• l’année dernière
Son avis sur la Star académy, ses débuts difficiles avec Eddie Barclay, le succès de son fils Mathieu Chedid ou encore son expérience de mort imminente, Louis Chedid a refait sa télé avec Eric Dussart et Jade !

Category

🗞
News
Transcription
00:00Pourquoi on ne vous a jamais vu à la Star Academy, Louis Chédid ?
00:03D'abord, on ne m'a jamais invité, mais de toute façon, ils ont bien fait.
00:08Vous auriez déclaré ?
00:10Moi, j'ai un problème avec ce genre d'émissions, parce que je trouve que
00:14les jeunes qui sont là, il y en a certains qui en sortent et c'est super,
00:21il y a des exemples.
00:23Il y a plein de talents qui en sont sortis.
00:25Absolument, il y a plein de talents qui en sont sortis, mais
00:27qui en sortent parce que derrière, il y a toute une armada de marketing,
00:31de publicité, et puis la télé, la force, la puissance de la télé,
00:35ce qui est quand même quelque chose de très important,
00:38mais on ne les pousse pas à la créativité.
00:41On les pousse plus à l'interprétation.
00:44Alors, ils chantent très bien et il y a de plus en plus de jeunes
00:48qui chantent de mieux en mieux, mais ce n'est pas créatif.
00:52C'est ça, moi, qui me gêne, parce que je suis auteur-compositeur
00:57et je pense que c'est important de créer des choses.
01:02C'est vrai que quand vous interprétez des grands tubes et des choses comme ça,
01:06déjà, il y a 50% de gagnés.
01:10Parce qu'on juge plus une voix, finalement, qu'une proposition artistique de texte.
01:14On juge plus une voix, et donc, ça formate un petit peu
01:18toutes les voix qu'on entend, etc.
01:20Sauf certains qui ressortent du lot.
01:23C'est ceux-là, effectivement, qui en sortent.
01:25Je crois que vous ne gardez pas un très bon souvenir de votre rencontre avec Eddie Barker.
01:29Non, pas du tout.
01:31Il m'avait convoqué un premier jour, j'étais arrivé,
01:34il y avait toute sa cour qui était là dans son appartement,
01:37et j'ai attendu des heures.
01:40Son majordome m'avait mis au fond, au fond, au fond de la pièce,
01:43sur un fauteuil, j'étais comme un couillon,
01:46mon test-pressing, enfin, mon vinyle, comme ça, pour lui faire...
01:50Votre maquette, en quelque sorte ?
01:51Ouais, non, non, le disque fini, parce que
01:54la personne qui dirigeait Barclay m'avait dit
01:56c'est plutôt gentil d'aller voir M. Barclay,
01:59de lui présenter ton disque, etc.
02:00Bon, j'ai dit ok, moi je démarrais, je ne connaissais rien de rien.
02:03Donc, j'étais arrivé, il m'a fait attendre 2-3 heures.
02:06Et puis, au bout de 2-3 heures, il est arrivé en peignoir avec une coupe de champagne,
02:09il est venu vers moi, il m'a dit
02:11« Bon, écoutez, là, je n'ai pas le temps de vous recevoir, revenez demain. »
02:14Donc, je me suis vraiment dit, est-ce que je lui fous un coup de boule ou pas ?
02:18Et puis non, parce que c'était le début,
02:21et je lui ai dit « Calme-toi ».
02:23Donc, le lendemain, je suis revenu, et je lui avais laissé le disque.
02:26Et le lendemain, je suis revenu, et donc il me fait encore attendre,
02:30c'était le matin, en plus.
02:32Et au bout de 2-3 heures, où je rongeais vraiment mon frein,
02:37il est arrivé et il m'a dit
02:39« C'est intéressant, mais vous n'en vendrez pas beaucoup. »
02:41Et donc, j'ai été voir le directeur de Barclay, je lui ai dit « Je m'en vais ».
02:45Et je suis parti.
02:46Donc, il n'y a eu que ce premier album, « Balbutiements » chez Barclay.
