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00:31Je suis heureux d'être avec vous aujourd'hui.
00:33Bonjour à tous et bienvenue dans le programme.
00:36Les gens du monde entier ont décrit la corruption
00:39en utilisant des mots et des expressions différents
00:42et en dépilant un sens de dégâts moral très élevé.
00:45Très commun en Cameroun, nous disons que c'est un cankerworm, un scotch ou un hydra.
00:51Mais autant de ces organismes très détruits et des phénomènes de corruption
00:57peuvent être mitigés.
00:59Alors pourquoi est-ce qu'elle persiste ?
01:02C'est la question.
01:03Des observateurs et des critiques disent que la corruption est devenue systémique en Cameroun
01:09et qu'elle a désactivé les différents efforts et les instruments mis en place pour la combattre.
01:15Aujourd'hui, sur la presse, nous devons essayer de répondre à trois questions.
01:191. Est-ce que la disparition des Camerooniens
01:22a été formatée pour accepter la corruption comme un moyen de vivre ?
01:26Dieu forbid !
01:28Cela sera désastreux.
01:312. Est-ce que les institutions et les instruments anti-corruption sont inappropriés ou inpuissants ?
01:39C'est la deuxième question.
01:41Nous devons aussi regarder si les sanctions de Dracona contrôlent la corruption au pays.
01:47Je suis Kilian Ndandifoni Yaoundé, et vous regardez Presse Réunie sur CRTV.
01:56Presse Réunie
02:04Mesdames et Messieurs, bienvenue.
02:06Si vous vous entendez, c'est Presse R.
02:08Nous vous écoutez en livre de Studio 4 au centre de production de CRTV à Balatou, à Yaoundé.
02:18Pour parler de ce thème très utile et important,
02:24qui peut même dépasser nos efforts de développement,
02:31c'est le problème de la corruption.
02:33Est-ce un problème de pensée ou des sanctions inappropriées
02:38qui continuent d'exister dans notre société ?
02:43Nous avons des gens qui peuvent vous donner ce dont vous avez besoin,
02:49en commençant par M. Atom Afret,
02:51qui est un stratégiste en charge de la stratégie nationale
02:56pour la lutte contre la corruption à Cameroun,
02:59dans la Commission nationale anti-corruption, CONAC.
03:03Bienvenue au programme, Monsieur.
03:05Merci Kilian d'inviter CONAC.
03:07Oui, nous invitons toujours CONAC,
03:09et nous avons confiance en CONAC,
03:11pour s'assurer que ce thème de Cameroun,
03:13qui est dans le fabricant de notre société,
03:16et qui dépasse nos efforts de développement,
03:19soit combattu.
03:20J'espère que vous nous direz ce que vous faites,
03:23et que c'est assez.
03:24Juste à côté de vous,
03:26il y a notre propre Patrick Moua,
03:28qui est éditeur de table dans le journal Guardian Post.
03:31Patrick, bienvenue à nouveau.
03:34Merci beaucoup, Kilian.
03:36Vous m'appréciez, j'ai une très mauvaise voix
03:38et toute la semaine, j'ai souffert de froid
03:40et d'un coup de lumière.
03:42Mais j'espère pouvoir soutenir le débat.
03:44Oui, vous le serez.
03:45Ensuite, nous allons dire à notre équipe technique
03:48de s'assurer qu'ils travaillent sur cela
03:51en utilisant notre microphone.
03:53Vous pouvez être sûr que votre voix sera bien.
03:55Notre propre Foumbad Moujem,
03:58qui est un barista en loi,
04:00qui sait tout en ce qui concerne la loi sur la corruption
04:04et la loi sur tant d'autres choses.
04:06Barista, merci d'être venu.
04:08Merci, Kilian. Merci de m'inviter.
04:11Salut à nos téléspectateurs
04:14et à tous nos enseignants.
04:16Nous savons tous que la corruption est très visible
04:19dans le milieu scolaire.
04:21Cela, selon la commission nationale anti-corruption,
04:25l'officiel de ce groupe est ici.
04:27Il va nous dire pourquoi
04:29le secteur éducatif est le leader du chart.
04:32Merci beaucoup, Barista, d'être venu.
04:35Merci également, Paul et Chang.
04:38Vous êtes un analyste politique
04:40et vos commentaires et vos interventions
04:44sont toujours en détail.
04:46Merci d'être venu.
04:48Merci beaucoup, Kilian, d'être venu.
04:50Merci à CRTV d'être venu.
04:52Bienvenue à tous nos téléspectateurs.
04:54Pour vous rappeler,
04:56j'aimerais également
04:58féliciter les enseignants.
05:00Je viens d'une famille d'enseignants
05:02et je pense que la plupart d'entre nous le font.
05:04C'est donc très important
05:06que sur ces plateformes,
05:08leur travail soit reconnu
05:10avec leur résilience que nous voyons
05:12partout dans le monde.
05:14C'est vrai qu'ils ne peuvent pas
05:16obtenir les paiements qu'ils veulent,
05:18mais nous vivons dans un monde capitaliste.
05:20Leur résilience et leurs enseignements
05:22sont ce qui créent nos leaders pour demain.
05:24Pour ceux dans le nord-ouest et le sud-ouest,
05:26s'il vous plaît, continuez à enseigner
05:28et enseignez bien à vos enfants.
05:30Avant de finir,
05:32nous avons une réunion de presse.
05:34La réunion de presse est faite par
05:36Emmanuella Vemny.
05:38Emmanuella, racontez-nous ce que
05:40le journal a fait pendant la semaine qui s'est terminée.
06:00La réunion de presse est aussi
06:02annoncée par le Horizon.
06:04Pour le journal du soleil,
06:06c'est une réunion d'opposition dans l'air.
06:08Une réunion qui râle le régime
06:10de Bia.
06:12Le journal présente également
06:14que les gagnants et les perdants
06:16devraient être un pouvoir acquitté
06:18avant que l'UPC soit annoncée
06:20pour les candidatures de Bia Nakirimona
06:22dans le journal Lone English Daily.
06:24Ce qui se passe à un moment où les gains
06:26et les défis du dialogue national
06:28sont évalués dans le journal Guardian
06:30il y a cinq ans.
06:32Le journal évalue le dialogue national
06:34à cinq ans.
06:36Cameroon Insider pense que
06:38cela fait cinq ans
06:40que la voix évalue
06:42l'impact sur les compétences
06:44avant que les succès et les défis
06:46de ce dialogue soient présentés
06:48dans le Horizon.
06:50Le journal évalue cela
06:52en payant hommage
06:54aux grands acteurs nationaux
06:56qui ont été détruits pour toujours.
06:58Des pirates ont été arrêtés
07:00par un officier de la division
07:02et une autre personne
07:04dans la péninsule de Bakassi
07:06dans le journal Guardian.
07:08Le débat s'intensifie
07:10dans les opérations de rescue
07:12de Cameroon Insider
07:14qui continuent aussi
07:16dans le journal Cameroon Tribune
07:18à un moment où fondateur
07:20Joe Wilson
07:22est accueilli
07:24pour ses atrocités
07:26dans les régions anglophones
07:28du pays.
07:30Le Horizon partage l'opinion
07:32que l'accident d'Ayabachos
07:34est lié à la coupure collective
07:36des fonds nord-ouest.
07:38Mais les prisonniers de conscience
07:40condamnent l'arrêt d'Ayabachos
07:42et demandent une résolution
07:44pacifique du conflit
07:46dans le journal Voix.
07:48La crise de corruption de Cameroon
07:50a alors accusé 114 millions
07:52d'Ayabachos
07:54dans le journal Post.
07:56Un camp de campagne
07:58a été dit à manger encore plus profond
08:00dans Cameroon Insider.
