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00:00Idealvoyance.com, la voyance par téléphone, chat et vidéo présente 16h-17h, Sud Radio, c'est votre avenir, Alexandre Deloval.
00:10Bonjour à tous et comme chaque jour, j'ai le plaisir de vous retrouver, de vous accompagner et de vous aider à éclaircir des situations qui parfois peuvent paraître impossibles à dépasser ou à réaliser.
00:24Mais c'est avec mon écoute intuitive que vos chemins s'illuminent.
00:28L'introspection et la quête de soi sont des sujets sur lesquels vous êtes amené à vous questionner.
00:35Alors ce processus de réflexion profonde sur soi peut avoir de nombreux bienfaits sur notre bien-être mental et émotionnel et bien sûr psychologique.
00:45C'est peut-être le cas pour vous et en ce moment, je suis ravi d'échanger avec vous, d'être à votre écoute avec bienveillance et intuition.
00:56C'est donc le moment pour vous d'appeler le 0826 300 300.
01:01Aujourd'hui, c'est Zach Austandard.
01:03Sud Radio, c'est votre avenir, Alexandre Deloval.
01:07Et oui, aujourd'hui on parle de la quête de sens.
01:11Nous sommes nombreux parfois à ressentir un certain vide intérieur en fonction de nos expériences de vie, de ce que nous avons vécu auparavant et à nous demander quel est le sens de notre existence.
01:24La quête de sens est une recherche profonde et personnelle visant à trouver un but dans la vie, à donner un sens à nos actions et à notre existence.
01:33Et je vais poser cette question à notre première auditrice, Lucie, que j'ai le plaisir d'accueillir.
01:38Bonjour Lucie.
01:39Bonjour Alexandre, bonjour.
01:41Bienvenue à l'antenne de Sud Radio, Lucie.
01:43Merci.
01:44Vous vous appelez d'où ? De la Haute-Garonne je crois, c'est ça ?
01:48Oui, le nord de la Haute-Garonne, presque le Tarn et presque le Tarn-et-Garonne mais c'est encore Haute-Garonne.
01:54D'accord. Alors est-ce que vous vous êtes déjà posé cette question ?
01:58Ça fait partie d'une des questions existentielles dont on parlait hier, la quête de sens.
02:02Est-ce que vous vous êtes déjà posé cette question-là ou pas ?
02:05Oui, évidemment.
02:07Avez-vous trouvé des réponses ?
02:10Non, c'est en chemin.
02:12C'est en chemin, d'accord. Vous faites un travail d'épanouissement, enfin un travail personnel, développement personnel peut-être, pour mieux vous épanouir ?
02:22Ce n'était pas de mon propre choix, c'est les événements de la vie.
02:27Depuis deux ans et demi, ils m'ont forcé à me poser la question de pourquoi je devais vivre ça
02:34et les retentissements que ça avait dans ma vie perso, dans ma vie prof, dans tous les aspects de ma vie.
02:40Ça force un peu à faire de l'introspection, à se demander comment je vais dépasser les événements qui m'arrivent.
02:47Si je n'ai pas conscience, c'est presque contrainte.
02:52Exactement, et parfois la recherche de sens peut également aussi nous aider à faire face aux défis de la vie
03:00et à nous dépasser et justement à travailler sur notre intériorité.
03:05Alors, pour vous, aujourd'hui, vous avez fait des choix dans votre vie parce qu'auparavant vous vivez ailleurs qu'en France.
03:14Racontez-nous un petit peu.
03:16Je vivais dans le Pacifique Sud, mais c'était encore la France.
03:19Oui, que la métropole. Vous étiez dans les dom-toms, c'est ça ?
03:23Oui, j'étais en Nouvelle-Calédonie, en même temps beaucoup pas lentement pour une actualité malheureusement un peu triste.
03:28J'ai passé 13 ans dans la Nouvelle-Calédonie, je suis rentrée il y a deux ans et demi.
03:33D'accord, pour quelles raisons ?
03:35La fin de vie de ma maman en métropole.
03:39J'ai dû revenir dans ma région natale, et voilà, elle m'a attendue pour partir.
03:45Elle est partie dix jours après mon retour, mais je n'ai pas eu à cœur de laisser après mon père tout seul.
03:51J'ai dit, allez, c'est l'occasion de prendre un nouveau départ en France, donc je suis finalement restée.
03:55D'accord. Vous êtes rentrée à quel moment ?
03:58C'était au mois de fin avril début mai 2022.
04:04D'accord, c'est tout récent, et j'imagine que pour vous, vous avez accepté, parce que vous avez senti le devoir de faire face aux priorités familiales,
04:17mais vous avez dû accepter aussi d'abandonner, de lâcher ce que vous aviez installé en Nouvelle-Calédonie.
04:24Combien de temps vous êtes restée en Nouvelle-Calédonie ?
04:27Je suis restée un peu plus de 13 ans.
04:29D'accord, donc ce n'est pas rien.
04:32Exactement. Et comment vous l'avez vécu, ce moment-là ?
04:37Au début, je pensais que j'étais alignée. Je me suis dit, je dois faire ça. J'étais préparée à devoir le faire.
04:44C'est un peu inévitable. J'ai mon frère qui est expatrié au Japon depuis 25 ans. Lui, il est marié, il a des enfants.
04:52Moi, j'étais plus, on va dire, pas instable, mais j'avais pas d'une famille installée, j'avais pas d'enfants, donc c'était plus facile pour moi de rebondir.
05:03Et donc, j'ai choisi, mais à son âge, pour moi, c'était aligné. C'était un peu obligatoire, en vrai, de faire ce qui était attendu de moi.
05:17D'accord. Alors aujourd'hui, quelle est votre interrogation, Lucie ?
05:22Eh bien, c'est pile pour ça. Quand j'ai quitté Nouméa, j'ai quitté aussi en montant dans l'avion. Je me suis séparée fort, on va dire, de mon amoureux,
05:33avec qui j'avais une relation presque continue, on va dire, depuis 4 ans.
05:39Vous viviez ensemble ?
05:41Non, non, non, parce que j'ai jamais vraiment voulu vivre en couple. On était assez indépendants, mais on se voyait régulièrement.
05:49Mais voilà, à ce moment-là, lui, il avait quand même envie depuis plusieurs années de vivre une belle histoire, mais de se projeter.