02:49Après, c'était CBS, c'est tout.
02:50Vous n'êtes pas senti beaucoup aimé, on va dire.
02:53Non, vous savez, dans la vie, il faut rebondir,
02:55et puis quand il y a des gens qui sont négatifs pour vous,
02:59il faut en changer, et puis c'est tout.
03:00Et vous avez fait le bon choix, manifestement, vu la suite dont on va parler.
03:03Tout petit, déjà, Mathieu avait envie de devenir cette superstar de la chanson
03:07qu'il est aujourd'hui, sous le nom de M.
03:09Au début, il voulait être musicien, en fait.
03:11Il voulait être musicien, accompagner des gens.
03:13Et moi, je lui disais souvent « Tu devrais faire des chansons, tu devrais composer,
03:18tu devrais écrire », parce que c'est la liberté, c'est-à-dire qu'on dépend de personne d'autre.
03:22Quand on est juste musicien, on attend au téléphone, qu'on vous appelle, etc.
03:26Et donc, ça a fait son chemin, et à 25 ans, d'ailleurs, c'est très marrant,
03:30parce qu'il a démarré, il a fait son premier disque au même âge que moi.
03:33A 25 ans, tous les deux, on a fait notre premier disque.
03:36Et puis après, bon, c'était parti.
03:38— Avant, pour le présenter, on disait que c'était le fils de Louis Chédid.
03:40Maintenant, pour vous présenter, on dit parfois que vous êtes le père de M.
03:43— Complètement, oui.
03:44— Ça vous titille un peu ou ça vous fait marrer ?
03:46— Pas du tout. Ça ne me titille pas.
03:48Vous savez, ce qui me titillerait beaucoup, c'est d'avoir des enfants qui font le même métier que vous.
03:53C'est ça qui est dur.
03:54Quand des enfants font le même métier que vous et ils ne réussissent pas, ça, c'est très dur.
03:58Et j'ai des amis à qui ça arrive, et c'est difficile, parce qu'on se sent presque un peu coupable.
04:06— Oui, les enfants vivent dans l'ombre du succès de leurs parents.
04:09— Voilà, voilà.
04:10Vous savez, quand on aime ses enfants, quand on aime les gens avec qui on vit et tout ça,
04:15on a juste envie qu'ils soient le plus heureux possible.
04:17On n'a pas envie qu'ils soient malheureux.
04:19— Vous êtes persuadé qu'il y a une vie après la mort, après cette vie sur Terre ?
04:23— En fait, je préfère penser ça.
04:27De toute façon, personne ne sait.
04:28Alors, autant...
04:30— Mais vous avez peut-être un peu plus d'infos que les autres.
04:32— Alors, j'ai un peu plus d'infos que les autres.
04:33— La mort, elle vous a frôlé de près, en 1986.
04:35— Exact.
04:36J'ai eu ce qu'on appelle un kystidatique au foie.
04:40Et ce n'est pas du tout parce que je picolais, mais c'est comme ça,
04:43c'est des espèces d'amibes qui se baladent dans le corps, des microbes, des trucs.
04:47Et là, je me suis retrouvé mal, et aux urgences, vraiment mal.
04:5343 degrés de fièvre, dans des bacs à glace, enfin bon, je vous passe les détails.
04:58Et je me suis senti partir de mon corps.
05:02J'avais très mal, et je me suis senti partir de mon corps.
05:04Je me suis collé au plafond, je voyais tous les lits, les gens.
05:08— Une expérience de mort imminente, on pourrait dire.
05:10— Exactement.
05:11— Avec le fameux tunnel ?
05:13— Oui, oui.
05:14Mais à l'époque, on ne savait pas tout ça.
05:16C'était en 86, ce n'était pas encore très identifié.
05:19Et donc, après, ils trouvent l'antibiotique, je vais mieux, tout ça.
05:23Je suis en convalescence, et je me balade à Saint-Sulpice, où j'habitais pas loin.
05:28Et tout d'un coup, je tombe sur la devanture des éditions Lafon, Robert Lafon.
