vous avez dit

00:40:52que c'était plus facile de mettre des buts que de mettre des fléchettes.

00:40:54On va vous installer Greg, venez avec moi, j'ai mes petites fléchettes, venez avec

00:40:57moi.

00:40:58On va vous installer.

00:40:59Nous sommes à 2m37, comme le veut le règlement, vous avez trois fléchettes, il faut faire

00:41:11plus de 50.

00:41:12Vous me faites plus de 50 et vous ne payez pas de coups à voir ce soir, sinon vous tournez

00:41:16général.

00:41:17Ça c'est zéro, ça c'est zéro, ça s'appelle un refus, c'est un refus, c'est zéro.

00:41:23Ah oui, un double 8.

00:41:25Triple 8 ?

00:41:26Triple 8 même.

00:41:27Attention, on n'est pas loin, on n'est pas loin.

00:41:28Malheureusement.

00:41:29C'était beau de le tenter.

00:41:30C'est nul, c'est nul, c'est nul.

00:41:31Il y avait une cadrée.

00:41:32Je voulais m'excuser auprès de ceux qui regardaient pour ma triste prestation.

00:41:41Vous revenez sur vos propos, vous retournez votre veste encore.

00:41:45Parce que vous n'avez pas vu, j'ai essayé de mettre des buts.

00:41:47Là, il était à droit en fait.

00:41:52Allez, on va regarder le Paris Saint-Germain avec le trophée des champions, mais tout

00:41:56d'abord, le Ligue 1 Express.

00:41:58Ah oui, avec pour commencer l'Olympique de Marseille qui a battu le Havre, 5 buts à 1.

00:42:02Aucun suspense dans cette rencontre, 5 buts marqués par les Marseillais, ça commence

00:42:06avec Valentin Rongier, le milieu de terrain qui marque de loin pour le 1-0, l'ouverture

00:42:11du score.

00:42:12Bilal Nadir pour le 2-0, première titularisation cette saison pour le joueur formé à Nice

00:42:17puis post-formé à Marseille.

00:42:19Le 3-0, il est pour Nile Maupay qui marque son 3e but en Ligue 1.

00:42:23Le 4e pour Eliouaoui qui reprend confiance, 3e but pour lui aussi, il n'avait plus marqué

00:42:28depuis fin octobre.

00:42:295e but pour Garcia et puis réduction de l'écart d'André Ayou qui n'a pas célébré et qui

00:42:34a été ovationné par le Vélodrome au classement.

00:42:36L'OM revient à 7 points du Paris Saint-Germain, Andrien Rabiot lui a demandé si l'OM était

00:42:41à sa place au classement.

00:42:42Il est au micro de Nicolas Chébriand.

00:42:44Moi, je suis quelqu'un qui regarde devant, donc j'essaie de tirer les autres avec moi

00:42:49bien sûr, on connait l'objectif du club qui est de se qualifier en Champions League

00:42:54mais il faut continuer comme ça, engranger les points et puis dans cette deuxième partie

00:43:00de saison, selon moi, tout peut se passer donc il faut garder cette mentalité qui est

00:43:05juste à ce moment-là.

00:43:06Le discours de Fred Piquion, comme par hasard, c'est ça ?

00:43:10Pourquoi Fred ?

00:43:11L'OM regarde devant, donc c'est difficile pour lui de dire non, non, non, non, c'est

00:43:18pas possible, le pari est au-dessus, on n'y arrivera pas.

00:43:22En plus, ça lui arracherait de la reine, donc il ne peut pas.

00:43:26Alors attention, le club que l'on regarde de près, c'est le club de Brest et Brest

00:43:30qui a chuté face à Angers.

00:43:32Les Brestois qui ont craqué dès la sixième minute de jeu, on va voir le centre de Karl-Heinz

00:43:37Arcus, l'angevin pour Esteban Le Paul qui avait marqué juste avant la trêve déjà

00:43:42en Coupe de France, il avait marqué aussi face au Paris Saint-Germain un très joli

00:43:45but.

00:43:46Deuxième but, angevin en contre sur une passe de Raoul Isoas et Ibrahima Nian pour

00:43:51conclure la bonne opération d'Angers qui sort de la zone rouge, victoire 2-0, la détresse

00:43:56vous allez le voir après ce but de Nian, d'Eric Roy sur le banc de touche, Brest douzième

00:44:02à quatre points du barragiste.

00:44:04On écoute l'entraîneur brestois qui pense que Brest a raté le match le plus important

00:44:08du mois.

00:44:10On ne tire pas les leçons des matchs qu'on a perdus, des matchs où je me rappelle à

00:44:18Montpellier, je me rappelle à Auxerre.

00:44:20Ce qui est terrible c'est qu'encore une fois ce soir, première fois qu'il rentre

00:44:24dans la surface, il marque un but.

00:44:26J'ai trouvé que l'équipe était vraiment trop faible par rapport à ce qu'elle est

00:44:30capable de produire et c'est vrai que ça c'est décevant parce que je pense que c'était

00:44:35pour moi, et je l'ai dit, certainement le match le plus important du mois parce qu'il

00:44:38nous permettait justement de nous repositionner dans ce championnat où on a envie d'exister.

00:44:43Déception brestoise d'Eric Roy, vous vouliez réagir Dave ?

00:44:48Oui parce qu'en fait ce qu'il dit effectivement c'est juste dans le sens où Brest vit un

00:44:54truc tellement extraordinaire, vraiment au sens premier du terme, en Coupe d'Europe

00:44:59et en l'occurrence en Ligue des champions, c'est quand même fou ce qu'ils font, ça

00:45:02défie l'entendement, qu'en fait ça accapare toutes les énergies et toutes les attentions.

00:45:08Et ils ont du mal depuis le début de saison à restituer leur cohésion, leur concentration,

00:45:16leur constance en championnat qui est leur pain quotidien.

00:45:18Or, ça ne vous a pas échappé là depuis plusieurs semaines, les questions étaient

00:45:24où organiser le prochain match de Coupe d'Europe, le Stade de France, Rennes, Piguinguen, etc.

