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Transcription
00:00On va parler de mon ami, que j'adore, Marcel de Sailly, champion du monde 98.
00:03Marcel de Sailly que tout le monde connaît, incroyable son histoire, j'aime ce garçon.
00:07Évidemment, vous avez raison, mais il a des petits soucis en ce moment.
00:10Pourquoi ?
00:10Parce qu'en fait, il a dû se soumettre à un test ADN ordonné par la justice
00:15pour la petite Victoria, une fille qui serait sa fille.
00:21Et après les tests, la confirmation confirmait que cette petite Victoria qui a 10 ans,
00:24c'est bien la fille de Marcel de Sailly.
00:28L'audience du 10 décembre le confirmera, prochain.
00:31Une fois qu'on a fait le test, après, on passe au tribunal pour confirmer ou pas.
00:34Alors, c'est une liaison qu'il avait eue avec une fille qui s'appelle Cosma Batista,
00:39qu'il a rencontrée en 2010.
00:40Ils ont eu une histoire au même moment avec laquelle il était toujours marié avec Virginie,
00:46avec qui il a la mère de ses quatre enfants, pour l'expliquer.
00:49Et ils sont en procès.
00:51Il est en procès avec cette fameuse Cosma Batista depuis 2013.
00:55Lui contestait la paternité.
00:57Un test a été ordonné par la justice.
00:59Et puis, ça vient de tomber.
01:01C'est bien le père, à 99,99%.
01:06Donc, le tribunal va statuer, en tout cas, le 10 décembre prochain.
01:10– OK, écoutez, on embrasse en tout cas.
01:12– C'est un classique, j'ai beaucoup de personnalité, il faut le savoir.
01:14– Ah d'accord, c'est un classique.
01:15– Oui, oui, non mais c'est un classique.
01:18– Si c'est un classique, c'est un classique.
01:19– Alain Delon, Christophe, Claude François, enfin tous,
01:22il y a eu des enfants adultérins comme ça.
01:23– Ah oui, c'est un… Yves Montand ?
01:25– Montand, évidemment, Henri Salvador,
01:28parce que Jean-Marie Perrier est un enfant adultérin, au-delà de tout.
01:30– On va parler également de René Latope.
01:31– Je ne sais pas, je ne suis pas au courant, ceux-là.
01:34Non, mais ça reste un classique chez les stars.
01:36Bon, il y a toujours des enfants qu'on retrouve comme ça, après, ça peut arriver.
01:39Les coups perdus, on appelle ça.
01:40– Les coups perdus, merci.
01:43C'est très élégant, en tout cas, merci.
01:45Vous êtes une élégance à chaque fois, enfin, vous le faites.
01:48– C'est insupportable.
01:49– Mais c'est comme ça, ça existe, on ne peut pas…
01:52– On pense à la petite fille surtout, tu vois.
01:54– Mais c'est pour ça que la justice, je pense, va réparer tout ça,
01:57en ordonnant justement, son ex-compagne, en tout cas,
02:01réclame 5 000 euros de pension alimentaire, plus tous les dommages.
02:05– Bien sûr, exactement, bravo.
02:06– Effectivement, non mais je partage votre avis,
02:08mais à un moment donné, on ne peut pas changer la société.
02:11Voilà, c'est comme ça, on veut l'améliorer, mais on…
02:14– De quoi il parle ?
02:15– Voilà, c'est comme ça, ça arrive, ce n'est pas la première fois.
02:19– C'est bon, merci.
02:20– Gilles Verdej, j'ai envie qu'on… Voilà, en parlant, ça c'est une belle histoire.
02:23À 50 ans, écoute, racontez, ça c'est une belle histoire.
02:27– Ah oui.
02:27– Voilà, ce n'est pas comme vous, là.
02:29– C'est une histoire incroyable, c'est un homme aux États-Unis,
02:31qui a été adopté en 2009, il avait 35 ans.
02:35Il est adopté, et puis il se dit quand même, je suis adulte maintenant,
02:39ma vie va bien, je voudrais savoir quelle est ma mère biologique.
02:43Et donc, il fait appel à une chasseuse de généalogie,
02:46qui va travailler, et qui va retrouver une dame,
02:51qui a eu un enfant, qui lui raconte, qui dit oui, j'ai eu un enfant à 17 ans,
02:55je ne me sentais pas capable de l'élever, et je l'ai confié au service d'adoption.
03:00Et à ce moment-là, la chasseuse généalogique va parler avec cette dame,
03:05qui est boulangère, elles vont se raconter des choses, etc.
03:09Et puis, en se rapprochant, ils vont se rendre compte
03:13que cette boulangère, elle connaît l'homme de 50 ans.
03:17Pourquoi elle le connaît ? Parce qu'il est client de la boulangerie.