05:59Et moi, j'avais le pied sur le frein parce que je savais que tôt ou tard, il fallait que j'assure des obligations et que ça allait être difficile.
06:05Donc je ne voulais pas m'engager pour moi, j'avais plein d'excuses pour ne pas le faire.
06:09Et finalement, je suis montée dans l'avion et j'ai quitté et Nouméa et cette histoire d'amour.
06:15Et en fait, la question, elle est là. Je n'arrive pas à tourner la page.
06:20J'ai empané d'autres relations quand je suis rentrée en France depuis 2 ans et demi, mais à chaque fois, ça écroule.
06:28Et derrière, en filigrane, c'est toujours lui, c'est toujours lui.
06:35Oui, parce qu'au fond de vous, vous l'avez quitté, mais parce que vous étiez prise par d'autres émotions et des obligations,
06:43comme je disais, familiales qui ont fait que vous n'avez pas réfléchi sur ce moment-là.
06:47Et la seule réflexion que vous avez eue, c'est d'aller justement à côté et au chevet de vos parents ou tout au moins de votre maman.
06:56Donc, ça paraît logique. Et avec du recul, vous avez vécu peut-être ce sentiment d'abandon,
07:03ce sentiment de perte et peut-être aussi cette culpabilité, non ?
07:08Alors oui, mais à ce moment-là, les priorités...
07:13C'est pas que j'ai fait l'autruche, mais je me suis dit que le meilleur moyen,
07:17puisque j'ai décidé de rester en France près de mon père dans la maison filmégale,
07:20donc le meilleur moyen, c'est de me replonger dans une vraie vie à la française.
07:23Et donc, j'ai eu l'impression qu'il fallait que je sois dans l'action, donc c'est ce que j'ai fait.
07:27J'ai vite retrouvé un boulot dès que le deuil est passé, j'ai vite voulu me réinsérer, me réintégrer.
07:34Et puis, il y a presque le premier venu avec lequel entamer une nouvelle histoire.
07:38Donc, j'étais dans le déni, je pense. J'ai voulu vite me reconstruire et vite me remettre dans l'action.
07:45Et effectivement, après, j'ai eu un peu des regrets. Je suis revenue vers lui.
07:51Mais lui n'est pas décidé à venir en France.
07:55Alors lui, il fait partie des travailleurs, j'ai envie de dire, un truc méchanceux,
08:01où son activité continue malgré les émeutes et malgré les difficultés économiques, sociales, sociétales de la Nouvelle Académie.
08:08Donc non, lui, il est à son compte, il travaille beaucoup, il a plusieurs sociétés, mais ça tourne très bien.
08:13Il n'avait pas dans ses projets de rentrer en France.
08:16Il aurait pu le faire à un moment donné, mais il aurait fallu le prévoir.
08:20Il aurait mis trois ans le temps de vendre ses activités, mais il aurait pu le faire pour moi.
08:24Il m'avait dit au tout début qu'il aurait été prêt.
08:27Sauf que moi, je me suis dit, je ne veux pas être la cause de ton changement de vie,
08:32parce que ce n'est pas juste un déménagement, c'est un changement radical.
08:34Quand tu vis depuis 20 ans dans les villes...
08:37Pardonnez-moi, Lucie, pour vous et votre question aujourd'hui,
08:41c'est de savoir s'il y a éventuellement une possibilité de continuité ensemble,
08:46mais ce qui voudrait dire que, et ça implique aussi peut-être à nouveau un changement de vie,
08:51de devoir faire des sacrifices, ou est-ce que vous devez continuer à installer une vie actuelle en France,
08:58comme vous l'avez faite depuis quelques années ?
09:01C'est bien ça, votre question ?
09:03Est-ce que je dois tourner la page ?
09:05Ou est-ce qu'il y a vraiment de la matière à faire ?
09:12Pour moi, je sens que chez lui, il a pris une autre route, un autre chemin.
09:20C'est-à-dire qu'il ne vous a pas oublié pour autant,
09:23mais lui-même s'est conditionné à changer sa vie et à ne pas forcément vous attendre.
09:29Est-ce que c'est un peu le cas ?
09:30Oui, c'est vrai. Il a rencontré quelqu'un.
09:34J'étais prudent, je ne voulais pas trop vous le dire,
09:37mais je sens qu'effectivement, cet homme a pris une autre route, un autre chemin,
09:42et aujourd'hui, il reconstruit sa vie.
09:44Effectivement, il y a un côté amer chez vous, et puis un sentiment de déception.
09:50Surtout pas.
09:51Surtout pas.
09:52Soyez fiers de l'action et de la prise de décision que vous avez pu avoir à ce moment-là,
10:00et parce que vos parents en avaient besoin.
10:03Aujourd'hui, vous avez des choses encore à régler,
10:06et notamment par rapport à l'habitation dans laquelle vous êtes.
10:09Pour moi, partir aujourd'hui et vous réinstaller en Nouvelle-Calédonie,
10:14ce serait à nouveau vous fuir d'une situation et vous mettre dans une fragilité, dans une difficulté.
10:20Essayez d'accepter la vie telle qu'elle est, avec les décisions,
10:25et d'en assumer toutes ses conséquences, bien entendu.
10:29Mais soyez heureuse, parce que la vie va vous offrir d'autres choses, d'autres possibilités,
10:34et vous verrez qu'à partir de cette mi-2025, au milieu de l'année 2025,
10:42vous êtes dans une période de changement, dans une période de transformation,
10:45dans une période de renouveau au niveau de vos contacts, de votre réseau relationnel,
10:50même professionnel.
10:52Il est possible qu'il y ait un changement professionnel entre temps qui se fasse,
10:55et qui vous permette de rencontrer une jolie personne avec qui ça vous permettra
11:00de guérir toutes ces blessures du passé et de pouvoir avancer main dans la main.
11:06D'accord ?
11:07Quel programme !
11:08Quel programme, effectivement !
11:10Vous avez raison d'appeler aujourd'hui,
11:14et vous allez voir que 2025 est une année assez surprenante pour vous.
11:19Merci beaucoup !
11:20Est-ce que je peux me permettre de vous embrasser ?
11:22Oui, carrément !
11:24Allons-y !
11:25N'hésitez pas à nous tenir au courant,
11:29et je vous souhaite une belle réussite pour vous et pour la suite !