05:33Et je vois plein de bouquins où il y a marqué « Expérience après la mort ».
05:38Enfin, c'est Richard Moody qui est le type qui a écrit là-dessus.
05:42Et je suis happé, littéralement.
05:45J'arrive, je prends le bouquin, et je me mets à lire.
05:48Mais sur la place Saint-Sulpice, je commence à lire.
05:50Et je vois que tout ce que j'ai vécu, des milliers de personnes l'avaient vécu.
05:55— Expérience partagée par d'autres.
05:57— Et moi, je pensais que c'était un truc chimique.
05:59Je me disais que je devais être tellement shooté à la morphine que je me suis cru partir.
06:06Mais non, c'était vraiment presque mot à mot ce que j'avais vécu.
06:09Donc je me dis qu'il y a quand même quelque chose.
06:11Et puis après, j'ai creusé l'histoire.
06:16— Vous êtes né en Égypte, de parents d'origine libanaises, syriennes, égyptiennes.
06:20— Exactement.
06:21— Comment vous vivez cette montée à la verticale en France des idées extrémistes ?
06:24— Je la vis avec beaucoup de tristesse.
06:26Je le vis avec beaucoup de...
06:31Enfin, et puis c'est pas seulement, c'est partout dans le monde entier.
06:35Il y a une espèce de montée comme ça, de similitateur, quoi,
06:39de gens un peu qui, s'ils ont le pouvoir, tout d'un coup font absolument ce qu'ils veulent.
06:45Mais en France, c'est vraiment triste.
06:49Mais bon, pour l'instant, on n'en est pas encore à ce qu'ils gouvernent.
06:53Mais je pense qu'il faut faire attention, là, maintenant.
06:57— Vous vous êtes jamais engagé auprès de quelque politique que ce soit ?
07:00— Non.
07:01— Vous pourriez le faire si vous sentez que le danger devient imminent ?
07:04— Avec qui ? C'est ça le problème.
07:06Le vrai problème, c'est avec qui, quoi.
07:09Aujourd'hui, on voit qu'il y a un tel n'importe quoi dans la classe politique.
07:16C'est n'importe quoi, quoi.
07:18Je veux dire, tout ce à quoi on assiste aujourd'hui...
07:21Je ne parle pas trop de ça, mais là je en parle parce que, je veux dire, on dissout l'Assemblée.
07:26On n'arrive même pas à faire un gouvernement.
07:29On met deux mois à le faire et au bout de 90 jours, le gouvernement, il pète.
07:34Enfin, tout ça est d'une...
07:36On a vraiment l'impression qu'on se fout du peuple, quoi.
07:38Mais vraiment qu'on écoute absolument...
07:41On s'écoute entre soi, c'est de l'entre-soi pur.
07:45Et c'est vraiment, après moi, le déluge, quoi.
07:48Vraiment, on sent un truc comme ça.
07:50Et c'est terrible parce que c'est l'avenir de la population et du peuple qui est en jeu.
07:57Mais ça, manifestement, on a l'impression qu'on s'en fout.
08:21La mort !
08:23Ça, c'est la version réenregistrée en 1984 avec Alain Sousson, Claude Brasseur, Gérard Juniau,
08:28pour un clip qui était un véritable court-métrage.
08:31Complètement, ça a été tourné à Bruxelles, dans une banque d'ailleurs,
08:35parce qu'on voulait tourner dans une banque, dans un coffre de banque, enfin un sous-sol de banque, à Paris.
08:40Mais c'était interdit, on n'a absolument pas le droit de filmer...
08:43Enfin, je ne sais pas comment c'est maintenant.
08:45Et oui, pour des raisons de sécurité.
08:46Et en Belgique, ça passait ?
08:47Et bien en Belgique, oui, on a trouvé une banque qui était d'accord.
08:50Mais on était vraiment dans le... On aurait pu la dévaliser, la banque.
08:54Vous l'aviez braqué d'ailleurs pendant le budget ? Parce que ça a dû coûter cher, cette histoire.