00:45:33C'est compliqué quand l'environnement vous parle d'un rendez-vous de prestige qui va

00:45:39être pour eux le rendez-vous d'une vie, il faut bien le dire, de se concentrer sur

00:45:43l'ordinaire.

00:45:44Or, pour le coach, lui il doit se battre pour dire mais attendez, en vrai c'est ça notre pain.

00:45:50Le quotidien, il n'y a rien de neuf.

00:45:53Tous les clubs qui ne sont pas préparés, qui réussissent une saison exceptionnelle

00:45:56comme Rennes et qui ne sont pas préparés à jouer la Ligue des champions, tous, soit

00:46:01sont relégués, soit connaissent une saison en sauf, sont difficiles parce que vous n'êtes

00:46:05pas préparé à vivre, déjà à être capable de jouer tous les trois jours pendant, là

00:46:12en plus dans la nouvelle formule, quasiment six mois, les joueurs ne sont pas prêts.

00:46:17Il a donné des clubs, il a donné Montpellier, il a donné Auxerre, là Angers, tu pars à Angers.

00:46:24Normalement c'était neuf points.

00:46:27Mais c'est les clubs contre qui tu ne te motives pas autant que quand tu vas au Barça.

00:46:33Autre club, autre déception, c'est le club de Lens qui a déçu cette fois contre Toulouse.

00:46:38L'équipe de Will Steel qui restait déjà sur un match nul face à Auxerre et qui a

00:46:42pris un carton rouge à la cinquante-neuvième minute de jeu, obligé de jouer à dix après

00:46:47cette semelle de Pereira d'Acosta sur Djibril Sidibé, vous allez le revoir, il n'y a pas

00:46:53de débat sur cette semelle, carton rouge, donc à dix.

00:46:56Et ensuite, fautif sur ce contact de Malang Sarr, pénalty pour Toulouse, marqué par

00:47:01Aboukhalal, là non plus il n'y a pas beaucoup de débat, ça fera un zéro pour Toulouse

00:47:07qui reste Toulouse sur sept victoires lors des neuf derniers matchs, les deux seules

00:47:11défaites, elles étaient face à Paris et Monaco, Lens toujours septième au classement

00:47:15et qui laisse un goudin achevé à son entraîneur Will Steel.

00:47:18Le match d'aujourd'hui illustre parfaitement notre première partie de saison, t'es très

00:47:23très bon, tu domines, tu crées beaucoup de situations, de demi-situations, sauf que

00:47:28le Racing Club de Lens marque pas de but.

00:47:30T'as parfois l'impression que tu peux pousser pendant longtemps, que tu vas jamais marquer.

00:47:33Je serais le premier à vivre à signer des joueurs à 25-30 millions, sauf qu'il y a

00:47:37une réalité financière au sein du club, il y a une réalité financière au sein du

00:47:40football français qui ne nous permet pas de le faire.

00:47:42C'est ce que j'ai dit à vos collègues de la télé, je vais me concentrer sur ce

00:47:47que je peux contrôler et la seule chose que je peux contrôler c'est l'entraînement

00:47:50demain matin.

00:47:51Et le match du Havre de la semaine prochaine, on va essayer de le préparer pour le gagner.

00:47:56Et voilà tout.

00:47:58Information Mercato à Lens aussi, Pierre Drey aussi, le directeur général s'est

00:48:02exprimé, il a confirmé que les discussions continuées entre Brice Samba et Rennes c'est

00:48:07pas clos en termes de dialogue.

00:48:09Et puis Abdou Koudir Kouzanov, le défenseur ausbec qui est très courtisé en Europe,

00:48:14pourrait partir s'il y a des offres intéressantes.

00:48:16Le climat l'ensoie, on pourrait en parler beaucoup mais vous voulez, vous levez la

00:48:21main depuis tout à l'heure pour parler de Toulouse.

00:48:23Allez-y, toujours le contre-pied.

00:48:25Non mais c'est une équipe, alors le contre-pied, il se passe quelque chose là-bas, c'est

00:48:28une équipe qui est en pleine bourre depuis deux mois et demi.

00:48:30On a parlé donc de cette victoire en neuf matchs.

00:48:32Il y a eu une des deux défaites, c'est au Parc et il se trouve que c'est la seule

00:48:34équipe de France à être sortie avec des expected goals supérieurs à l'issue d'un

00:48:39match contre le Paris Saint-Germain.

00:48:40Ce qui est quand même des expected goals, c'est-à-dire qu'ils ont fait un excellent

00:48:47match.

00:48:48Contre le PSG, c'est quand même Paris.

00:48:50Ça je vous garantis.

00:48:51Et il faut quand même rendre un peu hommage à ce qui se passe là-bas, c'est un peu

00:48:55sous les radars médiatiques, mais ça fait deux mois et demi qu'ils marchent sur l'eau.

00:48:59Très bien.

00:49:00Ça vaut donc, on est au courant.

00:49:03On va dire que Lens est un peu fragile, mais ce n'est pas le moment de prendre Toulouse

00:49:08en ce moment.

00:49:09C'est ça que je voulais dire.

00:49:10Parce que c'est une équipe très difficile à manœuvrer.

00:49:13Et ça, on peut en parler, mais c'est aussi peut-être les climats psychologiques.

00:49:18Vous parliez de Toulouse qui est dans une bonne dynamique.

00:49:20A Lens, on a l'impression qu'Arnaud, rien ne va en ce moment.

00:49:23Ils ne sont pas sur le match.

00:49:26Franchement, ils partent avec le nul.

00:49:29Ce n'est pas un scandale.

00:49:31Non, il n'y a rien qui va, mais c'est un club qui est dirigé par Joseph Ougourouian.

00:49:37Il a anticipé dès l'été dernier, vraisemblablement, moi c'est comme ça que je l'analyse,

00:49:43ce qui allait se passer dans le championnat de France en termes financiers avec les droits

00:49:47télés.

00:49:48Et il avait déjà commencé à réduire la voilure et à passer le club aux économies.

00:49:53Peut-être parce qu'il considérait que ce qui avait été fait avant, notamment par

00:49:56Arnaud Pouille, qui aujourd'hui à Rennes, était trop dispendieux, n'était pas forcément

00:50:02dans la dynamique que lui souhaitait.