11:34Merci beaucoup !
11:35Merci à vous !
11:36C'est très précieux !
11:37Merci, Lucie, au revoir !
11:38Nous, on se retrouve dans quelques instants avec Thierry.
11:43Thierry et sa compagne sont ensemble depuis 14 ans.
11:46C'est un auditeur qu'on devait avoir hier et qui, malheureusement, y a eu des petits empêchements.
11:50Et aujourd'hui, il est là, il est bien là.
11:53Hier, je vous le disais, ils se sont mariés en 2017,
11:56et depuis quelques années, ils songent à quitter la France pour le Canada.
12:00Pourront-ils aller jusqu'au bout de leur projet ?
12:03Eh bien, la réponse, c'est dans quelques instants.
12:06Appelez maintenant Sud Radio 0826 300 300 et participez à C'est Votre Avenir.
12:1316h-17h, Sud Radio C'est Votre Avenir, Alexandre Deloval.
12:17Et de retour dans votre émission C'est Votre Avenir,
12:20vous posez des questions sur votre futur, quel que soit le domaine,
12:24n'hésitez pas à appeler le 0826 300 300,
12:27Zach Austandard vous répond.
12:29Et aujourd'hui, on parle sur la recherche de sens, sur votre quête de sens.
12:34Vous savez que la recherche de sens permet de donner un sens à nos actions quotidiennes,
12:39de trouver une direction pour nos choix,
12:42et de donner aussi une fine signification, j'y arrive, plus profonde à notre vie.
12:48Et en trouvant un sens à notre existence, nous pouvons également mieux nous comprendre nous-mêmes.
12:53Cela peut nous aider à identifier nos valeurs, nos passions et nos talents,
12:57et nous permettant ainsi d'intégrer pleinement dans notre vie et de réaliser votre plein potentiel.
13:03Alors les différentes approches pour trouver un sens à sa vie, c'est l'introspection.
13:08Prendre le temps de réfléchir à nos valeurs, à nos aspirations, à nos passions aussi.
13:13Et ça peut nous aider à trouver un sens à la vie.
13:16La recherche de signification dans nos relations est importante aussi.
13:20Nos relations avec les autres peuvent être une source précieuse de sens et de connexion.
13:25Et l'engagement dans des causes qui nous tiennent à cœur,
13:28eh bien, sont importantes aussi.
13:31S'investir dans les causes qui nous tiennent à cœur peut donner un sens à notre vie,
13:35en nous permettant de contribuer à quelque chose de plus grand que nous.
13:40Et en trouvant justement ce sens à notre vie,
13:43nous pouvons ressentir un profond sentiment d'accomplissement, de satisfaction,
13:47et qui peut ultimement conduire à un plus grand bonheur.
13:51Et je vais poser cette question à mon prochain auditeur, Thierry.
13:55Bonjour Thierry.
13:57Oui, bonjour Heptam.
13:58Bienvenue à l'antenne de Sud Radio, Thierry.
14:01Oui, bien.
14:02Enfin, je vous ai. Hier, il y a eu un petit raté, mais ce n'est pas grave.
14:05Ce sont les aléas du direct, mais il n'y a pas de souci.
14:08Mais aujourd'hui, je suis ravi de vous avoir à l'antenne, Thierry.
14:12Vous avez 53 ans, vous vous appelez de la Charente maritime, c'est bien ça ?
14:16C'est ça.
14:17Alors vous, vous êtes peut-être à la quête de ce sens-là,
14:22à la recherche d'un autre bonheur, d'un autre épanouissement.
14:26Racontez-nous.
14:28Nous, avec ma femme et mes enfants,
14:33il y a quelques années, déjà en arrière,
14:35on avait pensé de partir de la France.
14:41À l'époque, c'était sur le Canada.
14:44D'accord.
14:45En quelle année vous avez pensé de partir ? En quelle année déjà ?
14:49Il y a 5-6 ans.
14:50D'accord.
14:51Oui, 5-6 ans.
14:52Et l'envie revient.
14:54Donc, je me posais des questions sur si ça allait se faire ou pas.
15:00D'accord.
15:01Vous connaissez ce pays, le Canada ?
15:03Je connais la télé, les reportages.
15:09Mais vous êtes déjà allé ?
15:11Non, moi je n'y suis jamais allé.
15:13J'ai des amis qui y sont.
15:14Oui.
15:15Voilà.
15:16D'accord.
15:17Par connaissance, quoi.
15:19Et pourquoi le Canada ?
15:21Qui est un joli pays que je connais très très bien,
15:23pour lequel j'ai résidé.
15:26Ça peut être ailleurs.
15:29Ça peut être la Suisse aussi, mon pensée à un moment donné.
15:34Le Canada, je ne sais pas.
15:36J'ai toujours apprécié le Canada par rapport à leur train de vie.
15:42Par rapport sûrement au Canada, c'est un pays où on y va pour travailler.
15:49D'accord.
15:50Thierry, mais dites-moi, là j'entends un homme qui a envie de partir
15:53parce qu'il en a peut-être marre de ses conditions de vie,
15:56du système dans lequel nous sommes aujourd'hui en France.
15:59J'ai l'impression que c'est ça qui ressort chez vous.
16:01Est-ce que cette motivation est liée à ce genre de problème ?
16:05Ou est-ce qu'il y a d'autres choses qui vous motivent aujourd'hui ?
16:09Il y a les deux.
16:11Oui, il y a un ras-le-bol de la vie qu'on a sur la France.
16:17C'est tout bord.
16:19Que ça soit au niveau politique ou travail,
16:23ça ne correspond plus à ma recherche.
16:25De la façon dont je travaille en France, je ne sais pas comment dire,
16:33je ne supporte plus.
16:36Je trouve qu'on pousse les gens à ne pas travailler.
16:41Moi, c'est le contraire.
16:44D'où pour vous cet intérêt, cette motivation première
16:48de partir et d'aller vivre ailleurs ?
16:51Avec votre compagne aussi, qui est dans le même état d'esprit que vous.
16:55Pour répondre à votre question,
16:59je sens que vous êtes dans cette volonté d'un changement de vie,
17:04mais pas seulement par rapport au système de la France.
