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POLITIQUE - Elle dit avoir rencontré un Premier ministre « courtois », mais « campé sur ses positions ». Ce lundi 25 novembre, Marine Le Pen a pris la parole à la sortie de son entretien avec Michel Barnier, dans un contexte où la députée du Pas-de-Calais agite comme jamais la possibilité de renverser le Premier ministre en cas de recours au 49-3 sur le budget. Et alors que ce rendez-vous était perçu comme une opportunité pour le Premier ministre de déminer (autant que possible) cette perspective, la présidente du groupe RN à l’Assemblée nationale maintient au contraire la pression.



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Transcription
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00:19Si le budget reste en état, nous l'avons toujours dit.
00:22Encore une fois, nous ne prenons personne de court.
00:25Nous avons dit la même chose depuis 3 mois.
00:29Nous avons exposé qu'elles étaient pour nous
00:31les éléments non négociables.
00:35Voilà, je crois que nous sommes vraiment loyaux
00:38dans la démarche politique qui est la nôtre.
00:41Nous défendons les Français.
00:43Nous ne renoncerons pas à défendre les Français.
00:46Et le petit discours, la petite musique,
00:48reprise par l'intégralité des médias
00:50et diffusée directement de Matignon,
00:53consistant à dire, vous vous rendez compte,
00:56si jamais ce budget est refusé, s'il y a une censure,
01:00ça va être dramatique, ça va être le chaos,
01:03ça va être la chianlie, etc.
01:06Si ce budget ne passe pas,
01:08c'est le budget de l'année dernière qui s'appliquera.
01:10Il est plutôt, somme toute, moins mauvais que celui-là,
01:13puisqu'il y a moins d'impôts qui pèseront
01:16sur les classes populaires et les classes moyennes.

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