00:50:04Mais je pense qu'il a senti venir le coup de ce qui se passe aujourd'hui pour le foot

00:50:07français dans son ensemble avec des droits télés qui ont fondu comme la neige au soleil.

00:50:11Danso devait être transféré.

00:50:13Aujourd'hui, c'est pour ça qu'ils ouvrent les portes et qu'ils laissent partir des joueurs.

00:50:17Ce qu'ils n'ont pas fait l'été dernier, ils sont obligés de le faire là.

00:50:20Le problème, c'est qu'en cours de saison, quand c'est Brice Samba, qui n'est pas n'importe

00:50:24qui dans le vestiaire, qui part dans un drôle de climat quand même vis-à-vis du groupe,

00:50:31ça met la zizanie parce qu'en plus ça donne peut-être des idées aux autres.

00:50:34On nous dit que le meilleur défenseur, parce que c'est une bête l'Ouzbek, Kouzanov,

00:50:43c'est quand même un monstre, il va partir.

00:50:45Là, la porte est ouverte, c'est-à-dire qu'il part.

00:50:47L'autre capitaine, il part.

00:50:49Je peux vous dire que les autres qui se disaient, lance en ce moment, c'est peut-être un des

00:50:52bons clubs, juste derrière les 5-6 premières puissances, c'est quand même le bon club à être.

00:50:56Là, ils peuvent quand même en douter.

00:50:58Pour jouer ta demi-saison comme ça, au moins le temps du Mercato, il va souffrir.

00:51:02Il y a des joueurs comme Fulgini ou Frankowski, qui sont des joueurs très importants sur la

00:51:07première partie de saison, peuvent se poser des questions.

00:51:09Fulgini a dit qu'il y a...

00:51:10On regarde les résultats de cette 16e journée, Jérémy.

00:51:13Oui, il y avait eu la victoire en match en avance du Paris Saint-Germain face à Monaco.

00:51:164-2 en match en avance avant la Trêve.

00:51:19Ensuite, la victoire de Nice, vendredi, face au Rennes de Sampaoli, qui n'a toujours pas gagné.

00:51:25Hier, la victoire de Saint-Étienne.

00:51:27Le match nul entre Lille et Nantes.

00:51:28La victoire de Lyon face à Montpellier, qui n'y arrive toujours pas.

00:51:31Et puis, la victoire de Strasbourg aussi, cet après-midi, face au Serbes.

00:51:34Victoire 3-1, Strasbourg qui monte à la 10e place.

00:51:37Et on voit dans le tableau qu'il y a eu ce fameux Monaco-PSG en match avancé.

00:51:40Donc, avec la victoire 4-2 du PSG, justement, parce qu'il y avait le trophée des champions

00:51:45qui se jouait à Doha, aujourd'hui même.

00:51:48Et que le Paris Saint-Germain est allé chercher vraiment sur la fin du match.

00:51:5213e trophée des champions pour les Parisiens, qui ont encore battu Monaco, effectivement,

00:51:57après leur victoire 4-2 en Ligue 1 en match en avance.

00:52:01Monaco a poussé, vous voyez, la barre de Van Der Sonde.

00:52:04Il y a eu des occasions monégasques, mais aussi beaucoup d'occasions parisiennes.

00:52:07Le gardien de Monaco a fait neuf arrêts, comme celui-là, devant Gonzalo Ramos.

00:52:12Mais le but du match, il arrive, effectivement, à la 92e minute de jeu.

00:52:15Le héros, il s'appelle Ousmane Dembele, sur une passe de Fabian Ruiz.

00:52:20Son neuvième but cette saison pour Ousmane Dembele.

00:52:23Paris qui est vainqueur, mais Paris qui a attendu le temps additionnel pour aller chercher ce trophée des champions.

00:52:2713e trophée des champions pour le Paris Saint-Germain, qui a un objectif, vous le savez,

00:52:31c'est, bien sûr, le fameux match contre City en Ligue des champions.

00:52:36Alors, est-ce que ce soir, enfin cet après-midi plutôt, vous avez vu un bon Paris Saint-Germain

00:52:40dans ce trophée des champions ?

00:52:41Je crois que nous avons un duel, cher président.

00:52:44Donc, je vais vous demander de lancer, s'il vous plaît, le jingle.

00:52:48Bataille.

00:52:53Nous avons un Greg qui est encore en duel.

00:52:55C'est l'occasion de vous le faire, Greg.

00:52:57Vous avez dit non, vous n'avez pas vu un bon PSG.

00:52:59Arnaud Hermand, lui, nous a dit oui.

00:53:01Plutôt, j'ai dit oui.

00:53:02Un bon PSG, Arnaud.

00:53:04Il n'y a pas de nuance ici, c'est oui.

00:53:06Il a dit oui.

00:53:07Bon PSG, Greg a dit non.

00:53:09Pas un bon PSG.

00:53:10C'est Arnaud qui prend la main, c'est ça ?

00:53:12Allez, c'est Arnaud qui va prendre la main.

00:53:15Je dis oui parce que, dans le résumé, Jérémy nous a expliqué que le gardien monégasque

00:53:20avait réalisé 9 parades.

00:53:21Donc, s'il a réalisé 9 parades, c'est qu'il y a eu au moins 9 situations de but

00:53:24dangereuses pour le Paris Saint-Germain.

00:53:25Donc, quand vous créez 9 occasions pour marquer un but, c'est que vous faites plutôt

00:53:30un bon match.

00:53:31Après, on connaît les limites du Paris Saint-Germain actuellement.

00:53:33C'est sa réussite offensive.

00:53:34Mais dans l'ensemble, le PSG a maîtrisé.

00:53:36Il s'est créé le plus d'occasions.

00:53:38Donnarumma n'a pas fait beaucoup de parades.

00:53:40Moi, je trouve que pour un match de rentrée, c'est un bon match du Paris Saint-Germain.

00:53:43C'est sérieux, c'est engagé.

00:53:44En plus, dans une finale, ce n'est jamais facile.