08:02Le PCC est rapporté
08:04en turmoil dans le Messenger
08:06quand le Poste décrit
08:08Nekohali
08:10« Mon cœur pleure,
08:12car le PCC est en feu ».
08:14La voix indique
08:16que des membres clés
08:18de l'élection prochaine
08:20ont été tués.
08:22Trois enfants de la même famille
08:24ont été rapportés morts à Boya
08:26après avoir consommé des gouttes
08:28dans le journal Dawn.
08:30Trois enfants du Poste ont
08:32mort de la poisonnage.
08:34CRTV a alors perdu
08:36le journaliste Arsène Gottfried
08:38qui a également témoigné
08:40avec le professeur Daniel Aboua,
08:42un historien iconique
08:44dans Municipal Updates.
08:46Jusqu'à ce que je revienne,
08:48je vous souhaite une bonne journée
08:50et une bonne soirée.
09:18Je vous souhaite une bonne journée
09:20et une bonne soirée.
09:22Je vous souhaite une bonne journée
09:24et une bonne soirée.
09:26Je vous souhaite une bonne journée
09:28et une bonne soirée.
09:30Je vous souhaite une bonne journée
09:32et une bonne soirée.
09:34Je vous souhaite une bonne journée
09:36et une bonne soirée.
09:38Je vous souhaite une bonne journée
09:40et une bonne soirée.
09:42Je vous souhaite une bonne journée
09:44et une bonne soirée.
09:46Je vous souhaite une bonne journée
09:48et une bonne soirée.
10:16Je vous souhaite une bonne journée
10:18et une bonne soirée.
10:20Je vous souhaite une bonne journée
10:22et une bonne soirée.
10:46Nous sommes tous d'accord
10:48que les enseignants ne sont pas bien payés.
10:50C'est peut-être pourquoi la corruption
10:52est impliquée dans le milieu de l'école.
10:54Mais nous voulons dire aux enseignants
10:56que vous faites votre travail bien
10:58et que vous laissez le reste à Dieu.
11:00Nous apprécions le travail que vous faites.
11:02Nous comprenons la douleur que vous vivez.
11:04Mais ce qui est plus important,
11:06c'est le résultat, les résultats
11:08et la satisfaction.
11:10Parce que la plus riche personne du monde
11:12aujourd'hui a passé par un enseignant.
11:14Barista, je ne peux pas te laisser partir
11:16avec ça.
11:18Quand tu dis que les enseignants ne sont pas bien payés,
11:20ceux qui travaillent pour le service public,
11:22quand tu regardes leur paiement
11:24et que tu regardes le paiement
11:26de tous les autres fonctionnaires
11:28publics,
11:30est-ce que tu penses qu'ils sont moins payés
11:32ou qu'est-ce que tu veux dire par
11:34qu'ils ne sont pas bien payés?
11:36Je pense que la vérité est que
11:38le milieu d'enseignement est une des zones
11:40où je veux penser que
11:42les enseignants sont forcés à dépendre
11:44uniquement de leurs salariés.
11:46Et quand ils doivent se dépendre uniquement de leurs salariés,
11:48et nous savons très bien que les salariés
11:50sont abysmalement faibles
11:52dans le Cameroun,
11:54nous les voyons, je veux dire,
11:56quand tu vois les enseignants,
11:58tu sais qu'ils ne sont pas bien payés.
12:00Ils ne vivent pas jusqu'à l'expectation.
12:02Je ne commenterai pas sur ça.
12:04Oui, Paul.
12:06Bonne Journée aux enseignants.
12:08Je pense que c'est la résilience
12:10des enseignants que j'aimerais
12:12commenter ici.
12:14Parce que je pense que partout dans le monde,
12:16les enseignants n'ont pas vraiment été payés
12:18tant qu'ils contribuent
12:20à la transfusion de connaissances
12:22pour ceux qui deviennent
12:24réussis par se.
12:26Parce que nous vivons dans un monde capitaliste.
12:28Donc même quand nous étions plus jeunes,
12:30nous savions que ceux qui étaient enseignants
12:32ou leurs enfants n'avaient jamais vraiment beaucoup.
12:34Mais si tu te demandes ce que sont devenus
12:36les enfants d'enseignants,
12:38à un moment donné,
12:40pour le Cameroun en lui-même,
12:42je pense que le ministre de l'Éducation basse
12:44et le ministre de l'Éducation supérieure
12:46ont mis en place des mesures.
12:48Est-ce qu'elles ont été mises en place
12:50aussi rapidement et rapidement
12:52qu'ils le souhaiteraient?
12:54Je pense que peut-être pas.
12:56Mais je pense qu'il y a aussi une différence
12:58entre le secteur public et le secteur privé.
13:00Je pense que pour les enseignants
13:02qui viennent du secteur privé,
13:04s'ils pouvaient s'organiser mieux
13:06dans le secteur privé,
13:08c'est-à-dire que les propriétaires des écoles
13:10pourraient les payer comme ils voulaient.
13:12Je pense qu'il y a beaucoup de travail
13:14qui doit être fait avec le ministère du Travail
13:16et l'assurance sociale,
13:18mais les enseignants doivent s'organiser
13:20dans un syndicat où ils peuvent
13:22s'approcher du gouvernement.
13:24Sinon, leurs droits en termes de travail
13:26et leurs besoins ne pourraient pas être priorisés
13:28de la manière dont ils devraient les reconnaître.
13:30Merci beaucoup.
13:32Je pense que c'est un secteur,
13:34je pense qu'il y a plus d'attention
13:36que dans le secteur public,
13:38probablement, comme le dit Maritime,
13:40en général,
13:42mais les enseignants du gouvernement
13:44ont un salaire régulier,
13:46leur situation a été vérifiée,
13:48et je vous laisse juste
13:50voir ce que le gouvernement
13:52a fait.
13:54Il a été capturé
13:56par le ministre de l'Éducation basique
13:58pendant des activités
14:00marquant la célébration
14:02de la Journée des enseignants.
14:04Le professeur Laurent Sège-Etoundingwa
14:06a parlé à CRTV
14:08après la célébration
14:10qui a eu lieu le 5 octobre,
14:12hier.
14:16Tous les enseignants du monde
14:18ont des problèmes,
14:20et nos problèmes spécifiques
14:22en Cameroun
14:24ont été soulignés
14:26par les syndicats,
14:28les enseignants eux-mêmes,
14:30et ainsi de suite.
14:32Le président a pris des mesures
14:34pour résoudre les problèmes
14:36il y a trois ans,
14:38et tous les mois,
14:40nous résoudons les problèmes.
14:42S'ils ne parlent plus maintenant,
14:44c'est parce que les problèmes
14:46sont résolus.
14:48Nous n'avons pas résolu
14:50tous les problèmes aujourd'hui,
14:52mais la majorité des problèmes
14:54ont été résolus.
14:56Nous allons résoudre
14:58tous les problèmes.
15:00Si tout le monde est conscient
15:02de ce qu'il doit faire,
15:04et conscient qu'il ne peut pas être heureux
15:06partout dans le pays,
15:08ceux qui sont à Douala Yaoundé
15:10sont assez heureux
15:12d'être là.
15:14Mais quelqu'un qui vient
15:16d'un village de Nashville
15:18ne peut pas être aussi heureux
15:20que ceux qui sont ici.
15:24Nous espérons que tout
15:26sera résolu dans les prochaines semaines.
15:30Je peux dire
15:32bonjour à tous les enseignants.
15:44Oui, le ministre lui-même
15:46l'apprécie. Il accepte
15:48que ce sont des problèmes.
15:50Il admette que ce sont des problèmes,
15:52mais il dit que les problèmes
15:54sont des problèmes.
