• le mois dernier
Transcription
00:00Comme disent les tambours, voici enfin le grand jour, place au savoir-faire, aux innovations
00:18qui font taire, des mains à la manœuvre, à l'esprit au chef d'œuvre, qui sera donné
00:29de la manière à sa matière, qui sera donné forme, fond, vie, sang, chez, âme, sens et
00:37sens et quintessence, aux connaissances qui bonifient le cultural, le culturel et le
00:46cultuel.
00:47Pour ma part, je puis vous rassurer de la mobilisation concernant de la création spéciale
00:54pour que cette fête de l'artisanat soit des plus belles et répondent aux attentes de tous
00:58ceux qui nous ont fait l'amitié sincère d'effectuer le déplacement de Baradou aujourd'hui.
01:03Plein succès à la 17e édition du C.A.O, vive le Burkina Faso, vive l'amitié entre
01:10les peuples, que Dieu bénisse tous les peuples qui nous en font l'amitié d'être avec nous.
01:15Je vous remercie.
01:16Pourvoyeur d'emploi, créateur de richesse, secteur d'épanouissement et d'accomplissement,
01:24artisanat, artisan, oh que oui, le C.A.O. vivra.
01:29Devier de développement, secteur de résilience, pour l'autonomisation, hommes intègres investissons-nous.
01:47En des pays, le secteur de l'artisanat, longtemps resté à marge des priorités de développement,
01:55mérite une attention toute particulière et un accompagnement conséquent.
02:00C'est pourquoi j'exhorte tous les participants à cette édition, à s'associer à la réflexion
02:08autour du thème pertinent de cette dix-septième édition, à savoir artisanat africain, entrepreneuriat
02:17des jeunes et autonomisation, et à faire surtout des contributions constructives et positives.
02:26Levier de développement, secteur de résilience, pour l'autonomisation, hommes intègres investissons-nous.
02:42Le vif du potier était potier, le vif du tissurant tissurant.
02:46Le vif du forgeron forgeron, le vif du maroquiner était maroquiner.
02:50Le mot chômage n'existait pas et le travail ne se cherchait pas.
02:54L'entrepreneuriat était familial, la renaissance de père en vif ne s'en peut pas.
02:58Montrez-moi un seul mot ton gars, écris j'ai l'honneur d'apprendre à bêler.
03:02Ton veillé a grillé mon profond respect, t'aurais dû le dire à ton père le potier.
03:06Mais le vif du potier a perdu la boue, la boue c'est sale c'est ce que disent les bains.
03:10Le vif du tissurant préfère la soie, seulement parce que c'est le tissu du bain.
03:14En fait, l'identité nationale a droit de citer
03:18Où, pour toujours, les justices baissent les quartiers.
03:22Et où, des mains des bâtisseurs de mon radieux,
03:26Murissent partout les moissons des voeux patriotiques.
03:32Brille le soleil enfilé de joie.
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