Le domicile de Donald Trump, ancien président des États-Unis, est désormais placé sous la surveillance de chiens-robots.
Ces dispositifs high-tech, produits par Boston Dynamics, illustrent une nouvelle étape dans l’évolution des méthodes de sécurité autour des personnalités politiques.
Après avoir été la cible de deux tentatives d’assassinat en 2024, Donald Trump, président élu pour un nouveau mandat, bénéficie d’une sécurité renforcée autour de sa résidence de Mar-a-Lago.
L’entreprise Boston Dynamics a déployé "Spot", un robot quadrupède équipé de caméras à 360 degrés, de capteurs sophistiqués et de microphones.
Ces robots, bien que non armés, peuvent naviguer dans des espaces complexes, monter des escaliers et surveiller activement l’environnement grâce à une technologie de pointe.
Selon le Secret Service, ces dispositifs visent à pallier les failles de sécurité humaine et à renforcer la vigilance dans une période de tensions accrues.
En effet, les incidents récents ont mis en lumière la nécessité de solutions innovantes pour protéger les personnalités publiques.
"Spot" mesure environ 70 cm, pèse un peu plus de 32 kg, et peut se déplacer à une vitesse de 1,6 mètre par seconde.
Conçu à l'origine pour des missions industrielles et militaires, il s'avère particulièrement adapté aux besoins de surveillance. Une étiquette indique clairement "ne pas caresser", rappelant qu’il ne s'agit pas d'un simple gadget, mais bien d’un outil de sécurité avancé.
Si l’usage de chiens-robots pour protéger une résidence privée de ce type est une première, il n’est pas sans controverse. En 2022, la police de New York avait brièvement adopté "Spot" avant de renoncer sous la pression du public, inquiet de la militarisation de la police.
Ce déploiement à Mar-a-Lago pourrait raviver les débats sur l’impact de la technologie dans la surveillance et la protection des individus.
Une tendance qui se généralise
Le recours à des robots dans le domaine de la sécurité s’intensifie à l’échelle mondiale. Selon les experts, ces dispositifs sont particulièrement efficaces dans des environnements hostiles ou difficiles d’accès.
Pour Donald Trump, ces innovations technologiques représentent une réponse directe aux risques croissants liés à sa position politique et à son retour sur le devant de la scène internationale.
Pour l’heure, les "chiens-robots" de Mar-a-Lago suscitent autant de fascination que d’interrogations sur l’avenir de la sécurité présidentielle et sur l'éthique d'une surveillance robotisée.
Ces dispositifs high-tech, produits par Boston Dynamics, illustrent une nouvelle étape dans l’évolution des méthodes de sécurité autour des personnalités politiques.
Après avoir été la cible de deux tentatives d’assassinat en 2024, Donald Trump, président élu pour un nouveau mandat, bénéficie d’une sécurité renforcée autour de sa résidence de Mar-a-Lago.
L’entreprise Boston Dynamics a déployé "Spot", un robot quadrupède équipé de caméras à 360 degrés, de capteurs sophistiqués et de microphones.
Ces robots, bien que non armés, peuvent naviguer dans des espaces complexes, monter des escaliers et surveiller activement l’environnement grâce à une technologie de pointe.
Selon le Secret Service, ces dispositifs visent à pallier les failles de sécurité humaine et à renforcer la vigilance dans une période de tensions accrues.
En effet, les incidents récents ont mis en lumière la nécessité de solutions innovantes pour protéger les personnalités publiques.
"Spot" mesure environ 70 cm, pèse un peu plus de 32 kg, et peut se déplacer à une vitesse de 1,6 mètre par seconde.
Conçu à l'origine pour des missions industrielles et militaires, il s'avère particulièrement adapté aux besoins de surveillance. Une étiquette indique clairement "ne pas caresser", rappelant qu’il ne s'agit pas d'un simple gadget, mais bien d’un outil de sécurité avancé.
Si l’usage de chiens-robots pour protéger une résidence privée de ce type est une première, il n’est pas sans controverse. En 2022, la police de New York avait brièvement adopté "Spot" avant de renoncer sous la pression du public, inquiet de la militarisation de la police.
Ce déploiement à Mar-a-Lago pourrait raviver les débats sur l’impact de la technologie dans la surveillance et la protection des individus.
Une tendance qui se généralise
Le recours à des robots dans le domaine de la sécurité s’intensifie à l’échelle mondiale. Selon les experts, ces dispositifs sont particulièrement efficaces dans des environnements hostiles ou difficiles d’accès.
Pour Donald Trump, ces innovations technologiques représentent une réponse directe aux risques croissants liés à sa position politique et à son retour sur le devant de la scène internationale.
Pour l’heure, les "chiens-robots" de Mar-a-Lago suscitent autant de fascination que d’interrogations sur l’avenir de la sécurité présidentielle et sur l'éthique d'une surveillance robotisée.
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