Mon avis sur le dernier film de Martin Scorsese sorti sur Netflix : The Irishman.
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Court métrageTranscription
00:00Eh bien bonjour à tous, aujourd'hui on va parler d'un film qui va en ravir plus d'un en cette fin d'année, j'ai bien surnommé The Irishman.
00:07🎵
00:15Bon du coup j'ai eu envie de vous parler de ce film en face caméra parce que j'ai voulu que ce soit un petit peu plus
00:19intimiste, parce que c'est vrai que c'est un film qui m'a pas mal marqué, donc
00:23j'avais envie de partager ça, voilà,
00:26comme ça, en face à face, ça fait plaisir, voilà, même si je ne vous vois pas,
00:30mais je vous imagine et vous êtes tous très beaux, enfin je suppose.
00:34Du coup l'histoire de The Irishman se base sur le best-seller de Charles Brandt qui raconte la vie et la disparition
00:40d'un des patrons des syndicats les plus connus aux Etats-Unis, j'ai bien surnommé Jimmy Hoffa.
00:44Il raconte l'histoire de Hoffa donc, mais à travers le point de vue de son garde du corps et ami
00:48Frank Sheeran, qu'on surnomme The Irishman. Le film raconte surtout les 40 dernières années de la vie de Frank Sheeran, à travers différents
00:55flashbacks et narrés par le personnage de Frank Sheeran. On va être témoin de l'évolution de Frank dans le monde de la criminalité,
01:02de son rapport à l'amitié, à la famille et au temps qui passe, et pour ne pas tourner autour du pot sans s'étendre, je vous le
01:07dis, The Irishman est un film incroyable.
01:10Scorsese est dans un mood incroyablement mélancolique, on connaît tous ses trois précédents films sur la mafia, à savoir Mean Street,
01:16Les Affranchis et Casino, mais contrairement à ses films qui nous relatent une vision plutôt positive du monde des gangsters,
01:22beaucoup plus bling bling, beaucoup plus brut de décoffrage, The Irishman se veut étonnamment plus terre à terre, plus contemplatif,
01:28plus réaliste. Il y a une espèce d'élégance qui se dégage de la mise en scène, une espèce de sobriété,
01:33et surtout on voit Scorsese prendre son temps comme rarement il l'a fait dans un film. Et un film de 3h30 qui parle du temps
01:39qui passe, bah c'est pas anodin. On joue beaucoup sur la gestuelle, sur les regards des personnages pour faire passer les émotions,
01:45même si les dialogues sont tout aussi incroyables. C'est du simple champ contre champ, mais mêlez ça au charisme des acteurs,
01:51et à une écriture assez fine, on en ressort des dialogues qui vont faire date encore longtemps. D'ailleurs, certains dialogues m'ont beaucoup fait penser à
01:58l'écriture de Tarantino. Je pense notamment au dialogue dans la voiture du fils de Jimmy Hoffa,
02:02où il s'est en train de parler de poissons pendant dix minutes, une espèce de conversation complètement
02:07what the fuck, comme on peut trouver dans les films de Tarantino, même si on sait que le poisson mort ça représente la menace
02:12ultime de la mafia. Quand la mafia t'envoie un poisson mort, ça veut dire que tu vas aller dormir avec les poissons,
02:17et donc que tu vas te faire tuer, quoi. Il y a aussi ce dialogue à Miami avec Jimmy Hoffa et cet italien qui arrive en short
02:22et qui arrive en retard, et Jimmy Hoffa lui dit tu t'excuses, et lui tu lui dis non, c'est toi qui t'excuses,
02:26et on joue comme ça sur une guerre d'égo pendant une dizaine de minutes. Je voyais vraiment un dialogue à la Tarantino, alors c'est peut-être
02:33tiré par les cheveux, mais moi je l'ai ressenti comme ça, et c'était plutôt cool, et assez
02:37rafraîchissant, et plutôt drôle par moment. Donc ouais, tout ça pour dire que du coup, ce film ça parle pas vraiment de mafien, en fait.
