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Pour Eugénie Bastié, «il y a une forme de terreur idéologique» à Sciences Po Paris avec les manifestations propalestiniennes, débutées mardi 1er octobre. La journaliste a expliqué l'écrasement de l'extrême-gauche au sein de l'établissement, sur le plateau de CNEWS.

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Transcription
00:00Il n'y a pas d'extrême droite à Sciences Po et peut-être même pas de droite.
00:04Mais il y a une extrême gauche qui écrase tout et qui intimide les étudiants qui sont au milieu.
00:07Et ça, je trouve que c'est effectivement problématique,
00:10et notamment sur la liberté d'expression.
00:12Moi, je suivais un compte sur Instagram qui s'appelait Sciences Po pas de débat
00:15et qui recueillait tous les témoignages d'étudiants qui ont été obligés de se taire
00:18et qui racontaient qu'ils ne pouvaient pas dire qu'ils avaient voté Macron.
00:21Par exemple, dire qu'ils avaient voté Macron, c'était déjà être un facho.
00:25Ils se faisaient pointer du doigt sur les réseaux sociaux, etc.
00:27Une forme de terreur idéologique qui partait du bas, extrêmement inquiétante.
00:32Et il faut restaurer véritablement le pluralisme et la liberté d'expression
00:35dans cet établissement. C'est une urgence.

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