08:57Ben ça, je ne sais pas, ce n'est pas moi qui ai payé.
09:00Mais en tout cas, ils ont été merveilleux, Brasseur.
09:04Merveilleux homme, vraiment quelqu'un de fantastique.
09:09Je l'avais appelé, je ne le connaissais absolument pas, Brasseur.
09:12Mais j'adorais sa voix et je l'ai appelé comme ça.
09:15Et je lui ai dit, voilà, je ne sais pas si vous me connaissez.
09:18Il me connaissait en fait.
09:20Et il connaissait Tabo Paedbo et tout ça.
09:22Et il m'a dit tout de suite, oui, oui, je le fais, sans problème.
09:26Souchon, bon, il est venu.
09:28C'était très gentil qu'il vienne déjà.
09:31Et Junior aussi, que je connaissais un petit peu, mais sans plus.
09:34Et donc ça a fait un clip très marrant.
09:37Il y avait de l'argent à l'époque pour faire des clips.
09:38Ça a bien changé depuis.
09:39C'est fini, c'est terminé.
09:41D'ailleurs, ça ne passe plus trop nulle part, j'ai l'impression.
09:47Ça passe sur Internet.
09:48Oui, voilà, ça passe sur Internet.
09:50Alors, on en fait quand même, mais on fait des clips beaucoup moins...
09:54De toute façon, c'est une peau de chagrin.
09:58Il faut savoir que la musique, c'est devenu une peau de chagrin.
10:01Je veux dire, les gens sont habitués maintenant à écouter sur les plateformes, etc.
10:05Et alors, c'est intéressant aussi, parce que ça développe une curiosité immédiate.
10:10C'est-à-dire que vous écoutez quelque chose comme ça dans la rue ou n'importe où,
10:13vous le chasamez, et puis après vous rentrez chez vous,
10:16vous allez sur Spotify, Deezer, et vous l'avez tout de suite.
10:19Sauf que vous, les artistes, ça ne vous rapporte rien ou quasiment rien.
10:21Oui, oui, oui, oui.
10:23Non, mais c'est la scène qui est importante aujourd'hui,
10:25et évidemment le disque aussi, mais...
10:27C'est pour ça que tous les artistes sont de plus en plus sur scène.
10:29Parce qu'aujourd'hui, on gagne de l'argent seulement avec les concerts.
10:31Ah, pas seulement, heureusement.
10:33Parce que sinon, ce serait très dur pour les maisons de disques.
10:38Parce que les maisons de disques investissent,
10:40et ça coûte cher de faire un disque comme ça.
10:44Mais c'est vrai qu'aujourd'hui,
10:46les gens qui achètent des disques,
10:48il y en a de moins en moins.
10:50Alors, si je vous dis vélo et chanson,
10:53ça vous rappelle une émission de télé ?
10:55Oh, oui, ça me rappelle...
10:57Peut-être même un traumatisme.
10:59Un traumatisme absolu.
11:01C'était les numéro un des Carpentiers,
11:03et c'était le numéro un à Annie Cordy,
11:05que j'ai trouvé quelqu'un de merveilleux.
11:08Et Marity Carpentier arrive et me dit,
11:10j'ai eu une idée formidable.
11:12Et elle dit, Marity,
11:14vous allez faire un truc en vélo,
11:17et toi, tu vas pédaler, Louis,
11:19et Annie, elle va se mettre sur le...
11:21comment ça s'appelle, la barre...
11:23Sur le guidon, quoi !
11:25Et je me dis,
11:27mais je vais la tuer, quoi !
11:29Et je commence à pédaler,
11:31et elle pétait le feu,
11:33elle était contente et tout.
11:35Et moi, j'étais en train de chanter ma chanson,
11:37je ne sais même plus ce que c'était,
11:39et je me disais, si on tombe,
11:41c'est terrible, quoi.
11:43Je vais avoir la mort
11:45ou la blessure d'Annie Cordy
11:47sur la conscience jusqu'à la fin de ma vie.
11:49Et puis en fait, ça s'est bien passé,
11:51parce qu'elle était tellement positive...