15:56Je sais qu'il y a beaucoup
15:58de travail en éducation basique,
16:00en éducation secondaire,
16:02avec beaucoup de réformes,
16:04certaines de ces réformes
16:06sont vraiment courageuses
16:08en éducation secondaire,
16:10en éducation supérieure,
16:12et dans d'autres domaines
16:14de l'éducation au pays.
16:16Nous allons maintenant
16:18entrer dans notre sujet,
16:20notre débat d'aujourd'hui.
16:22La Commission nationale
16:24contre la corruption,
16:26le CNAC,
16:28qui s'occupe du jour
16:30des enseignants
16:32qui s'intéressent à l'éducation,
16:34vous allez nous dire,
16:36vous confirmez que l'éducation
16:38est au-dessus du chart
16:40des secteurs qui
16:42conduisent à la corruption au Cameroun.
16:44Comment vous expliqueriez-vous cela ?
16:46Eh bien, Kilian,
16:48je dirais d'abord
16:50que le jour des enseignants
16:52est un jour pour ceux qui
16:54apportent des connaissances.
16:56Le CNAC espère d'eux
16:58non seulement apporter des connaissances,
17:00mais aussi apporter des valeurs morales,
17:02comme l'honnêteté,
17:04le travail du cœur,
17:06et autres.
17:08Eh bien,
17:10vous dites que les enseignants...
17:12L'éducation...
17:14Oui, le secteur éducatif
17:16est au-dessus du chart.
17:18Eh bien,
17:20la situation au Cameroun est que
17:22nos salariés
17:24ne seront jamais satisfaits.
17:26Nous ne sommes pas satisfaits
17:28avec nos salariés.
17:30Et je dis souvent que si quelqu'un
17:32n'est pas satisfait avec un salaire
17:34de 200 000 par mois,
17:36il ne sera jamais satisfait avec un salaire de 2 millions.
17:38Il y a des problèmes partout.
17:40Mais la situation spécifique
17:42ici est que
17:44dans le secteur éducatif,
17:46vous avez des parents
17:48qui sont corruptes.
17:50Vous avez des étudiants.
17:52Vous avez des enseignants.
17:54Parce que
17:56la plupart d'entre eux
17:58ont laissé
18:00le travail dur.
18:02Ils veulent juste
18:04avoir
18:06de bons résultats
18:08le plus tôt possible.
18:10Nous pensons
18:12dans CONAC
18:14que
18:16ceux
18:18qui ont décidé
18:20d'imposer
18:22des connaissances
18:24sur nos citoyens
18:26comme
18:28ils ont un rôle spécifique
18:30et qu'on expecte des choses spécifiques
18:32de eux.
18:34Le salaire n'est pas...
18:36Nous avons tous des salaires très pauvres.
18:38Mais le salaire
18:40n'est pas un indicateur.
18:42Ce n'est pas
18:44une raison pour laquelle
18:46nous devons être corruptes.
18:48Parce que si vous allez aux journalistes,
18:50ils complaignent aussi.
18:52Si vous allez
18:54à d'autres secteurs
18:56comme
18:58les médecins
19:00ou les soignants,
19:02ils complaignent aussi.
19:04Donc ce n'est pas un sujet spécifique
19:06qui s'agit seulement
19:08des enseignants.
19:10Si vous n'êtes pas honnête
19:12avec un salaire...
19:14Si vous n'êtes pas satisfait avec un salaire de 200,
19:16vous n'êtes pas satisfait avec un salaire de 2 millions.
19:18Donc avoir un pauvre
19:20à la maison...
19:22Ce n'est pas une justification.
19:24Ce n'est pas une justification.
19:26Maintenant, vous êtes le
19:28le plus important
19:30pour lutter contre la corruption.
19:32Les autres sont là, oui.
19:34Mais l'Union Européenne
19:36fait beaucoup plus ouvertement
19:38que les autres.
19:40Vous voyez cela.
19:42Cela a été récurrent.
19:44Nous n'avons pas de magistrats.
19:46C'est la justice.
19:48C'est officiel, la police.
19:50Est-ce que c'est l'ordre dans votre classification?
19:52Oui.
19:54Maintenant, vous avez vu cela.
19:56Il y a les mêmes groupes qui sont en train d'arriver.
19:58Est-ce que vous ne voyez pas
20:00et vous parlez de cela
20:02ou de ce que vous devez faire
20:04pour qu'ils continuent?
20:06Qu'est-ce qu'on fait pour éviter
20:08ce type de dégâts moral dans notre société?
20:10Oui, nous travaillons
20:12avec la communauté d'éducation.
20:14Nous avons développé
20:16ce que nous appelons
20:18un curriculum d'intégrité pour l'éducation
20:20des écoles
20:22à l'université.
20:24Parce que nous sommes maintenant
20:26à la stage où ce curriculum
20:28doit être adopté
20:30dans différentes formes et ordres
20:32de l'éducation.
20:34De l'école à l'université.
20:36Nous pensons
20:38que
20:40nous ne pouvons pas
20:42imposer
20:44ces valeurs.
20:46Mais nous faisons
20:48des enseignants nouveaux
20:50parce que certains d'entre eux ont perdu
20:52l'importance de leur rôle.
20:54Certains d'entre eux
20:56sont, par exemple,
20:58en train de chercher
21:00de l'argent,
21:02de l'emploi, au lieu du rôle
21:04spécifique de l'enseignement.
21:06Vous l'avez déjà dit,
21:08notre question continue de se poser.
21:10Vous, en particulier,
21:12êtes en charge
21:14de la stratégie
21:16pour lutter contre la corruption,
21:18la stratégie nationale pour lutter contre la corruption.
21:20Depuis qu'elle persiste,
21:22les résultats montrent que les choses
21:24sont devenue encore pire.
21:26C'est la stratégie,
21:28pas le ressenti.
21:30Je ne pense pas.
21:32La corruption a dégagé
21:34dans notre société.
21:36Donc, vous devriez venir avec une stratégie
21:38qui lutte contre la corruption.
21:40C'est pourquoi j'ai dit
21:42que nous avons développé
21:44un curriculum.
21:46Je répète,
21:48des écoles primaires
21:50à l'université,
21:52le but de ce curriculum
21:54est d'imposer sur nos enfants
21:56les valeurs morales
21:58que j'ai mentionnées.
22:00Nous n'avons pas
22:02les mains pliées.
22:04Nous travaillons avec la communauté d'éducation.
22:06Pas seulement avec l'éducation,
22:08nous parlons globalement.
22:10Quand je dis communauté d'éducation,
22:12nous parlons ici
22:14des enseignants.
22:16Quand je dis communauté d'éducation,
22:18ça veut dire les parents,
22:20les élèves,
22:22l'administration scolaire,
22:24les enseignants,
22:26tout ça.
22:28La chose la plus inquiétante,
22:30c'est que vous justifiez
22:32notre sujet,
22:34que vous aidez les Camerooniens
22:36à savoir que la corruption
22:38est normale,
22:40parce qu'ils peuvent venir
22:42prendre des notes,
22:44aller se reposer,
22:46et on peut continuer avec la corruption.
22:48Où est votre sourire ?
22:50Ce n'est pas ce que je veux dire.
22:52Laissez-moi être clair.
22:54Le Conrac n'est pas un court,
22:56ni un administratif,
22:58ni un court judiciaire.
23:02Ce que nous faisons,
23:04c'est travailler sur les pensées
23:06de tout le monde.
23:08Je suis désolé, nous n'avons pas de sourire.
23:12Nous n'avons pas de sourire.
23:14Donc vous n'avez pas de pouvoir.
23:16Non, nous n'avons pas de pouvoir.
23:18Nous sommes un Conseil de l'État,
23:20pas des pouvoirs judiciaires.
