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[#Exclusif] Karim Nziengui, leader de la coordination générale d’action pour le OUI

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00:00C'est un personnage ambigu parce que d'abord, il faut le dire clairement, il y a une posture hybride
00:09d'abord au sein même de sa formation politique, soit il est militant ou pas du Parti Démocratique Gabonais
00:15et là je crois que M. Bio Ghemba et Mme Angeline Gomma, qui est secrétaire générale du Parti Démocratique Gabonais
00:24doivent avoir du mal à gérer un tel personnage qui s'oppose à tout et qui donc récemment venait d'inviter
00:33soit le Président de la République, soit le Premier Ministre Andon Sima ou le Vice-Premier Ministre Alexandre Barrault-Chambry à un débat public.
00:41Mme, Mlle, M. Bonsoir, bienvenue dans Interview exclusif sur GMT-TV, la Web TV de Gabon Media Time, votre rendez-vous d'analyse et de décryptage de l'actualité.
01:05Aujourd'hui, nous recevons Karim Diengui, ancien quatrième maire adjoint de la commune de Libreville et désormais leader de la Coordination Générale d'Action pour l'OUI
01:16pour aborder les enjeux du référendum constitutionnel du 16 novembre prochain.
01:22Avec lui, nous allons explorer les motivations de la création de sa plateforme, son implication dans la campagne référendaire
01:31pour convaincre les Gabonaises et les Gabonais de se rendre aux urnes et de voter pour l'OUI.
01:36Autant de questions auxquelles notre invité du jour apportera des réponses pour éclairer nos lecteurs et téléspectateurs sur les perspectives d'une nouvelle ère institutionnelle au Gabon.
01:48Karim Diengui, bonjour.
01:50M. Harold Ndeka, bonjour.
01:52Pouvez-vous présenter succinctement les motivations de la création de la Coordination Générale d'Action pour l'OUI dont vous êtes le leader ?
02:02D'abord, on a quitté l'un de voir, celui de vous dire merci.
02:05Merci pour l'invitation faite à l'endroit de notre coordination, la Coordination Générale d'Action pour l'OUI.
02:11Alors, la Coordination Générale d'Action pour l'OUI est née il y a trois mois.
02:17Après plus d'une année d'observation, d'observation de ce qui se faisait et de ce qui se fait par le Comité de transition pour la restauration des institutions,
02:27amené par le Général de Brigade, le Président de la République, M. Brice Cotter-Holliginger.
02:33Au thème donc d'une année d'observation et d'analyse objective, un ensemble d'acteurs politiques,
02:39notamment Serafim Bekalentoutoum du deuxième arrondissement de la commune d'Ontoum,
02:43M. Stévier Simma du premier arrondissement de la commune de Libreville,
02:47d'autres acteurs politiques du sixième arrondissement et Karim Zinghi et d'autres acteurs de la société civile.
02:54Nous nous sommes mis ensemble et avons donc décidé de mettre en place cette plateforme.
02:58Plateforme pour accompagner le processus de transition, mais surtout pour amener notre pays à retrouver l'ordre constitutionnel.
03:07Et donc, lors de notre sortie officielle, nous avons clairement affiché nos intentions, notre engagement.
03:15Notre engagement qui est celui de soutenir, comme je le disais, la transition, le Comité de transition,
03:20mais surtout de soutenir la vision d'un homme, le Général de Brigade, Brice Cotter-Holliginger.
03:24Et pour le compte du référendum, après avoir pris part, parce que j'ai personnellement pris part au dialogue national inclusif,
03:34à la suite de l'appel à contribution, où plus de 38 000 Gabonais se sont manifestés,
03:41j'ai donc pris part au dialogue et aujourd'hui, en cohérence, nous sommes et nous militons en faveur de lui.
03:47Très bien pour cette présentation succincte de votre plateforme.
03:52Quelles sont selon vous les principales avancées de ce projet constitutionnel que vous défendez aujourd'hui ?