17:07Chez vous, il y a une envie depuis très longtemps,
17:12et peut-être d'un rêve d'adolescent,
17:15parce qu'il y a des regrets chez vous qui ressortent,
17:18sur lesquels vous n'avez pas fait auparavant,
17:20et que vous avez envie de récupérer ce temps-là.
17:23Pour moi, ça remonte à une période,
17:26peut-être de votre fin d'adolescence,
17:29de votre début de jeune homme,
17:32où là, il y aurait eu peut-être des opportunités pour vous
17:36de pouvoir saisir et de pouvoir changer votre vie
17:39que vous n'avez pas su saisir à ce moment-là.
17:42Oui, c'était très longtemps.
17:46Voilà, exactement.
17:47Et aujourd'hui, vous avez envie de récupérer ce temps-là,
17:50comme si vous faisiez un bond en arrière.
17:53Alors, évidemment que vous pouvez trouver un autre équilibre,
17:56je crois qu'il y a de la place pour tout le monde, bien sûr,
17:59mais attention, ce qui peut être plus difficile et plus compliqué,
18:04ce sont vos démarches administratives.
18:06Et c'est sur lesquelles je sens que ça peut créer des soucis
18:10et des difficultés à l'avenir.
18:11Donc, pour moi, j'aurais tendance à vous dire,
18:14et là, je vous parlerai comme un vieil ami,
18:16comme un bon ami,
18:18de vous dire, allez-y, respirez, inhalez l'environnement, l'endroit,
18:23prenez des contacts avec des gens.
18:25Il faut, c'est important déjà de se sentir dans l'endroit et dans le lieu
18:30pour pouvoir vous-même juger et non pas juger
18:33au travers d'un reportage télé ou d'un documentaire
18:36ou d'une expérience que vos amis ont vécue,
18:39parce que tout le monde n'aime pas forcément un endroit ou un lieu
18:43et donc des avis sont très partagés.
18:45Mais prenez-vous cette initiative et prenez ce temps
18:51pour justement explorer ces endroits,
18:55autant sur la Suisse que sur le Canada.
18:57Moi, ce qui me semble apparaître, ce qui vous correspond le mieux,
19:00c'est le Canada, que la Suisse, de ce que je ressens.
19:03Mais évidemment, ça demande des choix,
19:05ça demande à devoir prendre de sacrées initiatives
19:10et aussi, sur le plan administratif, ça ne va pas être si facile que ça.
19:14Donc, ça va demander du temps.
19:16Et si vous décidez d'activer ce changement de ville-là,
19:22on dirait que sous une période de deux ans,
19:25ça peut se réaliser et ça peut se faire.
19:27Mais j'ai un seul doute, c'est dans tout ce qui est démarche administrative.
19:33Est-ce que vous allez aller jusqu'au bout ?
19:35J'ai un peu un doute sur ça.
19:36C'est pour ça que je vous encourage, dans un premier temps,
19:39d'aller plus en séjour pour voir un petit peu
19:42et prendre ce temps-là et de vous renseigner vraiment,
19:45juridiquement et administrativement,
19:47ce dont vous avez besoin de faire en termes de démarche.
19:50D'accord ?
19:51Oui, parce que justement, la première fois,
19:54on avait commencé, tout ce qui était administratif,
19:57tout ça, on avait commencé.
19:58Et vous avez abandonné.
19:59On a abandonné aussi.
20:01Oui, c'est ça.
20:02Et là, si vous devez le faire, ça va être un peu lourd,
20:05mais c'est possible.
20:07Mais j'ai peur que vous soyez encore dans cette prochaine étape.
20:10Mais je ne veux pas être défaitiste avec vous.
20:13Je vous sens avoir cette motivation et cette envie.
20:16Mais moi, pour moi, je pense que dans un premier temps,
20:18il est utile et nécessaire que vous allez sur les lieux
20:21pour vous rendre compte.
20:22Et puis surtout, qu'il y a votre petite voix intérieure
20:24qui va vous dire, voilà, c'est là où j'ai envie de vivre
20:26et c'est comme ça que j'ai envie de vivre.
20:28D'accord ?
20:29Donc, à la suite de ce voyage, rappelez-nous.
20:32Et on fera le point.
20:34Merci à vous, Thierry.
20:36Merci. Prenez soin de vous.
20:38Merci, bien.
20:39Merci.
20:40Au revoir.
20:41Allez, on va faire une petite pause.
20:43Et nous, on se retrouve avec Alexandre.
20:46Oui, Alexandre qui va parler à Alexandre, évidemment.
20:49Et Alexandre a perdu son fils,
20:51décédé lors d'un accident de moto.
20:53Il a divorcé de sa femme depuis un an.
20:56Et Alexandre aimerait retrouver un peu de sérénité
20:59dans sa vie de manière générale.
21:01Alors, quel est son avenir ?
21:03Va-t-il surmonter tous ces événements ?
21:05Ne bougez pas, on en parle dans quelques instants.
21:08Retour de C'est Votre Avenir dans un instant sur Sud Radio.
21:1316h17, Sud Radio C'est Votre Avenir.
21:15Alexandre Deloval.
21:17Et de retour dans votre émission C'est Votre Avenir
21:20pour cette deuxième partie d'émission.
21:22Je rappelle que nous sommes en direct.
21:24Et bienvenue à tous ceux qui nous rejoignent.
21:26Si vous souhaitez poser des questions sur votre futur,
21:29quel que soit le domaine,
21:31ou si vous avez un projet de vie,
21:33ou comme notre précédent auditeur, Thierry,
21:36vous souhaitez partir vivre à l'étranger,
21:39n'hésitez pas à appeler le 0826 300 300.
21:43On est là pour vous répondre du lundi au vendredi,
21:46avec Marie aussi, qui est là tous les lundis.
21:49Allez, à présent, j'accueille,
21:51et j'ai le plaisir d'accueillir Alexandre.
21:53Bonjour Alexandre.
21:55Oui, bonjour Alexandre.
21:57Ça fait drôle d'appeler un auditeur Alexandre,
22:02mais voilà, pourquoi pas.
22:04Vous allez bien ?
22:06Oui, merci.
22:07Vous nous appelez d'où, Alexandre ?
22:10Je vous appelle de la Vendée.
22:12De la Vendée, parfait.
22:14Alors, vous avez vécu des événements quand même difficiles,
22:17même voire tragiques,
22:19qui ont marqué votre vie,
22:21et qui j'imagine qui ont été pour vous traumatisants.