02:42On dépeint l'histoire d'hommes qui trempent dans ce milieu
02:45plus que le milieu en lui-même. Il suffit de comparer la scène des meurtres et des règlements de comptes dans Casino et les Affranchis et dans
02:51ce film. On voit que les scènes de meurtres dans Casino et les Affranchis sont quand même beaucoup plus spectaculaires, sont plus mises en scène, font plus
02:57cinéma au final. Alors que là, dans The Irishman, les règlements de comptes sont très rapides, voilà,
03:02t'as Frank qui arrive, qui tire trois balles, et il s'en va, ça dure vraiment même pas une minute, quoi. Mais ça retranscrit une certaine réalité
03:09et ça rend le film beaucoup plus crédible. Parce que oui, c'est un film de gangsters, mais qui, au final, utilise ce point comme
03:15prétexte pour développer le vrai propos du film, le regret. On a vraiment ce sentiment de, ben regarde, ça c'est ma vie,
03:22elle a défilé à toute vitesse, et aujourd'hui, ben, ben, je...
03:26Qu'est-ce que j'ai apporté grâce à cette vie ?
03:28Qu'est-ce que j'ai fait de bien ? Qu'est-ce que j'ai fait de mal ? Est-ce que mes actes méritent le pardon ? On va beaucoup parler de
03:33ce film comme une oeuvre testamentaire pour Scorsese, mais en même temps, c'est comme ça qu'il nous le présente.
03:37Déjà parce qu'il renoue avec le genre qui a fait son succès, aussi parce qu'il rappelle les acteurs avec qui il a connu sa
03:43montée en puissance, mais surtout parce qu'il se livre dans ce film. Il nous parle du temps qui passe, et qu'on ne peut arrêter.
03:48Des choix d'un homme qui pense avoir le temps de se racheter, mais qui, au final, arrive à un point de sa vie
03:53où il est trop tard pour ça. Et je suis en train de me dire, ben, que l'antagoniste du film,
03:58c'est le temps, finalement. Et ici, le récit se veut beaucoup plus mature, beaucoup plus posé, beaucoup plus long, et c'est vrai que ça aurait
04:04pu être un vrai bordel, parce qu'on a une histoire qui s'étire sur 40 ans, où on va vivre des flashbacks dans des flashbacks,
04:10mais le montage et la fluidité du film s'avèrent, au final, être incroyables. Même pas besoin de mettre un
04:15trois ans plus tard, trois ans plus tôt, ou je ne sais quoi.
04:18Tout le film se déroule d'une traite, et le rythme, pour un film de 3h30,
04:23est hyper bien maîtrisé. Et ça, on le doit en partie au montage incroyable de Thelma Schoonmaker, qui est la monteuse
04:30historique de Scorsese, depuis, ben, depuis presque 40 ans. Et c'était pas évident à la base, parce que, ben,
04:35The Irishman raconte l'histoire d'une vie entière. La vie de Frank Sheeran, une vie vouée à finir dans la solitude
04:41et l'amertume. D'ailleurs, les 40 dernières minutes sont, pour moi, les plus puissantes du film. D'une tristesse intense et d'un pessimisme
04:48absolu. Et je ne pouvais pas passer à côté de cet ultime plan qui sonne comme la peur de Scorsese, la peur de mourir,
04:53mais aussi d'être oublié. Cet ultime plan qui montre un homme à peine visible dans l'entre de la porte,
04:58l'étau de la mort se refermant sur lui, petit à petit, cherchant la rédemption de sa famille,
05:03mais surtout de Dieu. Ce plan en dit beaucoup sur la vie de Martin Scorsese,
05:0877 ans, je le rappelle. Et qui sait que le plus long du chemin est derrière lui,
05:11et se demande donc quelle trace il va laisser dans notre monde. Et bien, rassurez-vous, Monsieur Scorsese, votre légende vous survivra
05:18longtemps après votre mort. Puis d'ailleurs, on le voit à travers ce film, Martin Scorsese n'a rien perdu de sa superbe. Je peux citer en
05:24exemple la scène du meurtre de Jimmy Hoffa, qui est d'une tension
05:27incroyable. La mise en scène de Scorsese est à son maximum ici, ça faisait très longtemps
05:31que je n'avais pas vu une scène aussi prenante. Et l'attention qui s'installe durant toute cette scène est complètement étouffante.