03:58Écoutez, Monsieur Elika, je crois que les 173 articles que constitue justement ce projet de constitution
04:06sont des arguments suffisants pour prétendre à une constitution acceptable,
04:12parce que, retenons à toutes fins utiles qu'aucune œuvre humaine n'est parfaite,
04:17on pouvait faire mieux, on peut faire mieux, mais pour l'instant, c'est cette constitution
04:21qui permet à l'ensemble des Gabonais de se retrouver et de prétendre à un avenir meilleur.
04:26Parce que lorsqu'on la compare aux précédentes constitutions, il y a des points qui méritent d'être applaudis
04:34et des points qui méritent d'être soutenus.
04:35Par exemple, dans le cadre de la limitation des mandats, aujourd'hui les choses sont désormais claires,
04:42c'est un mandat de 7 ans, renouvelable une seule fois,
04:46et renouvelable une seule fois avec l'impossibilité de voir succéder au pouvoir un fils
04:54ou le conjoint de celui qui a été président.
04:57Et donc, cela favorise l'alternance, l'alternance tant défendue,
05:02tant décriée par une certaine classe politique de l'opposition de l'époque.
05:07Aujourd'hui, nous nous rendons compte que tout Gabonais peut aspirer à la fonction présidentielle
05:13pour peu qu'il ait un bon projet et pour peu qu'il soit un Gabonais remplissant toutes les conditions
05:19énumérées justement dans l'article 43.
05:21Mais est-ce que ce n'est pas au scrutin de veiller à ce qu'une alternance se fasse plutôt qu'à un article de la Constitution ?
05:28Mais c'est d'abord garantir l'alternance.
05:31Le rôle de la Constitution pour cet article est de garantir l'alternance au pouvoir.
05:36Or, à l'époque, il n'y avait aucune précision, il y avait beaucoup d'ambiguïté.
05:40On disait un mandat présidentiel de 7 ans, renouvelable.
05:44Et donc ça donnait la possibilité à plusieurs responsables de changer et de revoir un certain nombre de dispositions
05:52pour se réhisser au pouvoir.
05:54Et en quoi cette réforme constitutionnelle garantit-elle une meilleure stabilité politique et institutionnelle pour le pays ?
06:01Écoutez, ce qui a généralement fait l'objet de débats et qui a été presque à l'origine de toutes les situations
06:08que nous avons connues par le passé, notamment que ce soit en 93, en 2005, en 2009, en 2016,
06:17toutes les élections présidentielles qui ont été décriées lors de la proclamation des résultats,
06:22a toujours fait état justement d'un certain nombre de dispositions qui ne cadraient pas avec les défis de l'heure.
06:30Et à l'approche de toute élection, plusieurs acteurs politiques, il y avait des levées de boucliers,
06:35plusieurs acteurs politiques qui se plaignaient des changements en cours du jeu d'un certain nombre de dispositions
06:42soit sur le régime présidentiel ou sur les conditions d'organisation d'une élection présidentielle.
06:49Et justement, tout à l'heure, vous avez évoqué, en prenant un exemple, la limitation des mandats pour le président de la République.
06:57On va essayer d'aller un peu plus loin, s'agissant également de la limitation des mandats à la cour constitutionnelle notamment.
07:04Et aussi la suppression du poste de Premier ministre.
07:08En quoi, on va dire que c'est une nouveauté, pourrait-elle transformer notre système politique ?
07:16Déjà, il faut dire qu'il y avait une ambiguïté ou un flou entretenu à l'époque.
07:21Parce que c'est le président de la République qui est élu par ses compatriotes pour un mandat.
07:26Et c'est donc au président de la République de rendre des comptes au peuple qui l'a élu.
07:32Or, il y avait justement le fait que le Premier ministre dirigeait le gouvernement.
07:38Et parfois, ça nous donnait des fuites en avant.
07:40Et on a pu constater, parce que certains ont décrié d'ailleurs, certains anciens premiers ministres qui disaient à l'époque
07:46qu'il y avait des ministres qui ne se pliaient pas aux exigences ou aux instructions du Premier ministre.
07:52C'est tout à fait normal parce que, que ce soit pour le Premier ministre à l'époque, dans l'ancienne constitution,
07:57et les autres membres du gouvernement, tous étaient nommés par le président de la République.