22:24Racontez-nous un petit peu.
22:27Eh bien, à la suite, il y a six ans,
22:30à la suite du décès de mon fils,
22:33je me suis séparé de leur maman,
22:37et donc j'avais une société en commun
22:40dont je me suis séparé
22:42parce que je n'arrivais plus à faire face.
22:47Quel genre de société vous aviez ?
22:50Une société dans l'agriculture.
22:52Dans l'agriculture, d'accord.
22:54Donc vous avez fait une cessation d'activité ?
22:57Ou vous avez vendu ?
22:59Non, je me suis simplement séparé
23:01et je n'avais plus à m'entendre avec mon associé.
23:05Vous avez revendu vos parts ?
23:07Oui.
23:11Donc aujourd'hui, je suis à la recherche d'un nouvel emploi.
23:18Et en même temps,
23:20comme ma maison est sur le site sur lequel je travaillais,
23:24je ne sais pas si je dois la vendre
23:26ou si je dois rester.
23:29Dans ce lieu-là ?
23:31Dans ce lieu-là.
23:33Et sentimentalement, vous en êtes où ?
23:37Je recherche sans rechercher
23:40parce que pour l'instant,
23:44j'ai plus de préoccupations
23:46sur mon futur travail
23:48et sur la vente de ma maison
23:50ou si je dois rester.
23:52Oui, je comprends.
23:55Mais j'ai l'impression que chez vous,
23:58par rapport aux événements que vous avez vécu,
24:01il y a comme une notion de reset.
24:03Quand je dis reset, c'est-à-dire qu'à la fois,
24:05on appuie sur un bouton et on recommence tout à zéro.
24:08Vous êtes peut-être dans ce sentiment-là
24:11malgré le drame que vous avez vécu par rapport à votre fils.
24:16Mais aujourd'hui, dans votre vie,
24:18que ce soit personnelle ou professionnelle,
24:21vous êtes en train de tout redémarrer.
24:24Vous êtes vraiment à la croisée des chemins.
24:28Maintenant, pour moi,
24:30je ne veux pas influencer les choses pour vous, Alexandre,
24:35mais je crois que vous avez besoin
24:37de vivre autrement et différemment.
24:39Et aujourd'hui, vous êtes encore sur des repères
24:43qui vous freinent et qui vous bloquent sur l'avenir.
24:47Et notamment, il y a encore des personnes
24:50sur lesquelles vous avez envie d'être agréable avec eux
24:53ou avec elles, ou peut-être avec un entourage.
24:58Mais j'ai l'impression que vous avez besoin
25:00de prendre du recul et de vous écarter de certaines personnes.
25:03Est-ce que c'est le cas ?
25:05Oui, tout à fait.
25:07D'ailleurs, la séparation a été très douloureuse,
25:14autant sur le professionnel que sur le personnel.
25:19Pour moi, je vous sens prendre la décision
25:22de vous séparer de la maison,
25:25donc effectivement de la vendre,
25:27et puis aussi d'aller vivre ailleurs.
25:30Et professionnellement, vous allez travailler
25:32dans un secteur qui est un peu similaire
25:34au secteur dans lequel vous étiez auparavant,
25:36mais très différent en termes de fonction de poste.
25:39Peut-être pas un poste à responsabilité
25:41équivalent à ce que vous faisiez auparavant
25:43en tant que chef d'entreprise,
25:45mais un autre poste qui va vous amener
25:47à avoir une sécurité.
25:49Et ce poste là, ou en tous les cas,
25:51cette proposition d'emploi,
25:53va vous être donnée par un réseau
25:55et par des contacts avec des gens
25:57avec qui vous avez travaillé auparavant.
25:59Non pas des employés ou des salariés
26:01de votre entreprise, mais peut-être
26:03tout simplement liés à des fournisseurs
26:05ou à des distributeurs ou autres,
26:07je ne sais pas de qui il s'agit exactement,
26:09mais ce sont liés à des réseaux professionnels.
26:12Et tout ça va se mettre en place
26:14à partir de ce début de l'année.
26:16D'accord ?
26:19N'hésitez pas à nous tenir au courant Alexandre.
26:23Merci.
26:24Merci à vous, prenez soin de vous.
26:27Merci, au revoir.
26:30Et la parole est à Claudie. Bonjour Claudie.
26:32Bonjour.
26:34Alors Claudie, vous nous appelez d'où ?
26:37Je vous appelle du Tarn-les-Garonnes.
26:39Bienvenue à l'antenne de Sud Radio Claudie.
26:41Merci.
26:43Que puis-je pour vous Claudie ?
26:46Eh bien, disons que j'ai eu une vie
26:48assez compliquée, assez difficile.
26:51Et là maintenant,
26:55j'avais revu une personne du passé
26:57qui s'appelait Alain.
26:59Et disons qu'à ce moment-là,
27:01je n'étais pas prête à quoi que ce soit.
27:03Disons, on a dialogué, ceci, cela.
27:05Et puis j'ai vu que
27:07ça prenait une auto-tournure
27:09chez Uber.
27:11Je lui ai demandé de ne plus revenir.
27:13Et donc, la vie fait
27:15qu'on a souvent des soucis, comme on dit,
27:17qui s'enchaînent les uns après les autres.
27:19Et disons que la nuit,
27:21je ne dors pas trop beaucoup.
27:23Et ce qui fait que quand je me lève la nuit,
27:25je réfléchis parce que de mon passé,
27:27de mon avenir, ceci, cela.
27:29Je me dis souvent, le meilleur est à venir devant.
27:31Mais bon.
27:33Bien sûr, bien sûr.
27:35Et vous êtes justement dans
27:37cette question de quête de sens.
27:39Vous êtes dans ce questionnement-là aussi,
27:41j'imagine.
27:43Oui, je suis dans ce questionnement-là.
27:45Alors je me dis, bon, le meilleur est peut-être devant.
27:47Mais bon, depuis le temps que je l'attends,
27:49est-ce qu'il ne faudrait pas que je pense un petit peu à moi,
27:51plutôt que de penser tout le temps aux autres ?
27:53Je suis d'accord avec vous, Claudie.
27:55Mais je crois que vous avez quand même vécu
27:57des moments assez bons et assez forts chez vous.
27:59Après, peut-être que vous êtes gourmande
28:01de la vie, non ?
