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Le président de la République espère pouvoir nommer dans les prochains jours un Premier ministre à la tête d'un "gouvernement d’intérêt général". Il reçoit à l'Élysée ce vendredi les chefs du PS, de LR et de son camp, mais pas des écologistes, des insoumis et du Rassemblement national.

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Transcription
00:00Les socialistes, ils font ce qu'ils veulent, vous savez, je dis juste que si, de mon point de vue, ils veulent rester fidèles aux engagements qu'ils ont pris devant les électrices et les électeurs,
00:09il est évident qu'aller discuter ou négocier une forme de coalition avec les macronistes pour mettre en œuvre la continuité de la politique d'Emmanuel Macron,
00:18c'est une rupture avec les engagements qu'ils ont pris devant les électrices et les électeurs.
00:22Donc est-ce que ça veut dire que ce profil a un Premier ministre qui penche plutôt à gauche, Mathieu ?
00:26En tout cas, un Premier ministre qui discute avec la gauche et, pour être plus précis, avec une partie de la gauche. Voilà le pari que tente de relever Emmanuel Macron.
00:35Il a bien vu qu'avec la droite, c'était trop serré, c'était trop court, ça ne faisait une majorité trop étriquée, enfin une majorité, un socle trop étriqué,
00:42et c'est ce qui a fait tomber Michel Barnier. En choisissant de discuter avec les socialistes, et peut-être dans un second temps, on verra, avec les écologistes,
00:48qu'il a plutôt épargnés, comme les socialistes dans son allocution hier soir, ça donnerait une assise un peu plus large aux macronistes et surtout aux Premiers ministres qui gouverneraient la France.

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