08:01Or, on disait que le Premier ministre était le chef de l'exécutif.
08:05Or, cette nouvelle constitution est claire.
08:07Le président de la République est le responsable de l'exécutif.
08:13Il définit et il détermine et dirige et oriente la politique de la nation.
08:23Donc là, les choses sont suffisamment claires.
08:25Le président de la République est plus en responsabilité.
08:28Le flou a été balayé pour faire de la lumière, pour que chacun sache à quoi s'en tenir.
08:33Donc désormais, il y aura des membres du gouvernement qui seront là pour accompagner la politique du président,
08:41suivre les orientations du président de la République,
08:43parce que c'est le président seul qui aura à repondre devant son peuple.
08:47Mais quels commentaires faites-vous finalement du fait que certaines institutions qui ont souvent fait débat,
08:53notamment la Côte-Nord, je veux parler plutôt du Conseil économique et social ou encore du Sénat,
09:02qui ont souvent fait le débat de la suppression,
09:06parce qu'estimés comme des institutions budgétivores et dont on ne sentait pas vraiment l'impact de leur action sur les populations.
09:15Vous qui avez été au dialogue, pourquoi la question de la suppression de ces deux institutions n'a pas, semble-t-il, été au centre des débats ?
09:25Moi, je pense que ce qui a toujours alimenté le débat, c'est qu'on a toujours pensé que toutes ces institutions
09:33n'avaient que pour seul objectif de caser les acteurs politiques.
09:37Dans la nouvelle constitution, dans le projet de constitution qui, à mon avis et à juste titre,
09:44sera adopté le 16 novembre prochain, l'associété civile participe désormais au débat politique,
09:54c'est-à-dire le débat politique en termes de développement, en termes d'orientation d'idées,
09:58en termes d'exécution justement de la feuille de route qui peut amener notre pays à se développer.
10:04Or à l'époque, il fallait caser certains partis politiques, il fallait caser certains acteurs politiques
10:09et c'est ça faisant en sorte qu'on avait l'impression que toutes ces institutions n'étaient animées que par, en majorité, que par les acteurs politiques.
10:16Or aujourd'hui, un acteur de l'associéité civile peut prétendre aller à l'Assemblée nationale, aller au Sénat,
10:23aller au Conseil économique et social pour justement faire valoir ses idées.
10:28Très bien. Alors, l'opinion a pu constater qu'il a été mis en place une coordination nationale pour le Ouïe
10:35qui est dirigée par le Premier ministre et déplore plus ou moins le fait qu'il n'en existe aucune pour le non.
10:42Est-ce que vous avez un commentaire par rapport à ce deux poids, deux mesures ?
10:46Mais tout simplement parce que tous ceux qui militent pour le non n'ont qu'un argument,
10:51premièrement, et deuxièmement parce que ces derniers n'arrivent pas à taire leurs égaux pour une organisation commune.
11:00Et souvenez-vous, même lorsque nous observons les sorties de ces acteurs politiques ou de ces personnalités qui militent pour le non,
11:08on se rend compte qu'ils ne militent pas pour la même cause parce que chacun tire la couverture de son côté.
11:13On a plus l'impression qu'il s'agit des acteurs politiques qui souhaiteraient justement qu'on leur fasse un peu de la place,
11:19alors que la loi, la Constitution est censée être, ou sinon la Constitution est impersonnelle.
11:25Elle est conçue pour l'ensemble des Gabonais.
11:27C'est le cadre normatif et tous les Gabonais qui aspirent à des fonctions, à des responsabilités, tout azimut, doivent plutôt remplir ces différents critères.
11:37Et donc, ils ont non seulement un manque d'arguments, mais surtout leur incapacité à fédérer.
11:42Ce qui n'est pas le cas pour tous les partisans du groupe.
11:45Est-ce que ce n'était pas à l'État justement de créer le cadre pour expliquer aux populations finalement pourquoi voter oui ou non,
11:52pour que chacun puisse prendre position en toute connaissance de cause ?
11:56Je pense que l'État, le comité de transition et de restauration des institutions, a fait son devoir à respecter son chronogramme.
