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Alors que la France s'apprête à affronter Israël ce jeudi soir en Ligue des nations, les autorités redoutent des incidents dans un contexte de conflits au Proche-Orient. Le dispositif de sécurité du match a été largement renforcé avec près de 4000 forces de l'ordre déployées en région parisienne, dont 2500 autour du Stade de France. Une enceinte qui devrait accueillir seulement 15.000 personnes environ.  

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Transcription
00:00Voilà en direct Emmanuel Macron qui arrive au Stade de France pour ce match France-Israël sous haute escorte lui aussi.
00:11Je rappelle ce chiffre absolument délirant que nous devons garder en mémoire ce soir.
00:16Un policier, un représentant des forces de l'ordre pour quatre supporters.
00:21Guillaume Fard, est-ce que le convoi présidentiel dans ce genre de moment là aussi est doublement, triplement renforcé sur le plan sécuritaire ?
00:30Non, la sécurité du président c'est la sécurité du président. Elle est assurée par le GSPR qui est le groupe de sécurité du président de la République qui a l'habitude du Stade de France.
00:41Le président s'y rend quand même assez souvent donc il y a une certaine pratique. C'est une enceinte qui est bien connue.
00:48Beaucoup des policiers qui composent le GSPR ont servi dans d'autres services préalablement et souvent ont eu à accompagner des autorités politiques au Stade de France.
00:59Il n'y a pas de grande inconnue. En fait la protection du président de la République elle s'insère dans un dispositif qui a été conçu pour protéger le périmètre.
01:07Donc en fait eux ils ont simplement à se glisser dans quelque chose qui a été préalablement conçu.
01:13Donc ce n'est pas d'une grande complexité pour eux et s'il devait y avoir un problème, ils ont des protocoles d'exfiltration du président de la République qui sont bien rodés.
01:21Et on a vu le soir du 13 novembre 2015, il y a deux ans, François Hollande était dans l'enceinte du Stade de France au moment où il y a les attentats et tout a été parfaitement géré.
01:30La commissaire qui s'appelait Sofiate qui gérait sa sécurité a eu une difficulté majeure à repartir avec le président de la République à un jour d'attentat.

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