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La possibilité d'arrêter les matches en cas de chants homophobes dans les tribunes ne recueille pas les faveurs de l'entraîneur Lillois. Pour lui, les moyens de surveillance sont assez sophistiqués pour permettre d'identifier et sanctionner les fauteurs de trouble.

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Sport
Transcription
00:00Qu'est-ce que vous pensez de tout ça ?
00:01D'arrêter les matchs, je ne pense pas que ce soit la solution.
00:03Je ne suis pas un spécialiste juridique, mais je pense qu'il y a des moyens d'arrêter
00:10tout ça, simplement en interdisant les gens de stade, comme les Anglais l'ont fait.
00:14Je crois que j'ai lu ce matin, je ne sais plus dans quel journal, qu'il y avait 3000
00:20interdictions de stade en Angleterre et 200 en France.
00:24Il me semble assez simple, que ce soit pour des champs homophobes ou pour d'autres genres
00:29de violences verbales ou physiques, avec les moyens de vidéosurveillance qu'il y a
00:34aujourd'hui dans tous les stades en France, d'identifier les pseudo-supporteurs qui font
00:41ce genre d'actes et de les interdire de stade, tout simplement.
00:44Il me semble que c'est quand même assez simple, et plutôt que de pénaliser les autres
00:50supporters qui seront dans le stade et qui pour le coup, eux, n'ont rien à se reprocher,
00:55c'est pénaliser les clubs, pénaliser les joueurs, pénaliser le spectacle.
01:00A partir du moment où on peut identifier aujourd'hui, je crois, sans me tromper, pouvoir
01:07le dire, assez facilement, les gens qui se rendent coupables de ce genre d'actes ou d'autres
01:12d'ailleurs, de violences encore une fois, on les interdit de stade, ils viennent pointer,
01:16comme ça se passe en Angleterre, à chaque fois qu'il y a un match, ils viennent au
01:19poste de police pointer pour ne pas qu'ils soient dans les stades et terminer, le problème
01:23est réglé, il me semble.
01:24Merci beaucoup.

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