On a foncé à 200 km/h en électrique avec le pilote Thierry Neuville, sur le circuit du Var
Le pilote de rallye belge nous a fait monter dans une Hyundai Ioniq 5 N, voiture de sport électrique, pour deux tours sur le circuit du Var, au Luc. On vous raconte cette expérience riche en sensations fortes, à 200 km/h.
Il n'avait pas dormi de la nuit. "Ma fille était malade", a-t-il glissé sur le paddock. Thierry Neuville, pilote de rallye belge, était pourtant bien présent, mercredi 2 septembre, sur le circuit du Var, au Luc. Le leader actuel du championnat du monde des rallyes y a piloté une Hyundai Ioniq 5 N, à l'initiative du concessionnaire provençal Hyundai Baldassari. Et nous a conviés à monter avec lui dans cette voiture électrique de sport, produite par le constructeur qui le fait rouler en WRC depuis dix ans.
L'invitation ne se refuse pas. La tête comprimée dans notre casque intégral, on s'installe à la place du copilote. La voiture rugit, alors qu'elle ne devrait pas, en théorie. Pour conserver un certain plaisir de conduite, elle est dotée d'un système qui reproduit le bruit d'un moteur essence, et même les à-coups d'une transmission. "On n'a pas l'impression d'être dans une voiture électrique", décrit notre chauffeur, alors que la compacte s'approche de la piste.
Il enchaîne les virages à plus de 100 km/h
Effectivement. "On est partis", lance-t-il en mettant le pied au plancher. On dépasse les 100 km/h en 3,4 secondes. Les 650 chevaux électriques cavalent. "J'ai coupé toutes les aides à la conduite", juge-t-il bon de préciser, en passant le premier virage. Rassurant.
Il n'avait pas dormi de la nuit. "Ma fille était malade", a-t-il glissé sur le paddock. Thierry Neuville, pilote de rallye belge, était pourtant bien présent, mercredi 2 septembre, sur le circuit du Var, au Luc. Le leader actuel du championnat du monde des rallyes y a piloté une Hyundai Ioniq 5 N, à l'initiative du concessionnaire provençal Hyundai Baldassari. Et nous a conviés à monter avec lui dans cette voiture électrique de sport, produite par le constructeur qui le fait rouler en WRC depuis dix ans.
L'invitation ne se refuse pas. La tête comprimée dans notre casque intégral, on s'installe à la place du copilote. La voiture rugit, alors qu'elle ne devrait pas, en théorie. Pour conserver un certain plaisir de conduite, elle est dotée d'un système qui reproduit le bruit d'un moteur essence, et même les à-coups d'une transmission. "On n'a pas l'impression d'être dans une voiture électrique", décrit notre chauffeur, alors que la compacte s'approche de la piste.
Il enchaîne les virages à plus de 100 km/h
Effectivement. "On est partis", lance-t-il en mettant le pied au plancher. On dépasse les 100 km/h en 3,4 secondes. Les 650 chevaux électriques cavalent. "J'ai coupé toutes les aides à la conduite", juge-t-il bon de préciser, en passant le premier virage. Rassurant.
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