05:37C'est-à-dire qu'on sait à peu près ce qui va se passer, mais on ne le sait pas forcément non plus, parce que ça reste flou.
05:42On a ces allusions, comme je disais dans la voiture, aux poissons morts, qui est une allusion de
05:47mafieux pour faire une menace, en gros. Et donc on parle de ça dans la voiture, donc on comprend qu'il y a
05:53un sous-texte qui nous explique qu'en gros, bah, qu'il va se passer un truc.
05:56Et on sait à peu près ce qui va se passer, mais on sait pas de quelle manière ça va se passer. Donc quand on voit
06:01que Frank tue son meilleur ami Jimmy
06:04comme ça, d'une traite, sans, bah pareil, sans forcément
06:07aucune émotion, et qu'on sait que par la suite dans sa vie, c'est ce qui va être son principal regret,
06:12bah,
06:13c'est un des gros virages du film. Et c'est sans doute une des meilleures scènes du film, si ce n'est peut-être la meilleure. Et
06:19The Irishman, c'est aussi trois acteurs légendaires qui se réunissent à l'écran pour la première fois. On a Robert De Niro, pour commencer, qui signe sa
06:26neuvième collaboration avec Martin Scorsese. Il campe le personnage de Frank Sheeran et le fait avec une élégante sobriété.
06:31Il cerne parfaitement le comportement de son personnage. Un homme qui n'a jamais voulu plus que ce qu'il n'avait, et qui s'est retrouvé à
06:37mener cette vie presque malgré lui. Ensuite, on a Joe Pesci, qui est totalement à contre-emploi ici, et très loin du gangster
06:44instable et complètement fou furieux qu'on a pu voir dans Casino où les a franchis.
06:48Cet acteur qui avait plus joué depuis déjà un moment prouve qu'il est encore au niveau, et bien plus encore. J'ai une scène qui me reste
06:54en tête, c'est l'ultime scène avec Frank, c'est cet ultime dialogue
06:58dans la prison quand ils sont très vieux, où ils trempent une dernière fois leur pain dans leur vin.
07:04Joe Pesci, dans cette scène, est totalement incroyable. Et je vous avoue que moi, c'est à ce moment-là que j'ai versé une larme.
07:09C'est à ce moment-là que je me suis rendu compte vraiment du poids de la vie, en fait. Voir un homme comme ça évoluer
07:16physiquement, mentalement, et arriver à ce point-là,
07:19tu te prends une claque. Enfin, moi, je me suis pris une claque à ce moment-là, quoi. Enfin, Joe Pesci est un immense acteur,
07:25mais ça, après, c'était plutôt une évidence. Et enfin, pour finir, celui qu'on ne présente plus, qui joue le rôle de Jimmy Hoffa,
07:31j'ai bien surnommé Al Pacino. C'est simple, lui, il est tout bonnement
07:35magistral dans ce film. Il livre une performance comme il ne l'avait plus fait depuis très longtemps.
07:39Son personnage est assez intéressant à suivre, complètement réfractaire à la méthode mafieuse, mais qui s'en sert pourtant
07:45dans ses affaires. Et surtout, aveuglé par sa position de force, qui ne s'avère être qu'une illusion, finalement.
07:50La relation qu'il tiendra avec Frank sera très touchante et très bien développée, d'ailleurs. Je pense également au reste du casting tout aussi excellent.
07:57Hervé Keitel, Stéphane Graham, Anna Paquin, Jesse Plemons, et j'en passe.