11:53Ça a été quelques minutes en apnée, quoi.
11:55Ah oui, quelques minutes en apnée.
11:57Alors, la Suède pourrait-être représentée
11:59l'an prochain à l'Eurovision
12:01en tant qu'animatrice de télé en France.
12:03Vous y croyez ou pas ?
12:05Rien à ça, non.
12:07Non ? C'est vrai.
12:09Il s'agit de Victoria Silvstedt,
12:11la blonde plantureuse qui était aux côtés
12:13de Christophe Dechavanne dans La Roue de la Fortune
12:15sur TF1 pendant 5 ans.
12:17D'origine suédoise, la mannequin s'est portée
12:19candidate pour aller chanter aux prochaines Eurovisions
12:21en Suisse, avec un titre écrit par le même auteur
12:23que les tubes de la chanteuse Lorine,
12:25gagnante à deux reprises de l'Eurovision
12:27pour la Suède. Mais attention,
12:29ce qui n'est pas encore fait pour Victoria,
12:31elle est en compétition avec 28 autres prétendants.
12:33Mais chanteuse, ce n'est pas son métier à la base, non ?
12:35Non, pas vraiment. Elle s'était déjà un petit peu
12:37essayée à la chanson en 2010
12:39avec notamment ce titre.
12:49C'est bien du Victoria, ça !
12:51C'est un peu comme Abba.
12:53Ouais, ouais.
12:55Je ne sais pas si c'est très gentil pour Abba,
12:57mais je crois qu'on va attendre la chanson pour se faire un avis.
12:59Déjà qu'elle soit sélectionnée.
13:01Composer ou chanter pour l'Eurovision,
13:03ça ne vous a jamais tenté, Louis-Philippe ?
13:05Alors, quand je vois...
13:07Franchement...
13:09Non.
13:11Je sens que vous n'aviez plus à dire.
13:13Non, non, non, j'avais plus à dire.
13:15C'est vrai qu'il y a un côté tellement
13:17kitsch.
13:19Par exemple, il y avait
13:21à un moment donné
13:23un jeune mec portugais, je crois qu'il s'appelait
13:25Paul, et extraordinaire chanson.
13:27Mais ça sortait du genre,
13:29du style Eurovision. D'ailleurs,
13:31il a gagné. Donc ça prouve que
13:33de temps en temps, quand il y a des chansons un peu...
13:35Mais c'est vrai que sinon, elles sont assez formatées
13:37les chansons. Je pense que c'est vraiment
13:39ce qu'on vient d'entendre. C'est boum, boum, boum.
13:41Et puis alors très
13:43excentrique.
13:45Les costumes, les machins, les trucs.
13:47C'est rigolo à regarder.
13:49Mais disons qu'on ne peut pas
13:51dire que ce soit la chanson qui me...
13:53que ce soit la musique qui me
13:55plaise, a priori.
13:57BFMTV va changer
13:59la formule de ses soirées. Vous y croyez
14:01ou pas ?
14:03Alors, j'y crois parce que je pense que
14:05ça a changé. Ils ont déjà changé
14:07la direction.
14:09Ah, il suit quand même !
14:11C'est vrai. Dès la fin du mois de décembre,
14:13la chaîne Info va mettre fin à l'émission
14:15d'Éric Brunet, lancée à la rentrée.
14:17Désormais, c'est le journaliste Maxime
14:19Switek qui prendra l'antenne à 20h
14:21avec un grand journal de 2h.
14:23Jusqu'ici, il pilotait les matinées
14:25de la chaîne Info. BFM espère,
14:27avec cette nouvelle formule, reprendre du poil de la bête
14:29en termes d'audience sur cette tranche dominée
14:31par Pascal Praud sur CNews.
14:33Très large leader des chaînes Info
14:35à 20h. Louis, j'ai dit de vu
14:37votre profil, plutôt
14:39aller vers du positif. Je ne vous imagine pas
14:41passer vos journées devant les chaînes Info.
14:43Ah non, c'est sûr que non.