12:04Parce que le chronogramme de la transition a été clairement donné dès l'arrivée au pouvoir des militaires, emmené par Brice Cotter et Oligine Gema.
12:12La transition est censée durer deux ans.
12:15Et il y a un chronogramme qui a été défini, notamment le référendum.
12:18Mais le préalable était justement l'organisation du dialogue national et inclusif.
12:22L'appel à contribution avant, c'est ce qui a été fait.
12:25Des Gabonais sont allés au dialogue, des Gabonais ont discuté, des Gabonais ont échangé sur des questions importantes qui engagent la nation.
12:31Un rapport final a été produit.
12:33Il y a eu des institutions qui ont été mises en place pour la rédaction justement du projet de constitution.
12:40Aujourd'hui, on peut dire que chaque Gabonais ou la majorité des Gabonais se retrouvent justement dans cette nouvelle constitution.
12:48C'est la raison pour ce nouveau projet de constitution.
12:51C'est la raison pour laquelle ce qu'on observe, c'est que les représentants ou tous ceux qui militent pour le Oui sont nombreux.
12:58Et on ne voit pas sur le terrain tous ceux qui militent en faveur du Non.
13:03Si vous les voyez, donnez-moi quelques exemples.
13:05Mais moi, depuis que je suis en campagne, depuis que la coordination générale d'action pour le Oui et moi sommes en campagne,
13:11nous ne rencontrons pas de causeries ou de rencontres de proximité des acteurs du Non.
13:17Parce que la population gabonaise est suffisamment outillée pour analyser et comprendre l'événéité de certaines personnes,
13:25notamment celles qui militent pour le Non.
13:26Très bien.
13:27Bon, nous allons quand même vous rappeler qu'une coalition était hier, dimanche, avant-hier plutôt dimanche,
13:35au PK-8 autour des leaders tels que Jean-Rémi Yamma.
13:41Et le 9, l'ancien Premier ministre et farouche partisan du Non, Alain-Claude Billet-Binzey, a organisé un meeting à Nizanyan,
13:51meeting d'ailleurs au cours duquel il a invité le président de la transition à défaut,
13:57son représentant, soit le Premier ministre, soit le vice-Premier ministre, à un débat public sur les questions de l'heure.
14:04Vous qui êtes partisan du Oui, quel commentaire faites-vous ?
14:10Déjà, de cette sortie de l'ancien Premier ministre Alain-Claude Billet-Binzey,
14:15est-ce que vous êtes favorable aussi à peut-être débattre contre ou en face des partisans ?
14:20Déjà, moi, je ne mentionne pas, monsieur l'Écart-Nord, je ne mentionne pas les coalitions de deux tendus, deux pellets.
14:27Une coalition, ce sont des acteurs qui défendent un idéal pour le développement de notre pays.
14:33Les coalitions de deux tendus, deux pellets, je ne les aborde pas.
14:38Vous venez tout à l'heure de parler de l'interpellation ou de l'invitation faite par l'ancien Premier ministre Alain-Claude Billet-Binzey.
14:45Écoutez, c'est un personnage ambigu parce que d'abord, il faut le dire clairement,
14:52il a une posture hybride d'abord au sein même de sa formation politique,
14:59soit il est militant ou pas du Parti démocratique gabonais.
15:02Et là, je crois que M. Biogémba et Mme Angélique Gommard, qui est secrétaire générale du Parti démocratique gabonais,
15:10doivent avoir du mal à gérer un tel personnage qui s'oppose à tout,
15:17et qui donc récemment venait d'inviter soit le président de la République,
15:22soit le Premier ministre Andon Simon ou le vice-premier ministre Alexandre Barrault-Chambry à un débat public.
15:28Je suis un homme de tradition et de culture, et selon la société africaine, en général et Bantou en particulier,
15:36on n'a pas le droit d'inviter un aîné à débattre sur la place publique.
15:43Je pense que la posture adoptée par l'ancien Premier ministre est une posture que nous connaissons.
15:49Nous connaissons les velléités justement de cette posture.
15:52Et si j'avais un conseil à donner au Premier ministre Andon Simon, c'est de ne pas se prêter à ce type d'exercice.
