• il y a 3 mois
Virginie Girod, historienne et animatrice, était ce mercredi 18 septembre dans l’Heure des Pros sur CNEWS. «Avant même que le procès ne commence, nous savions que nous avions 51 coupables sur le banc des accusés», explique-t-elle sur le procès des viols de Mazan. 

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Transcription
00:00C'est inaudible, c'est insupportable, car Pellicot est un homme profondément néfaste
00:06qui d'accord a eu une enfance difficile, Bichon ce n'est pas le seul déjà.
00:09Et à chaque fois, pendant dix ans, il fait le choix de faire du mal à sa femme avec
00:16des partenaires qu'il recrute sur des sites internet, qui sont tous conscients qu'ils
00:19vont violer une femme, parce que ce qu'on a lu dans la presse c'est que le site de
00:22rencontre qu'utilise Pellicot pour recruter ses partenaires, c'est à son insu, quand
00:28l'intitulé du salon s'appelle à son insu, vous avez déjà compris qu'il n'y a pas
00:32de consentement.
00:33Donc il est évident que quand il dit je suis un violeur comme les autres, c'est vrai,
00:37pour la première fois de l'histoire, et on a traité plein d'affaires de mœurs ici,
00:40on a toujours parole contre parole, et là cette fois, avant même que le procès commence,
00:44on sait qu'on a cinquante coupables sur le banc des accusés, parce que nous avons toutes
00:49les preuves qui prouvent qu'ils le sont.
00:51Alors après, le rôle de la justice ça va être de pinailler, de dire ah oui lui il
00:55est un peu plus, lui un petit peu moins, on s'en fout en fait, on a cinquante coupables,
00:59et la justice doit être extrêmement sévère.

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