03:21Il y va deux fois par semaine dans cette boulangerie pour acheter son pain, etc.
03:26Et donc, ils parlaient tous les deux en plus, c'est ça qui est dingue,
03:28l'homme et la boulangère parlaient tous les deux,
03:30mais jamais de leur vie intime, etc.
03:33Donc, finalement, ils vont tomber d'accord pour se voir,
03:37l'homme de 50 ans abandonne son travail, retrouve sa mère biologique,
03:40et aujourd'hui, il travaille dans la boulangerie.
03:42Grâce à cette chasseuse, c'est une magnifique histoire.
03:45– C'est génial.
03:46– Ça c'est bon, ça c'est bon, voilà, ça c'est bon, oui, ça c'est bon.
03:54– Il pue le pain.
03:55– Parce que lui, regardez, le roi de la fougasse, là.
03:58– Il y a des faits divers qui ne sont pas faciles à raconter.
04:01– Oui, mais ce n'est pas ce qu'on vous a demandé.
04:02Alors, tiens, qu'est-ce qui s'est passé pour Kate et William, là ?
04:07– Ah oui, Kate et William, alors, grosse frayeur.
04:10– Ah oui ?
04:11– C'est révélé depuis hier au Daily Mail,
04:13dans le journal Daily Mail, là-bas à Londres,
04:15parce que dans la nuit du 13 au 14 octobre dernier,
04:19eh bien, quatre hommes masqués ont escaladé une clôture d'un mètre 80,
04:24la fameuse propriété où résident, justement, Kate et William.
04:28Cette nuit-là, ils étaient au domaine, dans le manoir,
04:32ils dormaient là, avec leurs quatre enfants,
04:34et ils ont volé, alors, surtout, les outils agricoles,
04:39véhicules agricoles, outils agricoles, un piqueur, un quad.
04:42– Ah oui, quand même ?
04:42– Oui, ils sont partis, ils sont arrivés équipés,
04:44ils étaient tous en cagoule, etc.
04:46– Ah, ils étaient tous en cagoule ?
04:47– Avec un paquet d'outillages.
04:49– Il vaut mieux chanter « Fouta cagoule ».
04:52– Avec de l'outillage, ils sont partis avec des outils agricoles et un piqueur.
04:56– Parcoliez Fogel.
04:57– Moi, je fais mon imitation préférée, c'est Fogel qui chante « Fouta cagoule ».
05:00« Fouta cagoule », « Fouta cagoule ».
05:03– « T'auras trois, t'auras les glandes, t'auras les boulins. »
05:05– Mais le futur roi d'Angleterre, il n'est pas protégé, non ?
05:09– La sécurité, ils sont tous convoqués depuis ce matin et tout ça.
05:13– Comment vous savez ?
05:14– Parce qu'on a des retours, évidemment.
05:15– Vous avez des retours de Londres aussi ?
05:16– J'ai appelé ce matin, évidemment.
05:18– Vous avez appelé qui à Londres ?
05:20– Des gens, je ne donne pas mes sources, généralement.
05:21– Il a appelé la Garde du Nord, là.
05:23– Il a appelé la Garde du Nord.
05:25– Un heureux star, il a appelé l'heureux star.
05:27– Non, mais c'est panique à bord, quand même,
05:29parce que la sécurité s'interroge.
05:30– Gilles Verdez, il y a de nouvelles plaintes pour viol contre PPD, apparemment.
05:34– Absolument, et c'est des nouvelles plaintes
05:36qui peuvent remettre en question la prescription.
05:38Pourquoi ?
05:39Parce que ce sont deux femmes qui avaient déjà porté plainte,
05:41ça avait été classé sans suite pour prescription.
05:44Mais elles reportent plainte avec constitution de partie civile
05:46et leur argumentaire, c'est de dire qu'il ne peut pas y avoir prescription
05:50parce qu'il y a une sérialité,
05:52c'est-à-dire que c'est le même hauteur potentielle,
05:55le même mode opératoire.
05:57Et il y a eu une affaire qui s'est passée récemment
05:59avec un meurtrier de la Sambre, le violeur de la Sambre,
06:05qui avait commis des actes apparemment prescrits,
06:08mais comme il y avait une sérialité, la justice l'a jugé pour tout,
06:10il a été condamné.
06:12Donc ces deux femmes-là, elles disent,
06:13il faut absolument qu'il y ait un procès et que notre plainte soit reçue.
06:18Alors, elles ont choisi de continuer le combat judiciaire,
06:22elles espèrent un procès PPDA.
06:24En tout, ça fait 50 femmes qui ont accusé PPDA.
06:28Donc voilà, une information judiciaire est ouverte au tribunal de Nanterre, il dit.

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