• hier
Transcription
00:00Je suis ravi, très heureux d'avoir pu tout chanter.
00:04Sachant qu'il y avait un sosie vocal, je me sentais en sécurité.
00:07Je me suis dit bon, pour pouvoir rendre la chose le plus vraie possible
00:10et d'envoyer de la vraie émotion au spectateur,
00:12il fallait que je chante vraiment.
00:14Donc j'ai appris à chanter pour être dans le rythme,
00:16pour être dans les bonnes notes, que ce ne soit pas du playback,
00:18pour que le physique soit engagé de manière réelle et réaliste.
00:22Et chemin faisant, Daniel Lucarini, mon coach de chant,
00:26me dit je pense que tu peux le faire toi, on devrait tenter.
00:29Et puis j'en parle à un grand corps malade, Fabien, et Médhi,
00:33puis ils disent ouais, essayons.
00:34Le premier morceau que je chante, c'est, si je ne me trompe pas,
00:37c'est On ne sait jamais, son premier passage télé.
00:39Et ça se passe plutôt bien.
00:41Et du coup, on a vraiment eu envie d'aller dans cette direction.
00:44Ce qui m'a mené là, c'est six mois de chant,
00:46six à huit heures par semaine avant le tournage
00:48et ensuite je continuais le soir pendant le tournage,
00:50sans oublier le piano et tout.
00:52Très, très compliqué le piano.
00:53On a continué dans cette direction, ça se passait plutôt bien.
00:56Et puis on se sent en sécurité quand on travaille avec un autre grand nom
00:59de la chanson qui est un grand corps malade.
01:02On se dit quand il nous dira c'est bon, c'est que c'est bon.
01:04Ou si c'est pas bon, c'est que c'est pas bon.
01:06Et chemin faisant, à force de travail, forcément on s'améliore un peu.
01:11Et du coup, on a dû réenregistrer tout.
01:12Une bonne grosse partie de ce qu'on avait fait avant, en fin de tournage.
01:15Et ensuite, avec quelqu'un comme Fabien,
01:18ça a été traité comme un album de chansons aussi.
01:20Ça a été mixé, il y a les aigus où moi, c'était trop différent de Charles,
01:24donc ils ont fait un mix entre lui et moi.

Recommandations