08:01D'ailleurs, à la fin du film, Netflix va vous proposer une petite table ronde d'une vingtaine de minutes, où De Niro, Pacino,
08:07Petchi et Scorsese vont se retrouver pour échanger autour du film. Un moment très intéressant où les quatre légendes reviennent, notamment sur le
08:15rajeunissement numérique. Personnellement, je trouve le procédé assez réussi. Alors, c'est vrai que sur De Niro, il peut un petit peu surprendre au début,
08:20c'est vrai que c'est assez visible
08:23en début de film, mais on passe vite outre tout ça, et ça devient naturel, quoi. D'ailleurs, dans cet échange,
08:29Scorsese explique qu'il ne voulait pas que ses acteurs
08:31bossent avec des espèces de petites pastilles sur le visage. Et c'est vrai que, durant le film, moi-même, je me posais la question, je me suis dit
08:36mais comment ils ont pu les faire bosser comme ça, avec des trucs partout sur la gueule ? Enfin, je vois
08:41je vois mal des mecs comme Pacino, De Niro, bosser avec des trucs partout. Enfin, ça me paraissait bizarre, et
08:47effectivement, c'était bizarre, et effectivement, Scorsese a attendu que le procédé soit au point, et qu'on n'ait plus besoin de ces trucs-là pour
08:55rajeunir les personnages, et ils ont trouvé une solution, et voilà, voilà comment ils ont procédé. C'est grâce à plusieurs caméras, notamment,
09:01qu'ils ont pu, qu'ils ont pu
09:03rajeunir les personnages, et c'est plutôt bien foutu. En tout cas, sur Pecci et Pacino, c'est bluffant. D'ailleurs, dans ce petit reportage,
09:10Scorsese nous délivre une anecdote sur Pacino, qui est assez drôle aussi, où il explique que, durant le premier jour de tournage avec Pacino,
09:19Pacino jouait son personnage à l'âge de 49 ans, alors que Pacino en a plus de 70. Et, bah, du coup,
09:27dans cette scène-là, Pacino se lève de son siège,
09:29et, bah, le problème, c'est qu'au début de la scène, il se lève comme un mec de 70 ans, et pas comme un mec de 49.
09:35Donc, quand t'as un visage hyper jeune, encore hyper jeune, et que tu te lèves comme un papy,
09:39bah, ça passe mal à l'écran. Donc, t'as les techniciens qui expliquent à Scorsese, bah, qu'il faudrait lui dire qu'il soit un peu plus
09:46vivace, quoi. Et, bah, même Scorsese osait pas dire ça à Pacino, alors que Scorsese est quand même Scorsese.
09:52Mais même lui osait pas dire à Pacino, écoute, mec, il faut que tu sois un peu plus...
09:56Avec un peu plus de peps, quoi, tu vois, faut que tu te lèves avec un peu plus... Voilà, t'as 49 ans, quoi.
09:59Donc, il a fini par lui faire comprendre, et, bon,
10:03durant cette petite table ronde, il discute de ça autour d'un verre, avec beaucoup d'humour, voilà, avec beaucoup de second degré, et
10:10c'est, entre autres, ce que vous pouvez retrouver dans ce petit reportage, donc je vous le conseille, parce que ça raconte beaucoup de trucs intéressants
10:15sur tout ce qui tourne autour du film, et comment il a été fait. Et maintenant, j'aimerais parler VF, parce que j'ai vu ce film en
10:20VF, et je trouve la VF tout bonnement excellente dans ce film. C'est simple, on est au même niveau que la VF de Heat, par exemple.
10:26On a Jack France sur De Niro, et José Luchoni sur Pacino, qui sont les deux voix officielles des deux acteurs, et du coup, ben,
10:33n'ayez pas peur de voir ce film en VF, n'ayez pas honte, surtout, de voir ce film en VF,
10:38parce que la VF est très très bonne dans ce film. Là, j'ai commencé en VO, je suis passé en VF pour voir ce que ça donnait,
10:43et la VF m'a complètement convaincu, donc je suis resté en VF, et ça n'a pas du tout
10:48remis en cause ma vision du film et
10:51la performance des acteurs, enfin, la VF de ce film est très très bonne, donc voilà.
10:55C'est assez paradoxal, l'histoire de ce film, parce que, ben, on se retrouve avec un film qui, au final, embrasse des codes
11:01qui ne sont plus les nôtres, aujourd'hui, en tout cas, qui ne sont plus les codes du cinéma actuel, mais qui est diffusé sur une plateforme
11:08hyper moderne, comme Netflix. C'est un film qui épouse l'ancien et le nouveau, c'est un film qui a été fait par un des derniers
11:14réalisateurs du Nouvel Hollywood, avec des acteurs légendaires des années 70, 80 et 90,
11:19avec un scénario et une trame qu'on retrouve de moins en moins au cinéma actuellement, mais qui pourtant utilise des procédés numériques
11:26totalement dans l'air du temps, et qui est diffusé sur une plateforme de streaming, à savoir Netflix.