28:03Non, je ne suis pas gourmande, mais bon.
28:05Vous avez envie de vivre, tout simplement ?
28:07J'ai envie de vivre.
28:09Donc, pour moi,
28:11il y a eu des moments
28:13dans votre passé sur lesquels
28:15il y a eu des bons moments qui ont été vécus,
28:17mais vous n'avez pas envie que ça s'arrête
28:19et vous avez envie de continuer
28:21comme ça. Alors, effectivement,
28:23par rapport à cette relation passée,
28:25je crois qu'il faut savoir,
28:27à un moment donné, peut-être
28:29mettre un terme, tourner la page
28:31pour avancer et ne pas rester
28:33dans une situation un peu stérile
28:35et bien au contraire,
28:37vous-même, accepter que parfois
28:39les réponses ne se font pas
28:41en temps voulu, elles se font avec
28:43du temps, avec aussi d'autres explications.
28:45Peut-être que vous aurez
28:47un entourage qui, à un moment donné, vous donnera
28:49des explications, parce que je crois que ça viendra
28:51par là plus que par lui
28:53directement. Et puis,
28:55aussi,
28:57au niveau de votre vie
28:59personnelle, n'hésitez pas
29:01à vous donner
29:03cette possibilité
29:05à d'autres activités, à d'autres échanges,
29:07à d'autres rencontres, parce que pour moi,
29:09il y a quelque chose de bon et de positif.
29:11Est-ce que vous dansez ?
29:13Non, je ne vais pas danser.
29:15Est-ce que vous allez dans un endroit
29:17où il y a de la danse ?
29:19Non, pas vraiment.
29:21Écoutez, moi je vous vois dans un lieu comme ça
29:23où il y a peut-être
29:25une notion de danse ou autre
29:27et peut-être que vous-même,
29:29vous n'allez pas y participer, mais vous pouvez
29:31être présente. Encore un concert, une musique ?
29:33Oui, possible.
29:35Ça peut être comme ça. Et bien, là,
29:37il y aura la possibilité d'une rencontre.
29:39Mais on dirait que ce sont des gens qui se réunissent
29:41sur des événements qui sont assez
29:43récurrents ou de manière régulière.
29:45Mais là, vous aurez une jolie rencontre
29:47et ça va éclairer
29:49votre vie et vers un nouveau
29:51bonheur. D'accord.
29:53Et vous pensez
29:55que ça va arriver dans combien d'années ?
29:57J'aime bien combien d'années.
29:59Moi ça va, vous êtes optimiste.
30:01J'adore. Combien d'années ? J'adore.
30:03Vous êtes optimiste. Et bien, écoutez, pour moi,
30:052025, ça semble s'afficher
30:07pour vous. Je suis ravi.
30:09Alors, je compte sur vous pour nous rappeler.
30:11Merci. D'accord. Vous êtes un rayon de soleil
30:13pour Sud Radio. Merci beaucoup.
30:15Merci à vous. Je vous embrasse. Merci. Au revoir.
30:19Et la parole est à Carole. Bonjour,
30:21Carole. Oui, bonjour.
30:23Bienvenue à l'antenne de Sud Radio,
30:25Carole. Merci beaucoup.
30:27Vous nous appelez d'où ?
30:29J'appelle du Rhône.
30:31Du Rhône. D'accord.
30:33Alors, racontez-nous,
30:35que se passe-t-il pour vous ?
30:37Voilà, je vous appelle par rapport à...
30:39C'est une question d'ordre professionnel.
30:41Voilà, donc actuellement,
30:43j'occupe un poste.
30:45Et bon, c'est vrai que là, je commence un peu
30:47à m'interroger sur les perspectives
30:49d'avenir sur ce poste.
30:51Et je suis un petit peu,
30:53voilà, un peu perdue sur
30:55sur
30:57la suite,
30:59avec une petite perte de sens aussi,
31:01actuellement, donc
31:03voilà, je suis un petit peu perdue
31:05en fait. Je ne sais pas d'où aller.
31:07Vous êtes en recherche d'évolution ?
31:11À titre personnel, j'aimerais bien,
31:13mais... Professionnel, je vous parle.
31:15Oui, je pense que j'ai besoin de ça. Oui, voilà.
31:17Je suis encore professionnelle, je pense que j'en ai besoin,
31:19en fait, mais je ne vois pas...
31:21Il y aura des perspectives, justement.
31:23Mais pour moi, il y en a, des perspectives,
31:25je pense qu'il y a une évolution possible,
31:27mais ça passe par de la formation.
31:29Et on dirait que c'est à vous
31:31à activer, peut-être par
31:33des réseaux intermédiaires, par peut-être
31:35des organismes différents
31:37qui vont vous permettre d'évoluer.
31:39Et le fait d'aller
31:41dans cette énergie-là, dans cette dynamique-là,
31:43ça va donner
31:45un sentiment de
31:47positivité, et aussi
31:49ça va enclencher des choses
31:51qui vont faire que dans votre
31:53structure, dans laquelle vous êtes, vous avez
31:55une perspective d'évolution. Je ne vous sens pas
31:57en danger dans votre travail aujourd'hui ?
31:59Non, pas du tout.
32:01Pas du tout, vous n'êtes pas en danger ?
32:03Non, vous avez tout à fait raison.
32:05Mais à vous
32:07de montrer cette énergie, à vous
32:09de montrer cette motivation,
32:11et à vous d'activer les choses. Et peut-être
32:13que les choses pourront
32:15se mettre en place, ou en tous les cas
32:17cette dynamique-là pourra se mettre en place
32:19justement en
32:21vous, en allant rechercher en extérieur
32:23d'autres possibilités,
32:25d'autres orientations, et
32:27le positif appelle le positif.
32:29Et vous verrez que pour moi, d'ici
32:31l'été 2025,
32:33il y aura
32:35une opportunité professionnelle
32:37au sein de votre structure
32:39pour aller vers une amélioration
32:41et vers une évolution.
32:43Donc vous avancez, vous avancez,
32:45ne vous perdez pas. Et peut-être
32:47aussi, ce que je retiens de ce que
32:49vous avez dit aussi, que vous êtes
32:51peut-être à la quête de sens
32:53sur le plan personnel.
32:55Travaillez sur votre
32:57intériorité, sur votre plan
32:59personnel, et puis
33:01n'ayez pas peur d'abandonner ce qui
33:03devient contraignant pour vous.