23:22Nous ne sommes pas un court,
23:24ni un court administratif,
23:26ni un court judiciaire.
23:28Nous allons nous en occuper.
23:30Une dernière question.
23:32Une dernière question.
23:34Vous vous rappelez
23:36de la hiérarchie.
23:38Pouvez-vous nous dire
23:40que vos rapports
23:42ne font pas partie
23:44de ce qui vous a poussé
23:46à proposer des solutions?
23:48Vous lui avez dit que c'était
23:50très difficile.
23:52Je vous invite à lire nos rapports.
23:54Quand nous trouverons une situation,
23:56nous proposerons des solutions.
23:58Nous l'avons fait.
24:00Patrick, vous avez été
24:02très impatient.
24:04Pas nécessairement impatient.
24:06Nous sommes sur un plafond de débat.
24:08Ce n'est pas un 1-à-1.
24:10Sinon, vous auriez invité
24:12le représentant de CONAC
24:14Je pense que c'est assez excitant
24:16que la personne en charge
24:18d'une stratégie pour combattre
24:20la corruption au Cameroun est actuellement ici.
24:22Mais je suis désolé de dire que la stratégie
24:24que CONAC a mise en place n'a pas fonctionné.
24:26Elle n'a pas fonctionné
24:28car tout au long, CONAC a utilisé
24:30l'approche basse.
24:32Elle n'a pas fonctionné.
24:34Elle ne fonctionnera jamais.
24:36La seule approche qui fonctionne
24:38pour combattre la corruption,
24:40parce qu'il n'y a rien de mauvais
24:42si nous nous tournons vers la guerre,
24:44la corruption est combattue
24:46par l'approche basse, pas la basse.
24:48CONAC dépend de l'organisation.
24:50L'homme ordinaire
24:52devrait écrire à CONAC
24:54ou appeler CONAC par son numéro de téléphone
24:56pour qu'il puisse l'envoyer plus tard.
24:58Si nous combattons la corruption
25:00de ce point de vue, nous n'aurons jamais
25:02le résultat. Mais si nous utilisons l'approche basse,
25:04ce qui signifie qu'elle commence
25:06en haut. Nous ne pouvons pas avoir
25:08une loi dans ce pays.
25:10Nous ne pouvons pas avoir
25:12une loi dans ce pays.
25:14Nous ne pouvons pas avoir
25:16une loi dans ce pays.
25:18Nous ne pouvons pas avoir
25:20une loi dans ce pays.
25:22Nous ne pouvons pas avoir
25:24une loi dans ce pays.
25:26Nous ne pouvons pas avoir
25:28une loi dans ce pays.
25:30Nous ne pouvons pas avoir
25:32une loi dans ce pays.
25:34Nous ne pouvons pas avoir
25:36une loi dans ce pays.
25:38Si les autorités publiques
25:40déclarent leurs achats
25:42à l'heure de leur arrivée
25:44à l'office,
25:46cela devient très facile pour nous aussi.
25:48Pourquoi même les salariés
25:50d'un certain nombre d'agents publics,
25:52même l'état de l'état,
25:54pourquoi est-ce qu'un salaire est un mystère pour ce pays?
25:56Comment pouvez-vous prendre la corruption
25:58si vous ne le savez pas? Par exemple, j'ai un enfant
26:00à la maison. Je sais que l'alimentation quotidienne
26:02que je lui donne est de 200 francs.
26:04Et je vois cet enfant acheter un téléphone dans ma maison.
26:06Je sais exactement que cet enfant
26:08a certainement gagné de l'argent d'un autre endroit.
26:10Mais si je n'avais pas l'idée
26:12de l'alimentation quotidienne de cet enfant,
26:14de sa situation financière,
26:16il n'y aurait pas de façon
26:18de vérifier les dépenses
26:20de cet enfant.
26:22Vous avez fait un très bon point.
26:24Laissez-moi passer au point.
26:26C'est quelque chose
26:28dont j'ai parlé
26:30une fois.
26:32Si vous parlez de
26:34déclaration publique
26:36d'assets, c'est
26:38une chose différente. Si vous parlez
26:40de ne pas déclarer d'assets du tout,
26:42il y a un problème. Parce que les gens
26:44déclarent d'assets.
26:46Qui a déclaré?
26:48Barista Mekame.
26:50Vous parlez d'illusion.
26:52C'est un plan qui a été
26:54implémenté depuis 1996.
26:56Barista est là. Pourquoi essayez-vous de nous confondre?
26:58Nous parlons de ceux qui occupent
27:00les services publics.
27:02Pourquoi, par exemple,
27:04le Conseil des services publics
27:06n'a-t-il pas monté
27:08une pression sur
27:10les pouvoirs?
27:12Nous commençons par
27:14l'implémentation
27:16d'un article particulier
27:18qui déclare la corruption.
27:20C'est-à-dire que le jour où
27:22quelqu'un entre dans l'office,
27:24une note est prise, et le jour où l'homme
27:26sort, il y a une vérification.
27:28Le moment où cet homme part de l'office,
27:30c'est-à-dire qu'il a pris sa main dans
27:32la porte publique.
27:34C'est très facile.
27:36C'est l'un des aspects que j'ai aimé.
27:38Je suis toujours sur le point
27:40des déclarations publiques
27:42et des déclarations personnelles.
27:44Si vous lisez ce texte...
27:46Vous ne me confondez pas.
27:48Vous essayez de me confondre.
27:50J'insiste sur l'aspect qui n'a pas été
27:52implémenté depuis 1996.
27:54Nous parlons de la loi.
27:56C'est un homme de la loi.
27:58Vous ne pouvez pas avancer.
28:00Ce point n'a pas été implémenté.
28:02Nous avons un agent de la loi.
28:04Nous avons un agent qui a déclaré...
28:06Si vous devez vous bousiller...
28:08Je ne peux pas vous bousiller.
28:10Vous avez parlé de quelque chose.
28:12Nous avons quelqu'un qui peut l'implémenter.
28:14Après ça, vous pouvez continuer.
28:16Laissez-moi vous donner la lumière
28:18sur la déclaration d'assets.
28:20Dans le texte 66 de la Constitution de 1996,
28:22c'est mandatoire pour les officiers
28:24de déclarer leurs assets.
28:26Le texte de l'application
28:28doit être mis en place
28:30pour déterminer
28:32la manière de déclarer ses assets.
28:34Cette application a été promulguée
28:36en 2014.
28:38Mais maintenant,
28:40ce qui empêche
28:42l'application
28:44est qu'il y a un article
28:46dans le texte
28:48qui dit que le président
28:50doit appeler la commission
28:52pour déclarer ses assets.
28:54Nous attendons l'appel
28:56des membres de cette commission.
28:58C'est ce qui empêche
29:00la déclaration d'assets.
29:02Nous attendons l'appel
29:04des membres de la commission.
29:06Je vous laisse continuer.
29:08J'ai appelé pour qu'on parle.
29:10Vous pouvez continuer.
29:12Vous me bousillez toujours sur ce sujet.
29:14Avant que Barrister ne vienne,
29:16j'étais encore sur l'issue du CONAC.
29:18Je pense qu'il y a
29:20environ 2013,
29:22il y a environ.
29:24La stratégie que CONAC a utilisée
29:26pour présenter
29:28son rapport anti-corruption
29:30a automatiquement changé
29:32à quelque chose d'autre.
29:34Les rapports sont publiés
29:36sans les noms
29:38d'accusés d'embezzement
29:40ou ceux qui sont en investigation.
29:42Ils ont commencé à utiliser les initiaux
29:44des autorités publiques.
29:46Les noms, les détails ne sont pas publiés.
29:48Les détails ont été publiés avant.
29:50Ce que j'aimerais ou non,
29:52les noms et les détails
29:54font partie
29:56de l'effort pour combattre
29:58l'embezzement.