11:31Donc ouais, quand on regarde ce film, on a l'impression d'assister à quelque chose d'historique, au final. On a l'impression d'être témoin de la fin
11:37d'une ère, et certains reprochent à Netflix de tuer le cinéma, mais au final, s'il n'y avait pas Netflix,
11:42il n'y aurait pas ce genre de film, parce qu'aucun studio n'a voulu signer ce film à, je le rappelle,
11:47160 millions de dollars de budget. Donc merci Netflix d'avoir produit The Irishman, comme merci Netflix d'avoir produit Roma, ou d'autres films
11:54qu'aucun studio ne voulait diffuser dans les salles de cinéma. Alors en effet, c'est frustrant de ne pas avoir vu The Irishman au cinéma,
12:00j'aurais adoré voir The Irishman au cinéma,
12:03mais je préfère voir The Irishman à la télé que pas le voir du tout. Donc à partir de là,
12:07voilà. En fait, tout ça pour dire que The Irishman est un des grands films de cette année, voire un des grands films de la
12:13décennie,
12:14un des tous meilleurs films de Scorsese,
12:16et voilà, écoutez,
12:20c'est un immense film, un immense film, et je suis très fier de l'avoir vu et d'avoir assisté à ce
12:25film historique, tout simplement. Parce que la manière dont ça a été fait,
12:30l'histoire du projet, sa méthode de diffusion, son réalisateur,
12:34ce film est d'ores et déjà historique.
12:36Du coup voilà, n'hésitez pas à me dire ce que vous avez pensé du film en commentaire. Alors j'attends bien entendu des commentaires constructifs,
12:41comme d'habitude, on évite
12:43de dire des conneries, parce qu'en ce moment Netflix, enfin en ce moment, j'allais dire Netflix, mais en ce moment YouTube c'est la cour des miracles,
12:50peut-être comme Netflix d'ailleurs. Je reçois des commentaires, des trucs,
12:54récemment j'ai fait une vidéo sur Apocalypse Now, et il y a des mecs qui me font chier pour mon accent anglais par exemple.
12:58Voilà, je me casse le cul à faire une vidéo sur Apocalypse Now que je bosse depuis des mois,
13:02et quand je la sors, le seul truc qu'on me dit c'est, attention ton accent anglais c'est de la merde.
13:06Enfin bon,
13:08voilà, c'est pénible parfois. Après bon, ça reste quand même des cas isolés, donc voilà, en tout cas on peut parler de The Irishman en commentaire,
13:16et
13:18voilà, on peut en débattre.
13:19Dites moi ce que vous avez pensé du film. Après je suis pas rentré dans une analyse très détaillée du film, je me garde ça
13:23pour l'année prochaine, je vais le revoir l'année prochaine, le retravailler,
13:26et vous proposer une analyse beaucoup plus détaillée.
13:29Là je voulais vous donner un petit peu mon avis à chaud, que je puisse aussi avoir votre avis en commentaire.
13:33Donc voilà. D'ailleurs j'ai aussi créé une page uTip, alors ça fait longtemps que je l'ai créé, mais elle a été validée il n'y a pas
13:39longtemps que ça, j'avais quasiment oublié de son existence,
13:41mais ils me l'ont débloqué il y a quelques jours, donc n'hésitez pas à aller voir, le lien est en description.
13:46Vous pouvez du coup suivre, me suivre sur uTip, et voir toutes mes actus, que ce soit Twitter,
13:52Instagram, Facebook, YouTube,
13:53tous sur une seule page, et vous pouvez également soutenir la chaîne grâce à des tips gratuits en visionnant quelques pubs.
13:59Donc voilà, uTip c'est en description, donc n'hésitez pas à aller voir si vous voulez,
14:03et quand à moi je vous dis à très bientôt, et à très bientôt, ciao !