• il y a 2 mois
Dans son nouvel ouvrage, l’essayiste Caroline Fourest s’attache à laver l’honneur de certains hommes emportés par la vague Me Too. Tout en oubliant de préciser ses liens financiers avec l’un d’eux : l’ancien patron des César.

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Transcription
00:00Bienvenue dans ce nouveau book club de l'informé.
00:02Aujourd'hui, je vous parle du vertige MeToo de Caroline Forrest,
00:04enfin surtout, de ce qu'elle dit pas dedans.
00:06Alors si vous ne la connaissez pas, Caroline Forrest est la directrice de l'évêque de Franc-Tireur.
00:09Dans ce livre, elle revient sur la révolution MeToo
00:12et s'interroge sur les potentiels dérives du mouvement.
00:14Elle défend notamment, à l'intersion, l'ex-président de l'Académie des Césars,
00:17poussée vers la sortie en 2020.
00:19Mais est-ce qu'elle est vraiment totalement neutre sur le sujet ?
00:21Dans son livre, elle dit qu'elle l'a simplement croisée pour un projet de comédie féministe,
00:24alors qu'en fait, ils ont bossé sur ce film pendant 3 ans.
00:27À l'informé, on a retrouvé les contrats.
00:29En tout, Caroline Forrest a touché 46 000 euros de la part de la boîte de prod,
00:33mais si le projet était allé jusqu'au bout, elle aurait gagné 260 000 euros.
00:36Alors on a contacté Forrest, qui a confirmé ses propos.
00:38Croiser veut dire qu'on se voyait,
00:40et à l'époque, c'était de temps en temps, vu que le projet n'avançait pas.
00:43Et de son côté, à l'intersion, on nous a indiqué qu'il n'excluait pas de reprendre un jour le film.
00:47À l'informé, on n'a que des infos exclusives, alors abonnez-vous !

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