00:53:46Écoutez, j'ai l'impression que c'est à votre niveau.

00:53:48Vous êtes pile sur les 30 secondes.

00:53:49Arnaud, c'est parfait.

00:53:50Ça se travaille.

00:53:51S'il a vu de l'engagement du côté du Paris Saint-Germain, je n'en ai pas vu beaucoup.

00:53:55Je n'ai pas vu d'engagement sur les duels.

00:53:56Je n'ai pas vu beaucoup d'engagement sur les courses.

00:53:58J'ai eu l'impression qu'ils étaient à la première étape d'une course d'obstacles

00:54:02qu'il doit mener sur City et sur d'autres objectifs.

00:54:06Je n'ai pas trouvé non plus qu'ils prenaient beaucoup de plaisir.

00:54:08Ce n'est pas quelque chose qui m'a sauté aux yeux.

00:54:10Ils récitaient, ils étaient au boulot.

00:54:12Et par ailleurs, ils ont donné des choses à Monaco.

00:54:15Parce que Monaco a quand même eu des opportunités, des occasions, des occasions d'occasion.

00:54:19Et ça, ils en ont laissé, je trouve, un peu plus que d'habitude.

00:54:21Moi, je ne les ai pas trouvés très vaillants.

00:54:24Pas vaillants, pas bons.

00:54:25Vous votez sur, évidemment, l'équipe Connect.

00:54:29Mais Greg ou plutôt Arnaud.

00:54:31Donc, voilà qui a raison.

00:54:33Est-ce que c'était un bon PSG ou pas face à Monaco ?

00:54:37Président, je me tourne vers vous.

00:54:39Pas sur la prédiction du résultat, sur votre avis.

00:54:43Non, parce qu'avec Paris, c'est plus compliqué.

00:54:45Il y a beaucoup d'anti-parisiens.

00:54:48Donc, c'est difficile.

00:54:50Là, il vaut mieux choisir l'option contre Paris pour avoir une chance de gagner.

00:54:55Mais c'est vrai que quand on a un match où il y a neuf arrêts de gardiens de but en face,

00:55:02on ne peut pas se dire qu'ils ont fait un mauvais match.

00:55:04Mais le problème, c'est que c'est les matchs qui se répètent.

00:55:07Ce que tu disais, c'est leur inefficacité offensive qui se répète inlassablement

00:55:13et qui pose des questions.

00:55:15Parce que même des fois, dans les matchs importants du championnat,

00:55:18ils tournent.

00:55:20Et c'est vrai qu'ils ont ce jeu de possession.

00:55:23On tourne, on tourne.

00:55:24Et on dit qu'il manque un peu de bataille.

00:55:29Il manque un peu de rythme.

00:55:30Il manque un peu de vitesse.

00:55:31Il manque un peu d'énergie.

00:55:32Il manque de profondeur.

00:55:33On a l'impression, oui, qu'ils récitent et qu'ils ont tous peur.

00:55:36L'objectif, c'est de ne pas perdre le ballon.

00:55:38Et qu'il manque ses accélérations.

00:55:41C'est l'usure du PSG aussi.

00:55:45Quand tu regardes le match et que tu vois l'équipe...

00:55:47Il a coupé la parole du Président sans demander à l'audience.

00:55:49Il a raison.

00:55:51On lui met un petit carton et vous lui donnez la parole, Président.

00:55:54Et après, je lui donne la parole.

00:55:56On lui met le rouge d'abord et après...

00:55:59Je ne peux plus parler.

00:56:03Je disais que c'était l'usure un petit peu de cette équipe.

00:56:05Quand tu regardes l'équipe de Monaco...

00:56:08Tout à l'heure, on parlait qu'il faut qu'il y ait une deuxième équipe.

00:56:12Monaco aussi.

00:56:13Si on veut des duels, si on veut des courses de la part du PSG,

00:56:16il faut que Monaco aussi mette un petit peu le pied.

00:56:18C'est ce qu'ils ont fait d'ailleurs en deuxième période.

00:56:20Au début, ils ont regardé le PSG à chaque fois.

00:56:23Les équipes arrivent et regardent le PSG.

00:56:25On y joue à la baballe.

00:56:26On essaie de défendre bien, correctement.

00:56:28Mais après, dès qu'on met un petit peu le pied, comme par hasard,

00:56:30le PSG commence à ouvrir des espaces.

00:56:32Ils ont un petit peu peur.

00:56:34Ils font un peu plus d'erreurs et des déchets techniques.

00:56:37Maintenant, je pense que cette équipe de Monaco avait besoin

00:56:40de mettre un peu plus d'impact pour que le Paris Saint-Germain

00:56:44ne se dise pas qu'il est contre l'équipe de Monaco.

00:56:47Il faut qu'on y aille.

00:56:49Pour mettre de l'impact, il faut que tu arrives à récupérer le ballon.

00:56:54Quand tu as une équipe comme le PSG, avec des joueurs qui,

00:56:57techniquement, ont tous cette qualité à le donner vite,

00:57:00à se débarquer, à sortir d'un dribble, à sortir du pressing,

00:57:04ce n'est pas facile.

00:57:06Les contacts, l'impact physique, pour moi, à la limite,

00:57:10c'est plus quand tu as récupéré le ballon,

00:57:13qu'il faut aller vite devant et leur poser des problèmes.

00:57:18Vous venez de décrire le jeu d'une équipe qui joue bien quand même.

00:57:21C'est ce que j'ai dit.

00:57:22C'est ce que j'ai dit.

00:57:23Il y a un doute par rapport à ce que vous avez dit tout à l'heure.

00:57:26Plutôt une équipe qui joue bien et une équipe qui se procure 9 occasions.

00:57:29C'est un bon PSG alors ?

00:57:31Non, c'est un PSG habituel.

00:57:33En championnat, c'est un bon PSG.

00:57:36C'est un bon PSG alors ?

00:57:38C'est un match de championnat, ils rembattent Monaco beaucoup de fois.

00:57:41C'est imbécile.

00:57:43Merci Raymond.

00:57:45J'ai une deuxième question.