30:00Si quelqu'un est publiquement déclaré
30:02embezzé, même la façon
30:04dont la personne s'améliore dans la société
30:06et tout cela,
30:08ça change automatiquement.
30:10Imaginez si vous saviez que
30:12ce public est un individu embezzé
30:14et que CONAC a fait l'investigation,
30:16le rapport a été publié,
30:18je suis sûr que cette personne
30:20pourrait...
30:22Non, on ne parle pas de ça.
30:24Je parle du moment où les rapports
30:26de CONAC sont faits, par exemple.
30:28C'est important. Dans d'autres pays,
30:30les individus embezzés
30:32sont publiés, même sur la télé.
30:34C'est une approche.
30:36Mais si CONAC...
30:38CONAC a concilié
30:40les identités
30:42de ceux qui sont
30:44suspectés d'embezzement,
30:46ils devraient aller en public.
30:48Quand vous dites suspect,
30:50devraient-ils aller en public?
30:52Non, non, non.
30:54Si vous êtes suspect,
30:56vous ne devriez pas aller en public.
30:58Donc CONAC a été enceint
31:00avant qu'ils puissent publier les identités.
31:02Laissez-moi être clair.
31:04Nous publions les résultats
31:06de nos investigations.
31:08Comme je l'ai dit au début,
31:10nous ne sommes pas un court.
31:12Vous êtes innocent
31:14jusqu'à ce qu'un court vous trouve culpable.
31:18Alors, qu'est-ce qui s'est passé avant?
31:20Pourquoi les noms ont été publiés avant par CONAC?
31:22Nous n'avons pas avancé.
31:24Nous avons avancé.
31:26Nous avons avancé.
31:28Nous avons avancé.
31:30Nous avons avancé.
31:32Il y a un ministre de l'Intérieur
31:34qui a publié son avis en 2013.
31:36Oui.
31:38Vous donnez à CONAC
31:40trop de pouvoir.
31:42Nous ne sommes pas un court.
31:44Nous avons compris.
31:46Nous avons fait des recherches.
31:48Et nous avons dit que c'est ce que nous avions trouvé.
31:50Maintenant, les courts
31:52doivent prendre
31:54le bouton de relais.
31:56Les courts dorment.
31:58C'est pour ça qu'on...
32:00Les courts ne dorment pas.
32:02Nous avons dit depuis un an que les courts dorment.
32:04Les courts ne dorment pas.
32:06Si vous permettez,
32:08je donnerai un résumé
32:10de ce que j'ai retenu
32:12de l'annuel rapport de CONAC,
32:14le plus récent rapport publié.
32:16Dans ce rapport, j'ai écouté le président.
32:18Je me suis rendu compte
32:20qu'en 2022,
32:22le Cameroun a perdu 4,6 millions
32:24en résultat de la corruption.
32:26Un an après, en 2023,
32:28il a perdu 114 millions.
32:30Au cours d'un an,
32:32l'augmentation est devenue de 109 millions.
32:34Cela ne signifie pas
32:36que CONAC ne fonctionne pas.
32:38CONAC fait un très bon travail.
32:40Le problème, je pense,
32:42c'est que nous sommes tous d'accord
32:44que la corruption est sur le risque.
32:46Quand la corruption est sur le risque,
32:48qu'est-ce qu'il faut faire ?
32:50Qu'est-ce qu'il faut faire pour que CONAC soit plus efficace ?
32:52Le président de CONAC
32:54a dit quelque chose qui m'a attiré.
32:56CONAC n'est pas un court.
32:58Nous devrions aller jusqu'à ce que CONAC
33:00ait le statut de court.
33:02En regardant le rapport de CONAC,
33:04on voit que les dommages
33:06ont été remboursés
33:08par la Cour Spéciale Criminelle
33:10pour le prix de 39 millions.
33:12L'SRIC ne pouvait
33:14que récupérer 7 millions
33:16à partir de 6 jugements.
33:18Il y a eu 39 jugements passés.
33:20Seuls 6 jugements pourraient être exécutés.
33:22Donc, à partir de 39 millions remboursés par la Cour,
33:24seulement 7 millions pourraient être récupérés.
33:26En regardant la statistique de CONAC,
33:28on voit que les gens ont volontairement
33:30remboursé seulement 1,5 million.
33:32En même temps, il y a une loi
33:34qui permet aux gens de rembourser
33:36et de bénéficier de la Cour Spéciale Criminelle.
33:38Mais encore une fois,
33:40nous n'avons pas le temps de voir
33:42pourquoi cette loi n'est pas effective.
33:44Pour une personne comme moi,
33:46si l'enquête
33:48montre que
33:50vous avez été emprisonné,
33:52vous remboursez,
33:54vous n'allez pas en prison.
33:56Cette loi dit que
33:58pendant l'enquête, avant le jugement,
34:00si vous remboursez la quantité
34:02que vous avez été emprisonné,
34:04vous pouvez bénéficier
34:06de la Cour Spéciale Criminelle.
34:08Ce qui fait que cet article
34:10n'est pas efficace, c'est parce que
34:12pendant l'enquête,
34:14les comptes sont toujours exorbitants.
34:16Et pendant le jugement,
34:18les comptes sont réduits.
34:20Et la loi dit que si vous permettez le jugement
34:22de se passer, vous n'allez plus bénéficier
34:24de la Cour Spéciale Criminelle.
34:26Merci pour l'explanation.
34:28Nous vous avons gardé dans la cour depuis longtemps.
34:30Qu'est-ce que nous pouvons faire ?
34:32Nous parlons aussi
34:34des sanctions inappropriées.
34:36Comment pouvons-nous
34:38faire cela dans notre pays ?
34:40D'un point de vue politique,
34:42l'importance
34:44de la lutte contre la corruption
34:46est à cause du fait
34:48qu'elle érode la légitimité
34:50d'un gouvernement
34:52en termes de procédures démocratiques
34:54qui sont mises en place,
34:56ce qui signifie que si un budget est allocé,
34:58le budget va dans une autre direction,
35:00ce qui signifie qu'il empêche le gouvernement
35:02d'impliquer différents projets
35:04et donc de garder le gouvernement en dette.
35:06C'est un point de vue politique aussi.
35:08Mais aussi d'un autre point de vue
35:10en termes de l'infrastructure politique
35:12de l'action politique du gouvernement,
35:14je pense qu'il ne faut pas confondre
35:16les différentes actions que le gouvernement
35:18ou les différentes institutions
35:20que le gouvernement a mises en place.
35:22Je pense que ce que le représentant de CONAC
35:24voulait dire, c'est que nous avons des instruments
35:26pour lutter contre la corruption,
35:28comme le Code criminel et le Code pénal.
35:30Il faut comprendre que l'ANIF,
35:32qui est aussi un autre instrument
35:34pour lutter contre la corruption,
35:36est aussi un instrument national
35:38pour lutter contre la corruption,
35:40comme il a bien dit.
35:42Quand vous réunissez tous ces instruments,
35:44vous devez aussi travailler
35:46avec différents portfolios,
35:48car nous luttons contre la corruption
35:50dans le secteur public.
35:52C'est pourquoi CONAC a mis en place
35:54cet instrument.
35:56Je vais vous donner un exemple.
35:58Ils collectent l'information,
36:00ils investigent les cas,
36:02et ils publient un rapport.
36:04C'est ce qu'ils veulent.
36:06Cette structure n'est pas
36:08une structure judiciaire empowérée
36:10par le Code pénal,
36:12par le Code criminel,
36:14avec les magistrats et les juges
36:16pour pouvoir enlever la sanction.
