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Bernard Campan admet que ce n'était pas l'intention des Inconnus de blesser les artistes avec leurs parodies.

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Transcription
00:00Isabelle a les yeux bleus, Isabelle a les yeux bleus, Isabelle a les yeux bleus, de les yeux, Isabelle a les yeux bleus
00:10Isabelle a les yeux bleus, il y en a un qui avait vu rouge, lui, en entendant cette chanson, c'est Nicolas Sirkis d'Indochine, il avait trouvé cette parodie très dure, avec le recul, vous reconnaissez que c'était peut-être un peu vachard ?
00:20C'est-à-dire que oui, j'ai appris par la suite, en plus, il a dit dans la presse, maintenant ils sont au top, tout va bien, c'est ça qui est formidable, mais à l'époque, il a dit, le coup de grâce, ça a été la parodie des Inconnus.
00:36C'était une période compliquée pour eux ?
00:38Oui, évidemment, c'était très difficile, on n'a jamais voulu faire un sketch pour faire du tort, et si on fait du tort, on le regrette, on ne peut pas dire les choses autrement.
00:49Vous l'avez croisé, vous avez eu l'occasion d'en parler avec lui depuis toutes ces années ?
00:52Non, non, non, je sais que j'ai juste appris comme ça, qu'eux l'avaient mal vécu à cette époque-là, il avait perdu son frère, le groupe ne fonctionnait plus bien, c'était une période de creux, et en plus, nous on arrive à faire les cons.
01:07D'ailleurs, c'était pas forcément, on l'a souvent redit, on ne visait pas forcément Indochine, c'était Partenaires Particuliers, c'était vraiment une copie de Partenaires Particuliers.
01:20Et quand on a voulu passer à l'image, on avait inventé la chanson, il a fallu trouver des perruques, et en mettant les perruques, on s'est transformé en Indochine, et on a fait vraiment un peu les deux.