Le dimanche 8 décembre 2024, le siège parisien du groupe CANAL+ a été la cible d'une action coup de poing orchestrée par les collectifs écologistes Les Soulèvements de la Terre et Extinction Rebellion.
Les militants ont recouvert les façades du bâtiment de peinture et ont apposé des messages dénonçant Vincent Bolloré, propriétaire du groupe, l'accusant de promouvoir des idées d'extrême droite via ses médias.
Cette action s’inscrit dans une campagne intitulée « Désarmer l’empire Bolloré », qui vise à dénoncer les pratiques jugées néocoloniales de l’industriel et son rôle présumé dans la propagation de discours réactionnaires. Les collectifs reprochent notamment à Bolloré d’utiliser ses médias, tels que CNews et Europe 1, pour diffuser des idées qu'ils qualifient de racistes et anti-écologiques.
Outre son influence dans les médias, Vincent Bolloré est critiqué pour ses activités industrielles en Afrique et en Asie, à travers la Socfin, une entreprise spécialisée dans les plantations de palmiers à huile et d’hévéas. Les militants dénoncent l’impact environnemental et social de ces projets, qu’ils qualifient de néocoloniaux.
Les Soulèvements de la Terre et Extinction Rebellion ne sont pas les seuls à participer à cette campagne. D'autres collectifs féministes et antifascistes se joignent à la lutte pour dénoncer la concentration des médias et son influence sur le débat public. Ces actions visent également à sensibiliser le grand public aux enjeux écologiques et sociaux des activités du groupe Bolloré.
Pour le moment, ni le groupe CANAL+ ni Vincent Bolloré n'ont réagi publiquement à cette action.
Les collectifs, quant à eux, appellent à poursuivre les mobilisations pour « désarmer les pouvoirs économiques et médiatiques » qu’ils considèrent comme des obstacles à une transition écologique et sociale.
Les militants ont recouvert les façades du bâtiment de peinture et ont apposé des messages dénonçant Vincent Bolloré, propriétaire du groupe, l'accusant de promouvoir des idées d'extrême droite via ses médias.
Cette action s’inscrit dans une campagne intitulée « Désarmer l’empire Bolloré », qui vise à dénoncer les pratiques jugées néocoloniales de l’industriel et son rôle présumé dans la propagation de discours réactionnaires. Les collectifs reprochent notamment à Bolloré d’utiliser ses médias, tels que CNews et Europe 1, pour diffuser des idées qu'ils qualifient de racistes et anti-écologiques.
Outre son influence dans les médias, Vincent Bolloré est critiqué pour ses activités industrielles en Afrique et en Asie, à travers la Socfin, une entreprise spécialisée dans les plantations de palmiers à huile et d’hévéas. Les militants dénoncent l’impact environnemental et social de ces projets, qu’ils qualifient de néocoloniaux.
Les Soulèvements de la Terre et Extinction Rebellion ne sont pas les seuls à participer à cette campagne. D'autres collectifs féministes et antifascistes se joignent à la lutte pour dénoncer la concentration des médias et son influence sur le débat public. Ces actions visent également à sensibiliser le grand public aux enjeux écologiques et sociaux des activités du groupe Bolloré.
Pour le moment, ni le groupe CANAL+ ni Vincent Bolloré n'ont réagi publiquement à cette action.
Les collectifs, quant à eux, appellent à poursuivre les mobilisations pour « désarmer les pouvoirs économiques et médiatiques » qu’ils considèrent comme des obstacles à une transition écologique et sociale.
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NewsTranscription
00:30C'est bon, c'est bon, c'est bon.
01:00Garde-à-vous.
01:02Je vais avoir l'image de...
01:04Je vais avoir l'image du premier suspect...
01:07Je vais avoir l'image du premier inquisiteur auchée.
01:11Et bien c'est parti.
01:14Alors on rempt en bas.
01:15On rempt en bas et on va rester en bac.
01:24Moi il sort le car.
01:26C'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
01:56bon