36:18Il y a aussi une procédure pour l'investigation,
36:20ce qui signifie que lorsque vous êtes chargé,
36:22vous avez une certaine quantité,
36:24mais par preuve, ces quantités
36:26sont normalement réduites.
36:28Vous avez aussi le National Extraordinary,
36:30vous devez aussi rappeler
36:32que nous avons la Convention des Nations Unies,
36:34la Convention africaine,
36:36et c'est pourquoi vous avez
36:38le programme de protection des
36:40activistes du Whistleblower.
36:42Ce programme peut aller
36:44à tous les ministères,
36:46car si un Whistleblower
36:48ne se sent pas protégé,
36:50il peut se protéger aussi.
36:52C'est un programme politique
36:54qui doit être réalisé.
36:56Il y a différentes mesures,
36:58il y a des instruments nationaux
37:00et internationaux qui doivent être mis en place,
37:02et au niveau des ministères
37:04du secteur public,
37:06il y a un inspecteur général des services,
37:08qui inspecte les contrôles internes
37:10des services. Il y a un audit
37:12qui va vers ce processus.
37:14Il y a donc une collaboration
37:16qui doit se produire,
37:18une collaboration qui utilise le pouvoir,
37:20les privilèges, les préférences et les paiements
37:22pour pouvoir élargir l'acte corrupte.
37:24Nous devons donc revenir
37:26et ne pas seulement blâmer CONACT,
37:28car je pense que la corruption est systémique.
37:30C'est pourquoi on dit que c'est systémique.
37:32Quand c'est systémique...
37:34Il ne devrait pas être justifié d'être systémique.
37:36Quand on dit que c'est systémique,
37:38ça veut dire que c'est dangereux.
37:40Non, quand on dit que c'est systémique,
37:42ça veut dire que les différents secteurs publics
37:44sont confrontés à la corruption.
37:46Les individus dans le secteur public
37:48sont confrontés à la corruption.
37:50Cela ne veut pas dire
37:52que l'on va s'épargner
37:54de tous les servants publics,
37:56mais qu'en termes d'inspecteur général
37:58des services, il faut collaborer
38:00avec l'investigation et les cas
38:02sur lesquels CONACT travaille
38:04pour que les unités anti-corruption
38:06dans chaque ministère
38:08puissent travailler ensemble
38:10avec CONACT pour qu'au niveau judiciaire,
38:12nous puissions voir dans le processus de pin-out...
38:14Non, l'explication est bonne,
38:16mais vous dites qu'on peut.
38:18Quand nous demandons,
38:20et j'ai vu dans la littérature
38:22que j'étais en train de lire
38:24sur pourquoi la corruption
38:26persiste dans le pays,
38:28c'est que la volonté politique
38:30n'est pas active
38:32en tant qu'analyste politique.
38:34Parfois, les gens
38:36se moquent du fait
38:38qu'il peut y avoir un gouvernement national
38:40en prison.
38:42Mais derrière la volonté politique,
38:44il faut avoir les procédures
38:46et les institutions qui aident
38:48à combattre la corruption.
38:50Peut-être que l'application
38:52est ce dont les gens se moquent.
38:54Peut-être que CONACT devrait être
38:56plus décentralisé,
38:58non seulement à Nyaoundé,
39:00mais aussi aux conseils régional et local.
39:02Où sont les conseillers indépendants?
39:04Où sont les instruments de l'inspecteur général?
39:06Ils peuvent relier cette information.
39:08Vous avez raison,
39:10si vous avez une approche
39:12du haut au bas,
39:14vous augmenterez la corruption.
39:16Il a dit haut au bas.
39:18Pourquoi pas?
39:20D'un point de vue politique,
39:22quand vous parlez de haut au bas,
39:24c'est la volonté politique.
39:26Mais la volonté politique doit suivre
39:28avec les instruments.
39:30Mais la volonté politique doit suivre
39:32avec les instruments.
39:34On est tous sur cette table.
39:36Je veux que vous compreniez
39:38qu'il y a une différence
39:40entre être émotionnel
39:42et déformer des personnes.
39:44Dans la propagande politique,
39:46quelqu'un peut vous accuser
39:48d'une erreur ou d'une fausse.
39:50Mais cela doit être prouvé
39:52dans un court de loi.
39:54Donc, d'une approche du haut au bas,
39:56je pense que politiquement,
39:58c'est la mauvaise décision.
40:00Vous devez prendre une approche
40:02du haut au bas car nous sommes
40:04dans une nation décentralisée.
40:06Au niveau municipal,
40:08dans les institutions gouvernementales,
40:10il y a un effort de collaboration
40:12pour que, de haut au bas,
40:14les résultats, les sanctions
40:16et les investigations soient clairs
40:18avant un court de loi.
40:20Nous avons vu que dans le Code pénal
40:22et les procédures criminelles,
40:24il y a des sanctions.
40:26Il parle de la volonté politique.
40:28C'est vrai que je respecte
40:30son opinion.
40:32Je respecte l'opinion du Président.
40:34Il parle de la volonté politique
40:36pour combattre la corruption.
40:38Mais je prie de différencier.
40:40Je pense que le gouvernement
40:42manque la volonté politique
40:44pour combattre la corruption
40:46dans ce pays.
40:48Il y a tellement d'institutions
40:50qui font la même chose.
40:52Deuxièmement, une institution
40:54comme le Connac,
40:56qui est plus représentative,
40:58qui fait le même travail
41:00que le Connac,
41:02ne fait que la même chose.
41:04Au bout du coin,
41:06les mêmes institutions font
41:08presque le même travail.
41:10Mais ce n'est pas le but.
41:12Il parle de la volonté politique.
41:14Le gouvernement manque
41:16la volonté politique
41:18car il vend le bon
41:20en gardant la rope.
41:22Ce Connac a été établi
41:24comme une institution pour combattre
41:26la corruption.
41:28Cette procédure d'établissement
41:30C'est-à-dire qu'il n'y a pas d'approval.
41:32CONAC devrait travailler directement avec les tribunaux.
41:34Il y a un accord spécial sur le crime dans ce pays.
41:37Si vous regardez une institution comme l'EFCC en Nigérie,
41:42ils ont presque les pouvoirs pour procéder.
41:45Ils prennent le suspect directement à la cour.
41:49Maintenant, CONAC prend son rapport.
41:51Nous savons tous ces gens qui sont à la présidence.
41:54Quand le rapport arrive à la présidence,
41:56ça dépend de la volonté politique du président
41:59pour décider s'ils devraient aller à la cour ou pas.
42:02Ce qui signifie que le rapport de 2016
42:05peut toujours être lié à la présidence
42:07et que personne ne sera exécuté dans ce pays.
42:09C'est la manière dont il parle.
42:11C'est pourquoi il a dit qu'il allait y revenir.
42:14Il a dit que CONAC ne pouvait pas remplacer la cour.
42:19C'est ce qu'il a dit.
42:21Est-ce que je peux expliquer ce qu'il a dit ?
42:24Ce que je dis, c'est que
42:26CONAC a fait leur investigation
42:29et a retiré le rapport avec la cour.
42:32C'est une question de la loi.
42:34La loi, c'est la mauvaise loi.
42:36La loi qui dit que CONAC doit...
42:38La loi qui dit que CONAC doit...
42:41La loi qui dit que CONAC doit l'amener à la présidence.
42:44C'est une procédure établie.
42:46Si votre problème était la présidence,
42:48vous avez parlé de cela.
42:51Non, non.
42:54Il a réagi si fort.
42:56Laissez-moi le rappeler.
42:59Nous exécutons quand c'est flagrant de l'élite 2.
43:03Nous exécutons.
43:05Pour les cas de droits, bien sûr.
43:07Mais quand, disons que nous portons
43:10les investigations traditionnelles,
43:12cela peut prendre 1, 2, 3, 4 ans.