00:57:47Si vous aviez joué contre eux ce PSG, vous auriez quand même réussi

00:57:51En tant que joueur ?

00:57:53Ne confondez pas.

00:57:55Il y a eu une certaine époque, on pouvait le faire.

00:58:00On pouvait transformer les matchs parce qu'on pouvait faire peur à l'adversaire.

00:58:04Maintenant, ce n'est plus possible.

00:58:06Le moindre tacle, le mec est viré et on met son équipe en difficulté.

00:58:09Il faut beaucoup plus de maîtrise.

00:58:11Cet impact agressif, ce n'est pas tout à fait le même.

00:58:15Maintenant, c'est vraiment dans les courses, dans l'appel.

00:58:18Quand il y a des duels, peut-être aériens, mais le reste, c'est compliqué.

00:58:22Tu ne mets pas de coups.

00:58:24Tu ne mets pas de coups pour faire peur à l'adversaire.

00:58:26Je trouve que ce match, pour sortir un petit peu du débat,

00:58:30de l'étalonnage du PSG,

00:58:32Qui jouera, je rappelle juste, le 22 janvier contre City ?

00:58:35Je trouve qu'il révèle la faiblesse du football français.

00:58:38C'est fou, on m'intéressait à ce match.

00:58:40Ce n'est pas de ma faute et ce n'est pas un snobisme.

00:58:42C'est la Ligue qui a tout fait pour ne pas qu'on s'y intéresse.

00:58:44C'est la Ligue qui avait programmé ce match.

00:58:46Qui l'avait déprogrammé, puis annulé, puis reporté, et déplacé.

00:58:50Il y a un contexte.

00:58:52En Chine, ils se sont fait planter par les organisateurs.

00:58:55Tu me l'expliques comme tu veux, ça n'arrive pas aux Anglais,

00:58:57puisqu'ils l'organisent chez eux.

00:58:58Ça, c'est autre chose.

00:59:00C'est vrai qu'ils se sont baladés avec leur match sous le bras

00:59:02pendant trois mois sans arriver.

00:59:04Les Espagnols doivent être rendus, les Italiens doivent être rendus.

00:59:07C'est juste la faiblesse de leur organisation.

00:59:10Les Espagnols, ils l'organisent aux Etats-Unis.

00:59:13Les Etats-Unis en veulent bien de leur truc.

00:59:15Le mec, ils ont pris le match.

00:59:17Ils ont démarché la terre entière avec leur match.

00:59:20Est-ce que vous en voulez ?

00:59:21Finalement, c'est les Qataris qui ont dit...

00:59:23Il y avait des pays africains comme la République démocratique du Congo

00:59:26qui voulaient l'organiser.

00:59:27C'est parce que, notamment, le PSG ne voulait pas y aller.

00:59:29Il y avait quand même des gens intéressés.

00:59:30Vous ne pouvez pas dire que tout le monde s'en fout.

00:59:32Je ne vais pas dire que tout le monde s'en fout.

00:59:34Est-ce que ce match vous a attrapé au final ?

00:59:36Parce qu'il y a eu des occasions.

00:59:38Oui, il y a eu des occasions.

00:59:39Mais vous savez, les matchs de pré-saison, il y en a des sympas aussi.

00:59:43Ce n'est pas pour autant que ça m'attrape.

00:59:44Parce qu'en fait, je ne vois pas d'enjeu.

00:59:45Et encore une fois, c'est parce que le match lui-même a été dévalué.

00:59:47Parce que...

00:59:48Il y a un trophée quand même.

00:59:49Oui.

00:59:50Non, mais un trophée, les gars.

00:59:51Vous savez quoi ?

00:59:52Mon neveu aussi, il gagne des trophées.

00:59:53Ça va.

00:59:54Ça ne fait pas coupe du Val-de-Marne.

00:59:57Bravo à lui, d'ailleurs.

00:59:59Non, non, mais ce que je veux dire, c'est que...

01:00:01Vous avez un stade qui est au trois quarts vide ?

01:00:04Non.

01:00:05Au départ.

01:00:06Tu rentres le stade et au trois quarts vide.

01:00:08Je vois bien que vous me réhabilitiez.

01:00:11On ne réhabilite rien du tout.

01:00:12Le stade s'est rempli.

01:00:13Autodemande.

01:00:14Autodemande.

01:00:15Dave, s'il vous plaît, êtes précis.

01:00:17Ils sont arrivés.

01:00:19Au départ, à l'arrivée...

01:00:20Ils sont arrivés dans un stade au trois quarts vide.

01:00:22Moi, je vois bien qu'après...

01:00:23Les bouchons.

01:00:24Les fameux bouchons de Doha.

01:00:26Voilà.

01:00:27C'est factuel.

01:00:28Donc voilà, dans un match qui ressemblait, d'ailleurs qui était prévu pour ça, comme

01:00:32un match de fin de stage, puisque ça ponctuait en fait le stage du PSG, ça ressemblait en

01:00:40fait.

01:00:41Un match de préparation d'été.

01:00:42Mais là, ils ne font pas un stage.

01:00:43Ils ont dû faire deux jours d'opération commerciale.

01:00:46Ce n'est pas un stage.

01:00:47Ils ont repris le 2 à 10h30.

01:00:48À 16h, ils étaient dans l'avion et ils ont fait deux entraînements sur place.

01:00:51Donc, un match de tournée commerciale.

01:00:54Donc, c'est ce que vous faites l'été aux Etats-Unis ou en Asie.

01:00:57Si ça vous passionne.

01:00:59Donc, ça ne vous a pas passionné.

01:01:00C'est ça.

01:01:01Du tout.

01:01:02Non, mais c'est vrai que c'était cheap quand même, Arnaud.

01:01:03Mais oui, c'était cheap.

01:01:04Et Arnaud Hermont est sous le charme.

01:01:05Arnaud Hermont est conquis pour ce rendez-vous de Doha.

01:01:08D'ailleurs, tellement qu'il est resté avec nous.

01:01:11Arnaud.

01:01:12Tu devrais dire l'inverse parce qu'avec si peu de préparation, on est arrivé à faire

01:01:16un match de cette qualité.

01:01:17Ce n'est pas mal.