14:45Vous trouvez ça un peu anxiogène, les chaînes Info ?
14:47Pas vous ?
14:49Ah bah oui.
14:51Non, mais c'est sûr que c'est anxiogène.
14:53Mais c'est
14:55comme ça. C'est-à-dire que maintenant,
14:57une certaine forme de journalisme
14:59télévisé, c'est ça.
15:01C'est-à-dire que c'est de parler
15:03beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup. De faire
15:05énormément de débats. Chacun
15:07donne son avis sur la moindre
15:09nouvelle. Tout le monde sait
15:11tout sur tout. Et c'est vrai que
15:13des fois, c'est un peu vain.
15:15Mais même eux,
15:17à mon avis, de temps en temps, ils doivent se dire
15:19qu'est-ce que je raconte, etc.
15:21Mais moi,
15:23si c'était à ça, non. Je pense que les gens
15:25regardent
15:27la télé maintenant comme on écoutait la radio
15:29à une époque. C'est-à-dire, je me souviens,
15:31mon père, il se réveillait, il allumait
15:33la radio. Il faisait son café, son
15:35machin. Mais voilà, il ne l'écoutait pas vraiment.
15:37Il l'écoutait de temps en temps.
15:39Un bruit de fond ? Je pense.
15:41Je pense que c'est un peu ça. Et puis, j'ai pas la télé.
15:43Donc, voilà. Le problème est réglé.
15:45Dernière info ou dernière intox ?
15:47Jean-Pierre Foucault va tourner dans un film
15:49de Gladiator pour TF1.
15:51On y croit ou pas ? Pour qui ?
15:53Pour TF1. Moi, j'y crois.
15:55On aura envie de voir.
15:57On aura adoré
15:59voir ça, mais c'est faux.
16:01Jean-Pierre Foucault va co-présenter un jeu qui s'appelle
16:03Gladiator et qui sera diffusé
16:05dès le vendredi 27 décembre sur TF1.
16:07À ses côtés, Denis Brognard et
16:09Hélène Manarino. Ce concours qui
16:11existe depuis 1989 à la télé
16:13américaine met en compétition dans des
16:15défis physiques des candidats ordinaires
16:17et des athlètes redoutables, les Gladiateurs.
16:19Et à l'issue de ces épreuves,
16:21les champions recevront un casque d'or en guise
16:23de trophée. Votre fils, Mathieu,
16:25il serait taillé pour ce défi sportif.
16:27Il paraît qu'il court tout le temps. Il est très sportif.
16:29Oui, il est extrêmement sportif.
16:31Très discipliné. Très sportif.
16:33Il tient ça de son père, vous aussi ?
16:37Vous rigolez, mais moi, je suis assez sportif aussi.
16:39Ah oui ? Alors, vous faites quoi ?
16:41Moi, je fais du tennis.
16:43Je cours un petit peu.
16:45Voilà, des trucs comme ça.
16:47Non, mais Mathieu,
16:49il y va beaucoup plus fort que moi.
16:51Mais
16:53je regrette que Foucault
16:55ne soit pas habillé en Gladiateur.
16:57Peut-être qu'il va être habillé en Gladiateur.
16:59On va lui faire la demande. Mais je l'aime beaucoup, Foucault.
17:01Je trouve que c'est un type vachement bien.
17:03Je l'ai vu dans une émission, il n'y a pas longtemps.
17:05Et je trouve que c'est quelqu'un qui est très fin.
17:07On va lui faire la demande pour
17:09qu'il s'habille de cette tenue de Gladiateur,
17:11puisqu'il sera notre invité la semaine prochaine, Jean-Pierre Foucault.
17:13On fait passer le message.
17:15Il va vous le saluer pour moi.
17:17Vous tous qui nous écoutez, vous vous êtes sans doute
17:19souvent demandé si Louis Chédid
17:21était plutôt fromage ou dessert dans la vie.
17:23Eh bien, suspens absolu,
17:25vous le saurez juste après ça.
17:27Merci, Emma Krüger. Au revoir.

Recommandations