33:05D'accord ?
33:07D'accord. Vous voyez un poste juste
33:09à responsabilité, quelque chose ?
33:11Oui, à l'avenir, oui.
33:13Oui, oui.
33:15Bien sûr, à l'avenir,
33:17vous avez cette capacité à atteindre
33:19et à avoir un poste à responsabilité
33:21et on croit en vous, et je crois
33:23encore plus, moi, en vous.
33:25Merci.
33:27Merci, Carole.
33:29Prenez soin de vous. Merci.
33:31Merci également. Bonne journée. Au revoir.
33:33Et vous, est-ce que vous croyez en vous ?
33:35Peut-être pas. Vous avez des doutes ? Vous avez des hésitations ?
33:37Eh bien, c'est le moment
33:39d'appeler le 0 800 26
33:41300 300.
33:43Zac Austandart vous répond. On va faire une
33:45petite pause et on va retrouver après Lina.
33:47Alors, Lina se pose des
33:49questions concernant un terrain
33:51qu'elle a racheté
33:53et qui appartenait à ses grands-parents
33:55et qui, aujourd'hui, ne sont plus là.
33:57Et le voisinage a installé
33:59une borne contre sa volonté pour
34:01récupérer quelques mètres, mais sans
34:03aucune raison. Alors, elle va nous
34:05expliquer tout ça en détail et on va voir
34:07comment va devenir cette histoire
34:09de terrain. Ne bougez pas.
34:11C'est votre avenir.
34:13On revient dans un instant sur Sud Radio.
34:1716h17, Sud Radio.
34:19C'est votre avenir. Alexandre Deloval.
34:21Et de retour dans votre émission.
34:23C'est votre avenir pour cette dernière partie
34:25avant de retrouver les vrais voix présentées
34:27par Cécile Dominibus et
34:29Philippe David et toute leur équipe.
34:31Mais avant de retrouver aussi
34:33ma dernière auditrice de la
34:35journée, Lina, je vais vous parler
34:37un petit peu de l'interprétation des rêves
34:39et notamment si vous rêvez
34:41d'abandon, rêvez
34:43d'abandon et dans sa signification
34:45de l'abandon, et bien
34:47vous pouvez
34:49avoir un sentiment de
34:51besoin de liberté.
34:53Alors, si par hasard vous rêvez
34:55que vous avez un homme ou une maîtresse
34:57qui vous abandonne, c'est que vous avez besoin
34:59d'être libre, c'est besoin d'exprimer
35:01autre chose aussi et
35:03de pouvoir avoir d'autres échanges
35:05avec votre extérieur.
35:07S'il s'agit d'un rêve d'abandon de vos
35:09enfants, c'est que vous avez peur de vieillir
35:11et s'il s'agit de vos parents,
35:13vous redoutez les responsabilités
35:15à venir. Abandonner quelque chose
35:17est un désir de changer
35:19de vie. Alors, est-ce que vous avez fait
35:21déjà ce rêve ? Eh bien, peut-être que vous avez
35:23eu déjà ce désir de changer de vie
35:25et peut-être que vous l'avez déjà fait.
35:27Et la parole est à Lina.
35:29Bonjour Lina. Bonjour Alexandre.
35:31Comment allez-vous ?
35:33Ça va très très bien Lina et puis
35:35encore mieux que tous les jours quand je suis
35:37avec vous tous, chers auditeurs de Sud Radio.
35:39Ah ben oui, c'est quand on vous a
35:41à la radio, quand on vous
35:43entend, ça nous donne du peintre.
35:45Exactement, ça
35:47insuffle de l'énergie et de la force
35:49et je vous remercie à tous
35:51de cette fidélité-là.
35:53Lina, vous...
35:55Avant de commencer Alexandre, est-ce que
35:57vous permettez ? J'avais téléphoné
35:59il y a trois ans.
36:01Oui, il y a
36:03trois ans et j'avais perdu ma grand-mère
36:05et je me disais, est-ce que
36:07je vais retrouver du travail dans les Hauts-de-Pyrénées
36:09où je suis ? Et vous m'aviez dit
36:11oui, sans souci et avant
36:13de raccrocher, vous m'aviez dit oui
36:15avec une personne.
36:17Et je m'étais dit, mais pourquoi Alexandre me dit
36:19avec une personne ? Nous,
36:21pour 35 heures de travail, il faut au moins...
36:23Et en effet, j'ai trouvé
36:25une personne parce que c'est ma patronne qui me
36:27donne près aux clients que
36:29elle a. Donc votre prediction
36:31c'est très très bien et je suis
36:33vraiment dans un petit paradis.
36:35Je vous remercie et puis
36:37surtout je suis très heureux
36:39que vous ayez eu cette chance
36:41et cette opportunité aussi au niveau
36:43professionnel. Mais pourquoi vous avez attendu trois
36:45ans pour nous rappeler ?
36:47Parce que tout va très bien dans ma vie et puis
36:49je vous écoute. Oui,
36:51Marie ça va, travail ça va,
36:53sauf le petit problème pour lequel je vous appelle
36:55aujourd'hui, mais sinon je vous écoute
36:57souvent et l'autre jour,
36:59il y avait un truc sur, est-ce que vous êtes bien
37:01dans votre travail ? Est-ce que vous êtes épanouie ?
37:03Et je me suis dit, attends, pourquoi il dit ça ?
37:05J'ai réfléchi, je me suis dit
37:07mais moi je suis tellement bien dans mon travail
37:09que quand je pars le matin,
37:11c'est avec le sourire et quand je reviens
37:13le soir, je suis dans mon paradis.
37:15J'ai toujours le sourire.
37:17Vous savez que les sujets du jour me
37:19viennent le matin en me levant en disant tiens,
37:21aujourd'hui je vais parler de ça. C'est en fonction de mon inspiration
37:23et puis aussi des auditeurs
37:25qui m'inspirent en disant
37:27tiens, allez hop, aujourd'hui on va parler de ça.
37:29Bien, alors,
37:31en ce qui vous concerne, Lina,
37:33vous, vous avez un terrain
37:35que vous avez racheté à la suite du départ de
37:37vos grands-parents. J'avais
37:39acheté avant, mais bon, c'était mon grand-père
37:41qui faisait le jardin. D'accord,
37:43qui l'entretenait et
37:45vous avez un vilain monsieur à côté de vous
37:47qui a placé une borne, voilà.