01:01:18Et en plus, c'est quand même les deux jours, quasiment les deux meilleurs clubs français.

01:01:21Ce n'est pas mal.

01:01:22En faisant du commerce pendant deux jours.

01:01:23Il y avait quand même une belle affiche.

01:01:24Fred, je reviens sur ce qu'on disait sur le match et sur le PSG.

01:01:28Il y a eu beaucoup d'occasions.

01:01:30Il y a eu 9 arrêts de gardien.

01:01:32Mais il y a eu encore ces difficultés à marquer un but justement.

01:01:35Je joue 109.

01:01:3628 tirs et ce but est à la fin.

01:01:38Tu joues son numéro 9 quand même.

01:01:40Dans la surface de réparation.

01:01:41Ramos, il est rentré.

01:01:4468, je crois.

01:01:47Il doit vraiment se demander ce qu'il doit faire pour être titulaire, lui.

01:01:49Donc derrière, si tu joues 109, compliqué.

01:01:52Le joueur le plus important et celui qui rentre le plus dans la surface de réparation.

01:01:59Il s'appelle Hakimi.

01:02:00C'est le meilleur attaquant en fait.

01:02:03Pour moi, déjà, c'est le meilleur joueur du championnat.

01:02:05Deuxièmement, je trouve que c'est aujourd'hui.

01:02:09Cette histoire de faux neuf, comme on aime bien l'appeler.

01:02:13Mettez Ramos dès le début du match.

01:02:17Peut-être qu'il n'y aura pas de...

01:02:18D'ailleurs, ça c'est quelque chose que je n'ai pas compris.

01:02:19Une de plus.

01:02:20Mais en tout cas, celle-là, je ne l'ai pas comprise chez Luis Henrique.

01:02:23Quand on lui faisait remarquer pourquoi toutes ces semaines, tous les mois,

01:02:27tous ces mois, il jouait 109.

01:02:30Il disait, si vous en avez un, montrez-le moi.

01:02:32Je ne le vois pas.

01:02:33Parce que sachant qu'il ne voulait pas de Randal Colomoni.

01:02:35Admettons, ça peut être un choix.

01:02:36Et que Gonzalo Ramos était blessé.

01:02:38Jusque-là, son argument tenait.

01:02:41Mais depuis, il est revenu.

01:02:43Et quasiment à chaque fois, il marque.

01:02:45Et là, il est encore décisif quasiment sur les deux axes.

01:02:47Exactement.

01:02:48C'est lui qui embarque le truc.

01:02:50En fait, du coup, là, c'est quoi son argument pour dire...

01:02:53Ben non, je vais quand même continuer.

01:02:55On a tous compris que Luis Henrique voit ses équipes sans numéro 9.

01:03:00L'équipe d'Espagne était sans numéro 9.

01:03:02Morata était partout sauf dans la surface.

01:03:04Pourquoi il ne l'assume pas ?

01:03:05On pourrait nous le comprendre.

01:03:07Non mais il y en a d'autres.

01:03:09Guardiola aussi, avant qu'on ne lui impose à Allende, ne voulait pas de 9.

01:03:11Il a tué Aguero.

01:03:12Il a été cherché à Allende.

01:03:13Attention à Greg.

01:03:14En tout cas, il a joué sans 9.

01:03:16Greg, regardez le résultat.

01:03:18Regardez votre résultat de duel.

01:03:20Eh oui, Greg.

01:03:22Si vous avez gagné, tu es anti-parisien.

01:03:24Tu gagnes.

01:03:26Mon Marseillais est anti-parisien.

01:03:28Tu gagnes.

01:03:29Merci.

01:03:30Sur les réseaux sociaux, ce soir.

01:03:31Là, c'est pour toi.

01:03:32C'est cadeau.

01:03:33Déclaration de l'homme du match, justement, de ce trophée des champions.

01:03:35Le buteur, Ousmane Dembélé.

01:03:37Ousmane Dembélé au micro de Dazone.

01:03:39Il a parlé des occasions manquées par le Paris Saint-Germain.

01:03:41Il dit, je trouve que l'on a fait un bon match, même si on a raté quelques occasions.

01:03:45Après, des deux côtés, cela pouvait basculer.

01:03:48Je suis content d'avoir marqué au bout du bout.

01:03:50Encore un titre.

01:03:51C'est mon quatrième avec le PSG.

01:03:53Je suis heureux.

01:03:54Il a été bon.

01:03:55Ça, c'est énervant.

01:03:56Ça, c'est énervant.

01:03:57On ne peut pas laisser passer ça.

01:03:58Il a gagné.

01:03:59C'est fini.

01:04:00Là, on ne va pas laisser passer ça.

01:04:02Remontrez.

01:04:03Remontrez.

01:04:04On voit la déclaration qu'il ne faut pas laisser passer.

01:04:06On ne laisse pas passer ça parce qu'un titre ne vaut pas un titre.

01:04:08Et ça, c'est du foutage de gueule, je vais vous dire.

01:04:10Parce que le trophée des champions, ça ne vaut pas un championnat.

01:04:12Ça ne vaut pas la coupe.

01:04:13Or, quand on dit que c'est un trophée, on met tout sur la même étagère.

01:04:16Et ça, c'est scandaleux.

01:04:17C'est mon quatrième titre.

01:04:19Encore un titre.

01:04:23Ce n'est pas son quatrième trophée des patapons.

01:04:26La fête du slip, je ne sais pas où.

01:04:28Ce n'est pas comme ça.

01:04:29C'est-à-dire qu'on ne peut pas mettre le championnat sur le même plan.

01:04:32Ce n'est pas ce qu'il dit.

01:04:33Ça fait quatre titres.

01:04:34Donc, tu fonds tous tes titres dans un sac.

01:04:36Je tire.

01:04:37Il ne va pas vous détailler tous les titres.

01:04:38Non, mais ça n'est pas un titre.

01:04:40Ça n'est pas un titre comme le championnat ou la coupe.

01:04:42Ça reste un titre.

01:04:43Non, mais non.

01:04:44Je suis d'accord avec Greg.

01:04:45C'est une insulte.