43:15Et des étapes.
43:17C'est là que nous les envoyons à la présidence.
43:19Je réagis à ce que le barista a dit.
43:22Il a donné des étapes.
43:24Ces étapes donnent la mauvaise idée
43:26que la corruption est en cours.
43:28La différence...
43:30Pourquoi cette différence dans les étapes?
43:32C'est juste parce que nous avons fermé
43:346 investigations,
43:36disons, quand vous avez les étapes moindres.
43:39Mais dans les étapes plus élevées,
43:42nous avons fermé plus de 35 investigations.
43:47C'est pourquoi vous avez la différence.
43:50Cela ne veut pas dire que la corruption est en cours.
43:54Comme je l'ai dit,
43:57une investigation peut prendre des années.
44:00Merci.
44:01La clarification est terminée.
44:03Maintenant, nous allons voir pourquoi ça ne marche pas.
44:05Oui, je pense que nous devrions regarder
44:07pourquoi ça ne marche pas.
44:09Pour moi, je pense que le problème
44:11se trouve dans la loi qui a créé CONAC.
44:13C'est la loi qui décrit
44:15la fonction d'organisation de CONAC.
44:18Si je regarde ce décret,
44:20je vois quelques articles contradictoires.
44:22Le premier article important
44:24de ce décret est l'article 2
44:26qui dit que CONAC est une charge publique indépendante
44:29pour l'investigation de la corruption,
44:31ce qui signifie que CONAC est indépendante.
44:33Mais quand vous lisez l'article 3 de cette loi,
44:35il dit que CONAC peut initier des procédures
44:37pour toutes les pratiques corrompues
44:39et lesquelles il s'occupe.
44:42Quand vous lisez l'article 3,
44:44il signifie que CONAC peut investiger et procéder.
44:47Mais malheureusement,
44:49quand vous regardez l'article 22 de cette loi,
44:51il dit dans le deuxième article
44:53que les faits et le faits sont probablement considérés
44:55comme des offenses corrompues ou liées.
44:58La commission devra récupérer l'évidence
45:00et fournir le dossier au président de la République
45:03pour la décision appropriée.
45:05Donc je pense qu'il y a un problème
45:07avec la loi qui a créé l'organisation de CONAC.
45:11Vous ne pouvez pas dire que CONAC
45:13est un organisme public et indépendant.
45:15Si vous trouvez des faits corrompus,
45:19vous devez fournir le dossier au président.
45:21Dans d'autres pays, comme le disait M. Mao,
45:23dans d'autres institutions,
45:25l'organisation d'investigation anti-corruption
45:27est associée aux policiers judiciaires,
45:30associée à l'examen du magistrat,
45:32ce qui signifie que s'il y a un cas de suspicion,
45:35CONAC investigera
45:37et défend les policiers judiciaires
45:39qui sont sous le contrôle et la supervision
45:41du président de CONAC.
45:42Ces policiers judiciaires
45:44ont le droit,
45:46même s'ils ont été arrêtés,
45:48de remettre les gens en garde.
45:50Ils défendent l'investigation
45:52et les envoient à l'examen du magistrat
45:54qui est sous le contrôle et la supervision
45:56du président de CONAC.
45:58Ce magistrat examinera
46:00les enquêtes criminelles
46:02et les charge directement à la Cour.
46:04De cette façon,
46:06nous voyons la véritable indépendance
46:08du fonctionnement de CONAC.
46:10Je suis désolé, ce n'est pas la loi,
46:12mais nous disons que si nous nous approchons
46:14de ce point,
46:16nous pourrions dire que CONAC
46:18est plus efficace
46:20et que les gens voient
46:22les produits de CONAC
46:24très visibles dans nos sociétés.
46:26Je suis d'accord avec toi.
46:28Il y a des choses qui doivent être améliorées
46:30sur la mise en place de CONAC.
46:32Je suis d'accord avec toi.
46:34Nous n'avons pas de branches régionales,
46:36ce qui signifie que
46:38si nous avons un rapport
46:40de Mokolo au nord-ouest,
46:42cela prend du temps pour réagir
46:44et envoyer les gens là-bas.
46:46Qu'est-ce qui vous empêche
46:48d'avoir des branches régionales ?
46:50Ce n'est pas très facile.
46:52Cela prend du temps, bien sûr.
46:54C'est pourquoi nous disons
46:56qu'il y a des choses qui peuvent être améliorées.
46:58Nous travaillons
47:00à travers le territoire national.
47:02Nous travaillons à travers le territoire national.
47:04Nous travaillons à travers le territoire national.
47:06Nous travaillons à travers le territoire national.
47:08Nous travaillons à travers le territoire national.
47:10Nous travaillons à travers le territoire national.
47:12Nous travaillons à travers le territoire national.
47:14Nous travaillons à travers le territoire national.
47:16Nous travaillons à travers le territoire national.
47:18Nous travaillons à travers le territoire national.
47:20Nous travaillons à travers le territoire national.
47:22Nous travaillons à travers le territoire national.
47:24Nous travaillons à travers le territoire national.
47:26Nous travaillons à travers le territoire national.
47:28Nous travaillons à travers le territoire national.
47:30Nous travaillons à travers le territoire national.
47:32Nous travaillons à travers le territoire national.
47:34C'est ce qu'on fait par jour.
47:4024 heures par jour, 7 jours par semaine.
47:42As on s'occupait du terrain.
47:44faisons voir.
47:46ceci fait 114 millions de dollars
47:48ceci fait 114 millions de dollars
47:50Le 1982 à l'importance
47:52Le 1982 à l'importance
47:56prenons 2 ? de ceычes
47:58c'est du 149 millions
48:00Le 149 millions
48:02Si vous divisez 2 millions, nous ne parlons pas de 114, c'est une corruption, vous aurez 250 salles de classe.
48:17Prenez 250 salles de classe et multipliez par 60 peuples, parce que c'est le nombre d'immigrants autorisés officiellement.
48:27Nous allons avoir 15 000 peuples, juste 2 millions.
48:33Si vous multipliez les 15 000 par 114 par 2, vous avez 50 salles de classe.
48:45Les gens de Conak font-ils ce type d'analyse et voient combien de Camerooniens souffrent parce que les gens sont embezzlés ?
48:54Si vous faisiez cela, ne feriez-vous pas plus que ce que vous faites ?
48:58Nous faisons cela sur une base quotidienne.
49:01Si vous lisez le discours du président de Conak, il dit que cette quantité a été embezzlée.
49:10Avec cette quantité, ce nombre de salles de classe ou de hôpitaux pourrait avoir été construit.
49:18Nous faisons cela sur une base quotidienne.
49:21L'issue ici, c'est que ces quantités que nous récupérons, nous les devons envoyer au Trésor public.
49:30Et ils retourneront de la même façon qu'ils sont venus.
49:32Avec le risque qu'ils prennent de l'argent.
49:38Si nous avions un compte spécifique, nous pourrions l'utiliser pour construire des salles de classe.
49:50Très bien.
49:51Avez-vous suggéré que dans certains de vos rapports que vous avez écrits...
49:55En tant que stratégiste chef ?
49:57Oui, en tant que stratégiste chef.
49:59Je parle de ce que je fais sur une base quotidienne.
50:02Est-ce qu'il y a un rapport sur cet effet ?
50:04Désolé ?
50:05Vous avez donné un rapport sur ce qui s'est passé.
50:07Nous voulons que vous suggériez que vous deviez avoir...
50:10Un fonds spécifique pour créer des salles de classe.
50:14Laissez-moi vous dire.
50:16Ce qui est visible, c'est le rapport que nous publions.
50:21Mais il y a beaucoup d'autres choses.
50:24Quanac est un corps d'adviseur pour les pouvoirs qui existent.