37:49Oui, malheureusement, il a cassé
37:51la clôture que papy avait faite
37:53pour mettre la borne, sauf que
37:55la borne, eh bien, nous, on n'a jamais été appelé
37:57ni par le monsieur
37:59Camille Laborne, ni par
38:01qui que ce soit. Pourtant, vous savez,
38:03ne vous inquiétez pas, les impôts, ils nous l'ont
38:05trouvé.
38:07Et
38:09maintenant, moi, j'ai trouvé un monsieur
38:11qui veut faire le jardin et puis
38:13qui veut mettre ses chiens dedans. L'autre
38:15ne veut pas, ne veut pas qu'il passe avec
38:17un véhicule, alors que sur mon acte
38:19notarier, pardon,
38:21depuis 1998, je peux
38:23passer avec un
38:25tout véhicule
38:27parce qu'après moi, mon terrain,
38:29il y a deux autres messieurs qui sont dedans, donc
38:31eux aussi, je leur donne la permission de passer. Vous savez,
38:33c'est un qui donne la permission à l'autre et tout.
38:35Et puis, l'autre jour, il a voulu
38:37y aller dimanche
38:39et l'autre a dit, ben non, tu viens
38:41pas. Et puis, il l'a même menacé,
38:43si tu viens, j'ai mes copains qui sont
38:45russes et puis tu verras ce que les russes font.
38:47Donc, c'est vrai que, j'y sais, il a un petit peu
38:49peur de y aller et puis, bon...
38:51Bien sûr, je comprends. Mais au niveau
38:53industriel, tout est correct
38:55et c'est eux qui s'octroient
38:57ce droit de se faire mettre
38:59une main. D'accord, ok.
39:01Alors, de ce que je ressens,
39:03Lina, parce qu'on est un peu pris par le temps,
39:05de ce que je ressens, c'est qu'il y a
39:07une histoire du passé sur laquelle,
39:09eux-mêmes, eh bien
39:11ils veulent se venger
39:13d'une rancune ou en rapport
39:15à quelque chose qui a été mal
39:17vécu auparavant, dont vous n'êtes pas,
39:19bien sûr, responsable, mais
39:21il y a quelque chose dans ce sens-là
39:23et puis une histoire qui s'est racontée
39:25ou qui s'est inventée
39:27au travers d'un morceau de terrain
39:29ou autre. Donc, malheureusement,
39:31c'est la justice qui va pouvoir
39:33résoudre le problème, mais je vous
39:35sens
39:37devoir faire face
39:39à la justice, mais en tous les cas, ce que
39:41je ressens, c'est que vous obtiendrez
39:43gain de cause et il est hors de question
39:45qu'ils s'octroient
39:47ce morceau de terrain.
39:49Ils seront même obligés
39:51d'enlever cette borne et peut-être
39:53eux-mêmes aussi de vous dédommager
39:55de tous
39:57ces désagréments que vous avez pu avoir
39:59auparavant. Donc, il faut vous battre,
40:01il faut ne pas vous laisser
40:03intimider et surtout
40:05sortir de ces conflits de voisinage
40:07ou autre, ne rentrez pas dedans
40:09parce que, eux, ça les
40:11amuse.
40:13Voilà, exactement.
40:15Ils vivent au travers de ça, mais
40:17à un moment donné, c'est la justice qui va pouvoir
40:19décider et qui va pouvoir trancher
40:21et la justice sera avec vous et ça,
40:23j'en suis persuadée.
40:25D'accord.
40:27Même si je fais borner le terrain,
40:29vraiment, il ne faut que ça ne passe pas à la justice
40:31ou il faut que ça fasse borner ?
40:33Tout simplement parce que là,
40:35lui, il piétine sur votre terrain et
40:37il faut régler les choses
40:39pour éviter justement que vous vous retrouviez
40:41dans une fragilité, dans une difficulté.
40:43Mais faites les démarches
40:45comme elle se doit de faire
40:47et vous verrez que les choses
40:49vont évoluer positivement
40:51par la suite. D'accord ?
40:53Je vous remercie Alexandre et je vous dirai
40:55si j'attendrai peut-être pas trois ans.
40:57Non, non, non. Je vous remercie Lina.
40:59Prenez soin de vous. Merci à vous.
41:01Merci monsieur Alexandre et merci pour tout ce que vous
41:03nous faites vivre à travers
41:05la radio. Merci encore.
41:07Merci pour votre encouragement.
41:09Allez, nous on se donne rendez-vous
41:11demain, même heure, même endroit et la parole
41:13est aux vrais voix. Bonsoir Philippe David.
41:15Bonsoir Alexandre Delovane.
41:17Au menu des
41:19vrais voix, Michel Barnier
41:21a une assise très fragile
41:23alors il n'a pas été censuré hier
41:25et assez largement mais le budget
41:27arrive et puis a priori
41:29c'est pas le grand amour avec les députés
41:31macronistes et on vous pose cette
41:33question. Le gouvernement Barnier
41:35va-t-il durer ? Est-ce que pour vous
41:37au moment du budget ce sera
41:39fini ou est-ce qu'il va durer ?
41:41Vous pensez que les intérêts politiques
41:43vont passer avant les intérêts de la France ?
41:45Ou le contraire ? Venez nous donner votre avis
41:47au 0826 300 300.
41:49A 18h40, retour à Tourcoing, une lycéenne
41:51étant en garde à vue, elle devait être jugée
41:53en comparution médiate mais le procès est repoussé
41:55parce qu'elle a frappé une enseignante qui lui a demandé
41:57de retirer son voile et on vous pose
41:59cette question. L'État est-il
42:01impuissant à faire respecter la laïcité à l'école ?
42:0320 ans après la loi de 2004,
42:05comment expliquer qu'il y a encore des problèmes ?
42:07Est-ce que les enseignants sont mal formés ?
42:09Est-ce que les sanctions ne sont pas assez fortes ?
42:11Vous l'avez vécu dans un établissement scolaire ?
42:13Venez témoigner au 0826 300 300.
42:15Nos trois vrais voix du jour,
42:17Philippe Bilger, Françoise Degoy et Jean-Michel Fauvergue.
42:19Une bonne émission.