• il y a 3 mois
Emmanuel Macron a été vivement interpellé, jeudi 26 septembre à Montréal, par des manifestants critiques de la France sur le conflit à Gaza, alors que le chef de l'Etat sortait d'une conférence de presse avec le Premier ministre canadien Justin Trudeau.

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Transcription
00:00Si vous ne pouvez pas prendre des actions, vous devez quitter.
00:03Bonjour, je suis heureux de vous voir ici, je viens de vous expliquer...
00:09Bonjour, comment allez-vous M. le chef du protocole ?
00:13C'est trop tard, même si vous faites quelque chose, c'est trop tard.
00:17Nous avons commencé la proposition pour le 6 septembre et le 5 octobre.
00:20En parallèle, nous devons travailler tous ensemble et c'est ce que nous essayons de faire,
00:24d'engager tous les pays dans la région, de s'arrêter à tous ces groupes,
00:29honnêtement, personnellement, avec tout le respect, avec tout le respect.
00:31Non, non, non, non, c'est une résistance, c'est une résistance.
00:36Je suis désolé, nous sommes totalement d'accord sur ce point.
00:38Qu'est-ce que vous voulez de nous ?
00:39Non, mais ce que vous dites n'est pas acceptable, ils ont tué des centaines de personnes.
00:43Merci, merci, très bien.
00:46Nous, au Québec...
00:47Je suis allé leur parler, parce qu'il y a une vraie émotion dans toutes nos sociétés,
00:51on le voit bien sur Gaza, les images qu'il y a, le drame humanitaire qui s'y joue,
00:56et donc je comprends, je respecte cette émotion.
00:58Mais j'ai essayé d'abord de dire ce que nous faisions,
01:01et de dire ce qu'on fait depuis le début.
01:03Et parce qu'il y a aussi, à côté de cette émotion,
01:05il peut y avoir beaucoup de confusion, vous savez.

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