50:29N'oubliez pas ça.
50:31Si vous vous advisez et que très peu change, est-ce qu'on peut dire que vous n'advisez pas bien ?
50:38Ce n'est pas ma responsabilité.
50:43Vous avez vos enfants, votre femme, vos amis.
50:46Ils peuvent vous adviser, mais vous n'êtes pas obligé d'accepter l'advice.
50:49Mais vous ne pouvez pas blâmer ceux qui vous l'advisent.
50:52Laissez-moi juste commenter sur la calculation que vous avez faite.
50:59Je suis d'accord avec Barista Nikuhale quand il dit que la corruption a éclaté dans ce pays,
51:06plus que la maladie, la tuberculose et la malaria.
51:09Si vous regardez les statistiques que vous avez faites, c'est hypothétique.
51:14Imaginez le nombre d'accidents qui se produisent sur la route en résultat du mauvais état de la route,
51:20pour des projets qui ont été reçus et les gens ont investi leur argent.
51:25Jusqu'en avril, j'étais à Douala,
51:29et j'ai reçu un appel de ma femme qui m'a dit qu'un jeune homme à la maison
51:33avait été attiré par un policier en voyage dans l'area de Mendon.
51:38J'ai fait plusieurs appels pour le trouver, mais il n'avait pas sa carte d'identité.
51:42Ils allaient jouer au football à 6h du matin.
51:45Ils l'ont emmené à la station de police de Mendon,
51:49et quand ma femme a reçu la carte d'identité, le commissaire a demandé 25.000.
51:55En face d'une plaque qui disait « Non à la corruption, l'arrestation est libre »,
51:59c'est comme si vous alliez à la station de police,
52:02toutes les portes, les entrées dans toutes les institutions publiques,
52:06ils ont postponé.
52:09Je ne l'ai pas fait.
52:11Je dis que 25.000 n'ont pas été payés.
52:14J'ai toujours fait ce que je fais publiquement, à la station de police de Fulain.
52:18Il y avait plus de 100 jeunes policiers.
52:21J'ai appelé 15, 17.
52:24Je n'ai pas permis à ce jeune homme de payer.
52:27J'ai appelé 15, 17.
52:29Ils n'ont pas intervenu en temps réel.
52:31Ils ne sont pas venus le même jour.
52:33Ce jeune homme ne devait pas payer.
52:35C'est un mariage que je connais bien.
52:38C'est un mariage que je connais bien.
52:40J'ai appelé 1501.
52:42Ce n'est pas étrange que la police ait gagné le trophée de la haine
52:47en tant que le plus corrupte du monde.
52:50Vous n'avez pas appelé les 1501.
52:53Vous n'avez pas appelé les 1501.
52:55Vous n'avez pas appelé les 1501.
52:57Vous n'avez pas appelé les 1501.
52:59Vous n'avez pas appelé les 1501.
53:01Vous n'avez pas appelé les 1501.
53:03Vous n'avez pas appelé les 1501.
53:05Vous n'avez pas appelé les 1501.
53:07Vous n'avez pas appelé les 1501.
53:09Vous n'avez pas appelé les 1501.
53:11Vous n'avez pas appelé les 1501.
53:13Vous n'avez pas appelé les 1501.
53:15Vous n'avez pas appelé les 1501.
53:17Vous n'avez pas appelé les 1501.
53:19Vous n'avez pas appelé les 1501.
53:21Vous n'avez pas appelé les 1501.
53:23Vous n'avez pas appelé les 1501.
53:25Vous n'avez pas appelé les 1501.
53:27Vous n'avez pas appelé les 1501.
53:29Vous n'avez pas appelé les 1501.
53:31Vous n'avez pas appelé les 1501.
53:33Vous n'avez pas appelé les 1501.
53:35Vous n'avez pas appelé les 1501.
53:37Vous n'avez pas appelé les 1501.
53:39Je suis heureux d'être invité ici,
53:41mais j'ai l'impression que vous
53:43changez la responsabilité
53:45de combattre la corruption
53:47à Konak alone.
53:49Si nous disons que la corruption
53:51est en cours dans notre pays,
53:53cela signifie que tous ceux qui sont ici
53:55et ceux qui nous écoutent
53:57ont failli.
53:59Parce que c'est une bataille commune
54:01à combattre.
54:03Ne laissez pas Konak seul
54:05ou n'importe quel autre corps seul.
54:07Nous devons commencer par nos maisons,
54:09dans nos familles,
54:11dans nos communautés,
54:13dans nos associations.
54:15C'est là que vous pouvez dire que Konak a failli.
54:17Est-ce que vous avez fait ce que vous
54:19vous attendiez à faire
54:21pour empêcher la corruption?
54:23Merci beaucoup.
54:25C'est mon dernier mot.
54:27Au nom de PESA et de CITV,
54:29je m'excuse pour les Camerooniens
54:31qui ont toujours ce sens
54:33d'intégrité.
54:35Ce n'est pas tout le monde qui a failli.
54:37Il y a des gens qui sont en train
54:39de combattre la corruption.
54:41Je vous en prie,
54:43nous aurons des Camerooniens
54:45qui ne donneront pas, qui ne prendront pas,
54:47qui ne permettront pas.
54:49Merci beaucoup.
54:51C'est mon dernier mot.
54:53Une des façons
54:55de combattre la corruption,
54:57c'est d'assurer qu'on n'encourage pas l'impunité.
54:59Nous devons donc avoir
55:01des enquêtes et des prosecutions immédiates,
55:03puis des sanctions,
55:05et une publication des sanctions.
55:07Une fois que nous commençons à faire cela,
55:09cela va s'agir comme un effet déterrent.
55:11Nous devons donc combattre l'impunité.
55:13Merci beaucoup.
55:15J'ai une question pour Paul et Chang.
55:17Malheureusement, je n'ai pas eu le temps.
55:19Je pense que parfois, nous devons rester
55:21pédagogiques dans notre approche
55:23sur laquelle nous devons parler sur cette plateforme.
55:25Ce n'est pas un ping-pong,
55:27ce n'est pas un problème personnel.
55:29La corruption est un habit,
55:31nous ne devons pas la prendre
55:33de façon pédagogique.
55:35Il a abordé le curriculum,
55:37qui est une approche pédagogique,
55:39mais il y a aussi des instruments nationaux.
55:41Si vous ne connaissez pas les instruments nationaux
55:43que le gouvernement a mis en place,
55:45recherchez-les.
55:47Il y a aussi des conventions nationales
55:49que le gouvernement a signées.
55:51Pour l'extradition, il y a l'ANIF.
55:53Ce n'est pas un problème personnel.
55:55Si vous voyez une question de corruption,
55:57appelez le 1517.
55:59Ce n'est pas un problème personnel.
56:01Il s'agit d'un effort collectif.
56:03Merci beaucoup, Paul et Chang.
56:05Merci beaucoup,
56:07Alfred Huiton,
56:09Patrick Moore
56:11et Barista Fonbat-Mougem.
56:13Nous voulons juste
56:15poser la dernière question.
56:17La corruption,
56:19l'abandon,
56:21le changement que vous voulez,
56:23si vous vous demandez, ne le donnez pas,
56:25si vous le donnez, ne le prenez pas,
56:27vous pouvez avoir l'autorité
56:29de condamner les autres.
56:31C'est ce qu'on a entendu aujourd'hui
56:33sur PressR, mesdames et messieurs.
56:35Si vous n'avez rien oublié,
56:37dans l'édition de PressR d'aujourd'hui,
56:39vous pouvez regarder un enregistrement
56:41de ce programme le lundi à 2h30
56:43ou à 9h00
56:45le lundi
56:47sur CRTV News.
56:49Merci pour votre attention.