15:58Parce que pour tous les partisans du Oui que nous sommes, nous avons une feuille de route clairement définie.
16:04Nous savons où nous allons, nous savons ce que nous faisons.
16:07En résumé, nous sommes là pour défendre une constitution qui va permettre à l'ensemble des Gabonais de retrouver leur dignité,
16:17de retrouver sa dignité, que le peuple gabonais soit restauré en dignité.
16:21Et nous sommes suffisamment clairs, suffisamment clairs et limpides, nos messages sont suffisamment clairs sur le terrain,
16:27alors que pour le cas de l'ancien Premier ministre Alain-Claude Billy Bizet, ça rentre plutôt dans l'invective.
16:36Et ça manque d'épaisseur pour Laurent qui l'a occupé.
16:40Nous avons du respect pour lui parce qu'il a été ancien Premier ministre.
16:44Mais pour rappel, lorsqu'il s'agit de la constitution, je le disais tout à l'heure, la constitution est impersonnelle.
16:51Pour peu qu'un Gabonais se soit imprégné de cette constitution, pour peu qu'un Gabonais soit passionné du débat politique,
16:59pour peu qu'un Gabonais soit outillé en matière de constitution ou en matière politique, ce Gabonais a la capacité et la qualité de débattre.
17:11Le fait d'avoir été Premier ministre, le fait d'avoir été député, le fait d'avoir été vice-Premier ministre
17:18ne vous donne pas la qualité suprême pour défendre la constitution ou pour débattre sur les questions de constitution.
17:24Tous les Gabonais peuvent en débattre, moi y compris.
17:28C'est-à-dire, je refuse qu'il fasse une invitation personnelle, mais qu'il convie, s'il est prêt à débattre,
17:37tous les Gabonais à débattre avec lui sur un plateau télévisé.
17:40Et je suis disposé, au cas où l'invitation me sera faite, de débattre face à Alain-Claude Billy Bizet.
17:47En tant que Gabonais, sur le compte de la constitution.
17:52Très bien, le message passera sans aucun doute.
17:56Alors, nous arrivons au terme de cette interview exclusive.
18:00Un mot de fin ?
18:02Le mot de la fin a l'endroit de la population gabonaise, du peuple gabonais.
18:07Le peuple gabonais a atteint un niveau de maturité acceptable.
18:12Et l'ensemble du peuple gabonais est convaincu qu'après cette transition, notre pays connaîtra un essor vers la félicité.
18:22C'est en cela que j'exhorte l'ensemble des Gabonais, en général, et ceux du cinquième arrondissement en particulier,
18:31à tous militer en faveur de oui.
18:34À se prononcer en faveur de oui le 16 novembre prochain.
18:37Que tous les centres de vote du cinquième arrondissement soient bondés de monde dès 7h30 pour faire passer le oui.
18:46Au cinquième arrondissement, il ne sera pas question d'obtenir un pourcentage qui soit inférieur à 80% pour le oui.
18:58Nous voulons atteindre même les 100%, mais comme vous le savez, aucune œuvre humaine n'est parfaite.
19:03Nous souhaitons que le maximum de Gabonais, le maximum des populations du cinquième arrondissement,
19:09se mobilisent et votent pour le oui, pour qu'au soir du 16 novembre prochain, le oui l'emporte souverainement dans le cinquième arrondissement.
19:20Merci Karim Diengui, leader de la coordination générale d'action pour le oui,
19:24pour cet échange enrichissant dans l'interview exclusive sur GMT TV.
19:30À travers ses réponses, notre invité a défendu ses convictions et les enjeux pour lui de voter oui au référendum du 16 novembre prochain.
19:40Il a rappelé l'importance d'une participation citoyenne massive, notamment pour les Gabonais du cinquième arrondissement,
19:48arrondissement dont il fut élu local et candidat aux législatives dernières.
19:56Dans cette perspective, il a rappelé aux Gabonaises et aux Gabonais de se rendre massivement le samedi 16 novembre prochain
20:04dans les différents centres de vote pour exprimer leur oui à la Constitution.
20:12Alors, merci de nous avoir suivis et à bientôt.

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