01:04:46Oui, mais ça reste un titre.

01:04:47Il ne dit pas ça.

01:04:48Ça vaut un championnat.

01:04:50Ça s'appelle un titre.

01:04:51Non, mais c'est comptabilisé, Raymond.

01:04:53Je suis désolé.

01:04:54Dans les fiches officielles.

01:04:55On ne peut pas mettre ça au même niveau qu'un championnat.

01:04:58Non, mais personne ne peut mettre ça au même niveau qu'un championnat.

01:05:00On dit que ça fait partie d'une ligne de palmarès.

01:05:02C'est un match.

01:05:03Déjà, moi, je ne suis pas forcément trop d'embellé.

01:05:08C'est mon quatrième titre.

01:05:09C'est mon quatrième titre.

01:05:10Mais oui, c'est son quatrième titre.

01:05:12Non, mais c'est les Anglais Lecompte.

01:05:14Il ne met pas ça sur le même titre.

01:05:16Il ne le met pas sur le même titre qu'un champion.

01:05:19Un, deux, trois, quatre.

01:05:20Non, celui-là, ce n'est pas celui-là qui ne vaut pas celui-là.

01:05:22Je suis désolé.

01:05:23Ce n'est pas normal.

01:05:24Il y a une hiérarchie.

01:05:25Oui, évidemment.

01:05:28Sur le niveau d'Ousmane Nabélé, je voudrais vous entendre sur le match qu'il a fait.

01:05:31Est-ce que pour vous, ça va être le joueur clé pour le Paris Saint-Germain en 2025, pour les rendez-vous ?

01:05:36Il faut qu'il arrive à mettre ses buts.

01:05:38À un moment donné, il est parti dans la profondeur.

01:05:40Il a fait droite-gauche.

01:05:41J'ai cru qu'il allait mettre une sacoche.

01:05:43Il avait le but.

01:05:45Il a fait une passe au gardien.

01:05:47J'ai dit non, mais non, Ousmane, c'est italien.

01:05:49Si tu reviens en 2025 avec les mêmes intentions.

01:05:52Alors qu'il avait tout fait bien au départ.

01:05:55Ce joueur, je l'ai toujours dit, il est extraordinaire.

01:06:00Il lui manque juste cette petite finition qui va le faire passer dans une autre dimension.

01:06:06Aujourd'hui, à 28-29 ans, je ne suis pas sûr.

01:06:08Même sur le but qui marque, on a eu peur qu'il le mette à côté.

01:06:11Oui, en plus, le plat du pied, il le met à l'opposé.

01:06:16Vous pensez que c'est lui qui peut porter le PSG ?

01:06:19Dans un effectif où le talent n'est pas si commun que ça, quand même.

01:06:24On peut toujours débattre.

01:06:26Je pense que ce PSG, c'est affaibli d'un point de vue talent individuel.

01:06:31C'est quand même un des rares qui peut créer un peu la lumière, malgré tout.

01:06:35Je ne suis pas un fan d'Ousmane Dembélé.

01:06:37Il est d'une maladresse assez confondante à ce niveau-là, je trouve, pour un joueur de ce niveau.

01:06:43Mais n'empêche que, quand il n'est pas là, on s'aperçoit quand même que, parfois, il n'y a pas grand-chose d'autre.

01:06:49Je dirais que Doué peut faire la différence aussi.

01:06:52Il a un truc.

01:06:54Et lui, je crois que devant le but, ce n'est pas la même.

01:06:57Allez, il est l'heure. Attention, on enchaîne.

01:07:00C'est l'heure du Minuit Info, mesdames et messieurs.

01:07:03Jérôme et Jeannabon, c'est son nom.

01:07:05Et on va vous faire plaisir.

01:07:07On va parler d'un match spectaculaire entre Liverpool et Manchester United.

01:07:11Un match qui aurait pu ne pas avoir lieu à cause de la neige.

01:07:14Vous allez voir cette image entre deux légendes.

01:07:16D'un côté, Manchester United.

01:07:18C'est Guarineville à gauche, légende de Manchester, qui veut que le match n'ait pas lieu.

01:07:21Et puis, Carragher qui enlève la neige.

01:07:22Regardez, ça part très fort.

01:07:23Martinez qui marque le premier but pour Manchester United.

01:07:261-0 pour Manchester.

01:07:28Et un partout à l'heure de jeu.

01:07:30La belle frappe de Gakpo.

01:07:3210 minutes après, c'est Liverpool qui va passer devant.

01:07:36Le 18ème but de Mo Salah.

01:07:38Meilleur buteur de Première Ligue devant Erling Haaland.

01:07:41Et puis, 2-2 à la 80ème.

01:07:43Manchester qui revient grâce à Ahmad Diallo.

01:07:45Son joueur en forme depuis l'arrivée du nouveau coach Ruben Amorim.

01:07:48Liverpool qui reste en tête.

01:07:506 points d'avance sur Arsenal avec un match en moins.

01:07:52Et Manchester United toujours à une anormale 13ème place.

01:07:55Et à noter une stat importante.

01:07:57Mo Salah qui égale un certain Thierry Henry au nombre de buts marqués en Première Ligue.

01:08:01175 buts marqués en Première Ligue pour Mo Salah.

01:08:05Vous n'êtes pas content du résultat de Liverpool ?

01:08:07Moi je pense même qu'ils s'en tirent bien.

01:08:11Moi je pense que Manchester est très bien entré dans son match.

01:08:14Ils avaient le bon état d'esprit.

01:08:15Je n'ai pas trouvé que Liverpool dégageait la même énergie que d'habitude.

01:08:19Et je trouve même que ça peut tourner encore plus mal pour eux.

01:08:23Ou encore mieux pour Manchester United.

01:08:25C'est selon.

01:08:26Parce qu'à la dernière seconde, ils ont une énorme occasion sur une récupération de balles.

01:08:30Et que Maguire, seul au 6 mètres, met 3 mètres au-dessus.

01:08:35Mais il est seul.

01:08:36Je pense que si c'est un attaquant, ça finit dedans.

01:08:41Je n'ai rien dit.

