• il y a 2 mois
Dans son projet de loi de finance (PLF) et de financement de la sécurité sociale (PLFSS), le gouvernement affiche une ambition d'économies drastiques, au point d'affaiblir un peu la perspective de croissance pour 2025. Mais pour l’avocat pénaliste Vincent de la Morandière, «on devrait taxer et inscrire au bilan des entreprises la data».

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Transcription
00:00Un regret très rapide, vieille recette, on va taxer les riches, ça c'est assez simple, mais on taxe pas les nouvelles richesses et moi j'attends qu'une seule chose, c'est que face à la transformation de l'économie, l'État s'intéresse à la data et taxe la data et le GAFAM qui récupère en permanence des datas sur le territoire français et c'est les nouvelles richesses et c'est les richesses de demain.
00:22Et en fait ça c'est absolument hors sol, c'est pas vu dans le budget et je pense qu'au lieu de taper soit les plus riches parce que la France est le premier pays d'export des millionnaires, c'est-à-dire les millionnaires quittent la France, c'est notre premier produit d'exportation entre guillemets, on devrait taxer et inscrire au bilan des entreprises la data.

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