01:08:42Non mais ce que je veux dire c'est que moi j'ai trouvé Manchester vraiment très bon sur ce match-là.

01:08:46Et j'ai trouvé Liverpool un poil émoussé.

01:08:49C'est-à-dire qu'ils sortent d'une séquence incroyable.

01:08:51Eux ils ont fait le plein pendant les fêtes.

01:08:53Ils ont fait carton plein.

01:08:54Là à mon avis il manquait un peu de jus.

01:08:55Et puis en face ils étaient très motivés.

01:08:57C'est le derby.

01:08:58C'est le match le plus important.

01:08:59Et tu sentais que pour Manchester, c'est un match à part.

01:09:02C'est pour ça que ce Liverpool-Manchester, tu ne peux jamais trop prévoir à l'avance.

01:09:05City, la victoire.

01:09:06Ils peuvent se sublimer ponctuellement.

01:09:08C'est le rendez-vous évidemment.

01:09:09Vous suivez maintenant un rendez-vous passionnant sur la chaîne équipe.

01:09:12Le Dakar.

01:09:13Ça y est, c'est parti.

01:09:14Alors là, on a plein de rembondissements sur le Dakar.

01:09:16Parce qu'aujourd'hui, on est parti pour les 48 heures.

01:09:19Les 48 heures chrono, Jérémy.

01:09:20Avec une image impressionnante.

01:09:21Pour commencer, celle de Carlos Sainz.

01:09:23Le pilote de Ford avec la voiture sur le toit.

01:09:27Voiture en très mauvais état.

01:09:28Le tenant du titre espagnol qui a perdu 20 minutes à cause de cette sortie de route.

01:09:33Pour Sébastien Loeb.

01:09:34Journée très compliquée pour Sébastien Loeb à bord de sa Dacia.

01:09:38Problème mécanique.

01:09:39Il s'est arrêté deux fois avant de repartir.

01:09:41Il a maintenant 30 minutes de retard sur le leader saoudien Yazeed Al-Raji.

01:09:45Et il était très énervé contre son constructeur Sébastien Loeb.

01:09:48Alors qu'on est à la moitié de cette étape passionnante de 48 heures chrono.

01:09:52Avec nuit dans le bivouac.

01:09:53C'était ma crainte avant.

01:09:54C'est qu'il y a un problème de compréhension de fonctionnement du ventilateur.

01:09:59Depuis juillet.

01:10:02C'est quand même con.

01:10:04Nuit dans le bivouac.

01:10:05Je disais et tout.

01:10:06C'est impressionnant.

01:10:07Demain 11h50.

01:10:08On va voir un peu comment ils ont digéré.

01:10:09On va voir comment ça se passe.

01:10:10On parlera des réactions autour des déclarations de Sébastien Loeb.

01:10:1311h50 dès demain pour le grand direct.

01:10:15Le journal du Dakar à 18h10.

01:10:17Et le résumé complet à 20h.

01:10:19Donc vous avez pris vos habitudes.

01:10:20Maintenant, ça y est.

01:10:21Le Dakar est lancé sur la chaîne L'Equipe.

01:10:23On passe au tennis.

01:10:24Super exploit pour le Français.

01:10:26Alexandre Muller.

01:10:27Il a gagné le premier tournoi de sa carrière.

01:10:29L'ATP 250 de Hong Kong pour Alexandre Muller.

01:10:33Son adversaire, vous le connaissez en plus, le japonais Kei Nishikori.

01:10:36Ancien numéro 4 mondial qui remporte le premier set.

01:10:40Et qui marque ce joli point en même temps en revers.

01:10:42Vous allez voir ensuite l'amorti.

01:10:44Joli amorti de Muller en haut de votre écran.

01:10:47Juste ici.

01:10:48Et puis donc la délivrance pour le Français.

01:10:51Qui sera 56ème mondial lundi.

01:10:54C'est son meilleur classement alors qu'il a 27 ans.

01:10:57Il réalise l'exploit même d'avoir perdu le premier set à chaque match du tournoi.

01:11:01C'est le troisième tennisman de l'histoire à réaliser cet exploit.

01:11:04Et votre exploit, le vôtre.

01:11:05Vous avez 30 secondes pour me faire les deux dernières infos.

01:11:07Rugby et Vendée Globe.

01:11:08Le mal classé Van qui a besoin d'une victoire face à Clermont-Soir.

01:11:11Ce n'est pas passé.

01:11:12Ça commençait bien pourtant pour les Bretons.

01:11:14Ils marquent le premier essai à la 10ème minute.

01:11:16La belle manœuvre qui termine avec l'hélier Romaric Camus.

01:11:20Pour ouvrir le score.

01:11:22Mais derrière c'est Clermont qui va dérouler l'essai à la 34ème minute.

01:11:27De la part du premier ligne Régis Montagne.

01:11:29Et puis enfin pour terminer le dernier essai Clermont-Thau à la 54ème.

01:11:34L'arrière australien Alex Newsome qui marque cet essai.

01:11:3729, Clermont 4ème.

01:11:38Van toujours dernier.

01:11:40Charlie Dalin en tête du Vendée Globe.

01:11:42Le skipper massif santé et prévoyance toujours en tête.

01:11:45Au coude à coude avec Johan Richombe.

01:11:48Mais il a augmenté son avance sur Richombe.

01:11:51Il est à bord du Paprec Arkea.

01:11:53Son poursuivant 136.000 d'avance.

01:11:55Derrière l'écart se creusent 800.000 d'avance sur les poursuivants.

01:12:01Je vous ai un peu boosté.

01:12:0411h50 le Dakar demain bien sûr.

01:12:06Merci à tous.

01:12:07Nous on va aller s'entraîner aux fléchettes.

01:12:09Parce que Greg il y a du boulot.

01:12:10La cible est là.

01:12:11Donc on va y retourner.

01:12:12On vous souhaite une bonne nuit.

01:12:13Demain évidemment c'est le retour d'Olivier Ménard.

01:12:15Version 2025.

01:12:16Vous verrez.

01:12:20Bonne nuit à tous.

L'Équipe du Soir du 5 janvier - L'Équipe du Soir - replay

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